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Le Dhiwara 26 Otalir 1508 à 18h39
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| *** Toujours en marchant, Da'regh essayait de nouvelles passes avec son arbalète. Conscient du danger omniprésent, il n'avait pas encore oser ranger son arbalète, préférant l'avoir dans les mains, au cas où un rejeton du S'Sarkh se jette droit sur lui..
Ainsi, en essayant de recharger son arme le plus rapidement possible, il surveillait tout les endroits qui lui paraissait suspect : paranoïa à l'état pur.
Néanmoins, vu ce que lui racontait ses compagnons, il savait que ce geste pourrait lui sauver la vie.
Et fier de son attitude, il continuait son chemin, se cachant lorsqu'il voyait des monstres trop forts et personne pour l'aider, espérant qu'il trouverait ses frères d'armes, en train de sécuriser le chemin.
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N'est pas le Bleu celui que tu crois! | |
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Le Luang 1 Dasawar 1508 à 19h42
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| Celà faisait déjà quelques jours que Da'Regh avait rejoint la mission du commandant Knïg.
Et là, on était rentré dans le vif du sujet. Les créatures à abattre s'étaient succédées, les unes après les autres, arrivant parfois seules, mais la plupart du temps groupées.
Les fantassins faisaient un travail admirable, les artilleurs les secondaient de leur mieux, les soigneurs faisaient étal de tout leurs talents.
A force de tirer flèche sur flèche, le stock de munitions de Toufic avait fondu comme neige au soleil ! Et pourtant, il avait prévu large en partant d'Oriandre. Incroyable ce que ces créatures avaient été nombreuses. La marche de la colonne militaire avait été très lente. Cette fois-ci, Farnya semblait très très très loin d'Oriandre.
On avait eu beaucoup de mal à se frayer un chemin entre Oriandre et Jgalyll, puis entre Jgalyll et Verkit. Passé Verkit, un peu de calme était revenu, mais celà n'avait pas duré très longtemps ! Le trajet entre Verkit et Farnya semblait à nouveau être encombré d'indésirables.
Toufic avait profité de la pause relative vers Verkit pour apprendre un sort de soins. Ce n'était pas un sort très puissant, mais il risquait de rendre bien des services.
CIVIS PACEM PARA BELLUM : Si tu veux la paix, prépares la guerre.
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Le Vayang 12 Dasawar 1508 à 21h05
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| *** Il avait tout de même eu le temps de passer à Farnya, profitant du mouvement général du groupe. Là-bas il avait pu acquérir une armure qu'il était encore le seul à porter. Celle-ci était d'un confort rassurant et beaucoup plus protectrice que son ancienne. Ainsi paré, s'était empressé de retrouver sa victime, cherchant tant bien que mal les quelques membresqui le combattaient.
Ainsi arrivé au combat, il était prêt à affronter la monstrueuse bête. Mais son expérience lui avait apprise que la patience était le meiller allié d'un tireur. C'est pourquoi il se positionna avec lenteur mais intelligence. Il avait choisi une petite corniche qui surplombat le lieu de l'affrontement entre Dryvly, sans pour autant la mettre en danger.
Oeil fermé, respiration coupé et gâchette enclenchée, tels étaient les étapes qui lui assuraient la mort de ses ennemis. Mais s'était sans compter le froid qui paralysait ses cordes. Il lui fallut donc plusieurs expérimentation avant de cribler le loup de projectiles. Mais l'artilleur eu la tâche facile : épuisé, la bête ne put qu'esquiver une attaque, avant de se faire voilement touché.
Le sergent artilleur venait de faire une nouvelle victime.
Il était fier de lui. Il posséder actuellement une importante collection de cristaux que portaient les créatures. Mais pour ceux qu'ils venait de récupérer, il avait l'impression de les avoir volé. Lui n'était qu'arrivé une fois la créature aux portes de la mort.
Mais dur était la vie de noireaud, et il fallait déjà au groupe rebrousser chemin pour éliminer les créatures à l'ouest. ***
N'est pas le Bleu celui que tu crois! | |
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Le Matal 23 Dasawar 1508 à 08h54
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| *** Voilà peu que le sergent artilleur avait repris les sentiers du combat en direction de la mine.
Le chemin bien que court, avait été rallongé par les dépôts de neige sur la route. Mais Da'regh en avait profité. Ils avait que ce serait les quelques derniers instants avant qu'il coure dans tout sens avec son arme à la main et la peur au ventre.
Il fumait tranquillement sa pipe contemplant les magnifiques montagnes enneigées.
Il avait ainsi parcouru le cxhemin jusqu'à Verkit, où il s'arrêta pour dormir une nuit au chaud. Le froid se aisait terriblement ressentir sur ses pieds et ses doigts, ses instruments de travail.
Heureusement pour ses bottes, à sa sortie du petit hameau il aperçut le doyen géologue : plus besoin d'aller à la mine. Mais malheureusement, se trouvait également un lézard excité, un sale Gyrott.
L'artilleur connaissait la procédur à suivre.
Vérifier son équipement avant le commencement du combat au cas où il soit trop long et qu'il soit impossible de le réparer.
Trouver LA place pour attaquer la cible : aps trop loin, pas trop près, de manière à le surmonter était le petit extra.
Se concentrer, couper sa respiration, viser l'ennemi, déclencher le tir.
Chose faite, droit au but, mais cependant, pour les attaques suivantes, il lui fut impossible de le toucher à cause de la neige couplée au brouillard.
Mais il fallait avouer que s'était dans ces moments là qu'on était content d'avoir des armures de qualité : les quelques ripostes du reptile n'avait que légèrement entaillé le bras du tireur, et celui-ci ne contant pas en rester là. ***
N'est pas le Bleu celui que tu crois! | |
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Le Julung 25 Dasawar 1508 à 21h05
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| Agrek dit :Hé ! Mon chapeau !
*** La flèche de Dardalion n'était pas passée loin. Heureusement, les mous avaient cette faculté de se téléporter plus vite qu'un tir d'arbalète. Seulement, dans le mouvement Agrek avait perdu son chapeau. La petite boule vivante se mit donc dans une quête frénétique, balançant des noms d'oiseaux sur le noirauds, qui ne se termina que lorsqu'il retrouva le couvre-chef sous une petit tas de neige.
Pendant ce temps, Aerodiüs se reçu de plein fouet le Gryott qui, bien qu'affaiblit par Dardalion, était de plus en plus nerveux. ***
Bah, j'ai pas que ça à faire moi. Faut que j'aille à Oriandre et en plus il va finir par faire des accrocs dans ma robe ce lézard...
*** Et c'est sur ces mots que le doyen se mit à faire tournoyer sa canne, visiblement énervé. Une aura électrisée se forma rapidement autour de lui puis il déversa une pluie de boule de feu sur la créature dont certaines touchèrent droit au but.
Il n'en fallait visiblement pas plus à la bête qui commençait à s'éloigner du géologue. Mais le vieux n'avait pas dit son dernier mot. ***
HAA, LÂCHETÉ DE SAURIEN, REVIENS DONC ICI QUE JE TE TRANSFORME EN MOCASSINS !
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Le Dhiwara 28 Dasawar 1508 à 11h55
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| *** Ainsi le lézard disparu, Da'regh en avait profité pour premièrement chercher un repaire bien placé lui offrant un large panorama. Une fois à l'abri, il se devait de réparer son équipement. Celui-ci le protégeait certes bien, mais il prenait aussi la plupart des coups et se dégradait très rapidement sous les attaques du lézard.
A son réveil, comme il le pensait, le gyrott était réapparu, et apparement, il était d'humeur à se battre. Mais son commandant avait disparu et comme l'artilleur savait que celui-ci affrontait l'amas de lamentations, il décida de régler le compte du reptile.
Plusieurs tirs, seuls quelques uns passèrent à coté de la créature, les autres se figeant directement dans la chair du monstre.
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N'est pas le Bleu celui que tu crois! | |
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Le Dhiwara 28 Dasawar 1508 à 18h58
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| J'ai bien cru que je l'aurais pas aujourd'hui ...
Dardalion regarda le cadavre de l'amas de lamentation. En effet, celui là s'était révélé plus que pénible, mortellement blessé la veille, il s'était régénéré de façon fulgurante pendant la nuit.
De plus, le lézard surdimensionné avait refait son apparition et ils semblaient s'être tous les deux mis d'accord pour souhaiter la bonne journée au Commandant.
Dardalion s'était éloigné en se camouflant, pas assez bien apparemment puisque que l'amas lui avait laissé une belle griffure avant qu'il ne soit à bonne distance pour tirer.
Il avait pensé rapidement cette nouvelle plaie et tiré une flèche sur la créature, qu'il comptait bien achever avant le diner mais déjà Dardalion commençait à faiblir et la flèche suivante serait surement la dernière avant un petit moment. Coup de chance phénoménal, Elle transperça littéralement la cible, mettant fin définitivement à ses jours.
Restait le Gryott et l'akronikar, il allait surement attendre d'avoir récupérer un peu avant de ce lancer contre le second, mais le premier ne payait rien pour attendre. . .
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