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Les Dédales du Luth

Rencontre Nocturne

Rue Vapeur
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Sujet lancé par Achlésis
Le 21-04-1510 à 20h22
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Posté par Achlésis,
Le 28-10-1510 à 09h19
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Achlésis

Le Merakih 21 Astawir 1510 à 20h22

 
***
Dans les Dédales du Luth, quelque peu avant minuit.

Les thermes nocturnes de la rue Vapeur , situés quelque part dans les Dédales du Luth, étaient renommés pour la qualité de leurs services, pour la situation des personnages de la vie Aramethéenne les fréquentant, et pour leur inacessibilité au commun des mortels.

C'est donc non sans appréhension qu'Achlésis s'engageait dans la rue cette nuit afin de rencontrer l'Oeil du Poinçon, Aliundil, anciennement Chambellan du Limonaire.

Elle ne le connaissait que par les trois pensées échangées avec le personnage, ainsi que par ses interventions... fleuries sur le consensus.
Avec lui et Takeon Cumulos, le Poinçon pouvait se targuer de compter des éléments symbiosés pour le moins détonnants.

Frappant la porte de l'établissement, indiqué par une modeste inscription murale, grâce à un lourd heurtoir ouvragé, Achlésis attendit.

Un judas s'ouvrit, et la porte s'entrouvrit quelque secondes plus tard, dans un bruit de verrous.
Précédant son interlocuteur, la Sykramen souffla ces mots dans l'ouverture.
***


Je viens de la part d'Avih Aliundil

*** Un temps ***


Très bien.
Entrez je vous prie.


***
Achlésis fut donc introduite dans un patio luxueux et éclairé par de nombreuses lanternes, nanti de superbes mosaïques et parterres de fleurs.
Un tydale vêtu d'un habit blanc au liseré de fil d'or se présenta à elle, et la conduisit jusqu'à son vestiaire, d'ou elle put ressortir directement dans les salles de bains, d'ou montaient de lourds panaches de vapeur, uniquement ceinte d'une serviette descendant jusqu'à mi-cuisse.

Elle se situait au bord d'un très grand bassin ou deux trois personnes faisaient leurs ablutions, et se dirigea droit devant elle, avant de s'asseoir dans une alcôve , en face de l'unique porte de la salle.
Si l'Oeil arrivait, il ne pourraient pas se manquer.
***


 
Aliundil

Le Merakih 21 Astawir 1510 à 22h57

 
***
L'Oeil arrive.

Il passe les portes et se dirige vers le bassin.
Une cigarette à la main, une serviette autour de la taille.

Des tatouages, d'un bleu profond, lui courent de la tête aux pieds.
Cousus sur son visage.
Enroulés autour de son buste.
Entortillés sur ses jambes et sur ses chevilles.
Motifs compliqués, ornements savants, symboles inconnus.

Il n'a pas l'air d'un flic, plutôt d'un chef de bande mystique.
Avec sa démarche arquée. Son roulement d'épaules félin. Ses mains dégourdies.
Son regard se plante dans chaque baigneur. La femme comprise.

Arrivé au bord du bassin, il et trempe ses pieds dans l'eau.
***


Se suffire, c'est être puissant.

 
Achlésis

Le Julung 22 Astawir 1510 à 10h17

 
***
Du fond de son alcôve, la Sykramen guette.

Elle observe et détaille le tydale tatoué que son Mou lui présente comme Aliundil.
L'Oeil du Poinçon.

Ce personnage se présente à elle comme un nouveau mystère d'Arameth.
Primo, de par ses tatouages.
Secundo, de par sa démarche
Tertio, de par son regard.

Fascinante Trinité

Il l'a vue, cela ne fait aucun doute.
Et puisqu'il est symbiosé, il sait qu'elle est là, et qui elle est.

Peut être qu'il ne souhaite tout simplement pas être aperçu en sa compagnie.

Il faudra donc faire le premier pas.
Elle sort de son alcôve, et se dirige vers le bassin.

Tout en s'asseyant au bord de l'eau fumante, elle darde son regard vers Aliundil, et lui envoie, par pensée, ces trois mots.
***


Aysh'hin Avih l'Oeil.

 
Aliundil

Le Julung 22 Astawir 1510 à 17h26

 
***
L’Oeil se tourne vers elle et la regarde.
Observation détaillée du moindre carré de chair et du plus petit renflement sous le tissu.
Rien n’est épargné, tout est disséqué.

Il calle sa cigarette entre deux doigts et crache sa fumée par le nez.
Une odeur de parfum bon marché et de tabac chaud.
Quand il prend la parole, son haleine est légèrement sucrée.
***

Salut, le Cul.

***
Il tire une dernière latte sur sa cigarette.
Joues creusées et sourcils froncés par l’effort.
Puis, d’une pichenette, il envoi le mégot mourant dans le bassin.
***

Je t’écoute.

Se suffire, c'est être puissant.

 
Achlésis

Le Julung 22 Astawir 1510 à 21h01

 
***
Les lèvres noires d'Achlésis se tordent en un rictus à mi-chemin entre une moue boudeuse et un sourire franc.

Il faut dire que la réponse à de quoi surprendre.
Elle décide de prendre cette réponse comme un compliment.

Captivée par le mégot sombrant dans le bassin, ce n'est qu'au bout d'une dizaine de secondes qu'elle relève le visage vers Aliundil.

Agrippant le bord du bassin en marbre, elle se jette à l'eau.
Métaphoriquement, bien sûr.
***


Je vous propose une collaboration.
Vous êtes enquêteur, d'après ce que j'ai compris.
Vous avez sans doute déjà un réseau d'informateurs et des relations dans les Bas-Fonds.

De plus, j'ai une couverture que vous avez plus ou moins bien résumée il y a quelques instants.

Je ne dis pas que vos contacts sont incompétents, je ne les connais pas.
Mais il se pourrait que parfois vous ayez besoin de discrétion et d'efficacité, et que ces services devraient être rendus avec le meilleur des succès.
Voilà ce que je suis en mesure de vous fournir.


***
Guettant la moindre trace d'orage dans les yeux de l'Oeil, elle s'interroge.
Et si finalement, c'était un flic droit ?
***


 
Aliundil

Le Julung 22 Astawir 1510 à 21h24

 
***
L'Oeil écoute attentivement.
Son regard est plongé dans celui de la jeune femme, ses oreilles sont grandes ouvertes.
Il ne pipe pas mot et ne réagit pas non plus.

Est-ce un discours qu'il a déjà entendu ?
N'en a-t-il rien à faire ?
Nourrit-il des soupçons ?

Tant de questions qu'on est en droit de se poser face à son absence de réaction.

L'expression du flic est blasée.
Mais une expression de flic peut-elle être différente.
Il renifle en jetant un nouveau coup d'œil au baigneurs.
Plusieurs longues secondes de réflexion, puis :
***

Qu'est-ce que j'y gagne, qu'est-ce que j'y perds ?

Se suffire, c'est être puissant.

 
Achlésis

Le Julung 22 Astawir 1510 à 23h39

 
***
Le visage de marbre du Poinçonneux fait douter Achlésis.

Attend-il plus ?
N'en a t-il au contraire pas assez entendu ?

Tant pis pour la sécurité, pense la jeune femme.
***


Vous y gagnerez un nouveau nom dans votre liste de contacts.
Et vous n'y perdrez pas forcément, je suis ouverte à d'autres paiements que des éspèces sonnantes et trébuchantes.
Recommandations, bons plans, équipement...


 
Aliundil

Le Vayang 23 Astawir 1510 à 15h12

 
***
L’Oeil ne s’anime toujours pas.
A croire que le discours qui lui est servi n’est pas à son goût.
Ou peut-être ne mange-t-il pas de ce pain là.

Il regarde la tydale sans grande curiosité.
Son intérêt parait limité.
Sa concentration semble vague.

Le flic s’est pourtant déplacé
A quoi s’attendait-il ?
Que croit-il ?
***

Pourquoi est-ce que je risquerais ma plaque en bossant avec toi ? Tu n’es pas la seule à avoir ce genre de talents – si on peut appeler ça du talent - et la différence c’est que toi je ne te connais pas.

***
Plusieurs lignes bleuâtres dansent sur son front lorsqu’il hausse un sourcil.
***

Sans compter que tu me parles déjà de rémunération alors que tu ne m’offres qu’un nom de plus à ajouter à ma liste de contacts. Les noms je m’en moque. Ce qui m’intéresse c’est de savoir à quoi je les associe : réseaux, influence, marchés etc. Là, je perds mon temps.

***
Les lignes s’incurvent et se ramassent.
Le visage se referme.
***


Se suffire, c'est être puissant.

 
Achlésis

Le Vayang 23 Astawir 1510 à 17h33

 
***
La tydale s'interroge encore une fois.
Fronce les sourcils.
Et s'il n'était venu que pour lui tendre un piège ?
Ses yeux se plissent en essayant de cerner l'individu derrière ses tatouages.

Croisant et recroisant ses pieds sous l'eau, la tydale doute.
Avant de retrouver son visage de marbre.
Et ce sont désormais des accents froids, durs et professionels qui pointent sous l'ancienne voix de velours.
***


Prostitution.
J'étais employée par certaines matrones qui requéraient mes services
Pas en tant que Fille.
Disons que j'étais amenée à superviser ou à tenter de démêler leurs tracasseries avec les proxénètes des Faubourgs.

J'ai même quelques connaissances dans le Vitrail qui auraient des trucs à se faire pardonner.






 
Aliundil

Le Matal 27 Astawir 1510 à 14h17

 
***
L'Oeil fronce les sourcils.
L'architecture peinte sur son visage s'effondre.
Étonnement, mécontentement ou réflexion ?

Il demeure immobile.
Un petit peu.
Ou un certain temps.
***

D'accord.

***
Un long moment après ça.
***

Pourquoi tu veux rouler pour un flic alors que tu bosses pour Pandore ? Ça me parait dangereux et suspect comme double jeu. Quand on bouffe à tous les râteliers il ne faut pas s'étonner si on trouve une arrête dans la salade.

Se suffire, c'est être puissant.

 
Achlésis

Le Matal 27 Astawir 1510 à 20h13

 
***
Peut être qu'il avait trouvé ce qu'il voulait finalement.
Mais cela dit, sur certains points il créait des problèmes ou il n'y en avait pas encore.
***


Bien

***
C'est un regard acéré qui vint frapper le flic.
***


Primo, il ne me semblait pas avoir abordé avec vous le fait que je travaillais à Pandore.
Enfin, que vous l'ayez appris par d'autres bouches que la mienne ou que vous ayez lancé ce nom en vous fiant à la chance, cela est juste.

Deuxio, je ne vois pas pourquoi vous parlez de double-jeu.
Les activités de la Boîte de Pandore ne sont on ne peut plus légales, tout du moins de ce que Sora m'en a laissé apprécier.


 
Aliundil

Le Matal 27 Astawir 1510 à 21h49

 
***
L'Oeil reçoit le regard acéré sans broncher.
Achlésis l'aurait destiné à un autre que ça n'aurait rien changé.
Tout à l'air de glisser sur le visage morne.
***

Bien sûr, et c'est d'ailleurs pour ça que la boite se paye les services d'une courtisane capable de faire danser des proxénètes sur un ring. Suis-je bête. Une maison sans vertus où se posent les culs symbiosés des plus jolis minous de la ville, c'est forcément pure. Surtout quand les petits culs font baver des bonnets du Vitrail. Exemple.

***
Serait-ce une lueur d'amusement qui brille au fond des yeux sombres ?
Ou un sentiment moins favorable ?
***

Mais bien, admettons que le monde soit un endroit merveilleux où les nuages sont roses et où il pleut du chocolat chaud. Je modifie donc ma question : pourquoi une prostituée telle que toi voudrait rouler pour un flic, sachant que ta condition de symbiosée te permet de faire tout autre chose, que tu as déjà un emploi officiel et que, j'en reviens à ça, le culte du secret est toujours une confession dangereuse ?

Se suffire, c'est être puissant.

 
Achlésis

Le Merakih 28 Astawir 1510 à 14h13

 
dit :
Tu vois, j'étais sûr qu'il ne marcherait pas pour Pandore...


Travailler pour le Poinçon est toujours moins dangereux de travailler contre lui.
Surtout quand on est symbiosé, j'en suis convaincue.

Quant à bosser pour toi, c'est très simple.
Je n'ai pas envie de rester toute ma vie dans la Rue.
Je veux sortir de la fange des bas-fonds dans laquelle je traîne depuis cinq ans déjà.
En bossant pour toi, c'est à la Confrérie que je suis utile.

Tout du moins je l'espère.


***
La prostituée se fige.
S'il n'est pas trop bête, c'est maintenant, à défaut de ne pas l'avoir fait avant, qu'il va se rendre compte qu'elle ne le considère que comme un levier.
Pour s'extirper des bas-fonds.
***


 
Aliundil

Le Vayang 30 Astawir 1510 à 18h16

 
***
L'Oeil inspire.
L'Oeil expire.
Mais il n'exprime pas grand chose.
Amélioration du rien précédent.
***

Tu n'estimes pas être utile à la Confrérie en travaillant dans un bordel où tu soutiens le commerce intérieur ? J'aurai parié ma plaque le contraire.

***
Le visage tatoué se penche de côté.
Réflexion.
***

J'ai du mal à te croire. Sur toute la ligne pour être honnête. Les symbiosés ne courent pas les rues et cette simple qualité te permettrait de sortir du trou rien qu'en claquant des doigts. Or, en bossant pour moi, tout ce que tu vas gagner c'est rester le nez enfoncé dans la merde parce que c'est en la remuant que j'avance. Pas en la regardant s'étaler du haut d'un hôtel particulier.
Tu veux sortir de la fange ? C'est dommage, t'es plus intéressante en y étant plongé de mon point de vue.
Pour toi cinq ça doit être un calvaire mais pour moi c'est de l'expérience.


***
Sourcil levé.
Encore.
***


Se suffire, c'est être puissant.

 
Achlésis

Le Julung 6 Manhur 1510 à 20h59

 
***
Le visage jusqu'alors sans aspérité se morcèle.
Sous l'épaisse couche de fard blanc, les aspérités apparaissent.
Ses doigts serrent la margelle de marbre alors qu'Achlésis répond au flic.
***



Je n'ai pas envie de "claquer des doigts".
Ce serait trop facile.

Je n'ai pas envie de faire comme la moitié des symbiosés qui arrivent la bouche en coeur en croyant que tout va leur tomber tout cuit dans la bouche, à exposer leurs envies et les voir se réaliser - ce qui la plupart du temps est le cas.


Je ne veux pas m'abaisser à demander une faveur à plus puissant que moi. Je veux qu'on me demande. Qu'on requière mes services, pas qu'on s'attache ma gratitude et ma reconnaissance, en m'attachant à un piquet.
Certes, je te fais la demande de bosser pour toi, mais tu m'accorderas que ce n'est pas du même acabit.


***
La voix s'était faite pressante, et plus dure alors qu'elle prononçait ses derniers mots.
***


Quant à soutenir le commerce intérieur en bossant dans un Bordel, je pense sincèrement que je peux servir la Confrérie bien plus efficacement d'autres manières.

Et si j'ai dit que je voulais sortir des Bas-Fonds, je n'ai pas dit que je comptais en sortir tout de suite.


 
Aliundil

Le Sukra 8 Manhur 1510 à 14h40

 
***
L'Oeil sourit.
Ou grimace.
Contraste indéterminé.
***

Hé bien. Quel engagement. Le moins qu'on puisse dire c'est que tu as du caractère.

***
Un "rictus".
Appelons ça un rictus.
***

Mais d'où te vient cette rage ?

Se suffire, c'est être puissant.

 
Achlésis

Le Sukra 8 Manhur 1510 à 15h41

 
***
Le visage se referme lorsque le flic pose sa question.
Une ombre voile les yeux de la fille.

Elle répond d'une voix rauque.
***


J'ai fait quelques erreurs à mon arrivée en Arameth.
Depuis j'ai appris à ne me fier qu'à moi même.


 
Aliundil

Le Matal 11 Manhur 1510 à 22h02

 
***
L'Oeil tique.
***

Ça, c'est ce qu'on appelle de la suspicion. Pas de la rage.
On peut très bien faire des cachoteries, garder sa vie privée pour soi, être sur le qui-vive sans pour autan bouillonner.


***
Plus de grimace.
Une curieuse moue.
Une moue curieuse ?
***

Les catins sont aigries. Le travail a fait d'elles des êtres haineux. Tu me diras, quand un mec te brutalise comme certains clients le font, j'imagine qu'il ne doit pas rester grand chose d'autre que la colère au magasin des sentiments.

***
Ou des émotions ?
Haussement d'épaules.
***

Rares sont celles qui l'expriment avec le froid de l'acier. Tu as fait des erreurs ? Je suis curieux de savoir lesquelles t'ont forgées.

Se suffire, c'est être puissant.

 
Achlésis

Le Matal 11 Manhur 1510 à 23h03

 
***
C'est d'un ton presque badin qu'Achlésis reprend la conversation.
Elle a enfin l'impression que l'autre s'intéresse à elle.
Inconsciemment, elle a peut être sû dévoiler d'elle ce qu'il recherchait.
***


Je n'avais pas cette rage avant d'être symbiosée.
C'est d'ailleurs un des facteurs qui me poussent à me ranger du bon côté de la ligne de la Loi.

Agir de manière impulsive pouvait me griller irrémédiablement.
Ce qui me fait enrager, c'est de voir que tous les symbiosés qui proviennent des Bas-Fonds l'ont oublié pour la plupart. Ou alors c'est l'impression qu'ils donnent, et ils sont très bons acteurs.


*** L'assassin rajoute ensuite avec un sourire désabusé. ***


Ce qui après tout la moindre des choses qu'on puisse attendre d'un Confrère ayant un tant soit peu d'amour propre.
De plus, j'ai l'impression de devenir comme eux.
Après tout, Sora ne m'a acceuillie au sein de la Boîte uniquement après avoir appris que j'étais pourvue d'un Mou.


***
Un ange passe.
Un geste vague de la main , pendant que le regard se perd dans les mosaïques du plafond des Thermes.
***


Quant à mes erreurs passées, elles appartiennent à un passé désormais révolu.
Comme me l'a dit quelqu'un que j'ai rencontré il y a peu, je dois arrêter de vivre dans le Passé.

Je pense qu'il te suffira de savoir que j'ai commis les erreurs que toute fille paumée arrivant à Arameth, et fuyant le Matriarcat, avec l'espoir d'une vie meilleure, aurait commis.


***
Le regard est de retour , et se fixe dans les prunelles du Flic.
Non pas un regard froid, ni un regard amical.
Juste une étude posée du visage tatoué.
***


 
Aliundil

Le Merakih 12 Manhur 1510 à 18h14

 
***
L'Oeil observe.
Lecture du jeu.
Passage en revue des pièces.
***

Ce qui te fait enrager, c'est donc "de voir que tous les symbiosés qui proviennent des Bas-Fonds l'ont oublié pour la plupart. Ou alors c'est l'impression qu'ils donnent, et ils sont très bons acteurs". Motif d'orgueil, motif d'oubli. D'accord. Je vois la tableau.

***
Sélection des cases.
Ouverture Poinçonnée.
***

Mais dis-moi, honnêtement, tu en connais beaucoup des symbiosés qui viennent d'en bas ? Des Aramethéens, bien sûr, le reste ne m'intéresse pas. Pas encore.


Se suffire, c'est être puissant.

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