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Le Dhiwara 27 Julantir 1508 à 09h45
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 | La caravane avait prit le départ depuis cinq jours. Le trajet ce passait sans encombre. Celle-ci se composait de deux grande charrette tirer par huit chevaux conduits par un cocher à la mine patibulaire, mâchant inlassablement un vieux cure dent.
La protection était assurée par une paire de bras casé, les frères Alcor, réputé pour leur bêtise. Armé de vieux mousquet, ils faisaient heureusement fuir la plupart des bêtes sauvages de par leurs bruits incessants.
Les deux charrettes n'avaient d'autre trésor que des piles de bouquins, infimes parties des possessions de Raganot. Il n'avait prit que les plus importants, le reste suivrait si son séjour à Farnya devait se prolonger.
L'érudit était assit en tailleur au-dessus de la deuxième charrette, écrivant de manière frénétique dans un livre depuis leurs départs. Vielle habitude de toujours écrire ses pensées, seule façon qu'il avait trouvé de toujours rester objectif sur ses analyses.
Le chemin se passe bien, malgré l'agacement des deux crétins, qui n'arrête pas de se disputer. Combien d'heure perdue à faire perdurer le vide absolu de leur cerveau inutile. La connaissance est tellement plus intéressante. J'ai hâte d'arriver, les voyages n'ont jamais été mon fort. C'est la première fois que je quitte Oriendre. Avant j'aurai été incapable de faire une telle chose. Les mous ont de prodigieuses capacités d'amélioration des êtres. Mon agoraphobie diminuer, mes capacités d'apprentissage améliorer. Communication avec les choisi. Il est juste dommage que cette petite chose soit parfois bavarde. Le bruit est une telle malédiction. Rien de mieux pour perturber un flot de réflexion et de pensée nécessaire à l'évolution des connaissances. Les pièces du puzzle qui aire autour de nous sont tellement passionnante, comment peut on descendre à ce point pour tout simplement l'ignorer. Pourquoi ne pas chercher à comprendre où cela nous mènera. Tellement de secret. Et si peu de temps.
A la fin du cinquième jour de voyage, la caravane dépassa Verkit, au loin, on pouvait déjà apercevoir un morceau de Farnya. Le voyage touchait doucement à ça fin. Un bien être commença à parcourir de corps de Ragnarot. Le voyage commençait à lui penser lourd, il avait besoin de calme et de solitude.
dit : Tu crois vraiment que tu vas trouver des réponses à Farnya ? Et bien ça promet d'être ennuyeux de passer du temps avec toi. Je vais en bouffer des bouquins.
L'érudit ne répondit même pas à Esteban. Il continuait sans relâche d'écrire dans son livre le flot de ses pensées.
Vais-je avoir le temps ...
But a infini question ...
Quête de réponses ...
Espoir ...
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