Un bureau plutôt simple orné d'une pile de dossier divers et de tasse dans lesquels du thé à visiblement été bu.
Un peu dérangé on remarque néanmoins que chaque dossier à une place propre..

Le bureau, d'un bois foncé forme un contraste avec le fauteuil de cuir clair du Juge Yeshal..

Un petit canapé du même cuire fait face à une table basse sur laquelle est posé un Narguilé de forte contenance.autour de cette table basse quelques coussins sont dispersé à même le sol..

Il règne dans cette pièce un espèce de brouillard causé par le penchant du Juge..

 

Yeshal, parcourait (une pipe en main )succinctement un dossier portant une des nombreuses affaires de justice qu'il allait devoir traité en attendant la venu du Chambellan Aliundil avec lequel il devait converser...

 
Une fois passées les grandes portes du batiment, Trinité se laissa conduire au bureau du Juge par un bailli en faction qui ne rechigna cependant pas une seconde à faire un détour dans sa garde pour satisfaire les attentes d'un supérieur.

Aussi loin qu'il s'en souvienne, le tydale n'était jusqu'à présent jamais entré dans le Caravansérail, et la découverte des lieux n'était pas pour lui déplaire.

Tournant à droite au fond d'un couloir, il ne tarda pas à se trouver face à une porte sur laquelle était inscrit : " Juge Yeshal ".
Le Chambellan frappa trois coups avec le pommeau de sa canne.

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Se suffire, c'est être puissant.

 

la résonance du son se propagea jusqu'à l'oreille du Nelda qui n'attendait que se signal pour inviter son confrère du Limonaire à entré plus avant dans les pièces du Caravensérail du poinçon, ausi ne fit il pas attendre plus longtemps le chambellan et dit d'une voix assez forte pour traverser l'épaisse porte :


Entré donc, la porte est ouverte..


Puis, il déposa son dossier sur sa pile et s'activa à s'allumer une nouvelle pipe en attendant l'entrée de son visiteur qui il l'espérait ne serait autre que trinité des mots..

 
Bonjour confrère juge, dit le tydae en entrant. Comment vous portez-vous malgré ce manteau de mort que vous venez juste d'ôter ?

Trinité ferma la porte derrière lui et fit quelques pas jusqu'au bureau du nelda.

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Se suffire, c'est être puissant.

 

Bien le bonjour trinité des mots, je me trouve tout juste assez de force pour fumer pipe sur pipe et pour lire de façon succincte quelques vieux dossiers..

la voix du juge semblait emprunt de rauquement et de faiblesse.


Enfin j'ai déjà la chance d'être revenu de cette ...visiblement Yeshal cherchait ces mots pour décrire ce qu'il avait pu vivre.. Après un certain temps il finit par dire endroit..

puis, se redressant doucement il saist de façon indélicate la poignée en cuivre d'une théière posé sur la petite table, invitant d'un signe le Tydale à s'installer sur le canapé..
La théière à la main le juge remplit deux tasse de cuivre qui ressemblait plus à des gobelets qu'a de réels tasses et ajouta :

Je vous remercie pour votre sollicitude, mais la tâche qui est la mienne ne peut résolument se permettre d'être inoccupé pendant trop longtemps, nous manquons de juge voyez vous...
Aussi ne vous inquiétez pas pour moi je me sens suffisamment fort pour vous servir d'hôte et pour traité l'affaire qui nous rejoint..

Ayant fini de remplir les gobelets il se tourna vers son bureau et saisi une petite boite de bois noire et dit avec un large sourire :

Du sucre?

 
Volontier.

Trinité s'installa et sortit d'un porte livre son éternel calepin, qu'il ouvrit à la page de l'expertise.
Il jeta un regard curieux à Yeshal, considéra mentalement sa propre future demande, puis décida de se lancer puisqu'après tout il ne risquait pas bien plus qu'un simple refut.

La question va vous paraitre curieuse, mais m'accorderiez-vous une faveur au terme de notre entretient ? Cela n'a rien à voir avec le prévôt Finghin, mais plutôt avec vous.

L'une de mes principales études se porte actuellement sur la mort et ses conséquences, ce qui me pousse à recceuillir les témoignages de confrères ayant séjourné récemment dans notre Pilier de poussière. Connaître leur sentiment, leurs émotions, savoir ce qu'ils ont vécu.
Pourrais-je vous poser quelques questions sur le sujet une fois que cette affaire sera terminée ?

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Se suffire, c'est être puissant.

 

Yeshal fut quelque peu surpris par la proposition du Chambellan, mais à bien y réfléchir cette étudepouvait faire progresser la confrérie et qui mieux qu'un chambellan du limonaire pouvait la mener à bien..
Tout en servant le sucre il répondit donc à la demande de son confrère :

Ma foi, si par mon témoignage je puis vous aider dans votre étude, j'y consentirai volontiers mais je tiens à vous précisez tout de suite que mes souvenirs de cette "endroit" sont plus que flou, cependant je répondrai à vos questions du mieux que je pourrais..


Une fois le sucre servis, Yeshal s'empressa d'allumer le narguilé afin que la réunion soit des plus agréable possible pour son hôte.
Une fois fait, il s'assit de toute sa masse dans le canapé de cuire clair qu'il avait mis en face du canapé ou siégeait maintenant le Chambellan..
Haletant de se peu d'effort il poursuivit :

Je vous proposerai quelques biscuit sec pour accompagner, mais permettez moi de reprendre un peu mon souffle avant...

Puis reprenant une mine plus sérieuse il en vain au sujet de leur entretiens et commença :

Alors, dit moi se qu'il en est de votre expertise, qu'a ressorti de cette dernière avec le confrère Finghin ?

 
Le bilan est mauvais, dit-il en se frottant paisiblement les mains suite à la réponse positive de Yeshal. On m'avait déjà parlé des bourdes à répétition du confrère Finghin mais jusqu'ici je n'avais pas eut l'occasion de mesurer l'ampleur du problème qu'il pose à la Confrérie lorsqu'il se laisse dépasser par les évennements.

Tout au long de l'entretient, il s'est attaché malgré lui à me démontrer qu'il ne maitrisait pas la situation qui lui cause aujourd'hui un procès. Cependant, le principal soucis vient de son manque de réflexion et de distance en matière de sorcellerie. Je ne le crois pas incompétent mais mal compétent.

Mais vous voulez peut-être que j'entre immédiatement dans les détails ?

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Se suffire, c'est être puissant.

 

une petite mine se fit voire sur la figure du Juge, qui accentuait l'impression de fatigue qui se lisait sur son visage..

Ma foi, c'est une mauvaise nouvelle pour se dernier, mais bon j'ai entière confiance en votre savoir..
Poursuivez donc dans vos détails cher confrère j'ai besoin de vos lumière pour pouvoir statuer sur se dernier..


Yeshal savait déjà avant que le récit du chambellan que le Prévôt devrait répondre de ces actes, selon les dires de ce dernier se profilerait la sanction adéquats..
Aussi il entreprit de tiré une large bouffé de fumé du Narguilé armotisé au plantes du désert, tout comme le thé et paru alors en meilleurs formes pour écouter son invité..

 
Bien que vous m’ayez dit être néophyte, je vais d'abord vous expliquer brièvement et simplement ce qu’est la sorcellerie et les risques que l’on encourre en cas d’échec dans son utilisation.

La sorcellerie côtoie les forces immanentes et surnaturelles présentes dans la nature.
Leur soumission tord la réalité pour la remodeler selon la vision que le lanceur de sort se fait du monde, au moyen de sorts ou de rituels qui puisent dans la stabilité des ressources de l’univers pour obtenir des résultats souvent irrationnels.
Son utilisation est donc toujours dangereuse et doit être réfléchie ; le sorcier doit prendre toutes les précautions possibles pour éviter de déclencher effet indépendant de sa volonté.
Un lanceur de sort novice risque par une erreur de froisser la réalité, ce qui peut avoir des conséquences désastreuses surtout si la réalité en question est celle d’un confrère.

Nous entendons-nous sur ce point ?

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Se suffire, c'est être puissant.

 

Un plissement des paupières signifia l'intense effort de concentration du juge, qui après le discours de son confrère repris une mine plus décontracté avant de poursuivre plus avant dans le raisonnement de Trinité.

Je vous entend parfaitement sur ce point, aussi je suppose qu'il découle de ce que vous m'avez dit que votre expertise à surtout été faite sur la capacité du Prévot à lancer des "sorts" et donc sur sa capacité à tordre la réalité et non pas à la froisser?


Attendant la réponse de Trinité le juge Yeshal espérait ne pas être une fois encore à coté de la plaque en ce qui concerne la magie..

 
Oui mais pas seulement. L’intégralité de ma démarche s’est axée sur trois points majeurs :

- l’utilisation de sorcellerie était-elle indispensable ?
- l’utilisation précise de sort était-il le seul recours ?
- les risques ont-ils raisonnablement été évalués ?

A présent, voici l’état des lieux de la situation du Prévôt par rapport à son enseignement de la sorcellerie.

Le Prévôt Finghin fait son éducation arcanique au sein de notre Horloge, sous la tutelle d'un érudit nommé Berën Lladro, et a été nommé mage en 1487 de l’âge de la Rédemption.
Il y a fait ses classes en alchimie, enchantement et maîtrise des sphères pour finalement se découvrir une aptitude à manipuler l'Essencialis - sorcellerie générale -, la Chimère - sorcellerie d'illusion - et l'Evolution - sorcellerie du corps et de la nature -.
Il a interrompu ses études sur "un coup de tête" afin de se livrer à des activités plus en rapport avec la vie sur le terrain.

Je vous informe également de cette déclaration, importante pour la suite : « Je dois avouer que l'art chimérique n'est pas mon fort, manipuler le vent n'est pas chose aisée. […] Je préférai exercer l'Essencialis. […] Quand à l'Art Chimérique, je n'ai réellement découvert l'immense intérêt, que pour appréhender les personnes sans user de force brute. Il sert principalement à déstabiliser celui qui en est la cible. […] je sais principalement déplacer le vent pour perturber et déstabiliser les éléments perturbateurs, il m'évite aussi de recourir à la puissance plus radicale de mes projectiles d'Essencialis, et je me sers aussi du vent pour me constituer une seconde barrière de protection plus personnelle. »

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Se suffire, c'est être puissant.

 

Le juge Yeshal écoutait attentivement le rapport d'expertise du chambellan et nota lui aussi cette petite déclaration..

Dite, moi Trinité des mots, en votre qualité d'expert pourriez vous me décrire quel est le sort justement que le prévot à voulu lancer sur le plaigant?

se disant il se rendit compte qu'il avait coupé la parole à son interlocuteur, un air un peu gêner apparut sur le visage du juge et il reprit :

Je vous prie de m'excusez, je ne voulais pas vous coupé dans votre récit, poursuivez je vous en prie je poserai mes questions profane après..

 
Trinité leva une main pour signaler qu’il ne se sentait aucunement offensé.

Le Prévôt a tenté de lancer un sortilège de « vent changeant ».
Ce dernier agit sur les sens de la cible et les altère, empêchant quiconque de communiquer normalement et créant de sérieux désagrément. Son inventeur le reconnaît lui-même volontiers, ce sort est destiné à « pourrir la vie de celui sur qui il est lancé ».
De plus, le sort est chargé d'une puissance mystique qui virevolte avec lui ; autrement dit, non content de ne pouvoir communiquer la cible est exposée à une charge de mana dont la stabilité est relative.

J’attire particulièrement ici votre attention sur le fait simple que le Prévôt Finghin a utilisé la Sphère dans laquelle il était le moins compétent sur un confrère.

Il feuilleta son calepin et posa un doigt effilé sur un paragraphe souligné.

Je lui ai demandé si la garde n’aurait pas pu intervenir à la place de lancer un sort.

« Demander à la Garde de procéder à son arrestation aurait mis le feu au poudre. […] Si un Chambellan n'arrive pas à calmer un Confrère, un Bailli n'y arrivera sans doute moins pire, cela provoquera l'ire des Araméthiens peu scrupuleux qui verront en cet acte la possibilité de faire du tort au Poinçon et à la Confrérie. » a-t-il affirmé.

Et à la question « considérez-vous qu’en ordonnant à vos subordonnés de calmer un agitateur vous encourriez les mêmes risque qu’en lançant un sort sur celui-ci ? », voici ce qu’il m’a répondu :

« Il est important de ne pas s'amuser à tergiverser lorsqu'un ordre est donné. Car si il avait voulu autre chose, il aurait donné un tout autre ordre. Car une seconde de retard est suffisant entre vivre et mourir. Maintenant, venant d'un membre qui ne côtoie plus le danger on peut comprendre que les ordres soit confus. Je ne laisse pas place à la confusion. »

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Se suffire, c'est être puissant.

 
Yeshal écoutait attentivement le récit de trinité et gribouillait en même temps quelques ligne sur un petit calepin qui semblait ne plus contenir beaucoup de page libre
Puis, se redressant péniblement il se dirigea tout en continuant de griffonné et ouvrant un tiroir de son bureau sais une petite boite de biscuit sec, les déposa sur la table et finit par se rassoire, invitant d'un geste discret le Chambellan à se servir à son bon vouloir..

Toute foi certain dire du Chambellan ne passèrent pas inaperçu mais Yeshal préférait encore attendre un peu avant de demander quelques précisions..

En effet :
"la cible est exposée à une charge de mana dont la stabilité est relative." que voulait donc dire cette dernière phrase..
Et celle-ci :"Il est important de ne pas s'amuser à tergiverser lorsqu'un ordre est donné." Il n'avait jamais entendu le prévôt parler d'un ordre qui lui avait été donné..

 
Yeshal ne disait mot, ce que Trinité comprit comme étant une invitation à poursuivre.

Un autre point remarquabe de cette expertise qui m'a conduit à penser que le Prévôt a agit sans circonspection et sans réelle évaluation des risques est qu'il à librement interprété l'ordre du Chambellan Elis pour faire démonstration de ses maigres pouvoirs surnaturels.


A ma question : " L'ordre du Chambellan Elis était précisément d'endiguer cette révolte naissante par les voies de la sorcellerie ?"
(NB: L’ordre émanait d’un confrère imperméable à la sorcellerie.)

Il a répondu : "C'est quelque chose du genre de « Faîtes cesser les agissements du diplomate ".

Autre question : " Il ne vous a donc pas demandé spécifiquement d'utiliser la sorcellerie pour maîtriser le confrère Colkook ?"

Autre réponse : "Que vouliez vous qu'il espère de moi ? Si il voulait discuter avec le Diplomate, il l'aurait fait personnellement.
Si il avait souhaité l'intervention des baillis, il l'aurait ordonné.
Si il a demandé personnellement, mon intervention, c'est que j'étais le seul à pouvoir le faire.
Maintenant, ... C'est vous qui voyez."


Finghin démontre lui-même que l'ordre d'utiliser la Sorcellerie n'a jamais été donné par son supérieur, un profane, et qu'il a choisit de sa propre volonté d'exposer le confrère Colcook à des effets dangereux qu'il ne maitrise pas entièrement.

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Se suffire, c'est être puissant.

 

Yeshal à l'écoute du Chambellan et tout en griffonnant sur les quelques feuilles qu'il restait à son calepin commença à grignoter un petit biscuit sec.


Ainsi, il aurait choisi volontairement d'user de magie..
Et vous dite qu'il aurait usé de la "sphère de magie" dans laquelle il était le moins compétent..

après une timide hésitation il poursuivit :


Qu'entendez vous exactement par "sphère de magie" dans laquelle il est le moins compétent ?
A t il pris volontairement des risques important en faisant se que vous me dite qu'il fit ?
Ou alors n'ayant pas fait se qu'il n'aurait pas du faire en faisant ce qu'il fit a t'il à ce moment là fait une erreur? ou est-ce l'inverse ?


A ce moment là Yeshal se rendit compte que son confrère commença à se demander si le thé du juge ne contenait que des plante du déserts, aussi se reprit il :

Veuillez m'excusez, je voulais dire, selon votre avis à vous qui êtes expert en magie est ce que l'acte du prévôt constituait une prise de risque trop importante ?
Vous pouvez me dire franchement ce que vous en pensez j'ai confiance en votre savoir et votre appréciation de la magie...

 
Sorcellerie, confrère. Nous parlons de Sorcellerie, et non de "magie".


Mon avis est le suivant : Le Prévôt à utilisé un sortilège ayant rapport avec des énergies qu'il ne comprend qu'à peine et sur un confrère. Une instabilité dans les flux de la sorcellerie à ce moment précis aurait put être catastrophique car en tant que novice il aurait été incapable d'endiguer le résultat désastreux de sa tentative.

D'autre part, Finghin m'a avoué avoir à sa disposition un sort d'Aura de Renforcement - qui procure un bouclier mentale à la cible et la prévient de grand nombre d'atteintes physiques - qu'il aurait put lancer sur le Chambellan Elis pour le protéger si la situation l'avait réellement nécessité, si Mr. Colcook avait voulut attenter à sa vie.

Ma conclusion est que le Tchaë a choisit d'agresser Jemori Colcook - un confrère - avec un sortilège alors qu'il aurait dut assurer la protection de son Chambellan, et c'est là toute la nuance, car il est compétent dans la sphère pour protéger et débutant dans celle pour attaquer.
Il est selon moi possible qu'il ait agit ainsi à cause de ses sentiments à l'égard du Chambellan de la Diplomatie, voyant une occasion de le punir pour son comportement à son encontre.

Le tydal prit un biscuit du bout des doigts et le brisa en trois parts égales. Il en mangea une aussitôt.

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Se suffire, c'est être puissant.

 

Yeshal resservi du thé au chambellan et sorti un dossier dans lequel il choisit une feuille orné du même gribouillage que contenait son carnet et dit :


Voici un extrait de la déposition du prévôt FInghin :
Citation :

Ainsi selon vous une autre méthode magi.. heu de sorcellerie aurait pu être utilisé par le Prévôt, autre méthode qui aurait éviter une action directe contre le confrère Jemori Colcoock.


Prenant un moment pour faire le point Yeshal en profita pour regrignoter un petit biscuit.

Donc il aurait pu exécuter cet ordres sans pour autant agir comme il l'a fait.