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Le Merakih 28 Jangur 1509 à 20h42
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| Slida et Zina avait réussi à trouver un tchaë pour s'occuper d'eux. Les derniers jours s'étaient très mal passé. Après s'être fait chassé de leurs quartiers et de leurs ex-maison, les jumeaux avaient loué une petite chambre dans une auberge tranquille. Ils avaient bien réfléchi à la marche à suivre et, malgré la douleur que ce souvenir faisait ressurgir, avaient décidé de prendre le choix de leur défunt Père. Non sans quelques tristes regard en arrière alors qu'ils allaient quitter leurs chez eux.
Enfin, ils avaient trouvé en la personne de Jeaneudon. Il semblait être tout à fait capable de les aider à trouver leurs voies. Surtout que la plupart des activités de découvertes fait par leurs défunt père pour trouver un métier s'étaient révélé infructueuse.
Les jumeaux finirent par aller au lieu du rendez-vous, près du pilier de poussière. Arrivé sur place, supportant le poids de leurs sacs de voyage fait sur mesure pour leur anomalie, ils rencontrèrent celle qui allait aussi accompagner Jeaneudon vers Oriandre.
Il s'agissait d'Anomya.
Pour parler courtoisement. Slida avait les yeux rivés sur la Tchaê alors que Zina l'a regardé comme une amie possible, sans s'apercevoir du visage béat de son frère. Ils s'approchèrent maladroitement : Slida avait du mal à faire fonctionner sa jambe, l'esprit étant trop embrumé.
Salut à toi Soeur ! Je suis Zina ! On ...
Et moi, et moi, c'est Slida, son frère ! On attend aussi Jeaneudeon.
Mais j'allais le dire ! Laisse moi le temps !
Slida était visiblement perturbé. Zina se demandait si il avait été mordu.
En Italique => Slida. Rien du tout => Zina
Loi de Murphy : Si un système vivant ou non peut déconner, il le fera....
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Le Merakih 28 Jangur 1509 à 21h14
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| La jovialité de la Tchaë étaient contagieuse. L'espace d'un instant, les siamois étaient surpris mais un franc sourire finit par éclairer leurs visages. Le premier vrai sourire depuis la mort de leurs Père.
Slida répondit d'un ton rauque.
Hé ... Hé ... très bien ! Ma soeur aussi ! Enfin, peut être, peut être pas, voilà.
Le tchaë a oublié la fin de la phrase et sa soeur vint à sa rescousse sans qu'elle le sache.
Oh oui, sa va beaucoup mieux ! Je suis bien content de rencontrer quelqu'un d'aussi joyeux que toi, même si on est différend...
On cherche Maitre Jeaneudon. Il va être notre tuteur.
Mais je te dis qu'il n'est peut être pas un maitre !
Slida s'était un peu réveiller.
Temps pi alors, mais on le cherche quand même.
On a déjà manger mais la poussière sa donne soif, pas vrai frère ?
Euh ... quoi ? oui ... Soif ... Très soif ...
Voyant que son frère ne semblait pas capable d'émettre des mots de plusieurs syllabes et qu'il fixait un détail sans importance pour elle, Zina continua. Elle riait presque tellement le rire de Anomya était communicatif.
Si Jeaneudon n'est pas là, autant l'attendre à l'intérieur, il trouvera bien un moyen de nous contacter ou de nous trouver, n'est ce pas Slida ?
Slida sortit d'un de ces obscurs rêves.
Euh oui ... Trouver ... c'est bien.
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Le Julung 29 Jangur 1509 à 17h37
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| Zina voulut protester mais le rire de la tchaë, une fois encore, brisa sa volonté. Surtout que son frère ne semblait pas capable de lutter contre le moindre moucheron aujourd'hui. Elle murmura juste quelques mots.
Un petit casse-croute alors.
A peine eut-elle prononcé ces paroles que Anomya les attrapa aux épaules et les emmenèrent avec elle. Zina et Slida finirent par prendre le rythme énergique de leur guide : En effet, depuis tout jeune, ils ne connaissaient que leurs quartiers et un peu du dehors. La ville était encore très mystérieuse pour eux. Pendant les quelques jours avant leurs rencontre, ils avaient soigneusement pris leurs chemins, en demandant mais en se perdant plusieurs fois dans de sombre ruelle.
Évidemment, s'approcher d'une auberge d'allure non recommandable faisait un peu baisser l'humeur de Zina. Slida ne remarqua rien, se contentant de reluquer tout ce qui passer sous ces yeux, le regard avide, l'esprit en éveille. Sa sœur se félicita que son frère est retrouvé ces esprits même si ces manières laissés à désirer.
La porte claqua.
Oula ... c'est plein de tête ici. Pas tous bien ...
Zina approuva du chef et continua de suivre Anomya qui semblait se mouvoir comme chez elle. trop même. Zina faillit s'écrouler à côté du banc mais Slida tint bon et arriva pile à sa place, se retenant de ne pas tomber à la suite de sa sœur. Il eut quelque rires gras dans la salle.
Zina se redressa, cachant maladroitement ces joues rouges de confusion.
Slida souriait largement. Son sourire se figea quand Anomya lui murmura quelques choses que Zina ne pu entendre, trop occupé à s'occuper de réajuster ces vêtements.
Je prendrais un jus de fruit ...
Et à son frère de réagir, comme sortant d'un songe.
Et une choppe aussi !
Zina fronça les sourcils : Slida n'a jamais bu d'alcool.
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Le Sukra 31 Jangur 1509 à 23h23
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| *** Jeaneudon regarda les jeunots avec une moue d'étonnement. Il se dit "au fond si ça les amuse, faut bien qu'il apprenne la vie".
Il chercha des yeux le pochard de base qui peuple toujours les tavernes. Il vit alors un pilier de taverne bien abimé occupé d'une main à attraper son verre alors que l'autre tente désespérément de le maintenir assis face au comptoir. ***
Je n'ai jamais dis le contraire et je n'ai jamais pensé que vous étiez des gamins ... mais lui non plus
*** Il montra l'épave ***
C'est pas forcément un bel exemple.
Allez deux bières
*** C'est là que stennar arriva en posant sa lourde armure. ***
C'est ce truc que je dois ............................ enchanter....
Pfouu ... c'est gros ........
Tu es pressé?
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Le Dhiwara 1 Fambir 1509 à 17h19
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Les petites portes de l'auberge s'étaient ouverte et un grand tydale pénétra dedans. L'ambiance se fit d'un coup plus froide et de nombreux regards tantôt méfiants, tantôt hostiles. Quelques murmures complices et des blagues tydalophobes fusèrent en Tchaë, mais le tydale n'en avait cure.
Il se dirigea vers le bar, ce faisant, l'on pouvaient voir nettement qu'il dépassait de deux bonnes têtes la population d'Oriandre. Il portait une légère veste citadine, mais aux motifs étranger, sans doute équilibriens. Il se pencha sur le bar et demanda quelque chose a l'aubergiste. Ce dernier le regarda d'abord comme on regarde un voleur, Aldarin répéta sa phrase en tentant de mieux articuler les trois mot de tchaë appris par cœur.
Vu de dos, le tydale semblait assez impressionnant, stature d'un guerrier né, une longue queue de cheval lui descend sur ses épaules et se termine a la moitié de son dos.
L'aubergiste semblais enfin comprendre et parti chercher la commande.
Aldarin en profite pour se redresser... et faillit percuter le lustre.
"Les frères du désordre n'ont pas souvent de la visite d'étranger..." songeât le tydale en voyant les petites chaises et tables. Son regard balaya la salle sans réellement prêter attention aux regards persécuteurs des tchaës, quand soudainement il reconnu un visage.
Il regarda Anomya, il avait déjà vu la belle tchaë quand il enseignait un peu le Shaï a côté du pilier. Puis il remarqua la drôle de situation, Anomya en train de "frotter" un autre tchaë plus petit qu'elle au niveau supérieur des pantalons.
Un troisième tchaë était en train de s'éloigner de la table en riant de bon cœur.
Cela fit sourire le tydale a la peau blanche.
L'aubergiste finit par amener une bouteille d'hydromel, Aldarin sorti ses hyalins et les tendit au tchaë. Ce dernier les regarda visiblement pas satisfait. Aldarin sorti directement quelques autres hyalins et les fit rouler sur le bar. Le tchaë sembla un peu plus satisfait.
Ayant enfin sa boisson, le guerrier tydale alla se poser a une table vide non loin de la table d'Anomya.
Il la déboucha et se remplis un petit verre...
Un peu perdu dans cet masse d'inconnu, ses yeux allaient souvent vers le seul îlot de sympathie incarné par la coquine tchaë.
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Le Dhiwara 1 Fambir 1509 à 23h40
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| *** Jeaneudon sursauta en constatant la position de la jeune tchaë. ***
Mais ce n'est pas grave la bière ça ne tâche pas ....
*** Puis à la réflexion de Stennar il sourit complètement confus ... rouge pivoine en fait ***
Heu ... oui .. non ... c'est de la bière ... mais c'est aps grave
Allez ma soeur !! s'il te plait ....
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Il prit légèrement ses distances de la jeune tchaë aux cheveux bleus. Il resta quelques instants sans rien dire pour se ressaisir. ***
Bon si on revenait à ce que voulez faire .... en dehors de boire une bière bien sûr
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Le Luang 2 Fambir 1509 à 19h29
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| Zina éclata de rire à la scène que faisait Anomya. Des rires mais aussi de la Jalousie : Elle aussi aurait voulu faire la même chose mais comment faire son frère à côté, fixé à sa peau, et avec sa timidité affligeante.
Slida, à côté, était rouge de jalousie, mais pas pour la même raison. Zina s'en aperçut et décida de l'asticoter un peu.
Tu aimerais que se soit toi qu'elle caresse ? N'es ce pas ?
Le peu de peau qui n'était pas encore rouge le devint aussitôt. Slida regarda sa soeur avec un mélange d'étonnement et de peur.
Euh ... C'est que ...
Le sourire de Zina s'élargit encore plus.
Cesse de faire le gamin ... Moi aussi j'aimerais me faire frotter comme sa par mon bel amant !
Slida fut encore plus surpris par les paroles. Zina aussi. Elle se demandait ce qui pouvait lui arriver pour qu'elle se dévergonde ainsi. Elle regarda Anomya. Oui sa devait être la raison.
Mais au lieu de maudire sa conduite, elle apprécia la chaleur qui se dégageait de son corps. Pour la première fois, elle ressentait une tel chose, et l''événement lui plus beaucoup.
En fait ... Ba ... C'est qu'elle pas mal ... à regarder ... enfin .... C'est la première fois ... Mais je dis pas que toi ! ... Enfin tu me comprends ?
Zina eut un petit ricanement. Elle appréciait de plus en plus la situation.
Et bien mon frère ! Tu ne manques pas d'air ! Mais qu'est ce que tu veux dire ? Que je suis moche ou que moi aussi, je fais plaisir à regarder ?!
Euh ... Ba ... Non ... enfin si ... Euh pourquoi pas mais ...
Zina observa son frère. Il n'était pas trop mal non plus. Elle sourit encore et passa à la vitesse supérieur.
Et Anomya ! Quand tu auras fini, On aura quelque chose à te demander !
Slida voulut répliquer mais Zina lui marcha sur le pied. Elle changea de sujet en parlant à Jeaneudon qui, lui aussi devait souhaiter ardemment changer de sujet.
Ba en fait ... on cherche vraiment ce que pourrais faire ... On est incapable de faire quelques chose de physique et on sait pas utiliser la magie. On voudrait vous demander ce qui pourraient nous intéresser !
Ce qui nous plairaient, sa serait un métier qui soit bien de faire à deux. Qui ne soit pas trop physique, donc surtout mental ou même agile de nos mains, pourquoi pas !
Slida approuva du chef, toujours rouge, combattant la douleur de son pied.
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