Les Mémoires de Syfaria
Hors de toute région civilisée

Direction Arameth

Un pédagogue va fêter chez les Six
Page [1]
Détails
Sujet lancé par Bakean
Le 13-01-1509 à 03h50
14 messages postés
Dernier message
Posté par Bakean,
Le 04-03-1509 à 22h06
Voir
 
Bakean

Le Matal 13 Jangur 1509 à 03h50

 
**** Les murs de Zarlif était loin derrière Bakean. Il n'était évidemment pas rassuré, au vu de ses derniers voyages, mais il préférait toujours aller de l'avant, ne pas rester sur ses acquis... Tout du moins il essayait de s'en convaincre.

Sa marche était ralenti par la marche, et il peinait à rester sur la route couverte de poudreuse. C'est à la deuxième fois, ou il tomba dans la neige qu'il maudissa franchement le P'ken'Ssark et Flymeur d'avoir causer cette chute de température.

Il plaignait Tchaë et Tydales qui n'avaient pas sa fourrure de Nelda, et était donc peu réchauffé par ce grand froid. Bakean partait donc pour Arameth pour participer à la fête, il avait décidé après de nombreux conseils et avertissement de ne pas y aller à pied à cause de la dangerosité du cordon, Bakean avait rassemblé ses économies, puisque la commande de son Lannaë de sécurité ayant été retardée, et de prendre le transport Nemen de Syrinth pour Arameth.

Il ne lui restait qu'à faire la route. Et bien sur, il prenait son temps, camouflage et soin d'urgence étant ses deux activités préférés. il comptait terminer l'instrument sur lequel il travaillait puis de travailler l'entropie sur la route, puis le soin d'urgence bien evidemment.****


Bakean : Spécialiste de la découpe de chevaux en quatre... De cheveux aussi.

 
Bakean

Le Merakih 14 Jangur 1509 à 13h49

 
**** Cela faisait quelques jours qu'il marchait, et bien que la route soit difficile à pratiquer du à la neige, il commencait à apprécier la blancheur du paysage.

Le froid ne le brulait presque plus à force d'habitude, et si les nuits étaient rude, le vent glacé lui donnait une sensation de pureté qu'il ne saurait décrire.

Les abbérations semblaient elles-aussi calmée par le froid. Peut être qu'elles étaient décimées ou qu'elle cherchaient des régions plus chaudes, ou qu'elles hibernaient, mais actuellement il n'avait croisé aucun rejetons qui cherchait querelle.

Peut de symbiosés aussi, avec la rigueur du temps, il fallait un certain courage et un but précis pour s'aventurer hors des villes par ce froid, il était facile d'en mourir durant la nuit, et recouvert de neige, il faudrait un temps très long avant que quelqu'un vous retrouve si vous êtes aux portes de la mort mais n'arrrivez pas y entrer.

En gros, il était seul, cela faisait deux jours qu'il n'avait parler à personne, même son mou s'était calmé devant soit la beauté du paysage soit sa solitude. Il avancait donc en silence contemplant ce qui les entouraient, sans mot dire.

Quand au loin sur ce qu'il pensait être la route, Bakean aperçu un symbiosé, ou une abbération, il ne saurait dire. Il fut rassuré d'une chose, il était toujours sur la route, la neige avait recouvert les dernières traces de passage depuis un certain temps déjà et il craignait d'être de nouveau perdu.

Passée l'emotion de joie de n'être pas perdu bakean se rendit compte qu'il était tout de même préférable de se mettre en garde au cas ou se serait une abbération. Mais il reconnu l'Archonte de Syrinth, Almathur, il se souvenait soudainement que le maire lui avait proposer d'acheter quelques-unes de ses potions, il l'interpella donc ****



Archonte, comment cela me fait plaisir de vous revoir.


Baak dit :

Hein.... Quoi ?! Gné... De la compagnie, super !!!!!


Le mou à peine réveillé suivit et dépassa Bakean qui avancait à pas pressé vers le Tydale.


Bakean : Spécialiste de la découpe de chevaux en quatre... De cheveux aussi.

 
Bakean

Le Vayang 16 Jangur 1509 à 03h13

 
**** l'incernable Archonte avait laissé à Bakean quelques potions à payer plus tard, des potions de soin, de cicatrisation et anti-poison, Almathur avait du entendre parler de ses dernières mésaventures, ou avait il pressenti la situation dans laquelle se trouvait Bakean deux jours plus tard, Dans l'Hatoshal, encore une fois perdu....****

Mais c'est pas possible... Je suis passé par l'Est et non par l'Ouest comme j'aurais du, ça ça été établi. Bon a priori ça c'est pas grave, j'avais du temps et ça me laissait l'occasion d'aller à Syrinth boire une chopine.

**** Pendant quelques secondes l'esprit de Bakean vagabondait à l'idée d'une taverne bien chaude une chopine à la main et ses amis non-symbiosés du Joyeux pilier ainsi que ses amis symbiosés, Mais il trébucha sur une pierre qui reveilla ses crampes atroces.****


Argghhhh ! Nom de la Dame!!
C'est pourtant pas compliqué après le chemin de l'est je marche un peu dans l'Hatoshal, vers l'Ouest je crois. Ou au sud-Ouest, je sais pas, et puis je tombe sur Syrinth. Ca semblait facile.
Il a fallu que je fasse du Zèle, à lancer des sorts comme un malade, quel bel entropiste je fais, ce que ça fait mal le sort Jambes de feu. Ca c'est sur on parcours des distances à une vitesse phénomales mais qu'est ce qu'on subit après. En plus cette vermine de loup qui m'attaque sans prévenir.


Baak dit :
C'est pas le princi...


... Tu vas pas commencer, je suis maudit de la Dame et aux portes de la mort, encore, alors ton cynisme je m'en passerais.

Baak dit :
Si on peut même plus plaisanter, t'inquietes Syrinth est pas loin, je peux la sentir, faut juste la trouver avant de mourir


**** Baak, le mou de Bakean qui mis à part leur nom n'ont peu de choses en commun, ponctua son verbe d'un rictus qui ressemblait fortement à un sourire, mais sans bouche, difficile à décrire.****

Mais je sais j'ai entendu Veiglaah moi aussi, on doit pas être loin de la porte Est, mais encore faut-il l'atteindre. SSarkebleu qu'est ce que j'ai mal au jambes. Bon arrêtons nous deux minutes j'en peux plus.


**** Au milieu des sombres bois de l'Hatoshal, qui laissait difficilement passer la beauté et la lumière de la lune, Bakean jurait comme un tavernier sur la douleur de ces jambes, des noms d'abbérations et des propos incensés enervait les bêtes qui loin de craindre les abbérations aspiraient juste à dormir.

Demain sera un autre jour, faut il esperer. Syrinth doit être trouver sinon, ce sera la fin de l'épopée.*****


Bakean : Spécialiste de la découpe de chevaux en quatre... De cheveux aussi.

 
Veiglaigh

Le Vayang 16 Jangur 1509 à 17h57

 
***
Veiglaigh remontait vers le Nord et la cité de Zarlif avec certains des Surveilleurs de son groupe.

Ses sens développés et son habitude de parcourir Hatoshal en tous sens lui permirent de détecter rapidement la présence du pédagogue qui semblait quelque peu perdu.

Le souci c'est qu'il était perdu entre un Loup malfaisant et un Akrotykar pestiféré.....Deux abominables perversions du S'sarkh.

Le Preux entreprit de la guider au son de sa voix pour qu'il rejoigne le sentier sillonnant la forêt en direction de la Sainte cité de Syrinth.
***
Bakean !

Sauve-toi de là !

Il y a un loup et une autre atrocité non loin de toi. Reviens vers le Sud-Ouest....Suis le son de ma voix !



 
Bakean

Le Vayang 16 Jangur 1509 à 19h33

 

Gloire à la Dame, Gloire aux surveilleurs !

Veiglaigh, je vous entends, j'arrive, enfin j'essaye...

Baak dit :

Sauvé !! Heureusement que les surveilleurs de l'Equilibrium ont l'amabilité de faire office de guide forrestier


**** Le Preux à la rescousse, Bakean suivit tant bien que mal les indications lancée à haute voix. Quelques branches vicieuses et deux trois arbres manqués de près vinrent egayer le voyage original. Le loup Malfaisant a tenté de le réattaquer mais dans sa course vers Syrinth Bakean avait réussi à l'éviter il faisait même fi des crampes aux jambes qui le tenaillait depuis la veille.

Tout en courrant, et en changeant de chemin fréquemment, afin de semer le loup, d'éviter de se prendre des arbres et d'éviter les arbustes qui donnaient la gratouille, Bakean réflechissait aux propos de Baak. ****


C'est vrai qu'avec l'Hatoshal, comme protection, les surveilleurs doivent souvent devoir reorienter les Visiteurs detenant un titre de déambulation, ou les jeunes symbiosés aventureux. Je me demande si un tel poste existe au sein de la hierarchie. gardien des voyageurs en fôret, guide d'Hatoshal...

Baak dit :
Sauveur des Equilibriens désorientés ??


*** Bakean ne pris pas la peine de rabrouer son mou impértinant, en effet, le soulagement l'avait atteint. Entre une rangée d'arbres il avait atteint la route, et avec la vision qu'elle lui offrait il voyait les murailles de Syrinth et les toits fumants où il devait faire bien chaud. Il cria sa joie.****


Les portes de Syrinth enfin !!

Veiglaigh, Derynn de votre aide, j'ai réussi à trouver mon chemin et je suis arrivé là ou je voulais aller, puisse la Dame guider votre chemin...


Baak dit :
Mieux qu'elle guide le tien


..... Bonne journée Surveilleurs. et Derynn encore.

Bakean : Spécialiste de la découpe de chevaux en quatre... De cheveux aussi.

 
Bakean

Le Luang 26 Jangur 1509 à 14h51

 
****Voilà une semaine que Bakean avait posé le pied dans la Sainte cité. Aidé par les Equilibriens aux portes de la ville, il était entré fier comme un Nelda de sa traversée sans mourir.

Et aujourd'hui il était repartait à l'aventure, jusqu'au transport Nemen****



Un bon air frais, voilà qui est dégrisant, parce que là, entre l'omelette, les chopines et le Tchaë bizarre j'ai un de ses mal de crane.



**** Bien qu'il parlait, il marchait tout seul, kvethan ayant été, "retenu" à la taverne par une jolie tydale, ou peut être un créancier, Bakean n'avait pas bien vu, il avait juste acquiescé aux formules d'au revoir de son ami Tydale.****


Et beh, moi qui pensait avoir un guide pour la route, me voilà dans de beaux draps. D'ailleurs Ca y est, on arrive à la fin de cette route, il est temps d'entrer dans l'Hatoshal.


**** Le temps d'effectuer, une prière d'entrée dans un sanctuaire sacré, et une pour assurer sa survie, il pensa au Créateur Yédelis, qui lui devait un Lannaë de sécurité. Celui-ci trop occupé par son travail n'avait pas pu lui livrer en temps et en heure sa commande pour une cape de protection, qui lui serait bien utile maintenant. Il ne lui reste plus qu'a avancer faut croire, dans son plus simple appareil *****


Bon on va courrir hein Baak ?, parce que bon, on sait pas sur quoi on va tomber, et autant l'éviter vite fait, bien fait. Un peu de camouflage et ça va bien se passer.


**** Il avancait dans la forêt en pensant au Tchaë, Askook, qui faisait ça toute sa vie, aller de ville en ville, et affronter les dangers de la route et puis après faire le négoce en ville. Il comprenait quelque peu la rudesse du Grippe-sou, il n'avait pas choisi une vie facile. Il fut vite intérompu dans ses pensées, comme si la Dame voulu lui interdire de s'apitoyer sur le sort de quelqu'un d'autre****


Sserde, un Assulter, non deux ! P'kentain, il y en a un troisième.


**** Se rendant compte qu'il parlait tout haut, il se tut, maudissant sa stupidité, et avança à pas feutré mais rapide pour se sortir du traquenard***

Ah Sserde, il m'ont vu. Filons d'ici.

Baak dit :
Il t'envoie son gourdin baisse toi


***Trop lent. Poingggg****

Baak dit :
Releve toi, et continue à courir le deuxième fait pareil.


Ah ah ah, Raté. Aïe, ça fait mal quand même. Oh !!! Nom de la dame qu'est ce que c'est que cette chose.

Baak dit :
Un Akrotykar démembreur, t'as pas le temps de regarder, Dégage de la


**** Temps de réponse trop lent encore, Sparrrffff****


Aïe, Aïe Aïe, ça fait mal, P'kentain, Il a failli m'arracher un bras. Ca commence à sentir le roussis, je te dis. ah la la.

***Fort heureusement. Dans sa course effrénée, il tomba sur le sentier et déboucha aussitôt, sur le transport Nemen. Ou il vit Alciria. *****


Trop fort, vivant, et au transport avant la fin de la journée. Gloire à la Dame.


Bakean : Spécialiste de la découpe de chevaux en quatre... De cheveux aussi.

 
Bakean

Le Matal 27 Jangur 1509 à 17h54

 
**** Encore mal en point, Bakean avait pris tout de même le transport Nemen, sont impatience dépassait ses notions limités de survie. Ainsi, il avait payé son billet le prix fort, sans même essayer de négocier avec le Nemen qui s'occupe de la vente, tant il était impressionné par sa carure. Et il était monté dans la nef.

Il se souvenait encore du divin plaisir de voler au-dessus de Syfaria, L'Hatoshal si grande devenait minuscule au fur à mesure que le transport prenait son envol. Un bâtiment majestueux dont le pédagogue tenta une esquisse rapide de son fonctionnement. Pour des références futures, il nota quelques annotations sur sa carte durant le transport.

Et surtout, il passa un temps fou à laisser fouetter le vent sur son visage à l'avant. Certes, un vent gelé mais agréable tout de même. Le mou lui s'était téléporté, n'aimant manifestement pas l'altitude. Aussi, le silence qui regnait autour de lui était apaisant.

Quand il arriva enfin, le lendemain, il du passer une bonne heure pour remettre correctement sa fourrure tant le vent l'avait fait gonfler. Il en profita pour retrouver son mou et surtout admirer le paysage. Natif de Syrinth, il restait sans voix devant le paysage désertique qui s'étendait devant lui. Fasciné par le vent faisant se déplacer le sable des dunes, il resta assis un moment à observer une petite dune de sable disparaitre pour se reconstruire un peu plus loin.

Se rendant compte que la nuit approchait, il suivit ce qu'il pensait être le sentier pour Arameth. Heureusement, qu'il s'est aperçu assez tôt qu'il était en fait en direction de l'Ouest et non du Sud-Est, ce qui lui permi de changer assez vite de direction et ne perdre que 4 heures de son temps. Il avança donc entre les dunes, à la recherche d'Arameth, qu'il savait proche mais ne pouvait encore apercevoir au vu de la taille de certaines dunes qui offrait un ombrage mystérieux sur la route.

Mystérieux, c'était le mot qui décrivait au mieux ce paysage sorti tout droit d'un livre de contes. La force des couleurs données au sable par le soleil offrait un mélange surnaturel de clair-obscur, entre les ombres forcées extrêmement sombres et les dunes éclairées presque aveuglantes.****


Bakean : Spécialiste de la découpe de chevaux en quatre... De cheveux aussi.

 
Kvethan

Le Merakih 28 Jangur 1509 à 20h43

 
Le jeune tydale était sur le point de partir avec le nelda lorsqu'un jolie donzelle passa à proximité, et dans ces cas là l'esprit du musicien n'est réceptif qu'à une seule chose les courbes gracieuses tant convoitées.

Après une nuit torr....tumultueuse, Kvethan se réveilla en sursaut.


Par tous les morpions des grises!Bakean!

Il regarda autour de lui, personne.....si ce n'était une respiration dans le lit à côté de lui....Il avait bu hier soir, beaucoup bu....beaucoup trop....Il déglutit bruyament avant de risquer un regard sur l'endormie.

Ouf!C'était la tydale, un instant il avait cru que l'omelette....enfin bref, l'artiste s'habilla en quatrième vitesse, passa au théâtre chercher ses affaires, ses instrument et de quoi se déguiser au cas où, avant de se ruer vers le transport nemen.


La séduction est un art, laissez cela aux professionnels

 
Bakean

Le Merakih 28 Jangur 1509 à 22h26

 
**** Bakean était enfin arrivé à Arameth, et il y était arrivé tout seul. sans trop se perdre pour une fois. En plein milieu du désert on aperçevait la cité brulé par la lumière, les maisons avaient subies la forte érosion d'une trop longue existence sous le soleil torride. Les murs des bicoques paraissaient être blancs nacré avec la réverbération du soleil, et il comprit soudainement pourquoi on appelait la cité la Perle de Sable.

Il aperçut directement les faubourgs, le quartier était encore un véritable chantier, ils réparaient un marché brulé, montait une tente, la décorait et des nombreux symbiosés comme non-symbiosés s'activait pour que la fête du nouveau cycle soit grandiose.

Et au milieu de tout ça l'on croisait les étrangers en avance, comme lui, qui arrivaient tout juste et souvent regardait tout le monde s'activer, et certains donnaient un coup de main.

il pénétrait dans la rue pavées des faubourgs quand le titillement auquel il était habitué, lui signala que Kvethan avait réussi à se réveiller de la nuit précédente. Connaissant le Tydale, il arriverai sous peu, trouvant toujours de bons moyens pour profiter des opportunités.

Il l'attendrait donc à l'intérieur de la cité, à la taverne, bien qu'il ne comptait pas trop boire comme la veille. Il avait encore la bouche pateuse et des points noirs à l'extrémité de son horizon. il transmis par le moyen formidable de la symbiose leur futur lieu de rencontre et il mis pied dans la Perle de Sable.



Bakean : Spécialiste de la découpe de chevaux en quatre... De cheveux aussi.

 
Kvethan

Le Vayang 30 Jangur 1509 à 14h32

 
Le transport était enfin arrivé à Arameth, il était temps, le jeune tydale commençait à s'ennuyer sec.D'une le dirigeable était tout petit, de deux les réserves d'alcool avaient été bizarrement à sec après une journée de voyage et surtout, pas une seule jisquette mignonne à bord!Ah ça il s'en rappellerait de ce voyage!

Bon allez!'Faut qu'j'me prépare pour Arameth!

L'artiste changea de vêtement à la plus grande stupeur de son mou.

P'tit truc dit :
Dis, tu comptes vraiment mettre ça?


Oui pourquoi?

P'tit truc dit :
Oh pour rien.....


Bien, il était prêt, il fit un tour dans sa cabine pour être sûr de ne rien oublié puis sortit en beuglant:

Arameth, me voilà!

La cohu des passagers s'arrêta et dévisagea le tydale timbré seulement vêtu d'une chemise sans manche, d'un pantalon court et de tong par ce froid, puis reprit son court.Passer par la passerelle allait lui prendre du temps, aussi le tydale décida-t-il de sauter directement du bastingage.....lumineuse idée de sauter d'un navire volant....

"Heureusement" pour lui, il atterrit sur quelque chose de plus mou que le sol, plus haut aussi d'ailleur, mais également plus.....vivant!


Hé c'est pas du bol ça?!J'aterris sur un espèce de ch'val!Allez hu à Arameth!

Il éperonna la monture qui n'avança pas mais émit un grognement profond.Il allait donner un autre grand coup de saton à la bête lorsqu'il entendit le capitaine beugler un truc incompréhensible....c'était peut être sa monture.

Vous inquiètez pas j'vous la ramène.

La bête commençait à s'agiter tandis que le capitaine tentait de brailler plus distinctement.

J'entends rien.....hé 'Truc?Tu sais c'qu'y dit?

P'tit truc dit :
Attends....il dit....fla-viste co-lo-ssalle, flaviste colossal?.....FLAVISTE COLOSSAL!Aaaaaah tires toi t'es à cheval sur un rejeton balaise!


J'me disais bien aussi qu'il avait une sale tronche ce cheval....

Mais ce fut trop tard, une gigantesque pogne rongée aux mites vint attrapper le tydale et le tint devant son visage, une espèce de rictus mauvais vint étirer ses lèvres tandis qu'une boule puissance se formait dans son autre main....

P'tit truc dit :
Aaaaaah qu'est ce qu'on fait?Mais qu'est ce qu'on fait?


Il est temps d'utiliser la technique interdite.....

Rien que le nom laissa le mou rêveur, "la technique interdite", il pensa de suite à une technique ancestrale du matriarcat, une chose incroyalement puissante et.....Le mou redescendit vite sur terre lorsque son symbiote enfonça ses deux doigts dans les yeux du flaviste en un "stoinc!" sonore.La manoeuvre débile surprit le rejeton, ainsi temporairement mal voyant, il ne toucha pas le tydale de plein fouet, l'envoyant tout de même blaquebouler à plusieurs mètres.

Le musicien se releva pas vraiment très frais pour se faire engueuler par son mou.


P'tit truc dit :
Non mais c'est pas vrai?!C'est quoi cette technique à la con encore?T'es complèt'ment barré!


Bin quoi?J'suis vivant non?Tu t'fais trop d'soucis, j'te l'ai dit j'suis né coiffé!Allez on s'tire!

Sur ces bonnes paroles, il prit ses jambes à son coup et couru tout droit direction Arameth, mi courant mi glaglatant.

La séduction est un art, laissez cela aux professionnels

 
Alciria

Le Sukra 31 Jangur 1509 à 19h17

 
Le temps prend parfois ses propres detours, elle avait bien du le respecter.
Les choses enfin reglées, elle put monter dans le transport nemen qui devait la mener à Arameth. Elle serait sans doute la dernière des equilibriens invités à y parvenir mais qu'importe.
Pour le moment, la seule vue de Syfaria sous ses pieds la rendait aussi beate qu'un nourisson venant de faire son rot.
Elle decouvrait le monde d'une autre manière, bien plus poetique finalement. Et son ame s'en trouvait transportée. L'amour de la terre ne s'invente pas mais se ressent.
Et en ce moment même elle le ressentait de plein fouet, la tête frolant les nuages; les bourrasques du vent des altitudes lui applatissant les joues, jouant avec ses cheveux et irritant ses yeux.
C'est d'ailleurs a force de se pencher qu'elle finit par remarquer un subtil changement de luminosité, comme si les soleils avaient finis par retrouver la santé. Ou pire n'allait il pas arriver?
A moins que ce ne fut que la dernière lueur du crépuscule qui la trompa?
Perplexe, elle laissa sa pensée deriver sur le consensus sans rien apprendre de nouveau et finis par se convaincre que ses yeux étaient finalement fatigués et partis se mettre à l'abri pour passer la nuit en hauteur.
Un rapide repas engoufré, quelques messages à envoyer et le temps bientôt fut venu de se reposer.
Bientôt, de nouveaux paysages, de nouvelles rencontres et bien sur: Arameth.


Le but fait loi

 
Bakean

Le Merakih 4 Fambir 1509 à 02h14

 
***Bakean entendait ses amis arriver, alors que lui était déjà entré dans les faubourgs d'Arameth pour les attendre tranquillement.

La ville regorgait d'activité, il voyait des tydales et des Tchaë s'activer à monter la tente festive, des poussiereux courraient de toute part avec des planches, de la peinture, du bois de chauffe, du tissu ou de la nouriturre. et bien sûr il voyait défiler des tonneau entiers d'alcool.

Avant même la fête, la ville respirait l'euphorie, une ville de marchand ne pouvait rêver mieux pour le commerce, surtout si cette fête fait partie de la tradition.

Il y avait beaucoup beaucoup de symbiosés, ils avaient l'air de chercher les plus belles etoffes pour la soirée, et certains étaient déjà très bien parés. Le regard de Bakean s'arreta plusieurs fois pour jeter des regards en coin à de très jolies symbiosées. Il allait s'amuser c'était sûr.

Il croisa Syl Jassan, qui lui adressa en coup de vent qu'il faisait bien d'être en avance et qu'il valait mieux qu'il attendent à la taverne qu'il y voit plus clair. Ce qu'il fit. il trouva donc la Taverne et y rentra.

Bakean : Spécialiste de la découpe de chevaux en quatre... De cheveux aussi.

 
Bakean

Le Merakih 4 Marigar 1509 à 21h44

 
**** Ca y était, une fête était finie une nouvelle commençait, direction le Matriarcat maintenant, après le bain diplomatique ensablée de la Confrérie, il allait rejoindre les filles du déclin et apprendre de leur culture guerrière et très stricte. Une opportunité inégalé pour un adepte de l'Equilibre comme il l'était. Il lui fallait donc repartir, quitter la fête et suivre, le Parangon d'escorte, le Chicot du masque, la Griffe du Magley et une astrologue Matriarcale vers la cité d'Utrynia, nom exotique qu'il n'est pas près d'oublier.

Ainsi, il se débarassa de ses atours diplomatiques, rangea son costume de fête et enfila sa chère burre, certe peu esthétiques et d'une valeur pratiquement nulle, mais sentimentale.

En pensée, il souhaitait une bonne fête, ses au revoirs et ses Adieux à la population animant la tente festive d'Arameth, et il salua aussi quelques locaux des faubourgs, dont il avait un souvenir vague, très vague.

En effet, il s'était éclipsé pour faire un peu la fête avec les locaux et rencontrer les gens d'Arameth, qui n'étaient pas usés à la diplomatie et où il pouvait être lui même, et avait fini dans le fossé la mémoire étteinte, et l'estomac bouillonant. Des souvenis épars accompagnait sa marche nauséeuse pour rejoindre ses nouveaux compagnons de voyage.


Bakean : Spécialiste de la découpe de chevaux en quatre... De cheveux aussi.

 
Bakean

Le Merakih 4 Marigar 1509 à 22h06

 
S'sakin, qu'est ce que j'ai bien pu faire hier soir, alors j'ai bu deux trois coupes de l'étrange breuvage donné à la réception diplomatique, ça pas de problème. je suis sorti deux verres à la main que j'ai bu en jouant tranquillou dehors assis dans le sable, et éprès ?


**** Une quantité d'image sensorielle apparaissait dans sa mémoire, des lumières fortes, du bruit, une chute douloureuse, de l'alcool, il eut la nausée de nouveau quand son cerveau tentait d'interpréter toutes ces informations mélangées*****


Je suis descendu au Faubourgs, pour sûr pour jouer du Bandolim pour obtenir quelques Sardoines et boire les boissons locales.
Je me souviens, c'était le foutoir là-bas du monde partout des gens qui servaient à boire dans tous les coins, des stands de nourriture et boissons diverses. Et un bruit, il y avait beaucoup beaucoup de bruit, c'était pas de la musique, enfin si aussi, mais plutôt un brouhaha ambiant.


**** Un rire sonore sonna dans sa mémoire comme un cor dans son oreille, et d'autres souvenirs affluèrent.****


Ish'tar, j'ai rencontré un mec qui s'appelait Ish'tar, ou quelque chose du genre, peut être Tsar, ah je sais plus. Bah, il m'a demandé de lui jouer un morceau, et ça lui a plu mon conte, heureusement il parlait un peu tydale, et il a beaucoup ri et il m'a offert à boire.


**** Un bruit de porte maintenant, lui indiquait la marche à suivre pour que ses souvenirs reviennent, le fil conducteur avait disparu mais son esprit restait capable de redistribuer les souvenirs pour en faire une nouvelle trame.****



Aux plaisirs d'Arameth, c'était le nom de la taverne dans laquelle on est entré. La meilleur taverne du coin, il disait le confrère, que des boissons typique d'Arameth il me répétait. J'ai vidé toutes les sardoines acquises lors de mes chants et j'ai payé à boire à nous deux, puis à tout le monde dans la taverne. un truc étrange, comment il m'a dit que ça s'appelait, mon Rabaan à pas très bien compris, du Som ou quelque chose comme ça. Bah ça avait pas d'importance, il n'en boirait plus jamais. Ca décapait l'intérieur en un rien de temps ce truc. On aurait dit ce qu'utilise les femmes pour faire la lessive. Mais ça détendait l'atmosphère. Fallait boire ça avec une sorte de fruit piquant, et un peu de sucre pour atténuer le gout.

Une dizaine, ça doit être ça, il avait du en boire une dizaine, et puis j'ai du me mettre à chanter, une chanson de comptoir en plus, ah la honte.


**** Par reflexe il tata sa bosse et puisque les pièces du tableau entraient en place il se souvint comment il se l'était faite****


Aïe, ben voilà comment je me suis fait ça, je suis monté sur le bar, quel idiot, et en essayant de jouer du Bandolim, je suis tombé en avant, la tête sur le sol, ça explique le mal que j'ai maintenant. Quand même, bah du coup j'ai pas arrêter de chanter, tiens j'ai pas revu Ish'tar depuis ce moment là.

Je crois que je suis sorti prendre l'air au bout d'un moment, et plus rien, et puis je me suis retrouvé dans un autre bar, moins sympa que le précédent, beaucoup plus glauques, et les donzelles beaucoup beaucoup plus aguichante.
Dans quoi je me suis fourré ?


**** une couleur violacée passa sur son visage, et si les souvenirs lui revenait, il avait quelques mal mal à admettre qu'il avait été aussi aguicheur, et qu'il avait utilisé les termes de pédagogues et d'apprentissage d'une bien mauvaise façon. L'explication de l'oeil au beurre noir était maintenant évidente. ****


Elle avait un sacré droit la Nelda dis donc. Je me range à l'avis de Kvethan, faut faire attention à la façon dont tu traite les Neldas, elle te le rendent bien quand ça leur plait pas. Et donc la douleur dans les bras provient des videurs qui m'on viré un peu sauvagement. C'était donc pas par hasard que je me suis retrouvé dans le canniveau. Et j'ai du m'évanouir, trop alcoolisé pour me relever. Bon ben au moins ça me fera une histoire à ne jamais raconter à mes élèves, et à personne je pense. Bah si quand même, je pense.




Bakean : Spécialiste de la découpe de chevaux en quatre... De cheveux aussi.

Page [1]
Vous pouvez juste lire ce sujet...