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Les Archives des Cristaux

Investigation vertigineuse.

La première tentative.
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Sujet lancé par Takeon Cumulos
Le 18-12-1509 à 16h47
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Posté par Linoë,
Le 12-02-1510 à 21h51
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Takeon Cumulos

Le Vayang 18 Dasawar 1509 à 16h47

 
*** Il avait parcourut la cité, avec son accoutrement de petit pitre, et s'était rendu dans le quartier des Archives en toute tranquillité. Personne ne lui avait posé de question, comme toujours les Nemens s'étaient désintéressé de lui. Un bon point. Maintenant, devant le bâtiment étrange dans lequel disparaissaient et apparaissaient certains Nemens, il attendait son confrère Linoë, se demandant quel maquillage avait utilisé son compagnon de quête. C'était assez dérisoire et enfantin, mais son sérieux n'en était pas moins grand. Il regardait avec une admiration et une joie fulgurante, les bras croisé, devant le Portail, et sifflotait une comptine d'Arameth, l'air de rien. ***



Il y a tant de choses à dire sur moi que de le dire rendrait Fou.
Et du fait de le dire, il me semble avoir dit Tout.

 
Linoë

Le Vayang 18 Dasawar 1509 à 22h32

 
Vous devriez peut être éviter de siffler ce genre de comptines si vous souhaitez faire .....local.

***
Le chercheur du suaire était juste derrière Takeon Cumulos. Il avait rabattue sa capuche pour ne laisser apparaître que son visage. Son maquillage était un peu moins brouillon, bien qu'il n'était pas vraiment persuadé que cela tromperais les gardes.
Il avait couvert aussi ses bras, pour ne laisser que ses mains visible, elles aussi peintes.
***


Excusez moi, je suis arrivée avec la gondolfières suivantes. Et se fondre comme ça dans la population commence à m'amuser...bien qu'il ne prêtait pas plus attention à nous sans se déguisement.
La question est de savoir si eux ....
.Il observa les deux gardes devant le portail....réagirons différemment.

***
Il tendit le bras pour inviter son confrères à faire le premier pas.
***


Puisque c'est votre idée, je vous laisse l'honneur de faire le premier pas.

*** Il sourit au bailli ***


 
Narrateur

Le Sukra 19 Dasawar 1509 à 14h09

 
*** Ce que les deux confrères nommait le portail était en fait une bâtisse tout à fait anodine dans le décor du troisième niveau. La seule chose qui la différenciait des maisons voisines était la présence de deux gardes à l'extérieur de celle-ci, comme deux plantons devant une porte. Leur air farouche et leur équipement les désignait comme des membres de l'élite guerrière de la Cité. Parfois des Nemens entrent dans la bâtisse et d'autres en sortent sans que cela ne perturbent les deux gardes. ***


 
Takeon Cumulos

Le Dhiwara 20 Dasawar 1509 à 17h42

 
*** Il avait été propulsé sur le devant de la scène par son confrère. Après tout, c'était son initiative, c'était donc à lui de commencer.

Il fit un premier pas en avant. Que diraient les gardes ? Allaient-il simplement le laisser entrer ou bien le reconnaîtraient-ils aussitôt. Et puis, après tout, le déguisement ne servait à rien. Dans le fond, il leur suffiraient de se "connecter" sur son fil de pensée et de trouver les bonnes informations sur lui. Ils trouveraient d'abord son mou, puis ce dernier leur donnerait des informations sur ses origines, Arameth, pour finir par son espèce... Un poussiéreux ! Il espéra que les gardes ne fassent pas attention à lui.

Il aurait voulu être Nemen, à cet instant là. Et cet instant seulement. parce qu'être Nemen, et bien ce doit être vraiment insupportable. De l'extérieur, ils étaient déjà irascibles, mais si il avait à se supporter lui même de l'intérieur... Ce qui n'a, d'ailleurs, aucun sens.

Il avança donc, sûr de lui, comme s'il se dirigeait vers le bâtiment en connaissant son contenu. Il avait vu bien des Nemen entrer et sortir ici, et ce n'étaient jamais les même. Lorsqu'il en entrait un vêtu de rouge, l'autre qui sortait était différent et vêtu de gris. Jamais les mêmes, toujours différents... C'était peut être juste un magasin de vêtement.

Il arriva à la hauteur des gardes, ne pressa pas le pas, ni ne le ralenti. Il avançait, simplement, vers la porte, afin d'entrer. ***



Il y a tant de choses à dire sur moi que de le dire rendrait Fou.
Et du fait de le dire, il me semble avoir dit Tout.

 
Linoë

Le Luang 21 Dasawar 1509 à 23h04

 
***
Linoë suivit son confrères, marchand à la même allure. Il resta toutefois un léger pas en retrait. Oh il ne comptait pas être plus proche de la fuite en cas de problème. Mais plus profiter d'une possible diversion si l'un d'eux ce faisait prendre.

Il garda la tête droite le regard fixer sur la porte d'entrée du bâtiment. Il ne jeta aucun regard vers les gardes de peur d'attirer leur attention. Il fallait paraître le plus naturel possible...ou tout du moins le plus Nemen possible.

Légère goutte de sueur qui perle le long de la nuque et descend le long du dos, mais on ne ralentit pas ...on ne ralentit surtout pas.
Plus que cinq mètres .....quatre......trois ...deux ......un.....

On retient son souffle et on ne regarde toujours pas les gardes.
***


 
Narrateur

Le Matal 22 Dasawar 1509 à 12h30

 
Les Gardes Nemens ne bronchent pas, ne prêtant pas plus attention aux deux poussiéreux que s'il était réellement bien déguisé en Nemen. Devant nos deux amis, il y a La Porte.

La Porte est apparemment dans le même matériau que toutes les autres portes de la Cité-Puits : la même roche bleue turquoise veinée qui habille les plateformes, les maisons, les parois du Puits, Les fenêtres, les toits et bien entendu : Les Portes.


La Porte est donc une porte comme toutes les autres portes : un panneau plein, une poignée et certainement des gonds à l'intérieur pour lui permettre de pivoter. Pivoter, un Mouvement que nos deux amis l'ont vu réaliser maintes et maintes fois depuis le début de leur observation.

Mais maintenant qu'ils sont la devant, elle ne semble pas vouloir s'ouvrir, ni d'elle même, ni par la pensée, ni en lui manipulant la poignée d'un geste adéquat. Rien.


Comment entrer si la porte ne s'ouvre pas ?



 
Linoë

Le Luang 28 Dasawar 1509 à 14h33

 
Aucune réaction ? Les gardes.... rien , ils ne nous arrêtent pas ? Ils nous ignorent...notre déguisement fonctionne..Incroyable pensa Linoë.
Il y a un piège plus loin, c'est pas possible autrement. Ou alors se batiment ne mène nulle part.
Pourrait ils s'être tromper sur la fonction de ce lieu....


***
Il serait vite fixer, il ne restait plus qu'a ouvrir la porte. Un léger frisson d'exaltation et d'excitation parcouru l'échine du Tydale.

Son regard pétille en voyant son confrère devant lui tendre la main pour ouvrir. Il pose sa main...appuie sur la poignée...et...........rien. La porte de s'ouvre pas.

Linoë jeta de rapide coup d'oeil vers les gardes et vers les autres Nemen présent sur la plate forme, pour s'assurer qu'ils n'attiraient toujours pas l'attention. Puis il chuchota à son collègues.
***


C'est quoi le problème.. ? Il faut une clé ? Ou c'est parce qu'on est pas des Nemens qu'elle s'ouvre pas ?


***
A nouveau rapide regard autour de lui. Rester ainsi planter devant la porte allait forcément attirés l'attention sur eux. En tout cas si le batiment était bien un accès vers les niveaux inférieurs.
***


Écartons nous un peu. Rester ainsi va nous faire repéré.
Les Nemens sont obligés d'ouvrir cette porte pour entre et sortir du batiment ils nous suffira de nous glisser derrière l'un d'eux pour entrer.


***
Linoë s'écarta de quelques pas de la porte, faisant mine d'observer le reste de la pate forme, il garda son attention sur l'entrée. Prés a bondir dés qu'un Nemen ouvrira.
***


 
Takeon Cumulos

Le Luang 28 Dasawar 1509 à 20h38

 
***
Takeon fit de même. Il se décala légèrement du même côté que Linoë et attendit sagement qu'un Nemen passe, en espérant qu'un passerait un moment où un autre. Il ne regarda pas les gardes, évitant d'attirer l'attention sur eux. Il était trop sûr de lui, trop Nemen, pour se laisser prendre au dépourvu par un piège aussi banale qu'une Porte fermée à clef.

Il chuchota à son confrère, pour passer le temps.
***


Peut être faut-il une clef. Oui. Oui, oui, oui. Mais y a-t-il seulement une serrure quelque part ? Je pense que cette Porte ne s'ouvre uniquement qu'avec un pouvoir Nemen. Bah. Nous verrons bien.

Eh ! Ce Nemen là bas, ne viendrait-il pas vers nous, dirait-on ?


*** Il montra un Nemen loin. Un peu trop loin même. Mais qui sait, peut être se rendait-il dans ce bâtiment. Ce Portail? Après tout, qu'est ce qui justifiait que c'était un portail ? Ce pourrait aussi bien être qu'un dortoir. ***



Il y a tant de choses à dire sur moi que de le dire rendrait Fou.
Et du fait de le dire, il me semble avoir dit Tout.

 
Narrateur

Le Dhiwara 3 Jangur 1510 à 00h22

 
De Nemen pour passer la porte et entrer, il n'y en a aucun pour le moment. Le bâtiment habituellement fréquenté d'après leur dernière observation semble tomber dans une quiétude étrange. Les deux gardes Nemens en faction, droit dans leur armures restent toujours imperturbable ne prêtant pas attention aux visiteurs.

Un bruit, un cliquetis même se fait entendre, apparemment il y a du mouvement dans le bâtiment derrière la porte. Le battant s'entrouvre soudain et le nemen qui l'emprunte s'encadre dans l'embrasure.

Nos deux amis sur le qui-vive, prêt à bondir, aperçoivent le Nemen, colossal, il dépasse en taille ce que la norme nemen a montré jusqu'à présent aux visiteurs de la ville. Loin d'être aussi fluet que ses congénères, sa musculature emplit une armure qu'on croirait moulé sur son torse. Son visage est masqué ne permettant d'entrevoir que son regard glaçant.


 
Sargas Akilae’Thahm Nor’Kal

Le Dhiwara 3 Jangur 1510 à 00h28

 
*** Le Faucheur reste dans l'embrasure de la porte et toise les deux poussiéreux grimés en Nemens. Il prend la parole d'une voix de stentor, son ton est autoritaire et caractéristique des militaires : ***


Déclinez vos identités et factions, poussiéreux !
Tentez de vous introduire dans ce bâtiment est une très mauvaise idée de votre part !




 
Takeon Cumulos

Le Luang 4 Jangur 1510 à 16h35

 
***
Ah oui ! Après avoir pris l'apparence d'un Nemen, encore fallait-il parler sa langue.
Il connaissait suffisamment la langue Nemen pour avoir compris dans ce langage obscure les paroles suivantes :

« Qu'est ce qu'il y a mes zygomatiques, un huissier vous évade ?
Taratata, a mes invités du Havre, sa titille est à tes mouvements. Vouez à nuisance, y va ! Ma mettre pouet !
»

Bien évidemment, il était clair que ce Nemen n'avait pas toute sa tête et disait, à tue tête, des âneries sans nom. Mais qu'en était-il de la réaction à avoir face à une telle absurdité. ll se mit alors à réfléchir de la marche à suivre.

Réflexion faite, il se dit qu'il devait penser à quelque chose.
Il pensa alors à imaginer une invention qui lui permettrait de s'inspirer.
Une fois inspiré, il spéculerait sur la marche à suivre et visionnerait une vaticination.
Cette prophétie abstraite faite, il usera de sa créativité ainsi que de sa fantaisie pour improviser quelque chose.
L'improvisation marcherait si toutes les autres connexions étaient faites.

Il enclencha ses neurones, fit tourner ses méninges et leva le doigt.

Ce fameux doigt qu'il levait lorsqu'il avait trouvé quelque chose. Ce fameux doigt qu'il pointait vers le ciel en signe de vérité absolue.
La voilà ! La vérité ! Il allait la sortir dès à présent et épater tout ce bon peuple !
Allait-il parler Nemen ? Mimer un muet ? Feinter l'inconscient ? Jouer le dur ? Roder la caillasse ? Piquer du nez ? Clore le débat ? Battre des œufs ? Transformer le blanc en neige et y ajouter une pincée de sucre vanillé ? Que nenni ! Il en fit tout autre.

C'est la tête haute qu'il ouvrit la bouche, pour parler. A cet instant, il resta figé et son corps se mit à tournoyer. La tête restant fixe, il regardait l'imposant Nemen droit dans les yeux et se trouva au bout de quelque secondes et une demi rotations plus tard, en posture ambigüe. Sa tête suivit alors le mouvement de son corps. Il fit un pas en avant. Et d'une fluidité partiellement impensable, il s'évada.

Euh... Oui, il prit la fuite, lentement, marchant à un rythme de béatitude niaise. La tête vers l'horizon, les bras raides, seules ses jambes qui bougeaient mécaniquement entraînaient son corps loin de là.

En Rabaän, il dit :
***


« Je flaire le danger mon ami Linoë, je le flaire et je sens là une terrible sentence pour nous, pauvres poussiéreux que nous sommes. Ce bâtiment ne répond qu'aux ordres des illustres et immortels Nemens, point de place pour les mortels. Allons ! Allons donc ! Rien ne peut plus nous arrêter ! A la corde ! Ce soir, c'est l'escalade. J'ai compris que nous allons devoir engager notre investigation vertigineuse dans le gouffre des ténèbres. Oui ! Oui mon ami ! Le gouffre des ténèbres, vous l'avez bien entendu »



Il y a tant de choses à dire sur moi que de le dire rendrait Fou.
Et du fait de le dire, il me semble avoir dit Tout.

 
Linoë

Le Matal 5 Jangur 1510 à 16h02

 
***
Encore un problème et de taille celui là.....Pas moyen de se glisser par la porte. De toute façon même si il n'avait strictement rien compris à ce que le Nemen venait de dire le ton employé ne donnait aucune envie de forcer le passage....a moins que se soit la peur inspirée par les puissant muscles.
Une longue seconde de silence s'en suivie, ne sachant pas que dire. Il était clair que leur déguisement ne trompait personne et surtout pas les Nemens. C 'était le plan de son confrères certainement avait il une solution pour ce cas de figure.
Tient d'ailleurs il lève le doigts, il va nous faire entrer.........ah non il part d'un pas lent mais qui ne trompe pas...c'est la fuite. Laissant le chercheur du suaire seul devant le Nemen.
Un bref instant Linoë compris toute la signification du mot poussièreux.... Ce constat fait eu pourtant une tout autre réaction chez le confrères.
***

« Ah non pas la fuite..jamais devant eux. »

*** Il soutenue le regard du Nemen et d'une voix clair il s'adressa à lui. ***


Et bien voilà vous avez fait peur à mon ami, c'est malin. Son regard devint presque autoritaire...presque

Pardonnez moi je ne comprend pas votre langue, et je le regrette soyez en sûre. Nous attendons un ami...un Nemen. Il devrait bientôt arriver.
*** Il désigna l'entrée que masquait le chef des armées d'un signe de tête. ***

Enfin là sans vouloir vous vexer je crois bien que personne ne pourra passer.....


***
Pas de passage en force possible donc le meilleur moyen était de le faire partir. Tout les nemens qui passerait cette porte n'aurait quand même pas la stature de celui ci.
***


 
Sargas Akilae’Thahm Nor’Kal

Le Luang 11 Jangur 1510 à 23h23

 
Les deux gardes flanquant le bâtiment bougèrent de concert pour s'interposer derrière les poussiéreux. La fuite de Takeon s'achevant rapidement devant les hallebardes croisés des deux Nemens en armure.

*** Le Faucheur des Effluves regarda Linoë sans piper mot de son babillage et le toisa d'un air sévère avant de reprendre dans un tydale rouillé : ***


Je suis Sargas Akilae’Thahm Nor’Kal, Déclinez vos identités et factions, poussiéreux.

 
Linoë

Le Merakih 13 Jangur 1510 à 13h56

 
***
Quand il sentit les gardes refermer le passage derrière lui, bloquant la fuite de Takeon, un frisson parcourue l'échine de Linoë.
***


Scylla dit :
Ça sent mauvais si tu veux mon avis.....



***
Le chercheur du Suaire resta toutefois de marbre, enfin il fit plus comme si il ne c'était pas rendu compte ou était complètement imperméable à la brusque monté de tension qui venait de se produire.
Il continua à soutenir le regard du chef de la garde.
Il lui adressa même un sourire quand celui ci parla une langue qu'il pouvait comprendre.
***


Aysh'hinassa Avih Sargas Akilae’Thahm Nor’Kal.

***
Linoë s'inclina respectueusement, à la limite de l'exagération pourrait même penser certain.
***


Enchanté de faire votre connaissance. Je me nomme Linoë, confrère d'Arameth......

***
Il s'apprêtait à lui donner aussi son poste, mais il se ravisa. Expliquer que son but principal dans la vie était de rechercher les artefacts Nemen ne serait certainement pas enclin à ouvrir des portes dans la cité.
***

....et voici mon confrères Takeon Cumulos. Nous sommes en visite dans votre charmante cité.

***
Pour l'instant le mieux était de resté évasif sur le but de leur présence, ce Nemen devait sans aucun doute être beaucoup moins commode que la judicatrice. Si il découvre leur vraie intention, il n'y avait aucun doute pour Linoë. Aller simple pour les piliers avec en bonus interdiction de remettre les pieds à Ulmendya......avec suivant la susceptibilité de son interlocuteur un gros incident diplomatique entre Nemen et confrères.
***


Scylla dit :
Tu marche sur des oeufs......


***
Le chercheur du suaire sentit sa gorge se nouer.
***


 
Linoë

Le Merakih 20 Jangur 1510 à 20h59

 
***
Les secondes de silence se suivirent. Laissant tout le loisir au chercheur du suaire de sentir tout la sueur perler le long de son échine.
Il finit par se redresser lentement, un bref instant il eu l'espoir que le puissant Nemen n'était plus là, laissant la porte grande ouverte......peine perdu.

Linoë toussota légèrement puis d'une voie calme, il tenta de nouer d'avantage le dialogue.
***


Scylla dit :
Tu marche de plus en plus sur des œufs.......



Il y a un problème ?

***
Il jeta un œil sur les deux autres gardes Nemens qui encadraient les poussièreux.
***


Ou vous souhaitiez nous dire quelques choses ?

*** Il laissa passer encore quelque secondes de silence. ***


Enfin ne croyez nullement que votre compagnie me dérange mais comme je vous l'ais dit nous attendons un ami. Et sauf erreur de notre part il devrait sortir par ce passage et ....Linoë fit une légère grimace....votre imposante stature semble boucher le chemin.

 
Sargas Akilae’Thahm Nor’Kal

Le Julung 21 Jangur 1510 à 22h22

 
*** Le Faucheur des Effluves resta silencieux un long moment, laissant Linöe à ses sueurs froides. Il fit un signe aux gardes qui s'écartèrent et reprirent leur faction. Puis il ordonna aux deux poussiéreux : ***


Ne me prenez pas pour un Braxat, poussiéreux ! Vous allez vous empresser de disparaitre de ma vue et d'éviter de revenir par ici. Si j'apprends que vous causez d'autres ennuis dans la Cité-Puits, je vous retrouverai, soyez en sûr.

Maintenant partez !


*** Le Nemen resta imperturbable devant la porte attendant de voir ses ordres exécutés. ***


 
Linoë

Le Julung 21 Jangur 1510 à 23h15

 
***
Ce fut d'abord un air perplexe que Linoë afficha, son esprit cherchant quel était son erreur. Qu'avait il dit qui pouvait le trahir à ce point.
Leur attitude ?
Bon effectivement déguiser ainsi ils étaient louche, enfin provocateur était plus juste.
Peut être son déguisement avait il vexer son interlocuteur. ?
Non.
Ils n'avaient pas eu d'attitude agressive envers aucun Nemen...enfin si la Juricatrice. Mais il ne pouvait pas déjà être au courant.
Il n'est pas symbiosé. Linoë l'aurait sentit.

Alors pourquoi cette soudain agressivité ?
Serait il devant un batiment trop important pour les poussièreux.? Toucheraient ils au but ?

Une légère colère monta en lui mais il préféra afficher un air offusquée.
***


Des ennuies ?
Nous n'avons causer aucun ennuies que je sache.


***
Partir ainsi la queue entre les jambes n'aurait fait que reconnaître la culpabilité des confrères. Et sans doute les mettre sous étroite surveillance. Toute autre tentative d'atteindre les niveaux inférieur serait donc impossible.
Le chercheur sentait bien qu'il jouait serrer, le chef des troupes Nemen ne semblait pas être d'une grande patience.
***


Pourquoi une tel attitude ?
Je vous dit que l'on attend un ami, un de vos confrères. Nous nous sommes déguisé ainsi pour lui faire une surprise. Je ne vois pas ce que l'on fait de mal.


***
Il savait que depuis le début son mensonge était bancal mais en assistant cela passerait peut être. Ou tout du moins leur permettrait de continuer leur mission par un autre chemin.
***


C'est bien par là que sorte les Nemens vivant dans les niveaux inférieur, non ?
Donc on peut bien attendre ici notre ami pour lui faire une surprise.


Scylla dit :
Sa sent le voyage par le pilier...fais attention.


***
Linoë ignora les propos de son mou, préférant concentré toute son attention sur Sargas Akilae’Thahm Nor’Kal
***


 
Sargas Akilae’Thahm Nor’Kal

Le Luang 25 Jangur 1510 à 21h26

 
*** Le Nemen regarda éberlué le poussiéreux s'évertuer à lui mentir et entra dans le jeu de celui-ci. ***


Je vous propose donc de me donner le nom de celui de mes confrères que vous attendez. Mieux encore, nous allons l'attendre ensemble, prés des quais de Gondolfières. Car il s'agit du seul moyen de venir des niveaux inférieurs. Ce bâtiment est à usage militaire, vous pourriez attendre en vain encore longtemps.

*** Le Faucheur avança vers Linöe et lui fit signe de le précéder vers les quais. ***


 
Linoë

Le Matal 26 Jangur 1510 à 10h43

 

Hein ?
C'est pas par là qu'on .....


***
Linoë observa le Nemen avait expression perplexe dans les yeux. C'était pas le bon endroit. Ils étaient trompé.
Aïe pensa le chercheur du suaire.

Sa voix se fit plus hésitant.
***


Euhh bon bon et bien on dirait bien que mon ami c'est moquer de moi.....

***
Il fallait trouver un moyen de s'échapper et vite.
***


Bon bon...alors allons l'attendre vers les ..........Gondolfières....

***
Linoë sourit timidement au Nemen et se retourna. C'est à ce moment qu'il remarqua l'absence de son confrères. Takeon avait du fuir sans un bruit le laissant seul.
***

Voilà la solution pensa t il.

Oh mais vous avez réellement fait fuir mon confrère.....euhh il faudrait que j'aille lui dire que nous n'attendions pas au bonne endroit.....

***
Linoë, par quelque petit pas de côté, commença à s'écarter du gigantesque Nemen
***


...Le connaissant il a du aller se cacher dans une des auberge de la ville......Je vais aller le chercher....
on ..a qu'a..se retrouver aux quais des gondolfières.


***
De nouveaux quelques petit pas, cette fois un peu plus rapide. Il commençait à être hors de parter d'un bras tendu.
***

Notre ami s'appelle....c'est impossible que ce garde connaisse les 600 000 noms des Nemen. Cela paraissait une proeusse mental hors d'atteinte même pour cette race. Enfin en tout cas le tydale n'arrivait pas à le concevoir......euhhh il se nomme.... « evaus em ej rengag sa ut nob tse'c »

***
Sur ce Linoë activa un peu plus son pas mais dans une tout autre direction que celle des quais.
***


On se retrouva là bas ......sans faute.

***
Cette fois il se retourna et disparu dans la foule des Nemen sans demander son reste. Tout les possibilités d'explorer les niveaux inférieur passait forcément par les gondolfières. Et il voyait pas trop comment en voler une. De plus un tel acte aurait pour conséquences un grave incident diplomatique. C'était le bannissement à coups sûre de sa faction.
Il s'essuya le visage pour effacer les traces de son pseudo déguisement.

Non décidément il ne voyait plus comment atteindre les niveaux inférieur.
***


 
Sargas Akilae’Thahm Nor’Kal

Le Matal 26 Jangur 1510 à 20h10

 
Le Faucheur des Effluves regarda le poussiéreux s'éloigner d'un pas rapide et quelque peu affolé. Un sourire se dessina sur ses traits durs. Il songea que les poussiéreux l'étonneraient toujours avec leur tendance à aller d'un extrême à l'autre, méfiant et paranoïaque pour certains points mais prêt à tout croire sur d'autres.Il redevint sérieux et ouvrit la porte du bâtiment derrière laquelle attendait une dizaine de nemens. Ces derniers sortirent et s'éparpillèrent dans la foule. Le trafic reprenant doucement entre le bâtiment et la plateforme du troisième niveau.

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