Les Mémoires de Syfaria
La Région de Farnya

Recherche solitaire, ...

... quand on commence a en avoir marre.
Page [1] [2]
Détails
Sujet lancé par Nig'Ror
Le 14-06-1508 à 20h07
26 messages postés
Dernier message
Posté par Nig'Ror,
Le 03-07-1508 à 09h57
Voir
 
Nig'Ror

Le Sukra 14 Jayar 1508 à 20h07

 
*** Il en avait marre, restait a Farnya et attendre que cet "Dague Rouge" fasse sont apparition commencer sérieusement a lui courir sur le haricot. ***


dit :
A quoi tu pense Nig'Ror ?


Je pense que je suis un pauvre idiot, restait immobile a attendre les ordres c'est pas trop mon truc.

dit :
Et alors ?


Alors je pense que cette affaire doit être réglé au plus vite. Tu me suis je vais faire des choses, qui généralement, sont interdite par le savoir vivre universelle.

*** Le mou commencer a sentir un frisson qui lui était familier, le côté animal de son hôte tiré sur ses chaînes, voulant se libérer de ces entraves et goûté a la vie sauvage. ***


Lumen ne me regarde pas avec ses yeux.

dit :
Désolée, a sinon où est qu'on vas ?


Premiérement chez l'Intendant, ensuite en fonction de se que l'on aura trouvé, mais avant je voudrais mettre un peu de panique dans le camp adverse.

dit :
Comment sa la "panique dans le camp adverse" ?


*** Restant muet sur cette derniére questions il se dirigea vers les quartiers résidentiel de la ville. ***


 
Nig'Ror

Le Luang 16 Jayar 1508 à 01h14

 
*** La nuit commencer a se profiler, c'est a ce moment précis que Nig'Ror décida de sortir d'un batiment d'imprimerie les bras chargé de parchemin. ***


dit :
Bon sang mon vieux tu ne compte vraiment pas mettre ces affiches partout dans la ville.


Pourquoi pas, même si c'est illégal elle ne porte pas l'accord de l'administration, donc il n'y aura aucun probléme, a priori.

dit :
Mais qu'est ce qu'on gagne à faire sa ?


Provoquer la panique chez la dague rouge, les poussés a commettre une erreur, glissé en eue la peur.

dit :
Peu être mais il sont a deux doigt de tuer leur captif.


*** Nig'Ror réfléchie quelque peu, colla quelques affiches et continua sa besogne. ***


Tu sais Lumen, le fait te tuer leur captif ne va pas arranger leur affaire. Ils ont vraiment attraper un trop gros poisson pour eue.

dit :
D'accord mais je ne voir pas pourquoi tuer la fille de l'Intendant n'arrangeront pas leur affaire ?


Parce que je suis tétue, déterminée dans mes actions et surtout je n'éprouve aucun besoin a dormir.

dit :
Peu être, mais tu n'est pas du tout dangereux.


Ah bon.

*** Lumen détourna le regard de son hôte pour le planter sur l'affiche on l'on pouvait y lire : Recherche de la Dague Rouge, toute information donner a la Bulle Noire pour retrouver les membres ou la dague rouge seront fortement récompenser. ***


Bon maintenant, c'est a l'Intendant d'y passer.

 
Narrateur

Le Luang 16 Jayar 1508 à 17h47

 
***
Les affiches collées ici et là dans la cité de Farnya eurent bien sûr leur petit effet.

Mais peut-être pas celui escompté par Nig'Ror.

Quelques heures après la séance de collage, une foule de badauds commença à s'entasser devant le Palais du Prince, prenant à partie les gardes de faction.

L'appât du gain semblait vouloir délier des langues....mais ces langues avaient-elles seulement des informations utiles à dévoiler ?

Pour l'instant les gardes s'affairaient à former une file d'attente en attendant de savoir quoi faire car ils n'étaient absolument pas au courant de cette histoire de prime.
***


 
Narrateur

Le Luang 16 Jayar 1508 à 21h14

 
***
Finalement, alors que la foule commençait à grogner de plus en plus devant l'attente qui se prolongeait, ce fut le Capitaine de la Garde qui sortit en personne.

Il faut d'ailleurs croire que la délation rémunérée attire plus le chaland qu'un honnête geste citoyen et désintéressé...

Le Capitaine attrapa les barreaux des grilles jouxtant le portail d'entrée du palais afin de se hisser sur le mur d'enceinte pour que tout le monde le voit et l'entende. ***

Ecoutez moi habitants de Farnya, la Bulle Noire n'est pas à l'origine des affiches qui promettent de l'argent contre renseignements...C'est une initiative dont je n'ai pas eu connaissance et non confirmée par notre Général en chef.

Sachez que la Bulle Noire possède à l'heure actuelle tout les éléments nécessaires à son enquête et n'est pas disposée à payer quoi que ce soit....

Je vous demande de vous disperser et de ne pas encombrer les abords du Palais. Je ferai donner la Garde si besoin.

Dispersez-vous, c'est un ordre !!


*** Une colonne de soldats prit position devant le Palais afin que la dispersion s'effectue dans le calme et en bonne ordre.

Un autre groupe de soldats fut envoyé aux quatre coins de la ville afin que les affiches soient arrachées et faire savoir que la Bulle Noire avait la situation bien en mains.
***


 
Nig'Ror

Le Luang 16 Jayar 1508 à 22h34

 
*** Lorsque Nig'Ror vit la foule entasser devant les portes du palais il ne put s'empêcher de vouloir rire, comment au grand autant de personne prouvé croire une affiche faite avec du papier banal qui ne porter aucune signature, franchement il espérer plus du tchaë moyen. ***


Bon sa n'a pas eue l'effet escompté mais on vas profiter de cette belle pagaille.

*** Malgré le débordement de la population la garde du palais patroullier toujours dans les alentours du palais, il essaya de passer entre, priant pour trouver une ouverture et préparant son histoire burlesque si on le choppé. ***


dit :
Nig tu as penser que l'on pourrait te reconnaitre.


*** Il enleva alors le capuchon lui recouvrent la tête : sa peau était basané, ses cheveux était blond et les joues plus mince. ***


Maintenant espére que cela marche, et cache toi bon sang.

 
Narrateur

Le Merakih 18 Jayar 1508 à 10h13

 
*** Effectivement, les gardes du palais étaient surtout affairés à repousser la foule et certains d'entre eux s'étaient éloignés de leur poste afin de mieux voir et comprendre ce qu'il se passait aux portes du palais.

Nig'Ror se fit tout petit et pénétra dans les jardins. Navigant de bosquets en parterres de fleurs, il réussit à trouver une entrée de service dépourvue de garde.

Le couloir, désert, semblait mener vers la réserve, derrière les cuisines. ***


 
Nig'Ror

Le Merakih 18 Jayar 1508 à 12h42

 
*** Tranquillement sans aucun bruit il s'infiltra dans le couloir du palais restant dans les endroits sombre, tendant l'oreille afin de pouvoir entendre discutions et commérage des serviteurs se trouvent dans les cuisines. ***


Lumen pendant que j'écoute a la porte cela serait génial si tu pouvais prendre quelque truc a grignoter.

dit :
Tu veut que je vol ?!


Pas si fort, et bon sang de bonsoir les gens qui achète tout sa sont riche a ne plus quoi savoir en faire de leur argent.

dit :
Bon d'accord.


Alors maintenant chère serviteur de la cuisine dite moi se qui se passe de beau et de sombre dans la cour.

*** Il colla son oreille a la porte et ferma les yeux afin d'appréhender les sons a ses alentours. ***


 
Narrateur

Le Merakih 18 Jayar 1508 à 13h00

 
*** L'écoute de Nig'Ror révéla qu'il y avait de l'activité dans les cuisines. Il ne put appréhender ce qui se racontait de l'autre côté de la porte, les sons lui parvenant assourdis et fragmentaires.

Passer par cet endroit risquait donc d'être fort délicat car dans une telle demeure, il y avait toujours un minimum d'activité aux cuisines, même aux heures creuses.

Cependant, par chance, le couloir où il se trouvait débouchait un peu plus loin sur un corridor plus richement décoré. Vraisemblablement le début des appartements situés au rez-de-chaussée. ***


 
Nig'Ror

Le Merakih 18 Jayar 1508 à 13h22

 
dit :
Alors qu'est-ce que sa donne ?


Sa donne rien. Aller viens on va passer par se couloir le temps que la garde est occupé as résoudre l'ordre doit nous servir le plus possible.

*** Il scruta le couloir bénissant pour cette fois le fait d'être restait dans une grotte pendant sept, sa vue n'étais certes pas extraordinaire mais elle était plus sensible a la lumière. Ne voyant personne dans le couloir il s'y insinua. ***


Dommage que je n'est put rien entendre des cuisines. Tu sais Lumen que c'est l'endroit où les serviteurs se réunisse et parle de commérage, c'est super pratique si tu veut savoir se qui se passe a la cour du roi.

*** Il arriva enfin sur le corridor, dépassa juste la tête du couloir regarda a droite a gauche afin de voir s'il n'y avait des serviteurs ou même des gardes. ***


 
Narrateur

Le Merakih 18 Jayar 1508 à 15h15

 
*** Le corridor semblait désert. Il donnait à son extrémité sur un plus vaste couloir.

D'un côté, un grand escalier montait au premier étage, de l'autre de grandes portes ouvragée et closes donnaient sans doute sur un salon ou autre... ***


 
Nig'Ror

Le Merakih 18 Jayar 1508 à 20h46

 
*** Nig'Ror s'avança vers la porte ouvragé, il étudia son apparente épaisseur ainsi que la qualité des charnière puis il tendit l'oreille droite et la colla sur la porte. ***


Lumen pourrait-tu faire le guet ? Comme sa cela va me permettre de me concentré sur ce qui se passe derrière cette porte.

*** Sur ces mots il ferma les yeux. ***


 
Narrateur

Le Merakih 18 Jayar 1508 à 21h57

 
*** Nig'Ror entendit des voix venir de l'autre côté de la porte. Il y avait au moins deux personnes dans la pièce. ***

....devriez pas y aller............au moins une dague pour vous défendre......

Non, non..................pas de risque......Mais je dois.........Où est rangée l'argent.........Bientôt..........

...............finir de manger............Prince......venir.......


*** Il n'était pas aisé de suivre la conversation, mais à n'en point douter il devait s'agir de l'intendant qui se préparait pour le rendez-vous avec la Dague Rouge. Il avait dû rejoindre ce salon proche des cuisines afin de prendre une collation et peaufiner les derniers détails de sa sortie. ***



 
Nig'Ror

Le Merakih 18 Jayar 1508 à 23h55

 
*** .Il s'éloigna de la porte et monta discrètement les escaliers, cette conversation lui avait appris que le moment du rendez-vous approcher. Lorsqu'il atteignit les dernière marche il se mit a plat ventre et dépassa sa tête du couloir regarda a droite puis a gauche et enfin par la fenêtre devant lui qui indiquer que le soleil aller bientôt se coucher. ***


Lumen, lors de la fouille si tu repère des tampons administratif ou même tout objet pouvant nous sortir de situation improbable préviens moi.

dit :
Il faudrait d'abord que tu arrive a trouvé les chambres en question.


Je te préviens maintenant sinon je risque bien d'oublier se que je viens de dire.

 
Narrateur

Le Julung 19 Jayar 1508 à 20h29

 
*** Nig'Ror constata que le troisième soleil de Syfaria dardait ses derniers rayons et que la pénombre commençait à se faire plus présente. La nuit serait bientôt là.

Prudent, le Tchaë grimpa doucement les escaliers et fit bien de se mettre à plat ventre sans un bruit car il put remarquer que deux gardes faisaient les cent pas à cet endroit.

Sa situation devenait compliquée... ***


 
Nig'Ror

Le Julung 19 Jayar 1508 à 21h51

 
*** Nig'Ror regarda les deux gardes pendant un certains temps, c'était maintenant l'heure de prendre des risques. Il se releva, prit sont mou, le mit sur la dernière marche et descendit quelques marches. ***


dit :
Qu'est-ce que tu fais ?


Rate pas leur crâne surtout.

*** Lumen prit alors une allure de condamné a mort pendant qu'il voyait son hôte monté rapidement l'espace qui les séparé, puis son pied se rapprochant le plus de sa personne pour finalement le shooter vers les gardes par un rebond sur le mur d'en face. ***


 
Narrateur

Le Vayang 20 Jayar 1508 à 17h32

 
*** Le Mou rebondit sur le mur et s'écrasa sur l'armure de maille du premier garde. Ce n'était certainement pas lui qui risquait d'assommer deux gardes couverts de fer.

Le soldat, croyant à un attentat, se mit instinctivement en position de garde !

Le second, qui savait que les consignes étaient de ne pas prendre de risque et de prévenir au moindre évènement un tant soit peut anormal, dégaina son épée et se rua vers l'escalier en hurlant : ***

A la Garde ! A la Garde !

Au premier étage !!


*** Les choses allaient bientôt sacrément se compliquer pour Nig'Ror. ***


 
Nig'Ror

Le Luang 23 Jayar 1508 à 00h02

 
*** La rage monté, il était presque sûre de se faire arrêter donc autant en profiter au mieux de se temps où l'échec ou la victoire ne signifié plus grand chose. Il sortie des escalier est s'approcha du premier garde. ***


Attention j'arrive !

*** Sur c'est quelque mètres tout se joué, il avait beau être en rage il fallait qu'il se contrôle, se préparant mentalement a donné un extrait d'une prise de la fameuse "Danse de la Mort" même s'il n'avait vue que la théorie, même s'il se demandé si les trois coup de coude consécutifs surnommé "coupe souffle", "brise os" et "brise muscle" pouvait fonctionner avec une cotte de maille. ***


° dit :
Et pour le second, tu compte faire quoi ?
°

°Peu être "deux mort", mais au lieu de donner un coup de poing au niveau du coeur je vise plus haut.°

*** Ils ne restait plus cas prier. ***


 
Narrateur

Le Luang 23 Jayar 1508 à 21h36

 
*** Nig'Ror ne se rappellerait sans doute jamais comment il avait réussi ce coup, mais il mit hors de combat le premier garde d'un seul coup de poing placé au niveau de la jugulaire du casque...le soldat s'effondra le larynx écrasé, sans secours il mourrait bientôt par asphyxie..

Le second garde moulina le vide avec son épée et, emporté par son élan, se trouva à portée de Nig'Ror qui parvint à le faire trébucher et tomber dans l'escalier.

Il ne tarderait pas à se relever mais au moins le passage était libre vers le fond du couloir car il fallait désormais oublier les escaliers où on entendait déjà se précipiter une demi-douzaine de gardes. ***


 
Nig'Ror

Le Matal 24 Jayar 1508 à 23h10

 
*** Nig'Ror s'approcha du garde est tenta de lui remettre correctement le larynx, le résultat n'était certes pas fameux mais il n'avait pas le temps. Il souleva le garde, le traîna avant de le balancé dans les escalier, et pour clôturer le tout un épais nuage de fon de teint empêcher toute visibilité aux gardes qui avaient évité le projectile. ***


Navré messieurs de vous créez autant de problème.

*** Sur ces mots il longea le couloir tentent d'ouvrir plusieurs porte espérant au moins tomber sur celle de la fille de l'Intendant. ***


 
Narrateur

Le Merakih 25 Jayar 1508 à 14h40

 
*** Les portes, que Nir'Ror ouvrit à la volée, étaient de vastes chambres inoccupées, sans doute utilisées à l'occasion pour les gens invités par le Prince.

Mais il n'y avait pas âme qui vive.

Dans l'escalier, les gardes s'étaient remis en bon ordre de marche et ils commençaient à se déverser dans le couloir.

Il fallait trouver une échappatoire car bientôt, les gardes seraient trop nombreux, même pour un symbiosé comme Nig'Ror. ***


Page [1] [2]
Vous pouvez juste lire ce sujet...