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Le Julung 8 Fambir 1507 à 13h12
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Après un long voyage à travers ces terres inconnues, j'apperçois enfin un village: le premier depuis des mois!
J'avance, et petit à petit,ce village s'approche de moi.Où c'est moi qui m'en approche. Toujours est-il que je vais y entrer.
Mais attends Oda! Méfies-toi, tu ne sais pas où tu vas, ni où tu es d'ailleurs. Et si les habitants de ce village n'aiment pas les étrangers, et qu'ils préfèrent te voir mort que chez eux? Eh bien je mourrais, et je rennaîtrais ailleurs... Oui, je dois avancer, je suis allé trop loin pour reculer maintenant.
Derechef, j'avance.
Finalement, je pénètre dans ce village, et je me dirige en son coeur.
En avancant je sens un poing s'abattre sur mon crâne; aussitôt je me retourne et rends ce coup vicieux à mon agresseur -une femelle-. Comme si de rien etait, elle avance... Serait-ce un test? Je l'ignore, mais je m'enfonce d'avantage dans ce village.
En observant un panneau, je me rends compte, non sans stupéfaction, que je suis dans un village Utrynien, chez les Matriarcats du déclin. Ce peuple presque exclusivement féminin, qui ne pense qu'au pouvoir des femelles...
Un malaise m'envahit, craignant tout d'un coup pour ma virilité.
Je me décide donc à partir de ce village une fois que j'aurais acquéris quelques armes. A moins bien sûr que les habitants de ce village ne me laissent en paix.
-Oda Nobunaga-
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Le Vayang 9 Fambir 1507 à 13h44
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Petit à petit, mes réflexes me reviennent, et je subodore que dans quelques jours, je serais au paroxysme de mon talent.
En attendant, j'èrre dans la ville, en essayant de cumuler quelques éspèces sonnantes et trébuchantes çà et là.
Mais je me suis rendu compte que les moyens plus ou moins "légaux" ne me méneraient pas très loin dans cette entreprise fastidieuse. Alors je me décide de prendre les choses en mains.
Je la repère, elle, elle ne me vois pas l'approcher et vaque à ses occupations.
Je suis juste dérrière elle; un geste fugace, ma main se dirige vers la poche de sa tunique, et je la retire tout aussi rapidement pour me diriger vers une autre maison. Un rapide coup d'oeil vers elle, à senestre: c'est bon, elle ne se doute de rien et continue ses affaires.
Hors de sa vue, j'ouvre ma main et contemple mon butin: 8 Morions. C'est peu, mais c'est largement plus que ce que j'ai cumulé en deux jours.
Alors bien sûr, je n'ai pas encore assez pour acheter un arc ou une épée courte, mais le vol, c'est une sorte de passe-temps, et de loisir.
Et moi, j'aime m'amuser...
-Oda Nobunaga-
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Le Vayang 9 Fambir 1507 à 22h19
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J'examinais la Tydale qui se trouvait devant moi: le tatouage sur son crâne en disait long sur elle; c'est une danse-lame, méfiance. Mais je sa beauté m'empèche de détourner le regard. Mais elle m'a posé une question, et je dois lui répondre.
Que dire? Je dois me dépêcher!
Bonjour jeune Tydale, si je me camoufle, c'est pour m'amuser, car je trouve cela divertissant de surprendre les gens! Mais j'ai malheuresement raté, et tu m'as répéré, bien joué!
J'ignore si ca a marché, mais je ne pouvais tout de même pas lui dire que je craignais que l'une de ses soeurs ne m'en veuille de lui avoir subtilisé une paire de bottes, et un peu d'argent...
Et toi, que fais-tu par une si belle journée?
-Oda Nobunaga-
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Le Vayang 9 Fambir 1507 à 23h22
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| *** Pendant qu'Oda Nobunaga parle à Fae'thil, les yeux de cette dernière semblent soudain regarder dans le vague, à peine une demi seconde. Puis elle fixe le jeune Tydal dans les yeux, le sourire un peu moins prononcé qu'avant, tandis qu'il poursuit et lui demande ses occupations journalières.
Durant quelques secondes où elle continue à l'observer, nulles paroles ne sortent de sa bouche. Puis, son sourire revient. ***
Nos occupations? Et bien, elles sont aussi variées que celles de n'importe quel autre peuple je suppose. Certaines d'entre nous ont à charge la protection de notre ville, tache dont je m'acquitte avec plaisir.
*** Elle regarde de nouveau Oda Nobunaga dans les yeux, intensément. ***
A présent, j'aimerais vérifier quelque chose étranger, peux tu me montrer les objets que tu transportes s'il te plait?
*** Alors qu'elle prononce ces mots, sa main droite se porte calmement au pommeau de son épée, rangée dans son fourreau. ***
Quelle étrange coutume... mais non voyons ne le prenez pas mal, j'aimerais au contraire en connaître plus sur vos us et coutumes. | |
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Le Sukra 10 Fambir 1507 à 08h55
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| Chase dit : Attention Oda! Ca commence à sentir mauvais! Et bien que je ne possède pas de nez, je m'en rends compte!
Bien sûr, le meilleur moyen serait qu'elle regarde mon sac... Mais si elle trouve les bottes? Alors ce serai la f...
Mais non, quel idiot! Je les ai déjà revendues! Finalement, je suis rassuré de voir qu'elles ne m'allaient pas.
En attendant, je vais attendre de voir si elle souhaite à nouveau me fouiller.
Mais au fait, tu ne tenterais pas de m'intimider quand même?
-Oda Nobunaga- | |
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Le Sukra 10 Fambir 1507 à 15h23
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| *** Alors qu'elle découvrait pleinement la ville de ses grands yeux émerveillés , Azhana perçue des voix qui semblaient empli de méfiance voir de colère. ***
dit : Azhana file voir les deux là bas , ils ont l'air bizarre. Peut être que tu pourrais en profiter... et moi également *** Azhana s'approchait furtivement des deux Tydales et opta pour un coin lugubre d'une maison située derrière le mâle. ***
Voyons voyons ce qu'ils vont faire... et ensuite j'aiderais surement la femelle...quoi que... enfin on verra bien , qu'en penses-tu Liliane ?
dit :Ne t'en mèles pas tout de suite , reste cachée , tu n'es qu'une nouvelle ici...Nous ne faisons surement pas le poids. | |
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Le Sukra 10 Fambir 1507 à 16h35
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| Après lui avoir montré mes fouilles, je me décide de partir.
Mais avant que je ne franchisse le seuil du village, elle me rattrape, et au prix d'une longue joute verbale, je parviens à profiter d'un moment d'innatention pour m'enfuir. Je ne dispose pas d'une avance conséquent, mais ce sera suffisant.
Chase dit :Oda, il faut qu'on trouve un moyen de la semer!
Soudain, une sorte de pillier se dresse devant moi. Il m'apelle, il m'attire...
Une grande lumière aveugle, une noirceur infinie, le silence.
-Oda Nobunaga- | |
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Le Sukra 10 Fambir 1507 à 19h01
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| dit :Vite il s'échappe court !!! Tu aviseras... *** Azhana courrait derrière les deux autres quand le mâle disparut. Fae'thil cherchait d'un côté puis même Thorquale à un moment.
La jeune femme décida de chercher dans une direction opposée et tomba nez à nez avec le fugitif qui par bonheur de ne l'avait peut etre pas vu ***
*** Dans le doute , elle cria ***
Venez vite !!! L'intru est ici à la sortie EST!!! | |
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Le Dhiwara 11 Fambir 1507 à 15h24
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| *** Tandis qu'elle revenait aux portes de la ville, un crane non dénué de pilosité avait attiré l'attention de la guerrière.
Un mâle...
Et au vu du visage juvénile, et de l'absence de l'emblème des mâles libres, ce n'était pas un membre du Matriarcat. Kalimash l'interpella. ***
Tiens, encore ici, toi ? Qu'est-ce qui t'amène chez nous ?
*** Elle l'avait entendu parler en ville, juste avant son départ, sans y faire attention. ***
Es-tu un de ces jeunes huluberlus persuadé que la vie est meilleure hors de la Ruche ?
*** C'était peu probable, la courte barbe montrant que ce n'était pas un mâle venant de fuir. Et ces derniers jours, nulle alerte de ce type n'avait été donnée. Mais néanmoins, il était toujours bon de voir comment les autres réagissaient...
Sans compter que outre son léger mépris pour les mâles, la guerrière ne supportait pas toutes ces écervelées qui mettaient en péril la sûreté du Matriarcat en partant gaiement sur les routes, sans penser au Tableau...
Elle ne pu s'empêcher de rajouter une dernière question, sifflante, aux accents agressifs. ***
A moins que tu ne sois que l'étron expulsé du ventre d'une catin rebelle ? | |
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Le Dhiwara 11 Fambir 1507 à 15h55
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| *** Une insulte, un provocation, ou une tentative assez pitoyable d'humour ?
Main sur la garde de son arme, Kalimash lui répondit d'un ton froid. ***
Peut-être l'odeur vient-elle de moi... Il serait alors judicieux que je t'écorches pour me faire une nouvelle peau, qu'en penses-tu ?
*** Le mâle l'énervait... Tout les mâles avaient tendance à l'énerver assez rapidement, de toutes façons. Surtout ceux qui avaient tendance à colporter de fausses rumeurs, ou à s'en faire le relais. Mais l'attaquer sans raisons serait un grave manquement à toutes les règles...
Aussi, si la réponse fut plus crachée que déclamée, la guerrière n'esquissa pas d'autre geste agressif. ***
En tout cas, faut-il être crétin et ignare pour penser que nous persecutons les mâles ! Ils ont leur place, à notre égal...
Enfin, ceux qui ont fait leurs preuves.
*** Elle se calma un peu, expliquant leur présence, sans pouvoir s'empécher de remettre le jeune tydale à sa place. ***
Nous partons en expédition, sécuriser la route. Inutile de nous proposer ton aide, sans équipement tu ne ferais que nous gêner.
*** Puis elle eu un fin sourire, narquois. ***
A moins que tu ne veuilles nous prouver ta bonne volonté en jouant l'appat ? | |
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Le Dhiwara 11 Fambir 1507 à 16h07
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| *** Le mâle tydal étranger avait fuit au regard de Fae'thil quelques heures plus tôt. Elle avait bien tenté de fouiller les alentours, plus que jamais persuadée de sa culpabilité au vu de sa fuite. Elle n'avait malheureusement trouvé nulle trace du fuyard.
Seul un chiroptère fondant des cieux à la vitesse de l'éclair avait troublé sa traque. N'ayant pas le temps de s'en occuper, elle avait décidé de revenir prudemment sur ses pas, guettant les agissement du volatile.
Sa soeur d'arme Thorquale l'avait alors avertie, à l'aide son mou, qu'elle avait retrouvé l'étranger et qu'il avait avoué son forfait, remboursant par la même Ylaya afin de ne pas subir nos foudres.
Sa première rencontre avec une personne extérieure à sa communauté se soldait donc par une déception. Il ne s'agissait que d'un vil faquin, menteur et trompeur. Qu'il aille au diable, lui qu'elle comptait aider lorsqu'elle l'avait aperçu la première fois. ***
*** A présent, des évènements plus préoccupants retenaient son attention. Deux Arkoniens avaient été repérés au Nord Est de la ville. Fae'thil s'empressa de rejoindre ses soeurs danse lames sur les lieux de l'affrontement... ***
Quelle étrange coutume... mais non voyons ne le prenez pas mal, j'aimerais au contraire en connaître plus sur vos us et coutumes. | |
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Le Dhiwara 11 Fambir 1507 à 16h09
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Tout comme je l'avais prévu, elle etait agacée -son geste vers son arme ainsi que le ton de ses paroles en etaient la preuve-, tout aussi calmement et nonchalament, je lui réponds
Bien que ta peau soit odorente, je trouve qu'elle te va à merveille. lui fis-je, en souriant, Et je trouve que la mienne me sied aussi!
Ignorant son discours sur la place des homme, je poursuis
Ne t'en fais pas, je ne vous aurez nullement proposé mon aide; je n'en ai rien à châloir de vos affaires. Si vous êtes décidées à occire moult créatures pour la sécurité de votre village, c'est votre problème.
Toujours aussi avenant, je dis finalement
Mais faites attention, un accident peut vite arriver...
Bonne soirée mes amies.
-Oda Nobunaga-
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