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Le Julung 3 Julantir 1508 à 10h27
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| *** Perchait sur son toit, Nig'Ror observé les actions de la Bulle Noire. ***
Trop de monde sur l'affaire, trop de questions sans réponses et surtout trop de gens irrespectueux dans cette affaire.
dit :Quand tu parle d'irrespectueux tu parles du Commandant Stennar.
Entre autre ... Tiens on dirait qu'il y a du mouvement.
*** Depuis son perchoir il pouvait voir les membres de la Noire encercler une vaste zone autour de la Halle des Corporations, sans un mots il sauta de toits en toits rejoignant au plus vite la zone qu'on lui avait tranquillement indiqué. ***
dit :Tu as un plan j'espère ?
Oui je l'ai fait quand on jouait les acrobates. Tu reste ici tu fais la vigie et tu me préviens s'il y a le moindre problème. Moi je descend et je fouine dans le coin, si je repère les truands je tenterait de négocier, sinon je passe a la manière forte.
*** Nig'Ror continua d'observait la ruelle quelques instant, vérifia si sont déguisement n'avait subit aucun dommage permettent de le reconnaître, descendis du toit et tendis l'oreille en parcourant méthodiquement la zone concerné par l'encerclement. *** | |
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Le Julung 3 Julantir 1508 à 19h57
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| *** Toufic s'adressa aux officiers qui venaient en renfort : ***
Attention, il y a un Flaviste Hargneux au sud-est, près du bord de mer !
Toufic s'était camouflé dans les grandes herbes. Il cherchait attentivement du regard où avait bien pu passer le chef des ravisseurs, guettant chaque ombre, chaque mouvement, écoutant chaque bruit.
Il n'était pas dans les environs proches du sergent artilleur, sinon celui-ci l'aurait repéré. C'était une demi-bonne nouvelle : pas de danger immédiat. Mais c'était également une demi-mauvaise nouvelle : et si le gredin avait réellement fui !
Mais à la réflexion, Toufic ne pensait pas qu'il laisserait son butin, c'était une somme trop importante, et il s'était donné trop de mal !
De plus, il avait l'air plutôt décidé, pas le genre à laisser tomber. L'appât du gain devait être plus fort chez lui que la prudence.
Toufic attendit les officiers. A trois, on allait le trouver ! Même s'il fallait ratisser la plaine. Et puis, il avait vu le lieutenant Dardalion à l'oeuvre, c'était un sacré pisteur !
On ferait sortir le Loup Effrayant du bois !
CIVIS PACEM PARA BELLUM : Si tu veux la paix, prépares la guerre. | |
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Le Sukra 5 Julantir 1508 à 13h55
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| Toufic était partagé.
D"un coté, la charge du Commandant avait été irrésistible. Le voleur avait été percuté, et avait été envoyé bouler au sol, comme si en pleine course, il s'était heurté à un mur.
*** Il s'écria à l'adresse du Commandant Knïg : ***
Bravo, commandant, bien joué ! Il ne vous a même pas vu arriver !
D'un autre coté, Toufic n'était pas arrivé à le blesser suffisamment pour le ralentir, l'affaiblir et ainsi le capturer.
Le voleur s'était échappé une fois de plus. Et cette longue poursuite, ce combat qui avaient durés plusieures heures, avaient exténués le sergent. Il fallait qu'il reprenne son souffle.
L'armure de cuir cloutée enchantée du voleur l'avait protégé des flèches qui lui avaient été décochées. Il n'était que légèrement blessé. Où, un simple brigand avait-il pu se procurer une armure pareille ?
Mais la rançon était là, le voleur avait dû fuir pour sauver sa peau, l'abandonnant derrière lui. Il ne restait plus qu'à la récupérer.
CIVIS PACEM PARA BELLUM : Si tu veux la paix, prépares la guerre. | |
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Le Sukra 5 Julantir 1508 à 14h22
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| Dardalion, lui, était parti "explorer" la zone immédiatement au sud/est du Comptoir de la Confrérie, au cas où l'agresseur tenterait de s'introduire discrètement dans Farnya.
Peine perdu.
A peine fut-il arrivé sous le comptoir qu'il perçut la pensée de Toufic. S'accroupissant dans les hautes herbes, il tenta de se diriger vers son collègue. La progression fut lente, il ne tenait pas à apparaître aux yeux de tous.
Peine perdu.
Quand il reçut le troisième rapport d'attaque, il abandonna toute discrétion et fila à toute vitesse.
Soudain il le vit. Au moment où il posa le regard sur lui, l'agresseur tourna la tête. Leur regards se croisèrent brièvement . . . Puis, d'un mouvement fluide, les deux individus se substituèrent à la vue de l'autre.
Lyriel dit :
Je crois qu'il t'a vu.
<< Sans blague ? >>
Lentement, Dardalion sortit son arc et prépara une flèche.
En tirant dans la jambe, peut-être arriverait-il à immobiliser ou au minimum à ralentir sa fuite.
Lyriel dit :Encore faudrait-il que tu le trouve.
Sans prendre la peine de répondre à son mou, il se dirigea vers la dernière position connue du ravisseur.
*** . . . . . ***
Après quelques minutes de laborieuses recherches, il aperçut enfin un mouvement sur sa gauche : c'était lui, il l'avait retrouvé.
.oO Je le vois, il est au Sud du comptoir Oo.
Il ne le voyait sûrement pas.
Dardalion banda son arc et tira.
Sûrement alerté par le bruit de la flèche, l'agresseur se baissa et esquiva la flèche. Ce dernier regarda vers le point de départ de la flèche, mais Dardalion avait déjà changé de position.
L'agresseur esquiva tout aussi bien la seconde attaque, d'un pas de côté cette fois.
En changeant une nouvelle fois de position, Dardalion réfléchie à une nouvelle approche. | |
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Le Sukra 5 Julantir 1508 à 20h18
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| Beosean n'était pas idiot, il ne resta pas sur place à attendre que Dardalion place une attaque qu'il n'arrivera pas à esquiver.
Il se déplaça donc, un peu au hasard, s'éloignant approximativement de la position du tireur.
La chance lui sourit puisqu'il sortit du champ de vision de l'artilleur, la nuit noire aidant.
Dardalion ne pouvait pas se permettre de le laisser filer. Suivant la tactique employé lorsqu'il filait les deux ravisseurs, il se dirigea vers la dernière position connu en scrutant les alentour.
Coup de chance, il n'était pas partit très loin et, malgrés le peu de visibilité qu'offrait la nuit, Dardalion le repéra aisément.
Dardalion attendit. Dès que Beosean entama un mouvement, il tira. Le criminel, incapable d'esquiver, se prit la flèche en pleine cuisse.
Lyriel dit :J'y crois pas, tu l'as eu !
<< Tu doutais de moi ? >>
Ce n'était pas grand chose, mais, assurément, il aurait plus de mal à se déplacer maintenant, ou du moins à se déplacer discrètement, le sang qui coulait à présent le rendrait plus facile à pister s'il ne pensait pas la plaie. | |
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