Les Mémoires de Syfaria
La région de Korsyne

Quand des ombres sortent du pilier

Ou les évènements anormaux autour du pilier de Korsyne
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Sujet lancé par Tilith
Le 01-11-1508 à 08h11
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Posté par Iandra,
Le 08-12-1508 à 11h32
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Tilith

Le Sukra 1 Nohanur 1508 à 08h11

 
*** Tilith arriva au pilier de Korsyne au pas de course. La distance n'était pas grande entre le pilier et le transport Nemen mais avec cette obscurité il n'avançait pas aussi vite qu'il l'espérait.
Malgré le peu de luminosité il remarqua sans aucune difficulté l'apparition dont tout le monde parlait.
***

junior dit :
Et bien il n'avait pas menti elle est gigantesque.......

Ce qui me conforte dans mon idée que le combat est vain face à un tel être ?

*** Le chevaucheur regarda autour de lui, de nombreux Nelda était venu mais même avec autant de monde il n'était toujours pas persuadé qu'une offensive contre se monstre soit une solution viable.

Il hurla à tous les nelda. ***


Quelqu'un parle le Jurimencien ? Peut être que cette être parle cette langue ?

Quelqu'un parle le Jurimencien ? peut être que cette être parle cette langue ?


Il regarda à nouveau autour de lui cherchant du regard ses compagnons.

 
Sindid

Le Sukra 1 Nohanur 1508 à 14h52

 
*** Cela fait des jours, peut être même des semaines, voir même des mois, que Sindid rode dans la nature sauvage de Syfaria, dans la région de Korsyne bien évidement, et ceci pour but de protéger les voyageurs quelque soit leurs origines et leurs appartenances, ceci est le devoir d'un briseur de cauchemars.

Après avoir vécu la confrontation avec un placide colossale, il fut temps de passé à quelque chose de plus sérieux, une autre créature plus redoutable et qu'en plus de tout elle mesure 6 mètre de long !

Sindid s'avance vers cette dernière qui se tenait au nord du piller de poussière de Korsyne, il saisit sa vouge et se mit en position de schiltron, constituant ainsi une distance de sécurité entre lui et son ennemi, ainsi il pouvait lui infligé des dégâts considérables, et pour la première fois de sa vie, Sindid ne rata aucune attaque, du moins pendant le premier affrontement ... infligeant ainsi des dommages non négligeables à cette créature titanesque. ***


 
S'hilaan Tos'hur

Le Sukra 1 Nohanur 1508 à 15h19

 
*** Le Comptoir de Commerce de Korsyne était en effervescence. Les Baillis criaient des ordres rauques, en échos surgissaient le brouhaha du microcosme commerçant. Tous, marchands, artisans, apprentis, cuisiniers, caravaniers transportaient et réunissaient marchandises, effets personnels et outils de première nécessité. De grands chariots étaient préparés. Une créature titanesque était sortie du Pilier tout proche. Les rumeurs avaient couru. Ceux qui savaient S'hilaan symbiosé le pressait de questions. Celui-ci ne pouvait que répondre avec mauvaise humeur et flou artistique qu'il ne savait pas grand chose sinon que des créatures similaires semblaient émerger de la plupart des Piliers de Syfaria. ***


*** Perdant rapidement patience, le Marchand Nelda se dégageait et tentait de trouver un peu de calme. Poussé par un sentiment étrange de curiosité il choisi de gagner les parties planes et aménagées des toits du Comptoir. Prendre de la hauteur, comprendre, voir... ***


*** Il ne fut pas déçu... ***


*** L'immense tour cyclopéenne ne faisait que mettre en exergue la monstruosité de l'être qui venait d'en émerger, d'en sortir, d'en arriver... S'hilaan n'en avait aucune idée. Immobile la créature ne bronchait pas comme les combattants Hauts-Rêvants s'en approchaient, armés et circonspects.

Malgré la distance de plusieurs lieues, la chose du Pilier demeurait terrifiante, gigantesquement précise... terriblement proche, anéantissant tout sentiment de sécurité. Les guerriers Neldas autour paraissaient ridiculement petits...

S'hilaan ne bougeait pas, le souffle coupé. Tout son instinct, son être ancestral et primitif lui hurlait de fuir. L'attente apparente, l'immobilité surnaturelle du monstre semblait encore plus terrifiante que son aspect et la puissance qui s'en dégageait. Il eut un couinement et secoua la tête. Au loin le Consensus des Confrères bouillonnaient sous l'effet de la surprise, de la colère. Fallait-il qu'ils soient idiots à ce point les Confrères? ***


*** Puis, S'hilaan rompit le contact, les yeux écarquillés parce qu'il était en train de voir. Un combattant Nelda, muni d'une vouge, s'était détaché du groupe des combattants. Et dans un enchaînement terrifiante de vanité aux yeux du Marchand, il entreprit de frapper le monstre. Une corolle de mouvement, des attaques précises... qui ne faisaient que hurler leur inutilité au spectateur éloigné perché sur l'esplanade du Comptoir.

Ce fut le coup de trop. S'hilaan tourna les talons et s'enfuit à grandes enjambées. Fallait-il que les êtres de poussières soient si stupides? Quel animal, quel rejeton engageait-il un combat vain et futile envers un adversaire monstrueux de puissance et de mystère? Lors même que celui-ci ne faisait aucun mouvement? Quelle créature pensante pouvait-elle risquer la vie de ses congénères en provoquant une machine à tuer telle que celle qui se tenait au côté du Pilier de Korsyne?

La peur et la colère brutes envahissaient le Marchand de Comptoir comme il quittait à grandes enjambées le Fundeq, aux côtés des autres Confrères désireux de rejoindre l'abri désormais précaire de Korsyne. ***


*** S'hilaan ne savait pas ce qui risquait d'advenir. Mais quelque chose s'était brisé en lui. Ses Confrères avaient réagis stupidement. Et les Hauts-Rêvants, êtres sages parmi les sages, voyageurs éternels du Rêve, images berçantes des songes du Moush'tin qu'il avait été, ceux-là même entreprenaient des actions aussi stupides, auréolés d'une bravoure vaine et prétentieuse.

L'ombre des remparts de Korsyne était proche. S'hilaan serra son bâton. Il ne savait pas ce qui allait advenir, mais un goût amer ne quittait plus le fond de sa gorge. ***


 
Fenrir

Le Sukra 1 Nohanur 1508 à 17h59

 
*** Après l'anéantissement de la Chiroptère par Livie, le groupe de Chevaucheurs étaient parti en direction du Pilier pour y observer les évènements qui s'y déroulaient.
Fenrir arriva au moment où un Nelda alla directement s'attaquer à la créature. Le combat s'engageât entre les deux protagonistes, mais l'un ne semblait faire que se défendre et ne cherchait (pour le moment) aucunement à agresser les Poussiéreux qui l'entouraient.
Le Nelda se retira ensuite du combat pour récupérer des forces et admirer son "oeuvre". Là encore, Fenrir se surprit à remarquer que l'Ombre ne semblait aucunement vouloir poursuivre le nelda qui venait de l'agresser. Bien au contraire, le Titan (du moins par la taille), était resté à sa position d'origine, et ne bougeait plus comme s'il attendait quelque chose...
Le guerrier qui quelques instant auparavant attaquait la chose sortit du Pilier, non content de son acte, voulez en plus qu'on le renseigne quant à l'efficacité de l'attaque qu'il avait porté.
Fenrir s'approcha donc de celui-ci. ***


« Les blessures que vous lui avait infligé?
Elles sont légères à première vu... Il en faudrait plus que cela pour en venir à bout... Mais est-ce bien raisonnable de l'attaquer? Après tout elle ne s'est pas encore montré agressive que je sache? Ou bien s'agirait-il d'un ordre?

Quoiqu'il en soit, serait-il possible de discuter avec un responsable de votre faction? Mes Compagnons et moi même arrivons de l'Equilibrium et nous nous trouvions dans le voisinage lorsque tout ceci s'est déclenché...
»


*** Fit le Chevaucheur en montrant Livie et Nils.
Puis observant autour de lui la foule qui s'était réuni autour du Pilier. ***


« D'ailleurs, une autre personne devrait également bientôt arriver... »


*** Fenrir, Chevaucheur de l'Equilibrium. ***

 
Varkos

Le Sukra 1 Nohanur 1508 à 21h51

 
*** La traversée du désert fut terrible. Le petit groupe de Nelda croisa des Farryens de Feu, un cactus jactant, un gant d'acrimonie, un mégalithe de perversion, sans compter toutes les créatures qu'ils ne virent derrières des dunes de sable. Ils crurent également être arrivé - pour finalement s'apercevoir qu'un mirage leur jouait des tours. Enfin, la Perle du désert se profila. La cité paraissait calme vue de la hauteur d'une dune de sable. Mais il en était tout autre à l'extérieur. ***



Polki dit :


Je perçoit des Mous "étrangers". Ainsi qu'une créature inhabituelle, qui respire l'entropie. Un certain Fenrir semble également chercher une autorité locale.



*** Le Nelda parcourut les derniers pas vers le pilier et put observer un bien étrange spectacle. Une impressionnante créature se tenait près du pilier de poussière, immobile, semblant presque ne preter aucune attention aux êtres de poussière à proximité de lui. Sindid semblait tenter de porter des coups au colosse, puis recula de quelques pas. Varkos passa prudemment de l'autre coté du pilier et fit le point sur les forces en présence. ***



Polki dit :


Toujours cette étrange pénombre. Toutes les pensées télépathiques que je capte s'interrogent encore sur ce phénomène. Veux-tu que j'essaye de communiquer avec l'Ombre?



Pas encore. Essayes de glaner des informations auprès des troupes de Jypska et des Neldas des autres factions.


*** Toujours par prudence, le Veilleur du Rêve s'entoure d'un protection magique et élève sa pensée pour voir au-delà de l'Ombre. Ne voyant qu'une seule Ombre pour le moment, il se concentre et essaye de percevoir ce qui entoure cette dernière et le pilier. ***


Ordre, Conscience Apprentissage, Durée.
Artisan bijoutier de l'Ordre

 
Tilith

Le Sukra 1 Nohanur 1508 à 22h35

 
*** Il régnait une grande agitation autour du pilier. De nombreux poussiéreux couraientt dans tout les sens. Il était facile de reconnaitre les symbiosés dans la foule, c'était les seul qui ne fuyaient pas le monstre, on pouvait penser qu'ils étaient attirés
Un nelda se jeta sur la créature avec une violence inouïe. Tilith fut impressionné par la violence du l'attaque mais les blessures infligés semblait bien insignifiantes.
Un autre nelda s'approcha du combattant, il reconnu Fenrir. Le jeune chevaucheur se fraya un chemin à travers la foule pour se rapprocher. Il posa la main sur l'épaule de Fenrir
***

Om'shir Fenrir.

*** Puis il se tourna vers le guerrier haut rêvant. ***


Héjià, je me nomme Tilith, je suis un ami du Thécléote d'Emyon. c'est lui même qui m'envoie auprès de votre population pour vous prêter main forte au pilier de Korsyne. Mais je ne sais pas qu'elle sont les ordres que vous avez reçu mais j'ai bien peur que les attaques physique contre..Tilith hésita en regardant l'ombre sortit du pilier...cette créature soit efficaces.
Je sais que cela peut paraitre bizarre mais je pense pas qu'ils vont nous faire du mal.....enfin pas dans l'immédiat. Mon ami à raison il faut d'abord que l'on voit un de vos responsable ici. Ils faut que l'on trouve une solution ensemble. C'est notre complète désorganisation entre faction qui à permis à sieur fFlymeur de faire ceci.


*** Tilith regardait le guerrier droit dans les yeux. Le temps leur était compter Tilith ne savait pas pourquoi mais il le sentait au plus profond de lui. Il fallait une réponse rapide et commune à toutes les factions pour enrayer le phénomène ***

Pourrions nous voir un représentant de votre faction ?

 
Sindid

Le Sukra 1 Nohanur 1508 à 22h40

 
*** Quand Fenrir répondit Sindid, ce dernier commence à réaliser l'ampleur de l'erreur qu'il avait commise ... ou plutôt une précipitation de la part du Nelda ... mais le truc c'est que ces derniers temps, Sindid plongea dans une paranoïa totale contre toute sorte de créature sauvage ... et tout ceci est dut à ces semaines passé à combattre pour rendre la vie plus facile aux poussiéreux qui sont à Korsyne et ces environs.

Ceci dit, se précipiter et agir vite sont deux choses largement différentes, et Sindid a comprit la leçon désormais.

Pour ne pas provoquer la colère de la créature maléfique, car cette dernière cherchera surement sa revanche, Sindid entreprit sa retraite petit à petit, jusqu'à disparaitre derrière les dunes ... ***


 
Narrateur

Le Dhiwara 2 Nohanur 1508 à 00h48

 
La créature, durant de longs instants, ne réagit aucunement à toute l'agitation qu'elle provoquait autour d'elle.
Elle restait immobile, à contempler un ciel taciturne...

Puis Sindid attaqua.
Avec une extrême violence, il taillada dans la masse de l'être d'ombres, amenuisant sa cohésion.
Les coups pleuvaient, tandis que la créature ne semblait pas véritablement réagir à son plein potentiel, se contentant de repousser de ses griffes le Nelda courroucé...

Puis le combat cessa.
Contrairement aux créatures qui avaient déjà été attaquées à d'autres endroits de Syfaria, celle-ci ne se déphasa pas...
Elle tourna son attention vers les poussiéreux présents, et sembla les évaluer durant de longues secondes.
Puis son regard se porta sur ses blessures.
Enfin, elle hurla longuement vers le ciel, d'une voix rauque et emplie de détresse. Un cri de rage et de stupeur mêlées !

Alors seulement les ombres bougèrent.
La créature se déphasa durant un très bref instant, puis se tourna vers la cité toute proche.
Et elle commença d'avancer, balançant ses bras et ses griffes de tous les côtés, attaquant violemment quiconque était à sa portée.
Elle s'arrêta aux portes de la ville.

Alors seulement elle cessa son combat furieux.
Plusieurs gardes femelles non symbiosés gisaient là, les tripes à l'air.
Des tentes avaient été renversées, un début de feu prenait corps dans une des tours de défense.
La créature retrouva son immobilité, et se tourna de nouveau vers le ciel.
Mais dorénavant, quiconque s'en approcherait éveillerait sa vindicte, et vouloir l'observer de près ou même tenter de communiquer avec elle était devenu bien plus dangereux !


 
Mraw'La

Le Dhiwara 2 Nohanur 1508 à 07h42

 
***
Elle avait espéré une quelconque métaphore, chères au poète.
Et zut,
Même si certaines étaient terribles, aucune ne pouvait rivaliser ce qui se cachait derrière le pilier.

Mraw'La était près de Morora,
C'était trop gros, trop froid, et ça avait l'air bien trop méchant pour qu'elle réussisse à prendre une décision.
Des pensées lui passaient par la tête, en coup de vent, absolument inutiles.

C'était... Comme une rencontre avec une belle mère.
On la croisait, on ne savait pas trop bien pourquoi, elle le savait surement, c'est gros, c'est froid, et ça a l'air méchant.
On reste timides, l'un en face de l'autre, avec un sourire poli et des poignards dans les yeux.
Mraw'La lui fit un sourire poli.
Mraw'La ne pouvait pas voir ses yeux.
C'est donc impossible à vérifier....
Hum... A moins de se renseigner.
Ca se préciserait si Sindid avait effectivement une très méchante belle mère.

Par les Quatre !
Elle eut l'impression de perdre ses vêtements, ses poils, sa peau, en entendant l'horrible hurlement.
Une pensée pour les grognements de Shaël, qui étaient à côté d'une agréable poésie. ( Même quand il était vraiment, vraiment énervé, c'est pour dire. )

Les pensées idiotes courent se réfugier ailleurs.
La bête a bougé.
Eux non.
C'était bien trop soudain, bien trop incontrôlable de toute manière.

Ses amies, ou des inconnues ?
Elles sont méconnaissables.

Son coeur, à elle, bat. Trop vite, trop fort.
La panique l'envahit.

Les bêtes, a l'affut de toutes sortes de nourriture dans le désert hostile ne tarderont pas à s'approcher, attirées par l'odeur du sang.
Elle gémit.
Les idées sottes, naïves reviennent.
Eveiller une quelconque fibre maternelle chez le bourreau pour ses victimes. Il s'occupera bien, lui, coupable, de protéger le reste des vivants !
A oublier.
Vent, sort celle-ci par l'oreille droite.

S'occuper des vivants.
Qu'ils rentrent.
Ou non.
Les Rêvants à l'intérieur, elle les voit.
Allongés, endormis, ou défoncés.
Ils seraient mis en danger
C'est eux qu'il faut protéger.

Elle jette un coup d'œil à ceux qui l'entourent, à ce qui l'entoure...
Du feu.
Dans la tour.
C'est pas comme si l'eau était précieuse, au plein milieu du désert...

En passant derrière les quelques tentes éventrées, profitant du fait que l'ombre sonde le ciel ( Ne peut-il pas prévoir un peu de pluie ? ), elle se dirige vers la ville pour récupérer de l'eau. Et des bras. Attachés à des corps qui bougent, de préférence.

Il lui vient l'idée, s'ils n'en trouvent pas assez, d'aller vers la maison des parents de Penthésilée. Tanneurs, et donc avides de récolter l'urine de tous ceux qui passent, ils auraient peut-être chez eux assez de liquide...
***


***
Le ridicule ne tue pas
- dit-on -
Et heureusement parce que sinon
On ne compterait plus ses trépas.
***

 
Tilith

Le Dhiwara 2 Nohanur 1508 à 10h06

 
*** Tilith regarda son interlocuteur, disparaitre dans les dunes. Laissant sa question en suspend....
Il regarda Fenrir avec un air interrogateur ***


J'ai dit quelque choses de mal, ou je sent vraiment .....


*** Il n'eut pas le temps de finir sa phrase qu'un hurlement le glaça le sang. L'ombre se dédoubla et fonça sur les poussiéreux.
Le jeune chevaucheur ne s'écarta pas assez vite du passage de l'ombre d'exaltation, il fut balayer comme un fétu de paille et alla rouler dans le sable, le bras en sang. ***


junior dit :
ça va ?


il ma pulvériser le bras mais je suis pas mort....

*** Il se releva péniblement et ne put que constater les dégâts. Il n'avait pas été le seul à avoir voler. il y avait des corps partout, le sable commençait à rougir par le sang. Les poussiéreux couraient dans tout les sens, la panique et la désorganisation était total.
La seconde ombre se trouvait devant l'entrée de la ville. et le feu commençait à grignoter une des tours.
D'un rapide coup d'œil il chercha ses compagnons qui se trouvait toujours prés du pilier, il se rapprocha d'eux et leur parla.
***


il faut faire quelque choses au moins mettre à l'abri les non symbiosé.

*** Il regarda autour de lui dans l'espoir de trouver une idée. ***


il faudrait arriver déjà à éloigner l'ombres de la ville.

 
Fenrir

Le Dhiwara 2 Nohanur 1508 à 10h27

 
*** Alors que Fenrir et Tilith observaient avec curiosité la réaction de Sindid qui s'éloignait lentement sans répondre aux interrogations et demandes que les Chevaucheurs avaient émises, l'Ombre d'exaltation s'anima soudainement comme si elle venait de prendre conscience de ce qu'elle venait de subir et qu'elle paniquait.
Vint ensuite sa lente progression vers Korsyne et le massacre des Poussiéreux qui traînaient sur sa route.
Enfin elle s'arrêta aux portes de la cité, mais dorénavant, elle montrait des signes d'agression à tout ceux qui s'approchaient trop près d'elle. L'ordre de ne pas attaquer la créature, qu'avait donné un autre Nelda, risquait de ne pas tenir bien longtemps dans ces conditions... ***


« Et merde!
On dirait qu'on lui fait peur maintenant!
Va falloir trouver un moyen de la calmer si on veut pas tous finir en charpie!
»


Loki dit :
« T'as qu'à essayer de lui dire de se calmer... »


*** Plaisanta sombrement Loki. Mais cette plaisanterie trouva un écho dans les oreilles du Nelda, et la demande de Tilith de tenter de communiquer avec l'Ombre également. ***


...

Loki dit :
« Tu ne penses tout de même pas faire ce que je viens de dire?!
Je plaisantais tu sais! J'ai pas particulièrement envie de te voir finir en hachis de Nelda!
»


« Comme on dit: "Qui ne tente rien n'a rien". Ou bien tu préfères celle-ci? "La Chance sourit aux audacieux"?
Quoiqu'il en soit, si on la calme pas, elle risque d'être à nouveau agressé, et cette fois, elle pourrait ravager la Cité et ses habitants...
»


*** Le Chevaucheur se dirigea vers la Chose avec la ferme intention de lui dire de ce calmer. Croisant néanmoins les doigts pour ne pas finir démembré par celle-ci alors qu'il tenterait de l'approcher... ***


*** Fenrir, Chevaucheur de l'Equilibrium. ***

 
Fenrir

Le Dhiwara 2 Nohanur 1508 à 10h54

 
*** Fenrir s'approcha autant que possible de l'Ombre tout en essayant d'échapper à sa vision pour éviter de ce faire mettre en pièce avant même de commencer à tenter de parler avec. Finalement, après quelques effort pour rester caché aux yeux de la titanique créature, le Chevaucheur se retrouva à quelques mètre seulement de celle-ci. Alors qu'elle attaquait un x-ième Poussiéreux trop proche à son goût, Fenrir choisit ce moment pour tenter de lui parler, ou plutôt de lui crier. ***


« Oh! Le titan! Si tu pouvais te calmer ça arrangerait pas mal de monde! »


*** Ne sachant pas si elle pouvait comprendre le Shaï, la langue de l'équilibre, le nelda se mit également à lui demander de se calmer dans d'autres langues. D'abord, la langue des Neldas, après tout il s'agissait du Pilier de Korsyne. ***


« Calmes toi donc! Tu ne vas tout de même pas te laisser impressionner par un Nelda indélicat! »


*** Vint ensuite la langue de Témoins. Sait-on jamais... Les vortex y avaient réagit eux... ***


« Un peu de calme s'il te plait! On ne souhaite pas te faire de mal! C'est juste un malentendu! »


*** Il tenta ensuite le Tchaë, bien qu'il ne soit pas particulièrement habile dans celle-ci. Mais, vu que c'était "grâce" à un Tchaë que la Chose était sorti... ***


« Bon... A nouveau je te demande de te calmer! On va tout de même pas se battre pour une erreur d'un jeune! »


Loki dit :
« Vu qu'elle sort du pilier construit par les ancêtres des Nemens, peut-être que leur langue lui est familière? »


« Je peux toujours essayer... »


*** Finalement, Fenrir tenta le Nemen... Les Piliers n'étaient-ils pas la création de leur ancêtre? ***


« La grande Ombre! Est-ce que tu me comprends si je te demande de te calmer? »


*** Le Chevaucheur ne connaissait malheureusement pas suffisamment les autres langues pour faire plus. Il ne restait donc plus qu'à attendre une éventuelle réaction de l'Ombre courroucée tout en restant derrière le pan de mur qui le tenait caché aux yeux du Titan. ***


*** Fenrir, Chevaucheur de l'Equilibrium. ***

 
Varkos

Le Dhiwara 2 Nohanur 1508 à 13h47

 
*** Varkos secoua ses poils pour l'en débarrasser des grains de sable qui le recouvrait. La réaction de l'Ombre avait été soudaine, et les dégâts considérables. Lui-même n'avait échappé au pire que grâce à l'armure magique qui le protégeait. Il évalua la situation et décida de prendre les choses en main. ***



Votre attention!


*** Il patienta quelques instants que les Rêvants et les étrangers présents lui prête attention. ***



Je suis Varkos, Veilleur du Rêve et Favori de Toh, l'Ordre. Nous allons nous organiser pour réparer les dégâts dans un premier temps, puis examiner et mettre en commun nos connaissances sur ces Ombres apparues près de certains piliers de poussière.


*** Il désigna d'un geste Mraw'La, qui s'en allait quérir de l'eau pour éteindre le feu qui menaçait la cité. ***



Que ceux qui le veulent nous aident à porter de l'eau jusqu'à la tour en flamme. Puis nous verrons ensemble quelle attitude tenir face à cette Ombre qui n'a fait que se défendre. Je ne blâme pas notre courageux guerrier, qui a agi suivant son instinct. Mais à partir de maintenant, je ne veux plus d'actes inconsidérés sur mon territoire.


*** Varkos marque une brève pause avant de terminer. ***



Et ceci est valable tant pour les Rêvants que pour les étrangers présents en ces lieux.


Maintenant, au travail, il y a un début d'incendie à éteindre.



*** Varkos se dirige sur les pas de Mraw'La pour aider la chaine qui se forme pour porter les sceaux d'eau. Tout en espérant secrètement que les Quatre les aideraient à résoudre cette épreuve. ***


Ordre, Conscience Apprentissage, Durée.
Artisan bijoutier de l'Ordre

 
Sindid

Le Dhiwara 2 Nohanur 1508 à 15h35

 
*** La fin de Sindid est proche, que dire de plus, il avait franchit la ligne de non retour ou bien il n'a fait que provoqué ce que tout le monde chercher ... sa fin ...

Mais de ce qui est des dommages irréparables, le cap est déjà franchit, il s'adressa donc à Varkos. ***


Veilleur Varkos, vous êtes une des rares personnes en qui je peux faire confiance, comme tu sais que j'ai commis une grave erreur, et les conséquences de mes actes ne font que s'alourdir, et j'ai comme l'impression que je vais y laissé ma peau d'une façon ou d'une autre ... donc je me tien directement à vos ordres pour cette dernière mission ! Donc que ce que je peux faire !

*** Une pensée faite pour Morora qui le défendait dans le consensus des Hauts Rêvants ... contre ceux qui cherchaient sa perte en pilonnant les pensées communes par de nombreuses hyperboles et exagérations comme si peux être Sindid été la plaie de Syfaria toute entière ...

Tout se mélangea dans la tête de Sindid ... les souvenir du passé, le bon vieux temps de la meute à l'époque de Boaz ... ceci dit, sa paranoïa, sa déduction ou peut être même une forme de folie, le mène même à supposé que cette créature est en mèche avec ceux qui l'accusaient car aussitôt les accusations tombaient comme la pluie, l'incendie se déclencha dans Korsyne et les goutes de sang qui vont avec ... mais sans importance, ainsi les Quatre l'ont voulut ! Ainsi Sindid fera face à cette épreuve même si sa doit lui couté la vie ! ***


 
S'hilaan Tos'hur

Le Dhiwara 2 Nohanur 1508 à 16h08

 
*** De loin en loin, de paroles en cris, de rumeurs en chuchotements les évènements parvenaient en bribes au Marchand. L'attaque du monstre, un incendie. L'odeur qui se répandait à présent ne faisait que confirmer cela.

De l'aide était requise. De tous, Hauts-Rêvants et étrangers. ***


Foutrailles qu'y s'démerdent les Poilus! Moi j'me terre et j'sors plus, pas mon problème pensa S'hilaan.
*** Réaction première, certes commandée par la peur mais également par un réflexe Confrère prononcé : l'aide est une chose gratuite, sans grand intérêt. Mieux valait prendre de la hauteur. Puis... ***


dit :
Hé bien, hé bien...

Tu ne réfléchis pas beaucoup mon habile commerçant.
Certains profits n'apparaissent que longtemps après, mais sont bien plus profitables...


*** Intervention soudaine et rare du Mou accompagnant le Nelda. D'abord surpris le Marchand laissa échapper un grognement de colère devant le conseil impromptu de la petite créature télépathe. Avant d'y prêter plus attention.

Quelques minutes plus tard, un Nelda franchit les portes de Korsyne, à contre-sens des réfugiés fuyant l'incendie, le chaos et la créature. S'hilaan pestait à tout vent, à voix haute sous son turban. Serrant son bâton, il avança d'un pas décidé vers les lieux du sinistre pour offrir son aide.

Cette entreprise est loin d'être simple. La foule est nombreuse, de nombreux combattants Neldas circulent en tout sens. L'odeur du feu agresse les narines du Marchand et la peur de vor surgir l'immense créature au détour d'une ruelle, d'un bâtiment le tenaille. Mais comme un saumon remonte le courant, S'hilaan joue des épaules et des coudes pour trouver la source d'où s'échappe le flux des Hauts-Rêvants. Une chaîne organisée commence à prendre forme.

Lentement, avec circonspection le Marchand tente de déterminer en quel sens ses efforts seraient les plus profitables, où intégrer le système qui se met en place. ***


 
Mraw'La

Le Dhiwara 2 Nohanur 1508 à 17h26

 
***
Intégrer le système.
Mraw'La essaie de pas trop le désintégrer pour le moment, en se concentrant bien pour passer les seaux d'eau sans trop en renverser.

Malheureusement, elle n'est pas très agile, et la lourde masse du marchand devant elle, d'un coup, comme ça... Ben elle n'a pas le temps de l'éviter.

Splach
Bizutage rapide, efficace, mouillé.

Elle lève les yeux, penaude.
Etonnée.
Contente, un peu, au fond, il doit pas être là pour rien.
Surement pas.
***


S'hilaan !
Hum... Pardon.


***
Elle reçoit déjà le seau suivant, qu'elle lui fourre dans les pattes, la chaine s'organisant de mieux en mieux,
Pendant les quelques secondes de battements, elle s'enlève les poils collés par la sueur qui lui couvrent les yeux. Il a un grand sac.
***


Pourriez vous porter mon arme qui me gène ?



***
Le ridicule ne tue pas
- dit-on -
Et heureusement parce que sinon
On ne compterait plus ses trépas.
***

 
S'hilaan Tos'hur

Le Dhiwara 2 Nohanur 1508 à 19h38

 
*** Même pas le temps de demander.
Il est trempé. ***


*** Même pas le temps d'aboyer.
Il est sollicité. ***


*** Même pas le temps de râler.
Il faut se dépêcher. ***


*** Voilà donc le Marchand au sale caractère maillon d'une chaîne avant même d'avoir compris comment il a fait pour s'y intégrer. ll reçoit un seau. Il le passe au Nelda le plus proche de lui qui, lui, ne semble pas étonné de se voir confié pareil récipient. ***


*** Inconsciemment, il s'ébroue. Et retourne vers Mraw'La pour prendre un autre seau. ***


*** Mraw'La? ***


*** Ah oui! Mraw'La! C'est elle qui vient de l'asperger et de l'intégrer dans la file des contre incendiaires... S'hilaan est totalement désorienté, comme si ses gestes, la situation et sa pensée fonctionnait sur trois rythme différents. D'autant plus que la Briseuse de Cauchemars lui tend une bardiche. ***


*** Une bardiche? ***

*** Ah oui! Une bardiche! ***


Non, non passez... Je euh... passez!
***
Un grand sac, pour sûr qu'il en a un. Enfin de là à faire tenir une arme de plus de deux mètres... Le prochain seau va bientôt arriver. S'hilaan prend la bardiche, décroche son sac, il fait trois enjambées et dépose tout son bardas contre une toile de tente. Pas loin. Il sait que personne ne pourra lui voler, une partie de son esprit va rester en permanence focaliser sur les objets. Enfin, si quelqu'un veut s'y risquer, il a tout intérêt à être habile et à courir très vite... Pensée stupide se dit S'hilaan. ***


*** Il réintègre la chaîne. Un seau lui tombe dans les pattes. Il court vers le prochain maillon, lui tend le seau... ***


 
Tilith

Le Dhiwara 2 Nohanur 1508 à 21h24

 
*** Tilith était encore tout engourdie par le choc qu'il avait reçu, son cerveau semblait marcher au ralentie. Il voyait les neldas s'agiter dans tous les sens mais ne semblait pouvoir participer à aucune actions.
C'est son ancien Nêrhe qui le sortit de sa torpeur, il s'était approcher de lui et appliquait un bandage sur sa plaie pour arrêter le saignements. Il noua d'un coup sec un tissus autour du bras de Tilith, et lui fit signe de la tête en direction des blesser.
Son cerveau se remit en marche et sans un mot acquiesça, il se retourna vers Fenrir. ***


On te laisse t'occuper de ses gros bébé....si jamais tu avais l'idée de les regroupés prés du piliers, et ceci sans faire de blesser, te gêne surtout pas..Tilith eu un petit rire puis fonça sur le blesser le plus proche de lui.


*** Tout en prodiguant les premiers soins il jette un rapide coup d'oeil autour de lui, et trouva immédiatement ce qu'il cherchait. La seul Tydale présente au milieu de tout ces nelda. Il fit des signes à Livie et lui envoya un message télépathique. ***


Citation :
Si jamais tu sais pas quoi faire on aurait bien besoins de tes talents de guérisseuse par ici


 
Livie

Le Dhiwara 2 Nohanur 1508 à 22h20

 
Livie qui était restée en retrait depuis un moment accueillit les parole de Tilith avec soulagement.

Ne parlant ni la langue locale ni le nelda, elle ne comprenait pas grand chose a tout se qui se racontait autour d'elle et ne trouvait pas sa place.

Elle s'approcha des gardiennes déchiquetés par l'Ombre et s'agenouilla à leurschevait. Pour deux d'entre elles s'était déjà trop tard. Pou trois autres elle pouvait les sauver du trépas.

Aussitôt elle commença ses invocations et referma rapidement les blessures de la premiére. Elle n'avait pas encore la grande forme, mais elle survivrait. Elle s'interressa ensuite au deux autres et rapidement leur tat s'améliora. Ils étaient sortie d'affaire.

Elle se redressa et chercha du regard d'autres personnes a secourir...


Si vous avez besoins de soins je suis là ...

Erween dit :
je crois qu'ils ont rien compris....


tout est dans l'intonation de la voie Erween, et ils ont tous vue se que je venais de faire, ils ont donc compris.





 
Lysaline

Le Luang 3 Nohanur 1508 à 02h26

 
*** Lysaline avait courru a travers la cité a la suite de ses amies, foncant vers les portes. Aprés avoir difficilement passer a contre-courant le flux des fuyards du souk, elle parvient enfin au seuil de la cité pour découvrir une scéne de chaos et de carnage.

Plusieurs neldas gissent sur le sol du marché, leurs rales et les cris de detresse emplissent l'air. Une épaisse fumée noire monte de l'une des tour, le long des remparts, en flamme. Une chaine s'est formée pour acheminer l'eau au plus vite depuis les puits a proximité. Les Gardiennes se sont rassemblées, sabre au clair, devant les portes de la ville et "lechent" leurs blessures. Et de l'autre coté de ce champ de bataille, une ombre immense, un colosse qui se tient immobile, comme observant les fourmis s'agiter apres un coup de pied dans la fourmilliére.

Dans cette confusion, la jeune reveuse appercoit des visages connues : Iandra occupée a guérir des blessés, Varkos qui organise la chaine, Mraw'La qui améne des seaux d'eau ... Sans attendre, la jeune nelda fonce auprés des blessés, examinant leur état, utilisant sa magie et ses plantes pour limiter les hémorragies et faisant évacuer les survivants. ***


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