Les Mémoires de Syfaria
La Région de Farnya

L'heure de la rançon.

La suite de l'enlèvement d'Eirine Hausen.
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Sujet lancé par Narrateur
Le 17-06-1508 à 23h01
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Posté par Bail Lihkeux,
Le 08-07-1508 à 19h15
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Dryvly

Le Merakih 2 Julantir 1508 à 23h19

 
Dryvly s'était mise en hauteur pour apercevoir une quelconque sillouhaite, mais en vain...
Puis elle reçue un message comme quoi des personnes suspecte seraient en fait rester en ville.

Elle s'apprêtait à faire demi tour toujours dans l'ombre des batiments.


 
Nig'Ror

Le Julung 3 Julantir 1508 à 10h27

 
*** Perchait sur son toit, Nig'Ror observé les actions de la Bulle Noire. ***


Trop de monde sur l'affaire, trop de questions sans réponses et surtout trop de gens irrespectueux dans cette affaire.

dit :
Quand tu parle d'irrespectueux tu parles du Commandant Stennar.


Entre autre ... Tiens on dirait qu'il y a du mouvement.

*** Depuis son perchoir il pouvait voir les membres de la Noire encercler une vaste zone autour de la Halle des Corporations, sans un mots il sauta de toits en toits rejoignant au plus vite la zone qu'on lui avait tranquillement indiqué. ***


dit :
Tu as un plan j'espère ?


Oui je l'ai fait quand on jouait les acrobates. Tu reste ici tu fais la vigie et tu me préviens s'il y a le moindre problème. Moi je descend et je fouine dans le coin, si je repère les truands je tenterait de négocier, sinon je passe a la manière forte.

*** Nig'Ror continua d'observait la ruelle quelques instant, vérifia si sont déguisement n'avait subit aucun dommage permettent de le reconnaître, descendis du toit et tendis l'oreille en parcourant méthodiquement la zone concerné par l'encerclement. ***


 
Knïg

Le Julung 3 Julantir 1508 à 10h55

 
*** Knïg, au message de Toufic, se dirigea dans la direction indiquée.
Il était le dernier membre de la Bulle à avoir garder sa position, même le Général était parti sans mots dire. Mais knïg avait bien fait, car maintenant le voleur se dirigeait ver lui.

Quoi qu'il en soit, seul ou pas, le Commandant d'Infanterie n'aurait aucun mal à intercepter ce voleur si il venait à se présenter. ***


 
Dryvly

Le Julung 3 Julantir 1508 à 15h03

 
Dryvly revenue dans la ville, observait d'un point ou l'on ne pouvait assurément pas la repérer mais ne vit rien d'étrange si ce n'est que beaucoup de personnes se bousculaient en ville.

Commandant knig, envoyez moi votre miù pour me confirmer si la mission à mon egard reste la même.



 
Toufic

Le Julung 3 Julantir 1508 à 18h30

 
Toufic vit arriver avec soulagement le renfort du Commandant Knïg et du Lieutenant Dardalion. La présence de ces deux Tchaës expérimentés et compétents, ne laisseraient aucune chance au ravisseur de jeune fille.

*** Il leur fit des grands signes, mais sans élever la voix : ***

"Pstt, par ici ! Il est quelque part par là ! Il a caché son butin en bordure de mer !"

Dans l'immédiat Toufic avait perdu le voleur de vue. Mais celui-ci ne s'éloignerait sûrement pas de son butin. Et le sergent avait repéré la cachette en bordure de mer.

L'argent du butin allait l'attirer comme le miel attire le Placide !

CIVIS PACEM PARA BELLUM : Si tu veux la paix, prépares la guerre.

 
Narrateur

Le Julung 3 Julantir 1508 à 19h32

 
[Hrp : les personnages qui suivent le RP des deux voleurs qui ont rejoint une planque dans Farnya sont priés d'aller poster dans le sujet : La Planque dans le Forum de Farnya.

Ceux qui sont concernés par le voleur du butin restent ici. Merci /hrp]


*** ----------------------- ***


*** Boesean pestait. Il se demandait encore comment ce satané soldat avait bien pu retrouver sa trace.

Camouflé au milieu des hautes herbes de la plaine il remarqua qu'il n'avait pas été suivi.
Sacrebleu, cela voulait dire que l'autre l'avait sans doute vu enterrer l'argent....ou peut-être pas mais qu'il était en train de chercher car il avait bien dû constater que le lourd sac n'était plus dans ses propres mains.

Que faire...? ***


 
Toufic

Le Julung 3 Julantir 1508 à 19h57

 
*** Toufic s'adressa aux officiers qui venaient en renfort : ***

Attention, il y a un Flaviste Hargneux au sud-est, près du bord de mer !

Toufic s'était camouflé dans les grandes herbes. Il cherchait attentivement du regard où avait bien pu passer le chef des ravisseurs, guettant chaque ombre, chaque mouvement, écoutant chaque bruit.
Il n'était pas dans les environs proches du sergent artilleur, sinon celui-ci l'aurait repéré. C'était une demi-bonne nouvelle : pas de danger immédiat. Mais c'était également une demi-mauvaise nouvelle : et si le gredin avait réellement fui !

Mais à la réflexion, Toufic ne pensait pas qu'il laisserait son butin, c'était une somme trop importante, et il s'était donné trop de mal !
De plus, il avait l'air plutôt décidé, pas le genre à laisser tomber. L'appât du gain devait être plus fort chez lui que la prudence.

Toufic attendit les officiers. A trois, on allait le trouver ! Même s'il fallait ratisser la plaine. Et puis, il avait vu le lieutenant Dardalion à l'oeuvre, c'était un sacré pisteur !
On ferait sortir le Loup Effrayant du bois !


CIVIS PACEM PARA BELLUM : Si tu veux la paix, prépares la guerre.

 
Knïg

Le Julung 3 Julantir 1508 à 21h13

 
*** Knïg, en voyant les signes de Toufic, déduit qu'il fallait chercher le voleur. Il resta donc à distance de l'Artilleur pour couvrir une plus grande distance et commença à scruter les alentours.

Le Commandant fut interrompu par une missive mentale de Dryvly et il répondit le temps de détacher sa hache de son dos. ***


Dryvly, votre mission reste la même:
vous deviez suivre les malfrats en ville. Le Commandant Stennar les a retrouvé avant vous et vous a donc contacté pour que vous le rejoignez.
Retrouvez le, et restez sous ses ordres.


*** Cela fait, Knïg s'arrêta sur des sortes de traces de pas au sol. Il se concentra et plissa les yeux pour essayer de distinguer une forme, une direction ou quoi que ce soit mais en vain.
C'était maintenant confirmé: Knïg était un mauvais pisteur. ***


 
Dryvly

Le Vayang 4 Julantir 1508 à 16h05

 
Dryvly dans l'ombre, avait retrouvé le commandant Stennar bien caché. Mais aucun signe de lui malgré les chuchotements. Dryvly attendait ...

Puisque c'est comme ça, je vais boire une chopine.

 
Toufic

Le Vayang 4 Julantir 1508 à 20h35

 
Toufic se fige soudainement, il vient de revoir son agresseur !

*** Sa pensée vole en direction de ses frères d'armes ! ***

Il est là ! Il est là ! Je le vois !
à portée d'arc court de moi, plein est !
Près du bordure de mer ! Au sud du panneau indicateur de la bifurcation des routes !

Il est tout en noir
Il a une dague dans chaque main, une armure de cuir cloutée, une cape caméléon et des bottes d'escalade.


CIVIS PACEM PARA BELLUM : Si tu veux la paix, prépares la guerre.

 
Boesean

Le Vayang 4 Julantir 1508 à 20h52

 
*** Boesean avait beau faire de son mieux pour revenir discrètement sur ses pas, il n'était pas évident de rester camouflé en continu dans le couvert végétal très inégal du bord de mer.

Un bonne vieille forêt aurait été bien meilleure...

Mais là n'était pas la question. Pour l'instant il n'apercevait qu'un seul soldat qui semblait déambuler dans le coin où le sac était caché. Celui qu'il avait blessé auparavant.

Il fallait agir avant que d'autres soldats n'arrivent. Il quitta sa cachette. S'il fallait prendre des risques, autant que ce soit en un contre un !

Il se rua sur Toufic pour l'estourbir et essayer de récupérer l'argent ensuite. ***


 
Toufic

Le Vayang 4 Julantir 1508 à 20h53

 
Le chef des brigands avait lui aussi vu Toufic. Et il esquissa un mouvement tournant vers le nord-est. Cherchait-il à fuir ou amorçait-il une attaque sournoise sur le sergent d'artillerie ?

*** Toufic passa à l'attaque ! Il décocha une flèche sur l'individu qui se déplaçait. ***

Je l'ai touché ! Je l'ai touché !
Il est blessé maintenant....


Attention, il se camoufle ! Il est à portée de fronde de moi, maintenant, vers l'ouest!

CIVIS PACEM PARA BELLUM : Si tu veux la paix, prépares la guerre.

 
Knïg

Le Vayang 4 Julantir 1508 à 23h03

 
*** Knïg, à la seconde où il entendit Toufic crier, se rua dans sa direction à toute jambe. Il vit un furtif mouvement dans les broussailles puis plus rien.
***


Rah! Le bougre sais se camoufler en effet.
Mais ou est-il donc ?



 
Toufic

Le Sukra 5 Julantir 1508 à 01h04

 
*** Toufic vit arriver avec soulagement le Commandant Knïg : ***

Il est ici Commandant, tout près de moi, entre moi et le bord de mer.
Il me collle comme une sangsue ! Une vraie glue !


CIVIS PACEM PARA BELLUM : Si tu veux la paix, prépares la guerre.

 
Knïg

Le Sukra 5 Julantir 1508 à 10h35

 
*** Knïg toujours courant, se dirigea vers le bord de mer. ***


Mais il est... !?

*** Le Commandant venait littéralement de heurter le voleur qu'il n'avait pas vue. Ce dernier roula par terre et Knïg, par réflexe, envoya un grand coup de Hache, de taille, qui effleura la tête du malfrat. ***


 
Boesean

Le Sukra 5 Julantir 1508 à 11h22

 
*** Boesean occupé à combattre Toufic n'avait pas vu arriver le Commandant. Celui-ci se heurta au voleur et l'envoya bouler au sol.

Doté de surprenants réflexes, Boesean fut debout en un instant. Une dague dans chaque main, il plaça une attaque pour éloigner ce nouveau danger. Il ne tenait pas à mourir prématurément d'un mauvais coup de hache.

L'attaque heurta l'armure du Commandant mais elle fut suffisante pour que ce nouvel agresseur s'écarte un peu et donne à Boesean l'opportunité de s'échapper.

Ce qu'il fit sans retenue car il venait d'apercevoir non loin un troisième soldat qui arrivait. Il n'était plus possible de l'emporter à un contre trois..., trois soldats en plus.

Tant pis pour la rançon, il fallait se sortir de ce pétrin maintenant. ***


 
Toufic

Le Sukra 5 Julantir 1508 à 13h55

 
Toufic était partagé.
D"un coté, la charge du Commandant avait été irrésistible. Le voleur avait été percuté, et avait été envoyé bouler au sol, comme si en pleine course, il s'était heurté à un mur.


*** Il s'écria à l'adresse du Commandant Knïg : ***


Bravo, commandant, bien joué ! Il ne vous a même pas vu arriver !



D'un autre coté, Toufic n'était pas arrivé à le blesser suffisamment pour le ralentir, l'affaiblir et ainsi le capturer.

Le voleur s'était échappé une fois de plus. Et cette longue poursuite, ce combat qui avaient durés plusieures heures, avaient exténués le sergent. Il fallait qu'il reprenne son souffle.

L'armure de cuir cloutée enchantée du voleur l'avait protégé des flèches qui lui avaient été décochées. Il n'était que légèrement blessé. Où, un simple brigand avait-il pu se procurer une armure pareille ?

Mais la rançon était là, le voleur avait dû fuir pour sauver sa peau, l'abandonnant derrière lui. Il ne restait plus qu'à la récupérer.


CIVIS PACEM PARA BELLUM : Si tu veux la paix, prépares la guerre.

 
Dardalion

Le Sukra 5 Julantir 1508 à 14h22

 
Dardalion, lui, était parti "explorer" la zone immédiatement au sud/est du Comptoir de la Confrérie, au cas où l'agresseur tenterait de s'introduire discrètement dans Farnya.

Peine perdu.

A peine fut-il arrivé sous le comptoir qu'il perçut la pensée de Toufic. S'accroupissant dans les hautes herbes, il tenta de se diriger vers son collègue. La progression fut lente, il ne tenait pas à apparaître aux yeux de tous.

Peine perdu.

Quand il reçut le troisième rapport d'attaque, il abandonna toute discrétion et fila à toute vitesse.

Soudain il le vit. Au moment où il posa le regard sur lui, l'agresseur tourna la tête. Leur regards se croisèrent brièvement . . . Puis, d'un mouvement fluide, les deux individus se substituèrent à la vue de l'autre.

Lyriel dit :

Je crois qu'il t'a vu.


<< Sans blague ? >>

Lentement, Dardalion sortit son arc et prépara une flèche.
En tirant dans la jambe, peut-être arriverait-il à immobiliser ou au minimum à ralentir sa fuite.


Lyriel dit :
Encore faudrait-il que tu le trouve.


Sans prendre la peine de répondre à son mou, il se dirigea vers la dernière position connue du ravisseur.

*** . . . . . ***


Après quelques minutes de laborieuses recherches, il aperçut enfin un mouvement sur sa gauche : c'était lui, il l'avait retrouvé.

.oO Je le vois, il est au Sud du comptoir Oo.

Il ne le voyait sûrement pas.

Dardalion banda son arc et tira.

Sûrement alerté par le bruit de la flèche, l'agresseur se baissa et esquiva la flèche. Ce dernier regarda vers le point de départ de la flèche, mais Dardalion avait déjà changé de position.

L'agresseur esquiva tout aussi bien la seconde attaque, d'un pas de côté cette fois.

En changeant une nouvelle fois de position, Dardalion réfléchie à une nouvelle approche.


 
Dardalion

Le Sukra 5 Julantir 1508 à 20h18

 
Beosean n'était pas idiot, il ne resta pas sur place à attendre que Dardalion place une attaque qu'il n'arrivera pas à esquiver.
Il se déplaça donc, un peu au hasard, s'éloignant approximativement de la position du tireur.

La chance lui sourit puisqu'il sortit du champ de vision de l'artilleur, la nuit noire aidant.

Dardalion ne pouvait pas se permettre de le laisser filer. Suivant la tactique employé lorsqu'il filait les deux ravisseurs, il se dirigea vers la dernière position connu en scrutant les alentour.

Coup de chance, il n'était pas partit très loin et, malgrés le peu de visibilité qu'offrait la nuit, Dardalion le repéra aisément.

Dardalion attendit. Dès que Beosean entama un mouvement, il tira. Le criminel, incapable d'esquiver, se prit la flèche en pleine cuisse.


Lyriel dit :
J'y crois pas, tu l'as eu !


<< Tu doutais de moi ? >>

Ce n'était pas grand chose, mais, assurément, il aurait plus de mal à se déplacer maintenant, ou du moins à se déplacer discrètement, le sang qui coulait à présent le rendrait plus facile à pister s'il ne pensait pas la plaie.

 
Toufic

Le Sukra 5 Julantir 1508 à 20h36

 
Toufic s'avança jusqu'au bord de mer, là où il avait vu le brigand cacher son butin. Il n'avait pas vu l'endroit exact, mais il en avait une bonne idée. Cependant il chercha pendant un moment. Puis il aperçut des cailloux dont le positionnement n'étaient pas naturel : Ils semblaient former une figure. Une sorte de dague. La terre avait été fraichement remuée à cet endroit, même si on avait essayé de le dissimuler avec ces cailloux.

Toufic déblaya rapidement l'endroit, puis il creusa la terre qui avait déjà été remuée. Il tomba rapidement sur un lourd sac en cuir.


Bingo, c'est la rançon !

Toufic en vérifia rapidement le contenu : il était plein de girasols. Le sergent n'en avait jamis vu autant. Pas étonnant que le chef des brigands l'ai défendu avec autant d'acharnement !

Il referma soigneusement le sac, puis il le mit sur l'épaule. Il fallait ramener cette rançon au plus vite à son légitime propriétaire. C'était l'un des 3 objectifs de la mission.

Toufic s'éloigna rapidement le plus discrètement possible, se dissimulant parmi les hautes herbes de la plaine.


*** Il contacta ses compagnons d'armes : ***

.o0 J'ai récupéré la rançon, je vais la rendre à l'intendant. 0o.



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