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Le marché

Le Comptoir Marchand de Korsyne

Enclave de la Confrérie des Six chez les Hauts-Rêvants
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Sujet lancé par S'hilaan Tos'hur
Le 28-12-1508 à 14h57
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Posté par S'hilaan Tos'hur,
Le 04-01-1509 à 16h37
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S'hilaan Tos'hur

Le Dhiwara 28 Dasawar 1508 à 14h57

 
Hrp : Ce sujet est à but général afin de décrire les activités diverses et variées du comptoir de commerce de Korsyne. Il ne relate pas une histoire précise et particulière. Des ellipses temporelles peuvent avoir lieu d'un moment à l'autre. Si vous voulez raconter votre venue au comptoir vous pouvez le faire ici, en prenant garde de ne pas empiéter sur les écrits d'un joueur précédent ou en vous intégrant subtilement au fil de l'histoire. Bon jeu à tous./Hrp


Peu avenant, le Comptoir de Commerce de Korsyne l'est à coup sûr, il est difficile d'en douter. Haut bâtiment, de pierre et d'argile séchée, il ne jure pas dans le paysage désertique qui l'entoure. Cependant ses hauts murs, perçés ça et là de quelques meurtrières peu engageantes semble davantage signifier une place fortifiée qu'un haut lieu de la vie marchande.

Et pourtant, l'unique et large entrée, laisse passer chariots et caravaniers emmitouflés dans leurs robes du désert, laissant deviner l'activité intense qui peut y régner. Les caravaniers se relaient au portail afin de vérifier les entrées et sorties. La sécurité importe tout particulièrement lorsque les profits de la Confrérie des Six peut être menacée par une menace extérieure.

L'intérieur du Comptoir de Korsyne semble être un ilôt araméthéen dans l'océan de sable des Hauts-Rêvants. De la fumée, des bruits, des cris en tout sens. Les marchandises sont chargées et déchargées à grands renforts de juron. Les ateliers ouverts directement sur la cour résonnent d'activités diverses : métal frappé, cuir tanné. Les odeurs prenantes, souvent désagréables se mêlent par moment aux senteurs venues des entrepôts, diamétralement opposés où s'entassent tissus, matières premières, ballots en transits, caisses et tonneaux.

Un étage plus haut, une coursive de bois abrite les dortoirs et appartements des officiants et artisans du Comptoir. Plusieurs d'entre eux fument une pipe ou discutent dans la langue âpre et rapeuse des Confrères tout en regardant les allées et venues de leurs collègues.

Parfois un juron résonne plus puissamment que les autres, venant d'un atelier dont les lueurs rougeoyantes trahissent les activités de forge. Une haute silhouette, solidement bâtie émerge des profondeurs de l'atelier, le poil ébourrifé. Le Nelda reste un instant comme stoppé en plein élan, perdu dans une rêverie indicible, le temps semble s'être suspendu en lui. Puis sans crier gare, au bout d'un temps aléatoire, il crache par terre et maugrée tout en vaquant à d'autres occupations, ses Confrères s'écartant sur son passage de peur de récolter un heurt volontaire ou non du massif marchand.

Si d'aventures vous venez pour affaires, il est probable que l'on vous dirige vers lui ou vers son atelier, un sourire en coin. A vous de voir, au-delà du bruit et du chaos, il est reconnu que les merveilles de tout Syfaria circulent dans les Comptoirs de la Confrérie des Six. D'où que vous puissiez venir, il est difficile d'en douter. Alors n'hésitez plus, laissez-vous tenter.


 
Lopus Vera

Le Dhiwara 28 Dasawar 1508 à 18h01

 
Discrètement caché dans l'ombre d'une ruelle sombre et humide par la froideur de l'hiver, deux fentes d'un jaune vif scrutaient les alentours, à l'affut et inquiète.

Le pavé parsemé de neige blanche et abondante, le ciel gris et mauvais, et le vent, s'engouffrant sans cesse dans le plis des manteaux ne freinaient pas à la tâche des ouvriers et artisans...

D'un son retentissant d'une tuile qui vint se fracasser au sol, la lueur d'un reflet fît son apparition, le court instant d'une dague qui montrait, hargneuse, le bout de son nez...

Rien ne bougeait...
Que le marché et ces quelques fous qui sortaient par un temps pareil.

Emboitant le pas à la lumière, pressé, les deux yeux regardant à droite et à gauche, il marchait dans son armure de cuire noir vers le dénommé S'hilaan Tos'hur d'un aire sérieux, comme menaçant et le pas droit au but...

Un instant avant de s'arrêter devant lui, une voix bien jeune et grave héla le marchand...


-S'hilaan Tos'hur ?

 
S'hilaan Tos'hur

Le Dhiwara 28 Dasawar 1508 à 18h19

 
*** S'hilaan se passa une patte sur le facies. Son poil rêche de transpiration et sale de poussière se hérissa au passage de la large patte du Marchand. Ce dernier secoua la tête et s'adossa au mur de la forge qu'il venait de quitter. Son oeil, d'ordinaire terne et peu expressif arborait une lueur sombre et peu engageante. Il fouilla dans une bourse de cuir pendue à sa ceinture et en sortit une longue pipe qu'il bourra lentement, sans même regarder l'ustensile, les prunelles fixés sur un objet invisible, face à lui.

Il porta l'objet à sa gueule. ***


Foutrailles, putain d'endroit... maugréa-t-il tout en allumant le fourneau.

*** Il tira une longue première bouffée. Un nuage odorant d'herbes s'éleva comme une voix à l'intonation peu commune retentit à ses oreille. Un ton vif qui signalait une certaine jeunesse, un timbre grave qui indiquait néanmoins de la rudesse, un soupçon d'étrangeté qui mit en éveil les sens du massif marchand.

Son nom avait été prononcé. Cela était chose sûre. La voix lui en voulait donc. Il fallait donc qu'il réponde et considère son interlocuteur. Ce fait établi, S'hilaan laissa le temps d'une nouvelle bouffée de pipe s'écouler avant de regarder dans la direction de la voix.

Il fut surpris par la petite taille autant que par l'allure de son interlocuteur. Très petit pour les membres de sa race, il arborait un air mauvais et une attitude qui sous entendait une tension diffuse. Le Nelda était sur ses gardes.

L'instinct de S'hilaan lui recommanda une certaine méfiance. Le gaillard qu'il avait en face de lui ne faisait pas le poids en force brute face à sa puissante constitution mais son regard et sa nervosité pouvait bien dissimuler quelques talents martiaux cachés et surprenants.

Le Marchand fit craquer sa nuque et posa ses yeux éteints sur ceux agités et jaunes de son interlocuteur. Sa lente voix de basse marmonna : ***


Lui-même. T'es qui toi?

 
Lopus Vera

Le Dhiwara 28 Dasawar 1508 à 23h33

 
Un instant leur regard se croisèrent, sinueux et flou de toute réaction de l'un ou de l'autre...
Le petit ne baissait pas les yeux, fixant au contraire plus profondément le colosse.
Les épaules contractées, le poil semi-long légèrement électrique, les poings refermés...
Sa parole engageante ne perdait pas de sa hardies face au marchand peu abordable...


-Aucune importance...
Je suis à la recherche de ce que vous pourrez me procurer.
Et moi je suis là pour faire ce que vous voudriez faire...


Sa tête masquée se penchât légèrement. Son regard se plissa un peu, marquant un temps à la réflexion de ses mots.

 
S'hilaan Tos'hur

Le Matal 30 Dasawar 1508 à 11h41

 
*** Malgré l'aspect comique qu'aurait pu induire la posture du petit Nelda, son regard ne prêtait pas à rire. Le Marchand, habitué des bas-fonds de la Cité des Perles, scruta les yeux jaunes.

Le message était passé. Pensivement, alors que la pluie n'en finissait pas, S'hilaan tira une nouvelle bouffée sur sa pipe, laissant les éventualités de l'arrivée dans le grand jeu des profits du petit Nelda masqué. Un nuage blanc s'éleva. Les deux canidés restaient silencieux, puis d'un mouvement de tête, S'hilaan indiqua l'intérieur de son atelier invitant son étrange interlocuteur à en gagner l'abri. Il avança jusqu'à l'encadrement de lourde porte et se retourna afin de voir comment sa proposition était accueillie. ***


 
Lopus Vera

Le Matal 30 Dasawar 1508 à 16h17

 
Le temps s'écoulait doucement autour d'eux, comme la pluie tombait, sinueuse et bruyante sur le lieux.
Le cerveau alerte et connecté, la pluie ne cessait de tomber...

Le marchand peu avenant pétilla des yeux alors qu'il tirait une nouvelle bouffée.
S'en suivit un geste invitant le très jeune Nelda dans un atelier proche...

Après être arrivé sur le pas de la porte, le plus grand se retournait pour se rendre compte que la petite ombre avait disparue, la seule trace sèche de ses pas sur le pavé se recouvrant d'une file pellicule d'eau de pluie.
Alors que tout devin inexplicable, un rire étouffé provenait de l'intérieur de l'atelier.


-Hm hm hm...

Le dos tourné, un œil par dessus l'épaule, un petit sourire en coin, le regard fière de lui et cynique, il se tenait là, droit et immobile, à quelques pas du marchand...

 
S'hilaan Tos'hur

Le Merakih 31 Dasawar 1508 à 17h00

 
*** S'hilaan ft brusquement volte-face vers l'intérieur de l'atelier, ouvrant grand les yeux de surprise. Il resta un instant immobile dans l'encadrement de la large porte. ***


Foutres'sarkh jura-t-il avant de secouer la tête, comme s'il s'ébrouait, faisant cliqueter les perles de bois tressées dans sa crinière. Lentement ses yeux reprirent leur inexpressivité et il resta à fixer son surprenant petit visiteur. Pendant plusieurs secondes, le Nelda sembla happé dans une rêverie subite. Puis sans rien manifester de plus il entra dans l'atelier et ferma la porte. Le poids de la plaque de bois, cerclé de métal ralentirait l'agile Nelda en cas de dérobage et fuite intempestifs.

*** A dire vrai, l'atelier du maître marchand ne contenait rien de particulièrement précieux. Quelques outils suspendus au-dessus d'un large établi, une petite enclume et une fournaise rougeoyante ainsi qu'un ratelier et une armoire meublait les lieux. Cependant, nul objet ne semblait avoir réellement de valeur. Mais S'hilaan était un marchand doublé d'un Confrère. Et l'idée même que l'on puisse le duper ou lui dérober quoique ce soit lui était insupportable. ***


Ouais, deux précautions valent mieux qu'une pensa-t-il avant de s'avancer vers Lopus Vera de son pas lourd. D'un vague geste de la patte il indiqua un tabouret à trois pieds et sans attendre une quelconque réaction de la part de son éventuel futur client, il prit soin de rallumer et porter à sa gueule la pipe qu'il avait laissé s'éteindre lors de sa surprise.

*** Une nouvelle bouffée. Les yeux noirs détaillèrent rapidement le petit Nelda. ***


C'que j'peux vous procurer Rhon...

*** Si S'hilaan avait eu un réel sens de l'humour il aurait pu faire de la dérision. Mais il se contenta d'un aboiement bref et rauque, peut-être l'ébauche d'un rire. ***


J'peux tout faire Rhon. Chuis Confrère.

Armures de cuir cloûtées, armures simples ou particulières, fringues de voyage, casques simples ou spéciaux, armes empoisonnées, enchantées ou non...

Et c'que j'peux pas faire, j'peux l'trouver : outils, armes, armures, amulettes... pour toute personne... pour tout... usage...

C'que j'peux vous procurer dépend du prix que vous pourrez supporter Rhon... Voyons ça avant d'voir c'que vous pouvez éventuellement faire pour moi.


*** S'hilaan tira une nouvelle bouffée et croisa les bras, attendant réaction de la part de son étrange client. ***


 
Lopus Vera

Le Julung 1 Jangur 1509 à 16h46

 
La petite ombre se baladait à travers l'atelier, observant et reniflant à mesure qu'elle faisait un pas, puis un autre, semblant presque les compter...
Son regard tournait à une réflexion non dissimulée.

Après un court instant, sa petite voix grave et enfante résonna de derrière son masque...;


-Demandez vous plutôt ce qu'un digne Nelda pourrait faire pour vous, quel qu'en soit la durée de temps...

Un de ses yeux vint de coté, piquer le regard de S'hilaan...

-Vous avez surement une idée ?
Ou bien sans doute va t elle venir...?


 
S'hilaan Tos'hur

Le Vayang 2 Jangur 1509 à 21h10

 
*** S'hilaan retint un expressif claquement de mâchoire : le client ne se laissait pas marcher sur les pattes. Le petit Nelda s'exprimait de manière pour le moins obscure, adepte semblait-il des remarques voilées et des sous-entendus. Ce qui n'était pas le cas du fruste marchand. ***


Rhon, si j'devais attendre les pattes croisées que m'viennent des idées, j'perdrai mon temps et j'f'rai perdre çuisse d'mes clients ouais...

*** Il tapota sa pipe éteinte sur le rebord de son établi pour en faire tomber la cendre avant de ranger l'ustensile. ***


J'vais couper court ptit père. Chuis pas un poète alors va falloir être plus direct si tu veux faire affaire avec mézygue. Mais t'as du pot, là d'où j'viens ta manière de causer est courante...

J'te connais pas. Chais pas c'que tu vaux, dans aucun domaine. Alors tes offres elles sont...erf... hasardeuses. Alors on va la jouer autrement.


*** S'hilaan fit un geste vers ses outils. ***


Je sais pas c’qui peut t’intéresser… Et j’pense que tu piges facile que j’vais pas accorder l’même tarif pour une armure cloûtée et une cotte de mailles renforcée. Alors si tu veux négocier tes… services, faut d’abord que j’sache l’prix qu’tu leur accordes. Sinon on en reste à la thune… pour commencer ouais.

*** Des cris plus forts que les autres et le bruit d’une certaine agitation retentirent à l’extérieur. Une des oreilles de S’hilaan s’orienta. Il cracha par terre. Le marchand prit un morceau de cuir et exerça machinalement une pression, comme pour tester sa souplesse. Il sembla réfléchir un instant, grommela puis regarda de nouveau Lopus Vera. Il eut un vague rictus qui aurait pu s’apparenter à un sourire, une lueur vague passa dans ses prunelles. ***


Allez, si tu veux une offre pour commencer… J’te cloûte gratuitement ton armure de cuir, si tu nous débarasse d’c’t’espèce de bestiole bizarre qui rôde autour du comptoir. J’m’y suis frotté la dernière fois que chuis allé en ville. Elle s’en prend à nos caravanes et c’est pas bon pour l’commerce.

*** Il renifla. ***


Intéressé ?


 
Lopus Vera

Le Sukra 3 Jangur 1509 à 02h09

 
Le marchand tenait bien son rôle...
Continuant lentement de tourner autour de la salle, le jeune loup tenait ses oreilles grandes ouvertes et toutes dressées.
Son regard vif et pétillant prenait d'étranges aires à chacune des phrases du colosse.

Après réflexion, sa voix retentit de nouveau, accompagnée de ses deux poings posés sur la table...;


-La gratuité à un bien drôle de sens pour vous...
Mais la folie en a un bien unique.

Puisque vous semblez indécis...

...
Constituez moi un équipement digne de ce nom !
Pour quelqu'un qui veux rester discret, en solo, et tout ce qu'il faudra pour abattre rapidement.
Maniable, léger, résistant, et surtout... efficace...


Son regard reflétait l'ivresse de la jeunesse et l'engouement pour la précipitation...

 
S'hilaan Tos'hur

Le Sukra 3 Jangur 1509 à 13h19

 
*** Les affaires s'annonçaient bien. Dans une imitation enjouée et vaguement amusée, S'hilaan frappa à son tour des deux poings sur la table. A cette différence près que le meuble émit un grincement inquiétant et que les divers objets éparpillés dessus firent un bond, suivi, pour certains, d'une chute au sol. ***


Vente au sel!

Vlà une parole plaisante à entendre!

*** Le Nelda ramena ses deux pattes l'une sur l'autre et fit craquer ses phalanges dans un moment de réflexion. Lorsqu'il reprit la parole, il était revenu au vouvoiement avec son client. ***


Par contre, deux choses :

J'fais toujours les choses bien, donc l'mieux possible, ouais... Et là m'laissez l'champs libre, ça risque donc de coûter cher, ouais, cher...

Ensuite, faut qu'j'prenne le temps d'réflechir et d'voir c'qui conviendrait l'mieux à vot' demande... ouais, faire un devis quoi... arf!
Donc va m'falloir quelques jours et j'vous recontacte avec différentes propositions.


*** S'hilaan hocha la tête à ses propres paroles comme pour se les confirmer. ***


Et si vous choisissez de mettre une raclée à la bestiole, j'vous offre les cercles d'enchantement sur l'objet qu'vous voudrez... Et ptêt une autre ristourne en fonction d'vos choix futurs.

*** Une lueur maline, presque enfantine s'était allumée dans l'oeil du négociant. Visiblement il appréciait l'exercice et se sentait pleinement dans son élément. ***


 
Lopus Vera

Le Sukra 3 Jangur 1509 à 16h14

 
De profil le petit Nelda croisa les bras, regardant que d'un œil le marchand, un sourire en coin.
Ses lèvres se plissèrent encore avant qu'il ne rajoute...;


-Une bonne affaire se conclu toujours sans poser de question parait il... Héhé !
Me d'mande bien quelles sont les vraies raisons d'vouloir éliminer cette bestiole...
Après tout c'est pas mes oignons.

J'vais voir c'que j'peux faire puisque c'est facultatif...


Son regard eu une étincelle de suspicion envers ce que lui demandait de faire le "vieux".

Quand TOUT A COUP !!!
Il marcha lentement et tranquillement vers la porte avant de la passer et la claquer derrière lui, rajoutant un petit...;


-Marché conclu !

 
S'hilaan Tos'hur

Le Dhiwara 4 Jangur 1509 à 16h37

 
*** Le claquement de porte sembla résonner et se perdre dans l'atelier d'un marchand devenu subitement immobile, silencieux, le regard fixe.

D'une patte distraite, sans sembler en avoir conscience, S'hilaan se mit à dessiner d'une griffe des arabesques sur la table, comme il se perdait dans les méandres de ses réflexions, puis, avec un grognement il se leva en faisant claquer sa patte d'un air décidé sur le meuble.

Il saisit un lourd bâton de marche et sortit à son tour de l'atelier. ***


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