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Le Matal 2 Fambir 1510 à 15h11
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| Le Nord, c'était un bien grand mot. Mais il y avait l'idée.
Assez vite, le trio disparut à la vue d'Edoar, même Minak positionné en dernier.
Les arbres du bois devenaient rapidement nombreux et denses dans leur espace.
Se suivant les uns derrière les autres, les Confrères avancèrent.
Avancèrent encore. Pendant une dizaine de minutes.
Puis...
Hir'Daeles, en tête, eut l'étrange impression, petit à petit, d'être entouré.
Comme si des présences s'étaient approchées de lui et l'observaient, d'un peu trop près.
Ces présences qu'il sentait, il ne les voyait pas, mais il pouvait affirmer une chose :
Elles étaient monstrueuses, menaçantes. Il commença à avoir brutalement peur.
D'une de ces peurs inexplicables qui vous nouent les tripes.
Noyé dans son alcool, il savait néanmoins ça:
Sa vie était en danger.
Mathereth, plus loin, avait toujours Hir'Daeles en vue.
Il vit l'Ordinant s'arrêter tout à coup puis se mettre à trembler, suer.
Minak, lui, apercevait à peine le silhouette de Hir'Daeles entre les arbres.
Il voyait surtout Mathereth pour qui, de toute évidence, ça allait bien.
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Le Matal 2 Fambir 1510 à 19h17
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| Math vit le tydale s'arrêter.
*** Le caravanier prit rapidement contact avec Edoar et Minak et dans un style très résumé pensa ***
Hir' s'est arrêté. Je m'approche pour voir pourquoi.
*** Il s'approcha sans faire de bruit d'Hir'Daeles, prêt à intervenir. ***
Il tremble comme une feuille et sue pire qu'un glaçon dans le désert. Que fait on?
*** Le caravannier scruta en un coup d'oeil rapide les alentours pour être sûr qu'il ne s'était pas arrêté devant quelque chose en attendant le retour de pensée de ses confrères. ***
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Le Merakih 3 Fambir 1510 à 02h45
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| *** J'avais perdu de vue Edoar, Math et Hir en tête s'avancer de plus en plus dans la forêt, je restais en alerte mais tout semblait calme.
Je reçu la pensée de Math, et j'empoignais ma lance au même moment avant de lui répondre, par télépathie ***
Reste calme Math, et n'interfère pas avec Hir et Edoar, reste prudent et sur tes gardes. Et tiens moi bien au jus de ce que tu vois et entends.
*** Après quelques secondes de réflexion. ***
si tu juges son état devenir trop inquiétant, essaye de lui parler...
***
Puis je pris une profonde inspiration, ensuite je levais la tête pour observer les arbres, et finalement je déclinais un tour complet sur moi même pour voir si je ne remarquais rien. ***
Il n'y a personne qui se déteste vraiment, il n'y a que des gens qui ne se comprennent pas. | |
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Le Merakih 3 Fambir 1510 à 13h57
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*** L'agréable sensation de chaleur dûe à l'alcool s'était peu à peu transformée en l'impression que ses veines devenaient de glace, que ses jambes flaogelaient, son souffle s'accélérait, et une sueur froide plaquait ses vêtements contre sa poitrine qui tressautait au moindre bruit se produisant, au moindre craquement de branches dans la forêt...
Il y avait des choses autour de lui...
Beaucoup....
Monstrueuses...
Il le sentait, c'était comme lorsqu'il était petit, il SAVAIT qu'il y avait un monstre sous son lit....
Un monstre qu'il ne fallait surtout pas déranger...
L'Ordinant commenca à reculer vers la clairière, à reculons, en jetant des regards affolés autour de lui... il avait l'impression d'y voir bien plus clair maintenant, même si des vrilles semblaient désormais s'enfoncer dans ses tempes..
Cependant, embrouillé comme il était, l'Ordinant se mit en fait à courir droit dans l'opposé de la direction voulue...
Vers les profondeurs de la forêt... *** | |
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Le Julung 4 Fambir 1510 à 17h31
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| Hir'Daeles, la peur au ventre, se mit à courir comme un dératé dans la mauvaise direction.
Il ne retournait pas du tout à la clairière, comme désiré, mais s'enfonçait dans la forêt.
Là où le danger paraissait de plus en plus menaçant. Où chaque élément devenait inquiétant.
Il trébucha maintes fois, se releva, continua sa course, au hasard, affolé.
Derrière, Mathereth et Minak eurent quelques difficultés à le suivre.
Mais à un moment ou à un autre, il retrouvait sa silhouette, au bruit qu'il faisait.
La course dura, au point que plus personne ne savait ni où, ni quoi, ni comment.
Et en définitive, la présence salvatrice de la clairière se dessina devant eux.
D'une manière ou d'une autre, ils y étaient revenus...
Malgré l'affolement, la peur, le chaos.
L'Ordinant, dés son premier pas dans l'endroit, éprouvé et encore terrifié...
S'écroula dans l'herbe, d'un coma bien profond.
Et fit de forts étranges rêves.
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Le Sukra 6 Fambir 1510 à 14h26
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| *** J'arrivais en courant à la suite de Math, nous étions à nouveau revenue dans cette maudite clairière, et Hir se trouvait là inconscient. ***
Laisse moi faire Math ...
***
Je prenais Hir à bout de bras et je l'emmenais dans notre campement puis je je le déposais délicatement sur sa paillasse. Je me relevais en me grattant la tête et me tournant vers les autres. ***
Bon, à priori je connais plutôt très bien les effets de l'alcool, et notre ami à un truc qui tourne pas rond... On pourrait appeler ça une mauvaise "descente" mais ce n'est pas le cas...
Edoar, tu as remarqué quelque chose pendant notre escapade ?
Sinon je pense qu'une bonne purge lui ferait pas de mal...
Mouep ... bon, je vais lui préparer une bonne tisane de grand mère pour essayer de le ramener parmi nous, un truc bien dégueulasse, ça devrait le faire.
*** Je marmonnais ***
cet endroit commence légèrement à me les briser...
Bon je vais veiller Hir ou si quelqu'un d'autre veut s'en charger ?
Sinon il va falloir sérieusement prendre l'exploration des différentes maisons demain matin, j'espère que la nuit se passera bien.
*** je m'attelais à faire chauffer de l'eau, tout en gardant un œil sur Hir. ***
Tu as trouvé un parchemin dans une souche Math ? donne le à Edoar qu'il nous dise ce qu'il en pense .
Il n'y a personne qui se déteste vraiment, il n'y a que des gens qui ne se comprennent pas. | |
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Le Dhiwara 7 Fambir 1510 à 02h17
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| *** Durant toute la course de Hir'Daeles dans les bois l'arcaniste essaye de se concentrer sur les pensées qu'il peut lui envoyer sans grand succès. Il semble que dans la panique le tydale est coupé le lien mentale enlevant tout espoir au mage de voir quoi que cela soit.
Edoar a tout juste peut être pu ressentir une grande peur avant que l'artiste ne se referme sur lui même ce qui est fort étrange...
En assez peu de temps ses compagnons se retrouvent à revenir dans la clairière et l'ordinnant perd connaissance. C'est à en perdre son rabaan.
Ce n'est qu'une fois l'artiste déposé sur sa paillasse par l'explorateur qu'il prend un peu de temps pour tirer les conclusions de ce nouvel échec. ***
Bon il semble que nous nous soyons encore plantés dans les grandes largeurs. Le point le plus intriguant est sas aucun doute que la barrière a modulée son effet pour nous empêcher de passer. Mathereth n'était conscient pas de sa présence et il a été subtilement influencé, Hir'Daeles a voulu la forcer et le phénomène semble bien plus violent.
*** Sur ces paroles, le mage regarde la trouvaille de Math. Il le prend délicatement et commence à méthodiquement étudier son contenu.
Un coffre caché dans un arbre... décidément l'endroit est étrange.
Après avoir remercié Mathereth, Edoar ouvre le coffre du caravanier et commence à s'intéresser au parchemin. Il n'est pas aussi calé que l'ordinant en nemen mais maitrise cette langue en connaisseur ce qui pourra peut être suffire. Il s'intéresse aussi aux "breloques" qui sont à l'intérieur et qui peuvent lui apporter des indices sur la personne qui a l'a déposé. Il cherche en particulier un symbole qui pourrait désigner une famille ou une lignée. ***
Une fois que j'aurai fini d'étudier ces objets et cet écrit je vais me rendre dans les bois prêt de la zone où Hir'Daeles a commencé à être affecté, je vais voir si je ressens une perturbation des flux, de plus je pense avoir l'esprit le plus puissant de nous quatre ce qui me permettra peut être de résister en partie à l'effet s'il est provoqué par l'entité des lieux.
*** C'est donc ainsi qu'après avoir étudié le coffre comme décrit le mage va se mesurer lui aussi à l'étrange barrière pour essayer d'en comprendre les tenants et les aboutissants. Avant de se rendre dans les bois il s'entoure d'un simple sort de contingence naturelle.
Une intuition de dernière minute qui ne peut pas faire de mal. ***
~Edoar Edaregord œil du poinçon~
Frère de la superbe nelda célibataire qui a gagné le concours de poésie d'Arameth
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Le Dhiwara 7 Fambir 1510 à 19h49
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| Alors que les uns et les autres commencent à planifier les prochaines étapes de leur quête.
Hir'Daeles sort difficilement de sa torpeur. Il ouvre un oeil, torve, puis un second. Un peu dans les brumes.
L'univers des songes l'a abandonné, celui de l'étrange réalité du puits se présente de nouveau à lui.
Edoar, de son côté, n'a pas le temps de lire quoique ce soit du parchemin.
La lecture lui échappe. Au moment où il porte son attention sur l'écrit, les lignes s'évanouissent.
Tous les mots, les phrases disparaissent dans une fumée magique des plus intrigantes.
Quant aux bibelots, ils sont clairement de facture Nemen. De belle facture malgré l'âge, de l'ouvrage savant.
Des gravures en formes de superbes arabesques... Il a un peu de nemen gravé sur un bijou tarabiscoté.
En grande partie effacé par l'âge. Il distingue "A N'ulan, si ch.... en ce... .ai.... de.. ...."
Des symboles, il y en a quelques uns, incompréhensibles ou incomplets.
A quoi peut bien ressembler l'héraldique Nemen ?
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