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Le Dhiwara 26 Otalir 1508 à 00h33
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 | *** Jeaneudon avait quitté Oriandre depuis pas mal de temps et il se souvenait encore de ce pénible voyage. Il était à la porte est de la ville est salua Solereï qui était déjà prête à partir. Il allait rejoindre Istreen qui comme d'habitude s'impatientait .... quand il vit la route. Il resta un instant à la regarder ... se remémorant la dernière fois qu'il était passé par là. ***
Mélinos dit :
tu veux vraiment certain de vouloir y aller? « Oui je crois »
Mélinos dit :Tu crois? pfoouuu !!
Je vois que c'est encore un truc bien réfléchit!!
Tu te rappelle au moins comment tu est revenu la dernière fois que tu as franchi cette porte?
Non parce que je pourrai directement t'attendre au coin du pilier. cela m'évitera un spectacle écœurant. « Mais cette fois je me prépare et puis j'suis pas seul »
Mélinos dit :
Le pire c'est que tu sais même pourquoi tu veux aller la-bas ...
Hein est-ce que tu le sais au moins?
« En fait je crois que je veux revenir chez moi, tout simplement et puis il y a ce pilier près d'Oriandre à étudier »
Mélinos dit :
A parce que tu l'a pas vu d'assez pès le dernier pilier que tu as croisé. Tu en rêve chaque nuit. et puis quand je dis rêve .....
Des fois tu bouge tellement que cela me met en boule ... pour un cubique c'est un comble
« C'est pour ça que je dois y aller. Peut-être que je comprendrais ce qui s'est passé la bas »
Mélinos dit :
Mouaiii on verra cela mais pas de blague et pas de retour intempestif ... compris?
« d'accord je ferai attention .. mais arrête de me faire tourner en bourrique .. c'est fâcheux à la longue »
*** Il arrêta alors de contempler la route pour s'approcher de Istreen ***
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Le Dhiwara 26 Otalir 1508 à 16h03
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| Exténué.
Depuis qu'il avait apercu les murs de la cité, il n'avait eu de cesse de crier haut et fort son retour, jusqu'à franchir les remparts tant attendus.
Et c'était fatiguant.
A l'entrée, un petit rassemblement était là à attendre, mais apparemment pas lui. La petite Solereï lui décocha un petit sourire mais ce fut Jeaneudon qui s'approcha le premier.
Krasta dit : Pfiouuuuuh! C'est vraiment un voyage pour amateurs de sensations extrêmes et de grands frissons!
On a failli être dévorés, dissous, pétrifiés, broyés...
Allons tu me connais Jeaneudon depuis le temps!
Rien ne peut m'arrêter!
Par contre, je ne peux pas en dire autant de tous les membres de l'expédition... Enfin, du moment qu'ils reviennent par les piliers, on s'en remet.
Alors comme ça tu tiens vraiment à traverser?
Et bien... Euh... Ca vaut vraiment la peine?
*regarde tour à tour les symbiosés entourant Jeaneudon puis affiche un air désolé, comme s'il parlait d'un malheur*
Pensez surtout à bien vous protéger! Sortir couverts ou être très chanceux, voilà les alternatives de Farnya à Oriandre.
Surtout que là bas... Il y a peu de clients potentiels, et peu de choses à y faire.
Donc il faudra tôt ou tard faire le chemin inverse jusque Farnya.
Le Régisseur prend le temps de s'étirer en poussant un petit râle enfantin de satisfaction.
Bon, c'est pas tout ça, mais j'ai des affaires à reprendre moi!
On se revoit très vite pour la baguette avant que tu partes!
Et coucou Mélinos!
Labeur et Profits.
F. Sheppen, Héros. | |
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Le Dhiwara 26 Otalir 1508 à 18h43
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| *** Mélinos salua le héros avec s... avec je ne sais pas quoi mais il semblait heureux de voir le héros. C'était d'ailleurs de plus en plus frustrant pour le maitre scribe ***
Mélinos dit :
Bonjour monsieur vous vous arrivez à passer sans problème.
Tu en as de la chance Krasta de voir du pays de près en étant certain de faire le voyage retour à tous les coups.
*** Jeaneudon ne dit rien, il aurait bien pensé quelque chose mais Mélinos avait l'avantage sur ce terrain. ***
Alors comme ça il y a eu des pertes, c'est triste de voir des frères revenir par un pilier ... moi je n'ai pas vraiment envie
Je n'ai pas vraiment de raison .... particulières mais plusieurs petites qui m'incitent à prendre la route.
Par contre si cela devenait chaud je ferai demi-tour ....
Par exemple il y a la livraison du frère Arda, et puis j'ai pas vu mes amis d'Oriandre depuis longtemps... on verra bien
*** Jeaneudon fouilla ses poches et en sortit 5 parchemins .. ***
Tiens voilà ta commande ... au moins je ne risque plus de les perdre ....
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Le Luang 27 Otalir 1508 à 18h01
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Le jeune Régisseur arpentait déjà de nouveau les marchés et échoppes les uns après les autres à la recherches de perle rares, mais chaque fois qu'il repassait par le centre ville, il faisait un petit détour pour jeter un coup d'œil au groupe qui allait bientôt quitter Farnya.
Il y avait des soldats, des mages et même une barde... Tous relativement confiants à priori.
Quand Jeaneudon se rapprocha pour lui demander des précisions sur ce qui les attendait, Fonkin sembla hésiter.
Si la Bulle Noire a bien avancé, il ne restera plus qu'un point chaud sur votre itinéraire. Il s'agit du terrain de chasse d'un Jyrtran déchu, qui attaque vite et bien, mais surtout inocule un violent poison à ses victimes.
Rien à voir avec ça!
Joignant le geste à la parole, Fonkin secoue une fiole de poison de Baloua d'Eudisse.
Comme si ça ne suffisait pas, une Mandragora rôde aussi. Si elle n'est pas dangereuse, elle peut paralyser certains des jours durant!
Je ne te cache pas qu'il faut espérer que le Jyrtran ne passe pas par là pendant ce temps.
Sinon, c'est un peu agité, mais du moment qu'on sait se soigner, il n'y a rien d'insurmontable. Les bestioles habituelles ma foi!
Labeur et Profits.
F. Sheppen, Héros.
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Le Matal 28 Otalir 1508 à 14h50
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| *** Jeaneudon était parti devant. Il avait en premier croisé Aerodiüs en train de tenter l'approche d'un tisseur de rêve.
Il le salua de la main mais tint ses distances car les tisseurs de rêve n'étaient pas sa tasse de thé.
Il continua et au détour d'un décrochement montagneux il vit un un noiraud, l'artilleur Da'regh.
Celui ci s'approcha de lui pour lui parler
« B'jour à vous! J'dois rejoindre des membres de l'artillerie mais les routes n'étant pas sûr, Touffic m'a conseillé d'aller avec vous. Y'aurait-il une place? » ***
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Le Matal 28 Otalir 1508 à 15h02
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| *** Jeaneudon vit Istreen partir droit devant ***
Mélinos dit :Tiens une tornade rousse qui me dit quelque chose.
Je crois qu'elle veut que tu la suive ... mais avec tes petites pattes, comme tu dis, c'est pas gagné *** Jeaneudon leva le doigt comme pour faire une objection mais Istreen avait déjà mit les bouts. ***
Hhheeeeppppp !!! mais pas si vite ... on a le temps
*** Quand elle cria le sang de Jeaneudon ne fit qu'un tour et Jeaneudon accourra. Il la vit dans son buisson ***
Istreen ?? mon petit coeur .... il est où?
Ce loup !!
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Le Matal 28 Otalir 1508 à 22h33
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Yeeeaaaah, son premier voyage, sa première livraison, et surement ses premières blessures héhé.
Enfin, Cadoras était heureux, il n'était pas encore prêt mais il partait avec une équipe de choc !
Que des mages ... Forts et tout !
C'était bien, il pourrait arriver en vie, d'autant plus qu'il s'entrainait en camouflage depuis quelque temps, s'amusant à se confondre avec les murs de la cité et j'en passe ...
Il pourrait éviter les monstres ainsi.
En plus de ça, Jeaneudon lui avait lancé un sort plutôt sympathique, il se sentait capable d'encaisser quelques coups avant de les ressentir pour de bon ... C'était super.
Il se prépara, attendit que l'artisan lui passe la commande et il partirait, pour déjà rattraper son retard, pas grand chose.
Les ordres étaient de rester groupé, pas de problèmes, ça assurerait la survie du groupe, pour sur !
Il réajusta ses bottes, et regarda vers l'horizon, espérant ne pas tomber sur n'importe quoi ... Et d'arriver en bonne forme.
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Le Matal 28 Otalir 1508 à 22h48
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| *** Larkan se mit en route avec le groupe, il se retourna pour dire au revoir à Séraphine de la main. Il était triste de la laisser en ville, le voyage s'annonçait ennuyeux. Il se retournait souvent afin de pouvoir apercevoir jusqu'au dernier moment celle qu'il admirait en secret.
Profitant d'un moment d'inattention Istreen passa devant tout le monde pour prendre de l'avance, Larkan perdu dans ses pensées secrètes l'avait à peine remarqué. Un peu plus tard elle criait au secours ...
Le régisseur, surement aux aguets, fut le premier à réagir et se lança dans une course ventre à terre afin de lui porter secours. Larkan qui ne réalisait pas vraiment ce qui se passait lui emboita le pas mais avec beaucoup de retard ...
Arrivé à la hauteur du buisson, il découvrit la scène : la pauvre Istreen surement évanoui et Jeaneudon qui tentait de la réanimer en lui faisant du bouche à bouche ... ***
Alors, comment va-t-elle ? Elle est bl... Oops ! désolé !
*** S'apercevant en fait qu'Istreen allait très bien et qu'il dérangeait,
Larkan se retourna et fit mine de chercher ailleurs ... le loup !
Tapant dans un caillou qui trainait sur le chemin, il fit demi tour afin de rassurer les autres.
Cette imprudence de la part de l'experte linguiste lui rappelait les mauvaises blagues de ses camarades lorsqu'il était plus jeune et auxquelles il ne comprenait rien. ***
*** Arrivée à la hauteur de Solereï et de l'artilleur Da'regh, il demanda à celui-ci : ***
Tout à l'heure vous nous avez proposer une petite boisson, en fait j'en veux bien un petit verre.
Oh ! Istreen va très bien, le régisseur prends juste un cours de langue ... vivante !
Faudra juste faire attention tout de même car à force de crier au loup, on finit toujours par en voir la qu... langue.
C'est votre premier voyage ? | |
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Le Matal 28 Otalir 1508 à 23h36
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| Partie quelques jours plus tôt, songeant que le Maître enchanteur et sa bande la rejoindraient sans mal en cours de route, Nelle a avancé à un rythme tranquille. Sous l'effet du sortilège d'Harmonie naturelle, appris peu de temps avant son départ, elle progresse avec insouciance et légèreté le long de la route en direction d'Oriandre, profitant de la tranquillité que lui offre ce sortilège pour apprécier le paysage et l'air vivifiant des montagnes. Rien à voir avec l'horreur des transports nemens...
La route est d'ailleurs plutôt dégagée, au départ de Farnya. Au cours de sa première journée de marche, elle aperçoit un Amas de lamentations dans les montagnes au sud de la route. Mais il est trop loin de celle-ci pour inquiéter un voyageur qui se contenterait de ne pas en sortir.
Bref, rien de très dangereux jusque là, c'est juste que ça dénature un peu le paysage...
Sa rencontre du lendemain est par contre bien plus marquante... Nelle a le malheur de rencontrer une autre engeance autrement plus nocive et inconvenante. Une créature fort heureusement guère répandue que dans la Fraternité, et en peu d'exemplaires : un régisseur de la servitude.
Fonkin Sheppen.
Son agressivité n'est heureusement que verbale, bien que peu subtile, et sa nocivité ne semble pas aller plus loin que le fait d'étaler avec fierté et ostentation son manque flagrant d'intelligence...
Se gardant bien de tomber dans le piège des provocations stupides du jeune tchaë masqué, Nelle répond au contraire avec amabilité. Il finit donc, sans doute, par se lasser de la voir rester stoïque et aimable à ses provocations idiotes, et entreprend finalement de cesser de bloquer la route à la jeune tchaë, lui faisant même le plaisir de continuer la sienne.
Nelle soupire en regardant s'éloigner le jeune freluquet. Et c'est régisseur, ce genre de personne ?! Quoi que, à la réflexion, ce n'est guère surprenant de la part du Prince de placer en haut de la hiérarchie des gens aussi obtus que lui. La nomination d'une personne aussi sympathique et ouverte d'esprit que Jeaneudon à un poste similaire est déjà beaucoup plus surprenante, en fait...
Le lendemain, Nelle croise un autre tchaë, plus âgé et bien plus aimable, qui se dirige également vers Fanya. Et peu de temps après, l'artisan Marcolien auprès de qui elle doit récupérer une commande pour Thosen Noril.
Lui se rend à Farnya, et elle à Oriandre, aussi conviennent-ils finalement de s'installer sur place le temps que le bijoutier termine son ouvrage. Nelle pendant ce temps se met en tête de débarrasser la route de la présence d'un anakorem, sorte de gros mille-patte qui grignote tout ce qui croise ses mandibules.
***  ***
Pourtant, sans être d'une nature particulièrement bavarde, ajouté à cette espèce de promiscuité avec un parfait inconnu, ce silence la met curieusement mal à l'aise.
J'ai accompli la moitié du travail environ, s'il n'y a pas d'incident j'aurai fini dans deux jours. Dit-il soudain, peut-être en se rendant compte de la gêne de la jeune fille, alors qu'elle vient de renouveler le sort de Corps d'acier censé lui permettre de travailler un peu mieux à l'aise.
Super ! Répond-elle en souriant, avant de se sentir aussitôt un peu empotée.
Knüt dit :
Rhoo ça va, il va pas te bouffer ! Il a l'air plutôt gentil... | |
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Le Merakih 29 Otalir 1508 à 01h29
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| *** Mais ce n'est pas vrai, à peine une journée de retard pour écrire, et déjà ... ***
Musique !
Les tchaës la considéraient comme mineur. Ce qui est déjà bien. Ils auraient pu la considérer comme un art. Pour autant qu'ils puissent considérer un art. Oisive et bleue. Mais ... Quelques irréductibles. La bulle survivait, et en son sein s'épanouissaient coup-ci coup-ça quelques activités ni magiques ni scientifiques.
Dans leur immense majorité, les frères du désordres n'y trouvaient trop à redire. Les bardes leur apportaient, après dures journées de labeurs, un réconfort mérité. Une détente. Une pause. Un silence. Une bonne bouteille, débouchée entre amis au détour d'un comptoir ou flottait une odeur de pipe.
Une partie du décor clôturant le jour ou amenant la nuit.
Parfois, elle les accompagnait plus. Lorsqu'ils s'en allait, sifflotant des airs connus et entrainants, suer leur sous. Elle pouvait accompagner les armées en campagne. Mais de campagne il n'y avait pas. Que montagnes et déserts.
Et parfois, elle était comprise. Non pas comme le fond sonore qui apaise l'oreille et repose l'attention. Mais comme le chant universel, la berceuse, le berceau. Celle par qui vogue la pensée, agit la magie. Fut un temps ou des artisans percevaient les subtiles nuances. Des instruments ainsi furent créés, épousant ces aspects. Aujourd'hui, combien s'en rappellent ? Les techniques subsistent. Et les produits, achetés par de trop rares mélomanes, sont toujours vendus, bien qu'en quantité trop restreinte.
Le régisseur luthier connaissait-il ces nuances ?
L'enchanteur parcheminier qui l'avait conviée ?
Assez de ces rêves oisifs. Le voyage se préparait. Les deux susnommés discutaient dangers. La route ne s'était pas améliorée. Il fallait se protéger. Sa cape fine et sa tenue brodée ? Sans doute des armures de cuir ou de magies eurent été plus adaptées. Certaines étaient fort saillantes, et remarquablement enchantées par les soins des meilleurs. Plus tard. Futilité que ces considérations physiques.
Mais les cordes chimériques n'étaient pas plus adaptées que la vielle pour ces routes. Peu importait. A chaque situation ses chants. A chaque lieu ses instruments. Les quêtes avaient le leurs. Une combinaison qui toujours défiait l'aventure.
Solereï salua le héros éternel d'un sourire. Jeaneudon, Istreen, Larkan. Puis les compagnons qui au fur et à mesure s'ajoutaient. Tiens, Marcolien, le géologue, reconverti joailler. Selon certains, il améliorait son art. Penser à lui demander où en étaient ses créations. Apte à y insuffler de la magie, certaines pourraient se révéler puissantes. Suffisamment, peut-être, pour être mêmes intéressantes.
Une légère bouteille.
En route.
Suivant la linguiste, d'un pas tranquille, ils avançaient.
Une flûte, un tambour, et s'élevaient alentour une légère brume. Cumulée aux arts des mages, rares seront les dangers.
Ponctué des fantaisies de chacun, l'équipée s'annonçait ... Épique. Eh ?
Le soir, lorsque la musique change, prendre des notes. Une ballade ? une geste ? Une épopée ? | |
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Le Merakih 29 Otalir 1508 à 01h39
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| *** Jeaneudon sortait du buisson en aidant Istreen à se relever. Jeaneudon faisait semblent de chercher à droite à gauche pour repérer un hypothétique danger. ***
Pffoouu on a réussi ... il a fuit ... on a eu de la chance
Bon et bien comme on a sécurisé le périmètre on va attendre un peu ici.
Mélinos dit :
Non mais tu crois vraiment qu'il va croire ça. Tu sais il te connais
*** se penche en direction de Istreen ***
Je dirai même qu'il dois commencer à vous connaître tous les deux avec vos facéties .... « Chut arrête de faire de la pensée sauvage ... allez pour une fois ne me fait pas la moral .... »
Mélinos dit :
En tout cas c'est pas très sérieux comme attitude pour un régisseur.
Quoi que ... je me demande si l'irresponsabilité n'est une caractéristique inhérente à la fonction « t'abuse !! Bon allez laisse moi parler car à force de penser avec toi .... je ne fais rien d'autre »
Parce que que Cadoras est un peu à la traine et il a besoin de se reposer.
Le frère artilleur, souhaite se joindre à notre groupe pour aller à Oriandre.
Alors bienvenu dans le groupe frère Da'regh. Comme je te l'ai pensé tout à l'heure, j'suis content que tu sois avec nous car il nous manquait un noiraud ... pour en faire voir de toute les couleurs aux bestioles du coin.
Bon si tua s besoin de quelque chose t'hésite pas ...
*** Jeaneudon hésita un moment avant de reprendre. ***
Au fait tu connais p't-être pas tout le monde ... voici Istreen un petite soeur linguiste, Solereï, une autre petite soeur de la bleusaille mais plutôt portée sur la musique.
Là tu as le frère Larkan un collègue prolo, comme cadoras qui est le tout nouveau coursier ...
Voilà tu connais tout le monde.
Comme je disais aux autres on va camper ici, juste avant le défilé rocheux .... profitons de l'espace.
J'ai vu un feu au loin, on dirait des frangins ... on les verra surement demain
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