Les Mémoires de Syfaria
Hors de toute région civilisée

Et tu chevaucheras Syfaria.

L'entraînement des Chevaucheurs.
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Sujet lancé par Fenrir
Le 26-09-1508 à 12h11
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Posté par Fenrir,
Le 28-01-1509 à 13h28
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Fenrir

Le Vayang 26 Saptawarar 1508 à 12h11

 
*** Cela faisait désormais un jour que les trois Chevaucheurs symbiosé campaient dans les marais du Delta d'Orenia. ***


*** Après avoir quitté le groupe des diplomates de l'Equilibrium en partance pour Lerth, ils n'avaient guère eu de difficulté à arriver jusqu'au marais. Justes quelques aberrations mineures rapidement éliminées pour assurer la sécurité de leur campement. ***


*** La première chose qui avait surpris Fenrir, fut l'humidité des lieux: après la première nuit passé dans les marais, il retrouva son bâton de marche complètement dévoré par les moisissure, et son armure avait également subit les ravages de l'humidité, mais celle-ci pouvait encore être récupéré. Après avoir rapidement nettoyé son armure de cuir, le Nelda l'enveloppa convenablement dans une fourrure afin de la protéger des lieux. Une fois cela fait, il alla trouver Livie et Nils. ***


*** Faîtes attention, l'humidité de ce marais ronge littéralement les équipement. Je viens d'ailleurs de trouver mon bâton de voyageur complètement rongé par les moisissures... Je vous conseille donc de bien les protéger et de correctement les ranger. ***


*** Fenrir, Chevaucheur de l'Equilibrium. ***

 
Livie

Le Vayang 26 Saptawarar 1508 à 22h24

 
Livie suivie les conseils de Fenrir. Elle öta sa robe d’acier et rangea son baton de marche dans son sac de voyage, bien à l’abrit de la corosion et de la moisisure.
Puis elle remonta sa cotte pour qu’elle ne trempe pas dans l’eau et s’engagea dans le marais. Ses pieds s’enfonçérent dans la végétation sans trouver la fermeté du sol. Le liquide froid entoura ses chevilles puis remonta le long de ses bottes jusqu’a ses genoux, dépassent alors l’encolure. L’eau croupi s’engouffra à l’intérieur lui glassant les pieds.

De l’eau jusqu’a mi-jambe, Livie avança dans le marais, s’éloignant de la prairie. Elle fit quelques pas vers l’intérieur du champs de vase sans qu’aucune mésaventure ne lui arrive. Puis estimant qu’elle était suffisement loin des autres chevaucheurs, elle fit demi tour pour les retrouver, empreintant le même chemin qu’a l’allée. Elle pensait que le retour allait être aussi paisible que l’allée. S’était sans compter sur l’esprit malin du marécage.

D’un coups, Livie descendit de prés de 1 métre. Elle était enfoncée dans la vase jusqu’a la poitrine, se retrouvant immobiliser. Comble de malchance, en pénétrant ainsi au travers des profondeurs de la tourbiére, la chevaucheuse venait de perser une poche de gaz coincé sous l’eau depuis plusieurs centaines d’années.
D’abords ce fut l’odeur acre qui frappa Livie. Ensuite ce fût les picotement dans les yeux et les narines puis tout au long de sa trachée. Rapidement les poumons de la sorciéres se transformérent en un brasier que ses yeux essayaient vainement d’éteindre avec d’abondantes larmes. Elle fût pris d’une quinte de tout atroce. Les yeux irrités elle n’y voyait plus rien et les pieds enchevêtrés dans plus d’un métre de vase, elle commença a paniquer.

Aprés quelques minutes d’angoisse, Livie reprit le dessus sur ses angoisses. Elle vinquit ses esprits. Elle se potégea du gaz en se lanceant un puissant sort de régénération qui lui redonnait chaque minute plus de vie que le poison ne lui en enlevait. Elle entreprit alors de refaire surface. Par petit geste lent, elle commença a remonter et s’ecstirper de la fange qui l’immobilisait. Il faudrait certainement plusieurs heures pour en venir à bout, mais avec un peut de patience, cela ne posera pas de problémes.

Livie regarda alors ses compagnons non loin restés sur la berge


Fenrir Nils, n’approchez pas, en m’enfoncant j’ai percé une poche de gaz toxique. Je ne crains rien, et ce n’est pas la paine de vous intoxiquer pour me sortir de là. Faite bien attention, ce n’est pas un entrainement de tout repos.


 
Fenrir

Le Dhiwara 28 Saptawarar 1508 à 11h19

 
*** L'entraînement se passait de mal en pis. Le matériel de Fenrir en fut la première victime, puis vint le tour de Livie et de sa santé. Le marais dégagé un air si malsain que Fenrir avait cru en devenir complètement fou plusieurs fois alors qu'il tentait d'explorer celui-ci.
Pour compliquer le tout, la brume rendait toute tentative de localisation totalement inutile au point que le Chevaucheur, disposant pourtant d'un excellent sens de l'orientation, avait bien failli se perdre complètement sur seulement quelques dizaine de mètre.
Enfin, le marais lui même semblait vouloir les emporter dans ses profondeurs via ses gaz millénaire et toxique ainsi que sa bourbe sapant littéralement les forces des Chevaucheurs. ***


*** Fait étrange, Fenrir n'avait vu absolument aucun animal, ni même une aberration y vivre. Les seul aberrations qu'ils avaient croisé semblaient prendre le plus grand soin à éviter ces marais. ***


*** Finalement Fenrir avait réussi tant bien que mal à revenir sur la terre ferme, de même que Nils. Livie tentait tant bien que mal de revenir également, mais les deux Neldas n'avaient malheureusement aucun moyen pour l'y aider malgré les quelques mètres qui les séparaient seulement. ***


« J'ai l'impression que ce marais est bien trop malsain pour pouvoir nous y entraîner. Par certain côté, il me donne la même impression que la tour des Illusions... Un peu comme s'il était hanté par toutes les âmes qu'il a réussi à prendre...
Le mieux à mon avis, c'est de partir. Nous arriverons à rien ici...
»


Loki dit :
« Et puis, j'ai l'impression que même les aberrations évitent ce lieu... Je me demande même si le marais du Delta d'Orenia ne serait pas lui même une forme d'aberration... »


« Je dois dire que la même pensé m'avait traversé l'esprit... »


*** Fenrir, Chevaucheur de l'Equilibrium. ***

 
Livie

Le Dhiwara 28 Saptawarar 1508 à 21h36

 
Peu a peu Livie avait réussi à libérer ses membres de la vase. Le gaz toxique s’était disiper dans l’air ambient. Elle percu alors une étrange odeure.
La cheveaucheuse s’apprétait à rejoindre la berge lorsqu’un étourdissement la fit trébucher. Elle se releva, mais sans rien y comprendre la tête lui tournait. Peu à peu cette sensation de flottement grandit, déplancant ses compagnons un peu partout dans le marécage.
Une ivresse iconnue s’emparait d’elle. Et ce, d’autant plus facilmenent que la tydale s’était toujours interdit de gouter aux breuvages préférés d’Asgart. Son manque d’entrainement face aux produits halucinogéne la mit rapidement dans l’embarra. Il lui semblait naviguer dans le marais à bord d’une petite barque, mais une tempéte sévissait. Elle n’arrivait plus a regarder l’horizon. Tout se mélangeait dangereusement, perturbant son sens de l’orientation pourtant réputé à toute épreuve XD. Qu’importe, une sendation de bien être et de bonheur la submergeait maintenant.


Ou dit donnnnc Erweeen... sont oUU Nilsounet et fefenn ?

Erween dit :
Euhhh je sais pas mais je vois 4 gros méchssants loups là bas.....


C’essst pas de louuuuups, f’est des neldaaaa

Erween dit :
E m’f’rais ben n’in nelpa rotii mouii, c’est qu'j'ai une faim d'mou....


Tuuuu déconnne... ca s’mange pas ces trucs là

Erween dit :
C’est qu’on va vouauire.... hop vais chercher un chôôdron z’assez grand cuire s’y là... l’est gros l’bestiôôô, va falloir un fameuuux chaudrrrron


Mais arrête tez conriesss...

Erween partit comme une fléche dans une direction.....euh non une autre direction... euh puis une autre... La chevaucheuse détrampée se lança à sa poursuite.

Splotch.

Livie s’affala de tout son long, par chance, ce fut dans la prairie et non pas dans la vase.



Mmmhhhh mouëllleux ze lit...ronfff pfffff

l'esprit de Livie quitta Syfaria pour quelques heures


 
Nils

Le Luang 29 Saptawarar 1508 à 10h20

 
Nils s'était extirpé au mieux du marais, tout était hostile en son sein.

Le moindre pas faisait surgir Gaz ou autres odeurs putrides.

Livie et Fenrir réussirent, aussi, à en sortir, non sans mal de cet endroit.

Nils pensait de plus en plus que rester là ne nous apprendrait rien de bien intéressant. Les marais semblait être fuit par toute vie.

Nils avait reprit ses esprits depuis un moment, il refit une tentative. Au premier pas dans cette fange, et un nuage toxique ce dégagea sous ses pieds. quelques pas en arrière et il était sur la terre ferme, mais il lui fallait s'étendre un peu.

Peut être, faudra t il un jour trouvé le moyen de ne pas être incommoder par les différentes gaz se trouvant ici. Mais pour l'heure, je ne vois pas comment pouvoir y rester plus de deux heures d'affiler .

Il regarda ses deux compères


Livie, Fenrir, je crois que nous n'avons plus rien à faire ici, ce marais est pire que ce que nous avons vécus à la tour. Un jour, peut être, nous trouverons le moyen de ne pas être incommoder par ces gaz, mais aujourd'hui, nous sommes vaincus.

Je pense qu'il nous faut aller ailleurs, et que diriez vous d'un petit tour dans les sables, en espérant, qu'ils ne soient pas mouvants.


Dit il en riant, du moins était ce un rire ou une grimace de douleur du au poison.


Le mal est une nécessité favorable à l'équilibre du bien.

 
Livie

Le Luang 29 Saptawarar 1508 à 20h52

 
Livie avait fait un bon petit somme dans l’herbe et se réveillait avec un mal de crâne insupportable.

Mmhmm... parle pas si fort Nils je suis pas sourde et j’ai l’impression de m’être fait piétiner la cervelle par un placide. Je comprends Asgart qui a l’air d’adorer ce mettre dans cet état.
Je crois que t’as raison pour le désert. De toute façon ça peu pas être pire qu’ici.

T’as pas vu mon mou ?


Cherchant du regard dans la prairie, Livie aperçut une tâche rose qui ronflait un peu plus loin dans l’herbe.
Ma chevaucheuse s’approcha du petit être endormie et lui glissa doucement dans le creux de l’oreil :


Erween, on décolle. Lève toi on va s’entraîner dans le désert.

Erween dit :
Hein, un dessert ? Où ça ?


Le mou s’était réveillé brutalement.

Je vois que tu as retrouver tous tes moyens. En route !
Erween dit :

Et mon dessert, il est où ?



 
Fenrir

Le Luang 29 Saptawarar 1508 à 22h39

 
*** Livie venait de se réveiller pile poil au moment où Nils faisait sa proposition pour partir s'entraîner dans le désert. ***


« Et bien, vu que ce marais est totalement inapte à un quelconque entraînement, pourquoi pas le désert en effet.
La région de Jypska au Sud-Ouest me semble un endroit parfait pour cela.
»


*** Fenrir regarde attentivement sa carte détaillé de Syfaria. ***


« Si je ne me trompe pas, Jypska semble entouré d'un vaste désert de poussière, ce qui est plus facile à parcourir qu'un désert de sable... »


*** Le Chevaucheur continue de scruter sa carte. ***


« ... Sinon il est également possible de nous diriger vers Le Cloaque: un marécage qui semble entouré d'un zone rocailleuse relativement désertique. Là bas nous pourrions faire d'une pierre deux coups pour ce qui est de notre entraînement: le marécage pourrait être plus accessible que celui-ci. Enfin, les montagnes à l'Est pourrait être notre dernier terrain d'entraînement. »


*** Le Nelda s'arrête pour réfléchir un instant, puis recommence à parler. ***


« Quoiqu'il en soit, Tilith ne se trouve-t-il pas dans les environs de Jypska? Nous pourrions le contacter pour qu'il nous rejoigne. »


*** Fenrir, Chevaucheur de l'Equilibrium. ***

 
Livie

Le Matal 30 Saptawarar 1508 à 21h19

 
Concernant le cloaque, voici ce que j’en connais :

Ce marais glauque et infect (c’est sa réputation) se forme grace à 2 riviéres. Les conditions de survie y sont rudes et peu osent s’y aventurer. Pas vraiment l’endroit où j’ai envie d’aller me promener sauf que, il y a un truc fort intéressant là bas. Dans le desert qui jouxte ce lieu de mort, ce trouve une grotte réputée pour tous les alchimistes. On y trouve les fameuses larmes de la Déesse necessaire à l’élaboration de la plus précieuse des potions : la potion de vie, une potion dont on dit qu’elle peut ramener n’importe qui d’entre les morts.

M’enfin, je peux attendre encore quelques années avant d’aller chercher ces larmes, je ne maitrise pas cette fabrication.

Donc je dirais que Jypska est un bon choix. Plus calme, moins dangereux, proche d’une grande ville où je peux peut-être faire quelques emplétes. Sans oublier le fait que revoir Tilith serait sympa.

T’en dis quoi Nils ?


Erween dit :
moi j'en dit que Jypska est réputé pour sa volaille. Les fameux poulets de Jypska cuisiner au miel et aux épices avec un peu de de semoule et quelques gains de raisin séchés. C'est toujours mieux qu'un marais glauque et humide entouré d'un desert stéril.



 
Nils

Le Merakih 1 Otalir 1508 à 14h22

 
Va pour Jipska

Dit Nils tout en se retournant et faisant voltiger la tête du loup dégénéré qui embêtait le groupe depuis un moment.

Le mal est une nécessité favorable à l'équilibre du bien.

 
Livie

Le Merakih 1 Otalir 1508 à 21h51

 
Eh bien puisque nous sommes tous d'accord, allons y !


 
Nils

Le Julung 2 Otalir 1508 à 10h10

 
Ils prirent la direction du pont, le chemin allait serpentant dans la plaine. Le pont, Solide, dressé de part et d'autre de la rivière, était fait de pierre.

Un peu plus loin Fenrir s'attaqua à un Mimic qui essayait de nous barrer la route. Nils arriva juste au moment ou il le fallait. Il découpa ce qui était qu'un coffre à l'origine, de part en part. le laissant là. un morceau de chaque coté de la route.

Tout se passait donc pour le mieux. Livie faisait des miracles avec ses soins, à croire que Nils faisait exprès de se faire toucher afin de pouvoir se faire soigner ensuite.

La journée fut longue et la marche harassante. Nils alla chercher quelques morceau de bois et fit un feu, espérant que Livie ai une bonne idée pour le diner.


Le mal est une nécessité favorable à l'équilibre du bien.

 
Livie

Le Julung 2 Otalir 1508 à 21h10

 
Erween dit :
Une idée pour le repas ? Alors tu t’adresse à la bonne personne. C’est pas ça qui manque. Voyons voir un peu...


Minute papillon ! Garde ta salive. Pour cuisiner, faudrait déjà avoir un peu de matière première. Depuis qu’on a quitter la sainte, on a pas croisé grand chose de comestible, surtout dans ces foutus marais. En plus la belle miche de pain et la noix de jambon que j’avais sont toute moisie. On va devoir faire dans la simplicité ce soir : trouver de la viande sur pied et la faire griller.
En piste, montre nous ce que ton flaire peu faire !

Erween dit :
A vos ordres M’dame !


Erween renifla, renifla.... renifla et renifla. Soudain, après avoir méticuleusement choisi sa piste, Erween fila comme une flèche a travers la prairie. Livie partie a sa poursuite. Quelques minutes plus tard, la chevaucheuse avait dans son champs de vision une laid des plus dodue.

Eh bien mon cochon, Souffla-t-elle à Erween Avec une bête pareille nous voila fournie pour 3 bon jour. Bravo !

Erween dit :
Je te fais le paris que je peu me l’enfiler en une soirée.


Toujours aussi goinfre.

Erween dit :
Fais gaffe elle nous a repérée ! Je t’en voudrais de la rater.


Livie se concentra quelques seconde, fixant la bête. Ses doigts virvoltérent et un fabuleux arc scintillant apparue. Une flèche de lumière fondit sur la proie, la terrassant net.

Après avoir dépecé le gibier Livie rentra au campement et mit la viande à griller :

J’espère que ça t’ira Nils. C’est simple mais succulent, un vrai repas de guerrier. Reste plus qu’a être patient car il faudra bien 3 ou 4 heures pour qu’elle soit à point.



 
Fenrir

Le Julung 2 Otalir 1508 à 23h10

 
*** Alors que Livie était parti chercher de la viande pour leur repas, Fenrir était quant à lui partit reconnaître le chemin qu'ils emprunteraient le lendemain. Il profita néanmoins ce se petit voyage de reconnaissance pour cueillir les quelques fruits et tubercules comestibles qu'il rencontrait. ***


*** Après quelques lieues de parcouru, et un sac emplie de nourriture fraîchement cueilli, le Chevaucheur commença a remarquer une recrudescence importante d'aberrations autour de la route qui menait vers Jypska. ***


Loki dit :
« Et bien...
Il ne sera pas facile de passer...
»


« ... »


*** Alors qu'il s'interrogeait sur la raison d'une telle activité, le Nelda ressentit alors une vive douleur sur son épaule: un Chiroptère assoiffé s'était mis dans la tête de lui manger la chair. Un coup de poing bien placé suffit néanmoins à le décrocher et à le faire fuir pour un temps. Fenrir profita donc de ce cour répit pour s'éloigner lui même puis retourner au campement. ***


*** Arrivé au campement, celui-ci déposa son sac non loin du feu. Livie avait, durant son absence, ramené un sanglier et avait commencé à le préparer. ***


« Voici de quoi agrémenter notre repas. »


*** Fit-il en désignant son sac. ***


« Nous n'aurons donc pas de problème de nourriture pour quelques temps, par contre, nous risquons de rencontrer des problèmes si nous continuons à avancer... J'ai pu constater qu'il y avait pas mal d'aberration qui erraient le long de la route... »


Loki dit :
« Cette recrudescence ne présage rien de bon... »


« ... Nous avons, à mon avis, deux choix si nous souhaitons continuer vers Jypska: Passer au travers sans ralentir et en tentant de passer inaperçu de celles-ci, ou nous frayer un passage, lentement, mais sûrement. »


*** Fenrir, Chevaucheur de l'Equilibrium. ***

 
Nils

Le Vayang 3 Otalir 1508 à 18h31

 
Nils s'avança un peu et constata le problème. toutes sortes d'abérations était prés du chemin. Il faudra tuer celles les plus prés.

Nils s'attaqua a la première, un chiroptère enragé, ses coups portait et déjà elles était mal en point. le combat n'avait qu'une issue, sa mort ....

à la bête.


Le mal est une nécessité favorable à l'équilibre du bien.

 
Livie

Le Vayang 3 Otalir 1508 à 21h26

 
Livie finie sa part du festin par quelques baies ramené par Fenrir. Elle écouta attentivement Fenrir lui faire un récit de son exploration.
La méthode forte n’a jamais été mon fort, je vote pour la discrétion.

Sans en dire plus, la chevaucheuse étendit sa couverture prés du feu, grignota encore quelques baies à la lueur des flammes puis s’assoupie.
Au milieu de la nuit, elle se réveilla. Fenrir était déjà parti et Nils s’amusait encore avec quelques abbérations.
La chevaucheuse rangea soigneusement ses affaires dans son sac et le jeta par dessus son épaule droite après avoir enfilé sa robe d’acier. Elle passa sa besace autour de son épaule gauche, l’ouvrit. Elle posa sa main sur les potions qui s’y trouvait. Le stock avait diminué depuis la sainte. Le Jytrian déchue n’y était pas étranger. Il lui restait une potion de soins modérés et une potion de mana. Il fallait jouer serré car elle n’avait pas prit soins de soigner ses blessures depuis longtemps et savait que sa santé n’était pas à son mieux. La nuit l’aidera à passer inaperçu pensa-t-elle.
Elle avança un peu sur le sentier et commença son incantation. Une petite substance collante sortie du bout de ses doigts. Elle l’étala un peu sur ses mains qui se mirent à fumer légèrement, sans chaleur, provoquant un léger brouillard. Au bout d’une minute ou deux Livie se retrouva entourée d’un épais brouillard.


Voila de quoi passer inaperçu, mais deux précautions valent mieux qu’une. On ne sait jamais, dit-elle pour elle-même.
Elle incanta un nouveau sort. Sa robe se mit à scintiller de mille feux pendants quelques seconde avant de retrouver son aspect naturel. Son efficacité protectrice était décuplée.
Maintenant en route.

La chevaucheuse partie d’un bon pas sur la route. Elle croisa un chiroptère, un sanglier furieux (certainement le compagnon de la laid qui leur avait servi de repas), un drôle de gastropode, un autre chiroptère, un lysandrus et enfin un gryott. Le voyage se passa sans encombre à part le chiroptère qui tenta vainement une attaque.

La sorcière se retrouvait aux portes d’Emyon, non loin de Fenrir. Le premier soleil n’allait pas tarder à se lever. Elle se retourna pour voir si Nils arrivait.


tout va bien Fenrir ?


 
Livie

Le Sukra 4 Otalir 1508 à 21h56

 
Fenrir, juste d’un regard, sans un mot avait acquiescé, à la question de la chevaucheuse. Livie attendie alors patiemment l’arrivé de Nils car son nehre ne semblait pas d’humeur a discuter. Peut-être avait-il aussi ressentie l’intrusion désagréable de Sieur Flymeur. La chevaucheuse s’installa confortablement sur une petite butte de terre recouverte d’un épais matelas herbeux. Les premières lueurs du soleil vinrent lui réchauffer un peu les os. Elle regardait loin à l’horizon guettant le grand Nelda, mais il n’apparue pas. Le premier soleil allait déjà se coucher et il n’était toujours pas arrivé. L’inquiétude gagna Livie. Et si notre monsieur biscotto n’avait pas réussi a passer ces abbérations ? Si l’une de ses créatures avait réussi le tour de force de le blesser gravement ?

Non, se dit-elle, se n’est pas possible. Il doit être en train de parfaire ses talents de guerriers en prenant ses bestioles pour cibles. Elle se répéta cela une bonne dizaine de fois pour se convaincre, mais elle n’y tenait plus. Il lui fallait savoir. Elle contacta le disparu pour en avoir le cœur net, se préparant à rebrousser chemin en quatrième vitesse en cas de non-réponse.

Les minutes s’égrainèrent... puis vint le soulagement, le message tant espéré. Eh oui, le colosse était occupé à étriper tout ce qui passait à porté de sa lame et, malgré quelques blessures, il tenait toujours sur ses deux pattes sans problèmes.


Bon, si tout va bien, je vais aller tromper le temps dans les collines.

Livie partie vers l’ouest. Le second soleil du jour réchauffait encore un peu plus l’air automnal des vallons. La promenade était agréable. Du haut de chaque colline, la tydale pouvait voir au loin quelques bergers guider leurs troupeaux vers les herbes hautes, et quelques paysans qui rentrait les dernières céréales avant les premiers frimas. Une ou deux fermettes au potager maculer de taches orange. La saison des potirons et autres cucurbitacées allait commencer.
Faudrait bien que je nous fasse une bonne soupe avec quelques belles tranches de lards pensa-t-elle. Elle descendit vers l’une des fermettes pour acheter de quoi réconforter ces compagnons le soir venu. La fermière, une fort sympathique tydale (heureusement car elle ne parlait pas un mot de shaî) lui céda un potiron d’un orange éclatant et un peu de milet. Avec les restes du sanglier, voilà qui rassasierait n’importe quel chevaucheur.

C’est en repartant, regardant le soleil se coucher à l’horizon qu’elle l’aperçut. D’abord une seul silhouette, gigantesque et solitaire. Le soleil couchant agrandissant son ombre, elle semblait immense alors qu’elle était si loin. Puis elle vie la seconde, un peu plus au Sud. Ainsi posé en pleine nature, les deux statues ressemblaient à un couple de géant se promenant. Qu’étais-ce donc ? Livie n’avait jamais entendu parler de ses statues, qui semblait garder quelques chose, un quelconque trésor, une porte invisible...

Intrigué, elle repartie auprès de Fenrir pour lui en parler et savoir s’il avait déjà entendu parler de ses statues.



 
Fenrir

Le Dhiwara 5 Otalir 1508 à 11h42

 
*** Fenrir était plongé dans ses pensées lorsque Livie arriva finalement après avoir traversé la route emplie d'aberration. Elle lui demanda s'il allait bien, mais perturbé comme il l'était par tout ce qui se passait, il ne lui fit qu'un signe de tête, puis retourna dans ses réflexions. ***


*** Il laissa filer le temps alors qu'il attendait encore Nils (occupait à pourfendre des aberrations) et que Livie lassait d'attendre s'aventura plus vers l'Ouest. ***


*** Elle revint finalement une heure plus tard et lui raconta ce qu'elle avait aperçu. Le Nelda réfléchit quelques instant, mais ces statues de lui disait absolument rien. ***


« Un couple de géant?
Hum... Désolé, mais je ne me souviens pas d'une quelconque histoire de statues dans les environs. C'est pas faute d'avoir vécu pratiquement vingt ans sur ce territoire...
Peut-être furent-elles construire par les Nemens?
Si cela vous intéresse, nous pouvons y faire un tour pour voir ce qu'il en est et tenté de trouver leur origine et leur histoire.
»


*** Fenrir, Chevaucheur de l'Equilibrium. ***

 
Nils

Le Luang 6 Otalir 1508 à 23h16

 
Nils avait rejoint ses amis. sans trop de problème.

Il fut étonné de voir ces statues, tourner toutes les deux vers l'ouest comme regardant un point bien précis.

Mais il n'était pas très attiré par ce genre de chose.

C'est pourquoi, il se concentra sur la réparation des différentes choses armures et autres de Livie, Fenrir et lui même.


Le mal est une nécessité favorable à l'équilibre du bien.

 
Livie

Le Matal 7 Otalir 1508 à 21h03

 
Le petit groupe marchait jusqu’au statues, puis après une rapide inspection de celle-ci elle déclara :
Laissons ces mystérieuses statues à leur destin. Il n’y a certainement rien à en tirer ni en bon ni en mal.

Le groupe avança tranquillement tout en prenant soins de leurs armures. Nils avait retapé celle de Livie, et cette dernière enchantait celle de Fenrir.

Merci Nils pour ma robe. Je finis d’enchanter l’armure de Fenrir et je te la confirai. Elle est en triste état. J’aurai fini demain. En attendant campons donc ici, j’ai l’impression que nous arrivons à Jypska. Le désert et ses nouveaux dangers sont juste devant nous. N’y allons pas sans nos précieuses armures.

Livie se remit a son enchantement tout en réfléchissant. Elle avait remarqué que lors du son passage en forêt puis dans les marais, elle avait très peu progressé. Bien moins que ce qu’elle espérait. D’un autre coté ses facultés a apprendre les arts de la sorcellerie s’était décuplés depuis quelque temps. Après réflexion, elle en était convaincue maintenant, ce changement coïncidait avec son passage au statut de psychagogue. Ainsi, conclua-t-elle pour elle-même cet entraînement dans le désert ne lui apporterait pas grand chose, sinon à parfaire ses attaques et ses soins magiques. Par contre si elle poussait un peu jusque Jypska, elle pourrait s’en doute trouver l’étaux qui lui manquait pour parfaire ses compétences en bijouteries pendant que ses amis s’entraînait dans le désert. Et ça, ça la bottait plus, elle avait quelques commandes à servir.

Fenrir, Nils ça vous embéterait si je vous abandonnais un jour ou deux le temps de faire une course à Jypska ? A moins que vous ne vouliez m’accompagner tout comme je vous accompagnerais dans le désert si vous le souhaitez. N’oublions pas que l’union fait la force et je ne voudrais pas mettre le groupe en danger.


 
Fenrir

Le Merakih 8 Otalir 1508 à 07h32

 
*** Fenrir était en train de finir de dépecer le sanglier, qu'il avait tué quelques temps auparavant lorsque celui-ci s'était mis dans l'idée de charger le Nelda. Puis Livie leur fit part de sa réflexion. ***


« Et bien allons y donc.
De toute façons, il semblerait que Jypska ne soit entouré que de terre desséché... Pas vraiment un endroit pour s'y entraîner... Nous en profiterons donc pour leur demander des renseignements quant à une zone de désert de poussière, sinon nous devrons continuer vers Korsine...
Par contre, il te faudra de la monnaie local si tu veux y acheter quelque chose. S'il n'est pas possible d'y échanger des Hyalins, je peux toujours te donner mes quelques Cristaux pour faire le change.
»


*** Après quelques instant de réflexion, Fenrir reprit. ***


« Bon, je vais contacter Tilith, il aura peut-être envie de nous rejoindre, et puis il aura peut-être un peu de monnaie local en cas de besoins. »


*** L'on put voir le Nelda se concentrer quelques instant, puis revenir sur son sanglier et terminer son travail. ***


« Bon... Sanglier rôti pour ce soir! »


*** Il plaça finalement l'animale dépecé au dessus du feu de camps pour le faire cuir. ***


*** Fenrir, Chevaucheur de l'Equilibrium. ***

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