*** Le matin même un vaisseau avait atterri non loin de la cité des nemens. Durant son voyage, Hergranore n’avait pu s’empêcher d’observer le paysage, c’était la première fois qu’il montait dans cet énorme ballon et il espérait que ce ne soit pas la dernière… En effet, quand il descendit, il se rendit enfin compte de la folie qu’il l’avait emmené en ces lieus. Il était désormais arrivé qu’il ne cherchait qu’une chose, repartir. Il avait toujours rêvé quand il était encore confrère de ne serait que pouvoir voir les énormes portes qu’étaient celles de la cité puits. Il prit peut-être le mauvais choix, mais il se dirigea vers la cité, comment les nemens pourraient-ils reconnaître un sans-faction d’un confrère ? Ni une ni deux, le tchaé avait donc prit la route et se retrouva quelques heures plus tard aux portes d’Ulmendya, des sentinelles surveillaient farouchement l’entrée et ne furent à la limite même pas surpris de l’arrivée du petit être. Enfin, il trouva la porte, il y avait là une nef qu’il se pressa de prendre. Il était là, dans « la gueule du loup », son premier reflexe, fut de remettre sa capuche pour mieux cacher ses blessures provenant du passé ! Des dizaines voir des centaines de nemens étaient face à lui. ***
Nogarde dit :
Chercherais-tu notre mort ?*** Dit son mou, avant que celui-ci ne puisse voir le regard de l’encapuchonné. Cela faisait des semaines de son mou ne lui avait plus adressé un seul mot, et tout d’un coup le choque, il s’était exprimé. Sa symbiose n’était donc pas encore rompue. ***
-Ici, les seuls à connaître notre secret sont d’après les dires d’Edoar, la délégation arathménne et quelques frères, tant que nous les évitons, nous ne risquons aucun danger !
*** A y réfléchir, il se moquait des pensées de son ancien apprenti disant qu’un danger menaçait les nemens, mais il était dans le lieu même de la connaissance où il pourrait sans doute en savoir plus sur la coruscation…
Encore un dernier souffle, et il fut enfin dans le premier sous-sol !!! ***
