|
|
|
|
|
Le Merakih 29 Otalir 1508 à 14h54
|
|
|
| Ce serait avec grand plaisir que j'écouterai vos enseignement sur les différents dialectes de Syfaria.
*** Adwëis avait pu percevoir un certain malaise de son compagnon au sujet des gondolfières. Pourtant, elle ne pouvait s'empêcher de trouvé ce genre de transport amusant. Peut être cette état d'esprit était il du à son jeune age.
Toujours est il qu'elle se promis de faire attention à ne pas prendre les gondolfière si un chemin étroit était tout aussi possible, ou du moins essayerais t-elle.
Arrivais à l'auberge, Adwëis accepta volontiers la chaise que lui proposé Raganot:
***
Si ma maigre contribution peut vos être utile, se sera avec joie que je vous l'apporterai.
Comme vous devez le savoir, j'ai succombez à mes blessure et au venin sur la route menant à Farnya. Alors que la logique des choses aurait voulu que je ressuscite au pilier le plus proche - si on peux appeler logique le fait de ressusciter, je suis apparu au pilier de cette région, proche de la cité Nemen qui était ma destination.
Peut être que notre état d'esprit a notre mort joue un rôle important sur le lieux de notre résurrection, vu que j'etait tout de même troublé par mon incapacité, en m'écoulant là, à ne pas arrivé à Ulmendya dans les plus bref délai...
*** Adwëis fit une courte pause,l'air songeuse, avant de sembler se réveiller et d'ajouté confuse : ***
Mais je parle de ça alors que je ne sais pas trop si cela vous serai utile. C'est assez étrange de parlé de sa propre mort, surtout quand cela ne nous projette pas dans l'avenir.
| |
|
|
|
|
|
|
|
Le Merakih 29 Otalir 1508 à 16h58
|
|
|
| Et bien, lorsque je suis morte, je me sentie comme aspirée hors de mon corps. Et bien que je sois morte, je n'ai eu pas l'impression de plongé dans un sommeil éternelle ou quelque chose comme ça.
La sensation en est plutôt à l'opposé, comme quand deux petite fille tire chacune de leur coté la même poupée. Le problème entre la mort et la résurrection par le pilier, c'est qu'on est la poupée qui risque de se déchiré entre ces deux force de vie et de mort qui l'attire. C'est d'autant plus douloureux que tout le corps, ou toute l'âme, ou tout l'esprit, ou les trois ensembles, est ou sont tiraillés de la sorte.
*** Après un court moment de réflexion, la jeune Tchaë repris : ***
Par contre pour ce qui est du délai je ne pense pas pouvoir vous être très utile. La douleur est tellement intense qu'on essaye obligatoirement de se renfermer sur soit même, sans plus faire attention au temps, si celui si à encore une emprise sur nous. Aussi il me serai impossible de vous dire si je suis morte durant un instant, une seconde, une heure, un cycle, une éternité...
Mais d'après ce que j'ai cru comprendre à mon arrivé en ville, le temps écoulé entre ma mort est mon arrivé en ville est d'à peu près deux jours. Mais on peux se demander si le temps lors de la mort et le temps de Syfaria s'écoule de façon identique, et s'il ont le mémé impact sur les symbiosé. En plus de cela mon lieu de résurrection se situe assez loin de mon lieu de mort, ce qui entre peu être en compte dans un possibledélai pour ressurgir par les pilier...
*** La jeune Tchaë replongea à nouveaux dans ses souvenirs. Bien qu'elle essayé d'être objective, il lui était difficile de poursuivre un raisonnement logique de sa propre mort, tant les facteurs possibles étaient nombreux. ***
Avez-vous eu des altérations physiques ou mentales permanente suite à la résurrection ?
***
La voix de Raganot la fit sursauter, reprenant conscience du lieu où elle se trouvait. Adwëis ne pus s'empêcher d'être admirative envers le travail colossale contre qui le vieux Tchaë s'était dressé.Elle fit de son mieux pour l'aider avec son témoignage: ***
Si j'ai ressentie des altérations ? hum... je ne pense pas avoir était affecté au delà du traumatisme psychique du à rester suspendu entre la vie et la mort...Mais c'est vrai que j'ai tout de même lutté pour gardé une intégrité mental, ce qui est éreintant. L'envie de m'abandonner totalement à cette douleur m'a plusieurs fois traversé l'esprit, et je pense que si je l'avais fait, je ne m'en serai probablement pas sorti aussi bien... | |
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Le Vayang 31 Otalir 1508 à 22h33
|
|
|
| *** Dès son entré dans l'auberge, la jeune Tchaë alla vers l'aubergiste afin de réglé les formalité pour passer la nuits tandis que Raganot se porta vers l'escalier avec l'intention d'aller déposé ses bagages.
Leur surprises fut totale quand le Nemen se précipita pour barrer la route au vieux bibliothécaire.
Après un court instant de stupéfaction, la jeune Tchaë alla au niveau de l'aubergiste : ***
Ne vous inquiété pas nous allons payer pour la nuit. Mon Frère à juste envie d'enfin délaissé ses grosses valises qu'il se traine depuis la nef d'atterrissage. Il vous reste bien une chambre de libre, non ?
*** Devant l'air d'incompréhension du Nemen, la jeune fille tenta d'un langage malhabile le tydale en priant pour se faire comprendre, tout en mimant de ses deux main collé à son oreilles l'action de dormir. ***
Nous voulons être.... heu... ici pour dormir.
*** La réaction du Nemen riant apparemment de bon cœur plongea la jeune alchimiste qui dans la stupeur.
Le Nemen ajouta ensuite une suite de sonorité tout à fait mélodieuse appelé communément "langage" par qui sait le comprendre, ce qui n'était absolument pas le cas de la pauvre Tchaë qui lança un regard implorant à son vieux compagnon *** | |
|
|
|
|
|
|
|
Le Luang 3 Nohanur 1508 à 13h02
|
|
|
| *** Koïya’NisKa’tsih, tranquillement installé au bout du comptoir de l'établissement regarde entrer les deux tchaës du coin de l'oeil, le visage penché sur son verre.
Comme le tenancier, il laisse échapper un sourire amusé, mais bien plus discret, en comprenant que les deux poussiéreux envisagent manifestement de passer la nuit là.
Puis, quand Raganot lance un appel général en trois langues, qui ne lui valent que des regards d'incompréhension ou de vague curiosité parmi la salle, Koïya’NisKa’tsih relève la tête et tourne son regard vers lui.
Un sourire bienveillant se dessine sur ses lèvres fines, avant qu'il ne réponde d'une voix chantante :
Tchaë, tydale, nelda, j'ai l'embarras du choix...
Joli mélange de couleurs, ne trouvez-vous pas ?
Son regard s'attarde quelques secondes à contempler un chatoiement de couleurs qu'il est manifestement le seul à voir, sur un point situé derrière Raganot Zarogat, puis fixant de nouveau le tchaë, il ajoute :
Trouvez un logis, mais ne le cherchez pas.
De sa main libre, il caresse négligemment un mou rose et cubique posé sur le comptoir, dont les yeux se ferment de plaisir, tandis qu'un autre mou vert et rond observe curieusement le tchaë de ses yeux dorés depuis l'épaule du nemen... *** | |
|
|
|
|
|
Le Luang 3 Nohanur 1508 à 16h47
|
|
|
| D'abord, le vieux Tchaë était heureux d'entendre qu'il pourrait communiquer facilement avec quelqu'un. Mais il ne connaissait pas encore bien les Nemens et leurs cultures. Il avait aussi oublié le fait que les Nemens apportaient toujours plus de questions que de réponses.
Ici ce ne fut pas l'énigmatique réponse du Nemen sur leur problème de logement qui l'interpella, mais les deux mou autour de lui. Très vite dans son esprit, deux hypothèses lui vinrent. Soit il était dompteur de mou, soit il était multi symbiosé.
Finalement, il se rendit compte qu'il ne connaissait finalement pas grand-chose sur ces créatures. Peut être que le mou Symbiosé du nemen c'était reproduit. Mais était ce possible ?
Il fut d'un coup frustré des limites de ses connaissances. Sachant que questionner le Nemen sur la question le renverra surement vers d'autres questions existentielles, dont les réponses étaient surement à des kilomètres d'ici, il s'arrêta d'y penser.
Puis d'un air las, il lança au Nemen, d'une voix fatiguée.
Alors, je peux estimer que je vous ai trouvé et que vous allez nous offrir l'hospitalité pour une nuitée. Je vous en remercie d'avance. Pouvons-nous vous offrir un repas de cet établissement en échange de notre bonne foi. Nous pourrons ainsi mieux discuter devant une bonne table.
| |
|
|
|
|
|
|
|
Le Matal 4 Nohanur 1508 à 14h17
|
|
|
| La réponse du Nemen ne le réconforta pas. Il se voyait déjà dormir dans un sombre coin de la ville, dans le froid et le bruit. Il n'était pas prêt de récupérer de sa fatigue. Mais l'idée de pouvoir s'installer un peu et de manger le motiva à avancer jusqu'à la table indiquée.
Quand il aperçut trois ou quartes autres mou se déplacer autour du Nemen, la curiosité du vieux Tchaë le percuta à nouveau. Mais il décida de remettre ça a plus tard.
Installer à la table, Raganot prit immédiatement un livre qu'il avait dans sa besace, une plume et un petit encrier. Sa main droite se mit à écrire frénétiquement sur le papier, à allonger ses pensées . Il n'avait pas put le faire depuis son arrivée à cause de ses bagages encombrante.
Mon arrivée fut mouvementée et désagréable. La jeune alchimiste était la pour m'accueillir et me conduire dans la citée puits. Je ne m'éterniserais pas sur la laideur incroyable des lieux, ni sur les voyages en gondolfière, aussi désagréable que les voles en transport Nemen. Nous avons été convoqués à une audience. Je suis bien curieux de ce qui va en sortir. C'est pour nous une occasion unique d'en savoir peut être plus. Mais je commence à avoir des doutes. Les Nemens apportent toujours plus de questions que de réponses. Quand on voit cette ville, qui semble ne pas disposer de moyen d'hébergement pour les voyageurs. Ou alors cet étrange Nemen qui semble être symbiosé a plusieurs mous. Tout semble si étrange ici. Tout est différent. Les nouvelles de l'extérieur semblent de plus en plus mauvaises. Le temps joue à nouveau contre nous. Cet ennemi dont la course ne s'arrête jamais.
Tout en écrivant, le visage du vieux Tchaë regardait le Nemen, parlant naturellement, rendant les mouvements d'écriture de sa main décharné du reste du corps. Comme si elle avait sa volonté propre.
Vous êtes donc un voyageur. Vous avez du parcourir une grande partie de Syfaria ? Je n'ai que peu voyagé dans ma vie. C'est d'ailleurs la première fois de ma vie que je me trouve aussi loin de mon pays. Que pensez vous de notre monde vous qui l'avez surement déjà parcouru ?
| |
|
|
|
|
|
Le Matal 4 Nohanur 1508 à 14h49
|
|
|
| *** Adwëis, attablé au coté de Raganot, écouté distraitement la conversation tout en regardant d'un air émerveillé les mous tournant autour du Nemen. Une tel quantité de mou était impressionnante, et la jeune tchaë demanda discretement à son mou si il savait pourquoi autant de mou suivait cette personne, peut etre avait il une onde télépathique que ces mou aprécier enormément ?
La pensé de Delfinguer ne se fit pas attendre : ***
dit :Je ne sais pas trop, je ne savais pas que plusieur mou pouvaient etre symbiosé avec la meme personne. Toujours est il que ce voyageur à quelque chose de particulier... oui une odeur qui m'est familière mais que je n'arrive pas à identifier... en tout cas il ne sent pas comme les autres Nemens.
***
ces pensé laissèrent la jeune alchimiste songeuse un instant quand la conversation l'attira à nouveau : ***
Citation : Que pensez vous de notre monde vous qui l'avez surement déjà parcouru ?
Oui ! les villes sont elles toujours aussi fantaisiste dans les autres contrés ? Le mode de transport par gondolfière est vraiment extraordinaire ! D'autre cité ont elle développé des technologie aussi amusante ? | |
|
|
|
|
|
Le Merakih 5 Nohanur 1508 à 16h45
|
|
|
| *** Une fois installé, Koïya’NisKa’tsih passe commande auprès du tavernier, qui ne tarde pas à leur amener un pichet en cristal contenant un liquide ambré et pétillant, ainsi que deux autres verres pour les tchaës, que le nemen remplit aussitôt en plus du sien.
Au goût cela ressemble à de l'hydromel, en bien plus voluptueux, et beaucoup plus doux.
Koïya’NisKa’tsih observe la main du vieillard vivre sa vie sur la carnet de note d'un air un peu absent, puis répond aux questions qu'on lui pose de sa voix toujours aussi mélodieuse :
Ce que je pense de notre monde, c'est qu'il mérite d'être parcouru.
Adresse-t-il au vieillard, avant de se tourner ensuite vers la jeune tchaë.
Fantaisistes ?
Bien sûr.
Tout est fantaisie, pour l'esprit curieux,
qui regarde ravi mais non envieux.
Puis à sa question quelque peu incongrue sur les gondolfières, il répond l'évidence avec le ton de celle-ci :
Il n'y a qu'une cité-puit. *** | |
|
|
|
|
|
Le Merakih 5 Nohanur 1508 à 17h15
|
|
|
| Le vieux Tchaë bu une gorgée du liquide et trouva que cela avait vraiment très mauvais gout. Lui qui détestait l'alcool, il avait gagné là une belle horreur dans sa bouche. Ne voulant pas vexé le Nemen, il n'en montra rien.
Continuer de parler de choses futile avec lui, ne donnerait que des réponses futiles. Tel un équilibre de la rhétorique, qui rendrait jaloux n'importe quel équilibrien. Il se fit une raison de ce caractère Nemen. Aller à contre sens ne servirait à rien.
C'est à ce moment que son mou, qui en général n'osait pas prendre la parole afin de ne pas énerver son grincheux symbiote, se mit à le harceler.
dit :Dit, tu n'a peut-être pas envie de savoir comment il fait pour avoir plusieurs mous, mais moi je veux savoir. Je m'ennuie avec toi, je veux un copain. Aller demande lui.
Je ne te laisserais pas tranquille tant que tu ne lui auras pas demandé.
Demande-lui !!!
Demande-lui !!!
Demande-lui !!!
Demande-lui !!!
Demande-lui !!!
Le mou se téléportait partout autour de la tête du vieux Tchaë, afin de lui mètre les nerfs à bout. Chose qui ne dura pas longtemps. D'un coup, Raganot l'attrapa, puis regarda le Nemen.
S'il vous plait, pourriez-vous dire à ce mou, par quel miracle vous arrivez à avoir autant de mou. Dite lui que vous êtes dompteur ou je ne sais quoi et que ce phénomène n'est pas accessible aux poussiéreux. Ainsi il laissera mon esprit dans un silence dont il me prive afin de nourrir sa curiosité dérangeante. | |
|
|
|
|
|
|