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Le Matal 15 Julantir 1508 à 16h16
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Cela faisait quelques jours qu'Erzem n'avait plus rien de vraiment urgent à Farnya. A part tailler une turquoise et visiter les quartiers de la bulle bleu, il n'avait rien a faire ... dans la ville. Il avait attendu ses confères géologues, mais attendre ... c'est ennuyant ! Il fallait donc se changer les idées, et pour cela, il avait une petite idée : trouver des turquoises ( ce qui n'était pas un problème ), et faire un petit "stage" en herboristerie, ce qui pourrait ravir les alchimistes.
Sa décision était prise, il allait trouver un endroit ou pousse le crychtiam, en trouver le plus possible, et ensuite faire un retour part la mine de turquoise, histoire de revenir le sac le plus chargé possible. Ensuite il reviendrait revendre ses trouvailles ... sauf si .... sauf si l'expédition envisagé avec les géologues était remise au goût du jour, et dans ce cas là, il attendrait ses confrères quelque part ...
Mais, là, il avait un problème plus urgent : il était sur les remparts, et il lui fallait regagner la terre, à l'extérieur de la ville, sans se blesser, ou tomber ...
Après avoir bien réfléchit, il commença a descendre en s'agrippant aux pierres saillantes; hélas fort peu nombreuses, voir même inexistante ... et ce qui devait arriver, arriva : en voulant poser son pied sur une pierre jugé sure ... et une joli crampe lui fit faire un "petit" sursaut, suffisant pour que ses mains quittent les pierres ...
il se releva quelques minutes après cette chute, égratigné de tout les cotés ... Surement un garde ayant assisté a la scène allait avoir une bonne histoire a raconter à la taverne ce soir ...
Et, enfin, il partit, en prenant a travers les montagnes, pour changer de la route, bien connu à force de l'emprunter pour aller à la mine.
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Le Merakih 16 Julantir 1508 à 10h35
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| Le soir était bien avancé, les montagnes devenait plus sombre, et cela devenait difficile de s'y déplacer correctement ... Difficile de s'imaginer Erzem en train de courir, ce qui est normal, il n'en a pas eu l'occasion.
Alors qu'il se rapprochait, par hasard, d'Aktarion, Erzem était tombé sur un relief de repas, parfaitement dégoutant !
dit : Hé ! T'es sur que c'est lui qui a laissé cet endroit dans cet état ?
On est pas loin de Farnya, donc les non-symbiosé peuvent aussi venir ici ... mais j'en vois pas ...
dit :Donc il ne reste plus qu'Aktarion ...
Bref, nettoyons cela et reprenons la route ! | |
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Le Julung 17 Julantir 1508 à 20h06
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La chance l'avait abandonné ...
Certes, hier, Erzem avait eu le bonheur de trouver quelques girasols dans une ... cabane ? ... non, plutôt une vielle ruine en bois; après avoir affronté une pestilence digne d'un furet, et avait repris sa route sans incident notable. Bref, une randonnée en montagne comme on les souhaite.
Il avait même put voir qu'Aktarion commençait a prendre une direction différente de la sienne, bien que l'écart entre les deux Tchaë était minime. Tout allait pour le mieux donc ... enfin jusqu'à maintenant : en poursuivant sa route vers le nord, il apercevait au loin un jytryan ... Que ces montagnes pouvait être mal famé !
Courageux ... mais vraiment pas téméraire, encore moins suicidaire, il préférait rebrousser son chemin, quitte à se rapprocher légèrement du tisseur de rêve, en espérant que son homologue avait entendu sa mise en garde.
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Le Sukra 19 Julantir 1508 à 11h16
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Le tisseur de rêve n'avait pas apprécié d'être dérangé durant sa sieste : quand Erzem était passé a coté de lui, il avait brusquement tendu une de ses pattes, surement sans aucune intention hostile, mais le message était claire ...
Donc, Erzem s'était éloigné, et avait finalement repris le chemin normal, au lieu de continuer par les montagnes ... Mal lui en pris, il rencontra un flaviste hargneux, celui qu'il avait rencontré en revenant de la mine il y a une bonne semaine ...
Le flaviste était content de leur retrouvailles, et il s'élança donc pour ... rejoindre ... Erzem. Lui aussi était content, tellement content qu'il se mit a courir dans la direction opposé ... Par deux fois, le flaviste hargneux avait réussi a se mettre a sa hauteur, mais il avait finalement abandonné cette course de retrouvailles ...
Le reste du voyage fut d'une monotonie habituel, jusqu'à ce qu'il dépasse Vrekrit ... Un Tchaé blessé ... non ... égratigné serait plus exact ... Erzem savait que Marcolien devait passer par cette route, le hic, c'est qu'il ne l'avait jamais rencontré .... Que faire ?
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Le Sukra 19 Julantir 1508 à 12h28
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| Marcolien était épuisé, et son corps portait quelques brûlures. S'attaquer à un Tekriratus solaire, c'était peut être pas une si bonne idée...
Heureusement après lui avoir balancé une dizaine de projectiles magiques, avec un succès plus ou moins grand, soeur Baër'lupis l'avait achevé avec un sort d'une puissance qu'il n'avait encore jamais vue.
Impressionné mais néanmoins fatigué, il se dirigea vers le village de Verkit pour reprendre des forces.
Il était en vue du bourg lorsqu'il croisa un tchaë.
Tiens, je ne l'ai jamais vu lui, je le connais ?
dit :Oui, c'est Erzem le prospecteur.
Ah ça tombe bien ! Bonjour Erzem, c'est moi Marcolien ! J'ai quelques petites choses à vous remettre... | |
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Le Sukra 19 Julantir 1508 à 13h16
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| dit :regarde, quand Marcolien ne connais pas une personne, il demande a son mou, et obtient l'information ...
Quand a toi ... pffff ! Si tu le prend comme ça ... je me tais ! Comme ça, je rigolerai bien quand tu aura besoin d'une petite aide de ma part, ha ha ha ! *** Se tournant vers Marcolien pour prendre les objets ***
Ha merci ! Tenez, vos girasols ... comme ça, cela rempli votre bourse et vide la mienne; faut dire que dans ces montagnes, je ne risque pas d'en avoir besoin.
Vous faites un petit détour à la mine, ou vous attendez Baër'lupis pour vous rendre a Farnya ? | |
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Le Sukra 19 Julantir 1508 à 15h50
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| Et bien, étant donné qu'Aerodiüs est allé à Verkit pour soigner ses blessures, je suppose que nous aurons le temps pour un bref passage à la mine, s'il n'y a plus de créatures aux alentours.
Tenez, voici quelques unes de mes dernières productions, je vais garder les prochains que je vais créer car ils me seront nécessaires pour produire des anneaux +2.
Ah, et sachez que nous avons enfin une réponse de la Confrérie ! Ils sont plutôt réticents pour que nous visitions leurs mines, mais ils pourraient accepter si on accepte leurs conditions. Et notamment qu'on soit accompagnés par un de leurs hommes.
Nous verrons comment tournent les négociations.
dit :Je crois que tu peux reprendre ta respiration...
Oh ça va, stupide animal.
dit :Moi ? Un animal ? Allez viens Bulgum, laissons converser ces deux primates, on a sûrement des trucs bien plus intéressants à faire.
Bon, je voulais aussi savoir si vous connaissiez un réparateur, ma pelisse à souffert après le combat que nous venons de vivre. | |
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Le Sukra 19 Julantir 1508 à 16h09
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| dit :Tous des mufles ces passionnés de cailloux !
Allons à l'écart, je suis sur que dans peu de temps, ils vont nous fournir un bon divertissement.
Pour votre pelisse, je devrais pouvoir être capable de faire quelques réparations de fortunes en allant a la mine, étant donné que la mienne a quelque peu souffert, suite a une rencontre avec un flaviste, je m'occuperai des deux en même temps.
Je pense que les abords de la mines sont calme maintenant, la bestiole qui vous a attaqué était la cause de mon départ précipité la dernière fois ...
*** Et, il se mit en route vers la mine, content d'être accompagné. *** | |
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Le Luang 21 Julantir 1508 à 11h21
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Marcolien avait une manière particulière pour chercher des échantillons. Il arpentait les couloirs de la mine, fortement penché, une torche à la main, et dès que son instinct et ses connaissances lui désignaient un endroit pouvant abriter une gemme, il creusait soigneusement avec une pioche de petite taille pendant quelques minutes. Et s'il ne trouvait rien (ce qui arrivait souvent), il continuait son périple, à la recherche d'autres bons coins.
Cette technique n'était peut être pas très productive, mais elle n'était pas épuisante...
Finissant sa tournée, il rejoignit frère Erzem, qui lui demanda s'il avait trouvé quelque chose.
Oh, oui, un diamant brut, et deux ou trois turquoises... une récolte moyenne.
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Le Dhiwara 27 Julantir 1508 à 12h02
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Cela faisait trois jours qu'Erzem était arrivé dans une vallée herbeuse, connue pour abriter du crychtiam .... à ce qu'on disait ....
Trois jours passé a fouiller les buissons et bosquets en tout genre, a déambuler dans cette vallée, a visiter, après de longues heures d'effort, les rares endroits difficiles d'accès ...
Trois jours sans aucune trouvaille ... mais au moins ce n'est pas du temps perdu, cela permet de reconnaitre les différentes plantes, bien que le crychtiam reste encore introuvable ... Tout comme son mou d'ailleurs, qui reste caché pas très loin depuis le passage à la mine avec Marcolien ...
Au moins, il savait que cette partie du voyage, bien que n'ayant rien trouvé, était en partie accompli ... mais il comptais bien rester encore quelques jours: plus il restait, plus son but devenait réalisable, et plus il apprenait à reconnaitre les plantes
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Le Merakih 30 Julantir 1508 à 22h08
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Il avait passé, a son goût, suffisamment de temps a batifoler dans la nature pour trouver du crychtiam. Et cela avait porter ces fruits, bien qu'il n'ai trouver que peu de plantes a ramener avec lui ...
Un peu dépité, il se remis en route, pour rentrer à Farnya, en faisant une petite escale par la mine de diamant, il n'était pas pressé, et pas encore suffisamment chargé pour vouloir rentrer, tout en ce disant qu'il allait devoir revenir ici dans un avenir proche, et chercher plus longtemps ... beaucoup plus longtemps ...
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Le Merakih 6 Agur 1508 à 08h44
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| *** Le moral d'Aerodiüs n'était pas au plus haut ces dernier temps. La mort de sa cousine Laria faisait de lui l'un des derniers de sa famille. Aussi quand le Compagnon Prospecteur Erzem lui proposa de le rejoindre pour creuser dans les montagnes, ce fut avec joie qu'il accepta. Cela lui changerait les idées.
Le temps de régler quelques affaires dans Farnya, notamment l'achat de nouveaux parchemins, et le vieux géologue prit la direction des portes Est. Le moral commençait à revenir, pourtant le voyage démarrait mal : juste aux portes de la cité, des tchaës tentaient de maitriser un loup malfaisant. La créature semblait vive. Aerodiüs examina la situation : les tchaës étaient semble-t-il nombreux dans le coin dont certains noireauds. Il décida donc qu'il était plus sage de contourner l'incident et de poursuivre sa route. Il passa donc au pas de course mais trébucha dans sa fuite et récolta une bonne foulure à la cheville. ***
« Nom d'une tête de boulon rouillée ! Ca commence bien. »
Agrek dit : « Et encore, tu n'as pas tout vu regarde là-bas. » *** Plus loin, au beau milieu de la route, se tenait Nig'ror. L'antipathique individu se tenait là, mal camouflé et bloquant la route, comme s'il préparait une quelconque embuscade. ***
« Eh bien, ce jeune garçon est vraiment étrange. Qu'est-ce qu'il peut bien chercher ? »
Agrek dit :« Si on le lui demandait ? » *** Aerodiüs s'approcha donc de l'individu et s'adressa à lui. ***
Bonjour jeune homme. Que fais-tu là, à moitié caché au milieu du chemin et à en bloquer le passage ? J'aimerai passer.
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Le Merakih 6 Agur 1508 à 12h08
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Ça y est ! la mine est enfin visible !
La route lui avait occupé un peu plus d'une journée ... Faut dire qu'il ne s'était pas pressé en chemin, il avait fait suffisamment de pauses pour achever la taille d'une turquoise, et commencer la dernière qu'il lui restait a tailler.
Mais sa surprise fut grande, quand, en train de marcher sur le sentier de la montagne, il avait put apercevoir, un peu plus loin devant, Aktarion qui était, visiblement en train de le devancer vers la mine ... Peut être qu'ils s'y rencontreraient ...
Avec Aerodiüs qui le rejoindrait d'ici peu, enfin, il l'espérait, ce serait la première fois qu'Erzem verrai autant de symbiosé réunis autour de la mine.
D'un coté, la présence d'Aktarion lui permettrai aussi de discuter un peu des possibilité d'acquérir certains objets proposé par le maitre d'arme ... comme un casque, par exemple ... Après tout, plus il serait protégé lors des "ballades" en pleine nature, plus il pourrait en profiter pour explorer les environs, et; aussi, survivre plus longtemps en cas de mauvaise rencontre ... ce qui n'était pas un luxe !
Mais bon, Erzem s'en occupera une fois arrivé à la mine, avant, cela ne servait a rien d'y penser ...
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Le Merakih 6 Agur 1508 à 12h11
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| *** Le jeune tchaë redressa la tête en direction d'Aerodiüs et, sans même prendre le temps de répondre, s'enfuit à travers les montagnes. Le géologue, surpris par l'attitude du personnage, en fit part par pensée à quelques noirauds de sa connaissance. Puis, sans plus ce soucier de cela, il reprit son chemin.
Il avait bien marché et arrivait en vu de la patte d'oie que formait le chemin à l'est de Farnya lorsqu'il aperçu de nouveau Nig'ror. Celui-ci se trouvait de nouveau au milieu du chemin, tentant tant bien que mal de s'y camoufler. ***
« Ce garçon, en plus d'être étrange, n'est vraiment pas doué. Moi qui y voit à peine mieux qu'une vieille taupe, je le distingue sans mal. Pauvre de lui. »
Agrek dit :« C'est vrai que son attitude est étrange. Tu devrais te méfier, on ne sait jamais. » « Allons bon, que veux-tu qu'il me fasse. Ce n'est pas un bandit de l'Equilibrium tout de même ! »
*** Le ton du vieux tchaë était rieur. Il n'en était pas moins quelque peu inquiet. Il avait en effet entendu parler de certains agissement étranges de ce fameux Nig'ror lorsqu'il était à Farnya et avait appris qu'il avait été exclu de la bulle noire. Un marginal, rien de plus certainement. Mais il était seul et éloigné de la ville, il fallait rester prudent.
Malgré tout, il continua de s'approcher du gamin et ne put s'empêcher de l'interpeler, la curiosité sans doute. ***
« Oh ! Te revoilà. Eh bien, est-ce une façon de fuir comme cela sans même répondre aux gens ? »
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Le Julung 7 Agur 1508 à 09h36
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| *** Nig'ror ne faisait pas mine de répondre. A vrai dire Aerodiüs n'était pas sûr d'avoir été entendu. Il faut dire que sa marche l'avait essoufflé. Comme le jeune tchaë au cheveux blancs ne manifestait pas l'intention de laisser le passage, les nerfs du vieux géologues commençaient à s'activer. Ce jeune imbécile aurait bien mérité quelques coups de cannes bien placés pour lui apprendre les bonnes manières.
Mais Aerodiüs était pressé. Erzem l'attendait et il n'avait qu'un envie, aller creuser. Aussi, l'air de rien, il se dirigea vers une sente qui s'enfonçait dans la montagne. Avant de s'éloigner, il lança à Nig'ror : ***
« Bon, ce n'est pas tout mais j'ai des choses à faire moi. Tâche de ne pas rester au milieu de la route à gêner le passage des voyageurs. Certains pourraient être peu patients. Au revoir et que Korany te garde ! »
*** Il n'attendit pas la réponse et partit d'un bon pas à travers la montagne. Quelques minutes plus tard, il retomba plus loin sur la route. "L'obstacle" était passé et déjà il s'approchait de Verkit. A la vue du village, le vieux tchaë ne put s'empêcher de verser une larme en pensant à sa cousine. Mais rapidement, il trouva le sentier qui montait à la mine et s'y engagea. ***
Agrek dit :Là regarde, des tchaës.
*** En effet, Aerodiüs put distinguer plus loin dans les montagnes le maitre d'arme Aktarion et un tchaë équipé d'une pioche qu'il devina être Erzem. ***
« Erzem ! Me voilà ! » cria-t-il à l'intention du dernier.
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