Les Mémoires de Syfaria
Hors de toute région civilisée

Faut-il se perdre pour se retrouver?

Il semblerait...
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Sujet lancé par Aldarin Mor'Nathil
Le 11-07-1509 à 20h58
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Posté par Silindë,
Le 25-07-1509 à 00h16
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Aldarin Mor'Nathil

Le Sukra 11 Julantir 1509 à 20h58

 
Le trot de Fekett se faisait de plus en plus lent, les cimes des arbres défilaient au dessus du cavalier solitaire.
Le jeune cheval flairait et tournait nerveusement la tête d'un côté a l'autre.

Les ombres se jouaient de l'attention du tydale, le bruit de la forêt avait disparût depuis un moment, même les oiseaux ne chantaient pas dans ce bosquet. L'air sentait les effluves... l'aberration ne devait pas être loin.
En contournant un énorme chaine renversé, Aldarin sauta a terre pour inspecter les traces de la petite meute qu'il pourchassait.


- Les traces sont fraiches, ils ne peuvent pas être loin, même l'esprit de la Dame semble absent de cet endroit... la corruption vie en ce lieu. ,fit le guerrier en armure de plate complète d'un rouge carmin a l'intention de son Mou.

Kurrare hocha de la tête et partie en sautant de branche en branche en une rapide investigation des lieux.
Soudainement le hennissent de Fekett se fit entendre. Le cheval semblait paraissait furieux, libéré du poids de son cavalier il tournait sur lui même et cherchait, a priori en vain, la menace.

- Tout doux mon grand, tout doux... murmura le tydale tout en dégainant son sabre.
Aldarin scrutait les environs comme son fidèle compagnon, mais tout aussi infructueusement.

Dans la cime des arbres, une étrange créature se réveilla, sentant l'odeur de cheval, mais plus encore, la tendre odeur de ses repas favoris, la chaire tydale.
Fort heureusement la nourriture s'était arrêté juste sous son nid, aussi, en toute discrétion, la créature démêla ses longues tentacules. L'appétit lui fit stimuler les glandes poissonneuses et les tentacules se mirent a luire d'une fine pellicule blanchâtre.

C'était parfait, le plat principal était descendu du cheval, il sera plus facile a le paralyser par le venin, ensuite il paralysera le cheval... ou pas. Qu'importe, tant que la chaire tydale soit au menu.

Une série de tentacules descendaient furtivement vers le tydale, mais au moment où ces lianes vivantes s'enroulèrent autour d'Aldarin, la plante perverse poussa un sifflement de douleur et tenta immédiatement de rapatrier ses lianes brûlés par l'armure magique.
Hélas pour la chose, Aldarin attrapa vivement une des lianes et tira de ses forces.
La mandragora vénéneuse chuta comme un fruit trop mûre par terre.


- Eh bien, c'est pas ton jour de chance engeance. Meurs!

Et l'épée s'abattit par deux fois, fut nettoyé avant de regagner son fourreau. La mandragora n'était plus.

La meute de loups pervertie par les effluves fut bien vite pisté, malgré ce cours interlude, puis éliminé sans autre forme de procès. La nature pouvait désormais revenir et réclamer ses droits. La Dame Grise sera satisfaite.
Et voila que le tydale pouvait s'armer de courage et aller retrouver sa belle Khamaat au proche village de Cavillo le cœur lourd de peine comme d'espoir.

Aldarin caressa l'échine de Fekett, qui hennissait de satisfaction et ensemble ils quittèrent les Bois Jumeaux vers la route menant au Sud.

Il ne fallut pas longtemps pour apercevoir les toitures et les fumées de cheminer de Cavillo... L'attendra-t-elle?


 
Khamaat

Le Merakih 22 Julantir 1509 à 02h23

 
Khamaat vivait depuis quelques temps en recluse, entre le sud du Lac des Ombres et le nord des Bois Jumeaux.
Inlassablement, elle nettoyait cette zone, progressait chaque jour, peu à peu, dans la magie offensive.

Elle avait fermé son esprit à son consensus et répondait désormais aux pensées de ses amies, ignorant délibérément les autres.

Une pensée attira son attention, celle de Silinde, lui transmettant des nouvelles du Parangon d'Escorte. Méfiante, elle avait alors appelé Feewitz pour revenir aux abords d'Utrynia. Le tawhak était arrivé, avec Arsouille sur sa tête : depuis la démission de Khamaat et son isolement, il n'avait pratiquement aucune activité et profitait de ce temps pour jouer avec Feewitz.

Elle fit donc route vers Utrynia, au lieu de rendez-vous indiqué par l'équilibrien qui lui remit un message d'Aldarin. Un sort d'invisibilité, un rapide tour dans son habitation à Utrynia et Khamaat au petit matin, réapparaissait aux abords de la cité, se dirigeant vers le sud.

Elle fit route vers Cavillo, y entra toujours drapée dans son silence, et attendit à l'endroit indiqué, au bord de la fontaine où son Tawhak en profita pour s'abreuver tandis qu'elle s'installait à l'écart, à l'ombre d'un des arbres plantés sur la placette, et attendait...



 
Aldarin Mor'Nathil

Le Merakih 22 Julantir 1509 à 23h45

 
L'air emplie du bourdonnement des abeilles butinant les fleurs avec une frénésie semblable aux gardiennes repoussant les vils Sykramens, Aldarin entra en ville.

Sous la chaleur torride de midi, les habitants de Cavillo se dissimulaient tous sous la large terrasse couverte de la taverne, ou bien dans l'ombre des grands arbres fruitier.

Aldarin suffoquait... Encaissé dans sa lourde armure de plate, armure magmatique qui plus est, il maudissait la précipitation de son banissement de la cité d'Utrynia. Toutes sas affaires de voyage avaient été laissé chez Khamaat, mais il n'eut même pas le temps de les récupérer. Parmi ces affaires, une légère armure de cuire, parfaitement adapté a ce temps. Par la Dame! Quelle précipitation! Plus de trois semaines a errer sur les terres matriarcales, a occire les plus diverses aberrations, pour seul vêtement cette armure et son bouclier.

Il sauta de la selle aussitôt arrivé aux côté de la petite fontaine. Il plongeât immédiatement sa tête dans l'eau fraiche et en but a grandes gorgés, son cheval l'imita sans plus attendre.

Il releva sa tête au bout de quelques minutes et scruta la place plus en détaille. Les maisons étaient construites de manière bien peu organisé, il semblerait qu'elles ont grandis là, où les arbres leur laissaient assez de place. Assez chaotique pour semer un peu le trouble, mais assez concentrés et aménager pour constituer une veritable impression de village.

Autre chose que le tydale remarqua assez vite fut le nombre de regard qui se posaient sur lui. Il devaient leur donner un étrange spectacle en effet. Un guerrier mâle de grande stature aux longs cheveux collés par la sueur et poussière en imposante armure couleur carmin visiblement bien cabossé... Un étranger a plein nez, par conséquent suspect.

Enfin, le regard d'Aldarin se posa sur un Tawhak qui lui sembla bien familier...


- Feewitz?

Le Tawhak redressa la tête a l'évocation du nom et l'inclina sur le côté pour observer curieusement le tydale. C'est bien lui, le Tawhak de Khamaat, cela veut donc dire...
Il scruta plus précisément les alentours de la fontaine pour retrouver Kham. Et elle était là...


- Khamaat? Kham! Par la Dame, je ne croyais plus que je te reverrais encore... Je m'apprêtais a quitter le territoire pour Syrinth... J'avais peur que nous nous quittions sans de propres "Adieux"...
Que va tu faire a présent?
,lui dit il.

- Je ne sais pas ce que je vais faire : je ne suis plus Mestre de Ville et j'ai fermé mon esprit au consensus du Matriarcat. Depuis ce jour, j'ai quitté la ville et je me suis retirée du côté des Bois Jumeaux. Aldi, encore une fois... Pourquoi ? ,lui répondit-elle dans un bon shaï, ce qui surprit agréablement Aldarin.
La question en revanche, aussi franche et directe qu'était-elle le fit regarder un moment la terre sous les semelles de Khamaat, a la manière d'un petit garçon penaud.
Il releva la tête et regarda droit dans les yeux de sa bien-aimé.


- Parce qu'au moment quand je donnais le faux nom de Célégorn, je parlais a une Mestre de ville inconnue. La supercherie nous semblait être le moindre mal et tant que Célégorn resterait en dehors des fréquentations symbiosés, cela nous semblait être un risque acceptable. Une décision irréfléchie que je n'aurait jamais faite si j'aurais su que je mentais a toi... et ce fait me ronge.

Pour quoi ne te l'ai-je pas dit ensuite? te demande tu maintenant? Eh bien... j'étais si heureux de te retrouver, tellement ivre de joie que rien au monde n'avait plus d'importance... Tu sais bien même avec quel retard par rapport a mon arrivé en ville j'ai demandé le rendez-vous avec la Mestre des Art... Et c'est cette ivresse qui a fait disparaître ce mensonge de ma mémoire...
Il attrapa les deux mains de Khamaat et les serra avec délicatesse tout en poursuivant. , Par la Dame, j'ai fauté Kham, et je t'en demande pardon... Ta colère et ton absence torturent mon être...

 
Khamaat

Le Julung 23 Julantir 1509 à 00h53

 
Khamaat était sortie de l'endroit ombragé et faisait face à Aldarin : silencieusement elle écoutait les explications du Parangon, lui laissant lui prendre les mains et lui demander pardon.

Un moment de silence s'installa avant qu'elle réponde, jaugeant l'âme d'Aldarin en plongeant son regard dans le sien. Le tawhak, le cheval et les mous suivaient attentivement les retrouvailles de leurs maîtres et symbiosés.


Aldarin... Aldi... elle serra affectueusement ses mains contre celles de son bien aimé. Le Tableau sait combien je suis clémente aussi, je te redonne ma confiance... une ultime fois.

Elle s'approcha du Parangon et déposa un tendre baiser sur ses lèvres avant de continuer à mi-voix, à son oreille. Un spectateur aurait pu croire à des mots doux susurrés par la tydale, il n'en était rien :

Mens moi encore une fois... et crains ma colère. Depuis mon repli hors de la ville, j'ai eu le temps de progresser en magie offensive, sache le...
Blesse mon coeur à nouveau et tu sauras que ma colère peut être immense... autant que l'amour que je t'aurais porté et que je te porte actuellement... suis-je bien claire ?


Khamaat se recula, souriante, comme si de rien n'était, une lègère aura noirâtre émanant de ses paumes trahissait néanmoins le fait que la teneur des propos qu'elle avait tenu à Aldarin ne devaient pas être uniquement amicaux.
Elle se dirigea vers Feewitz, vérifia que son paquetage était bien fixé et se tourna à nouveau vers Aldarin, un doux sourire sur son visage.


Je te suis Aldi... je suis prête à me mettre en route. Et toi ? Acceptes-tu ma présence à tes côtés ?


 
Silindë

Le Julung 23 Julantir 1509 à 01h59

 
L'insouciant tydale était plutot fier de lui d'avoir joué les intermediaire entre Khamaat et Aldarin, arrangeant au passage les bords de leurs messages, les refformulant de la maniere qu'il trouvait la plus adaptée et y ajouttant lorsqu'il s'agissait de son parangon quelques remarques de son cru. Parce que avouons le, il n'acceptait d'arreter de baver devant la plastique d'Aldarin que face à (au minimum) un amour d'enfance. Bref, ça necessitait un zeste de talent.

Et puis l'appel du nerhe était arrivé. Ils repartaient pour Syrinth. Fini les vacances avec une tydale sortie tout droit d'un rêve. Dommage d'ailleurs. Mais il faut se separer pour se retrouver n'est ce pas... Aussi apres dernier mot doux, un ultime baiser il s'était lentement eloigné.

Partir

Autour de lui une nature en fete... bientot meme le pilier disparu à son regard. Bon, celà signifiait qu'il était temps d'accelerer. Il y avait un parangon et une Khamaat à rattraper. Et il voulait bien manger ses bottes si il n'y parvenait pas. Un pari risqué? Bof, non pas tellement. Pas pour -en toute modestie- le plus rapide entropiste des plaines et des forets (bon d'accord, kvethan l'avait battu quand ils avaient fait la course mais... hormis cette exception.. et puis ni Kham, ni Aldi n'étaient entropistes!)

Enchainant les sorts et les flux il n'osait imaginer l'etat de ses jambes lorsqu'il les autoriserait à s'arreter. Le tydale savait qu'il venait de parcourir une distance qui à tout poussiereux normal eux parut abberante... et gniark! Mais au bout de plusieurs heures à parcourir seul la route il commença à douter de la justesse de ses affirmations... et à reflechir à la sauce qui accompagnerait les bottes. En tout cas il fallait le leur reconnaitre, les routes étaient parfaitement degagées. Et puis les toits de Cavillo se dessinerent.. sauvant par là même ses pieds et son estomac... Pouvu que ceux qu'il rejoignait y soient.


Jusqu'au bout...

 
Aldarin Mor'Nathil

Le Julung 23 Julantir 1509 à 18h21

 
Aldarin affichait un sourire heureux en réponse au baiser de Khamaat, quel sentiment soulageant que de se faire pardonner.
Or aux "tendres" paroles de Kham a son oreille, son sourire se figea quelque peu et un tic lui fit sursauter une joue.

Les paroles en parfaite opposition avec les gestes, l'ultimatum avait été parfaitement compris.

Quand Khamaat s'éloigna pour seller son Tawak, il resta sur place a la regarder sans mots, toujours en train de sourire de cette situation.
Quand Khamaat l'interpela, il revint a la réalité.


- Tu viendrais avec moi en Equilibrium? Il fraudais alors être un fou pour te refuser! , lança Aldarin et se précipita vers sa monture.
Leurs montures se mirent doucement en route, quand Kurrare avertit son symbiote d'un petit nuage de poussière qui se dressait sur la route et semblait se rapprocher...

- C'est curieux... ça va vite, mais je ne voit aucune monture... une aberration? ,murmura Aldarin quand Kurrare explosa de rire et s'époumonait.
Kurrare dit :
HAhahaha... snif.... Hahaha! Aldi, sort les bandages! Hihihihihi... c'est Sili!


Et en effet... en s'approchant encore d'avantage, la figure de Silindë émergea du nuage de poussière. Aldarin sauta a terre et dit a Khamaat.
- Je crois qu'il sera bien si l'on reviens ne serait-ce pour une nuit a Cavillo, Silindë a sans doute encore abusé de ses jambes de feu entropiques...

Puis il se retourna et fit signe de salut a Silindë et se positionna pour réceptionner son jïrhe a bout de forces, même si ce dernier ne s'en rendait peut-être pas encore compte.

 
Silindë

Le Julung 23 Julantir 1509 à 20h55

 
Snif, pauvre Silinde, etre confondu avec une abberation... Il en aurait été fort marri.. Au dessus du nuage de poussiere un mou surgissait parfois pour guider

Lowgli dit :
Tout droit! tourne à gauche! A droite! A droite ttooouuuttteee...

Heuu ralentit, y du monde devant..


Rheu Rheu

Lowgli dit :
Comment ça rheu rheu? Heee, tu va pas me faire une crise d'asthme hein!! Oh! C'est eux! C'est eux!


Non ce n'était pas une crise d'asthme mais tout a une fin. Même la magie. Même l'entropie... Et il est probable que le tydale n'aurait de toute maniere pas pu aller beaucoup plus loin - même si lui n'en avait pas encore conscience .
Trouvé articula il l'air à moitié halluciné.
Puis, il s'ecroula plus qu'il ne tomba dans les bras d'Aldarin.. Completement epuisé, vidé, lessivé. Rendez vous aux abonnés absents. Panne technique...

Sauf un ptit voyant rouge qui s'allume.. et du fond des lymbes dans lequel il aurait été si doux de tomber- n'eut été la douleur- il esquisa une grimace.


Mes pied.... ils sont encore là...? J'ai ptetre un peu forcé la dose cette fois pas vrai?



Jusqu'au bout...

 
Aldarin Mor'Nathil

Le Vayang 24 Julantir 1509 à 22h27

 
- Han! Je te tiens! , souffla le tydale en rattrapant son ami entropiste.
Aldarin sourit à l'interrogation émise par Silindë, mais pencha tout de même sa tête pour regarder les fines jambes du tydale, toutes tremblotantes sous l'effort surnaturel.
Pantalon usé, chausses en breloques, mais niveau physionomie, rien ne manquait a l'appelle, aussi il le rassura,
Oh... il te manque juste des bouts de pantalon... mais a part ça, tout semble être en place... même si pas dans le meilleur état j'ai bien peur.

Le Parangon souleva Silindë avec facilité et se le "jeta" par dessus l'épaule.
Il revint vers sont cheval et il détacha de la selle une gourde d'eau fraichement replie a la fontaine de Cavillo.
Ensuite il avança vers la bordure de la route pour y déposer son ami.


- Tiens Sili, boit un peu et doucement. C'est frais. , pendant qu'il lui donnait la gourde, Aldarin se tourna vers Khamaat.

- Kham? Connait-tu un sortilège qui pourrait aider Silindë? Sinon il est bon pour un brancard pour les deux-trois jours a venir, il s'est foulé une cheville et ses muscles sont plus tendus qu'une corde d'arc composite... en plus d'être totalement épuisé. Aldarin sautait entre le Shaï ou le Tydale sans même s'en rendre compte.
Puis il se retourna de nouveau vers Silindë et lui inspecta un peu mieux la cheville qui avait gonflé.


- "ptetre un peu forcé la dose" Silindë?... ahh... , soupira le Parangon.
Dire a son ami qu'en abusant de l'entropie, il aurait pu perdre réellement son pied ou du moins se blesser de sorte qu'il ne pourrait plus du tout marcher lui semblait aussi utile que dire a un Haut-Rêvant de ne plus fumer de karnine, ou une exécutrice tydale de ne plus tuer... donc inutile.
A cette pensée, il sourit tristement a lui même.



 
Silindë

Le Sukra 25 Julantir 1509 à 00h16

 
Deposé sur l'epaule de son nerhe avec toute la delicatesse qu'il aurait accordé à un sac à patate -de son point de vue- le tydale n'eut pas la motivation pour protester. Ce qu'il aurait fait au moins pour le principe (porté pas de probleme... mais pas comme des legumes!) s'il avait été dans son état normal.

Et vlan sur le sol. Brute! Mais brute salvatrice. Il but à longues gorgées l'eau fraiche et claire.. Savourant chaques gorgées du divin nectar. Pour le coup ça valait bien l'hydromel. Ou le doux vin fruité qu'ils servaient dans les petits restaurants de Syrinth...

Tient.. A plus? Il releva le regards sur ceux qui lui faisaient face et leur adressa un grand sourire...


Om'shir Aldi.. Om'shir Khamaat..

Y fait beau non?


Bon, maintenant qu'il avait les idées plus claires... Voyons voir.. Ah oui en effet.. ça n'était pas beau du tout.. Ca sentait le fifrelin cette blessure là. Une belle entorse ignorée et donc agravée.. C'pas avec des herbes qu'il ferait passer ça. Au vu de la tête du parangon, même lui s'en était rendu compte.

Mmmm... tu sais... une bonne nuit de repos et demain je soigne ça avec un guerison anarchique.. tu sait ça fait des miracles hein... Même si j'ai besoin d'un flux.. je tiendrais bien un sort ou deux de plus non?

Ben quoi.... nul probleme pour le tydale totalement inconscient des dangers entropiques qu'était Silinde. De toute façon le jour où on se mettait à douter de l'entropie c'est signe qu'il fallait arreter.

Jusqu'au bout...

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