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La ville de Jypska enfin ! Le jeune Tchaë avait l’impression d’avoir marché pendant des années pour arriver aux portes de cette citée.
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Mais c’est mes bottes aussi, elles sont pas confortable.
*** Il était parti avec un groupe mais il arrivait seul ? ***
Par le S’sarkh ou qu’il sont passé les autres ?
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Un coup d’œil à droite, un coup d’œil à gauche, personne. Ils sont peut être dedans se dit-il. Toujours aussi encombré par son sac de voyage qui le dépasse d’une tête, Gushbood pénètre dans Jypska. Il croise un portier un peu radin à l’entrée mais lui verse tout de même une pierre. La bonne action de la journée.
Mais une idée lui trotte toujours en tête, c’est un de ses buts. Il lui faut cet objet ! Et si personne ne veut lui en donner il va falloir trouver un moyen ou quelques choses.
Les heures passent et Gushbood arpente les rues de la ville en admirant les bâtiments. Le son que procure tout son attirail ne le fait pas passer inaperçu, surtout qu’il faut apparemment rester silencieux.
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je préfère quand c'est un peu moins calme quand même
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Le témoin trouve une grande place près de l'eau. Il se rappel avoir rangé sa canne à pêche dans son bric a brac qui lui sert de sac à dos. Peut être qu’il y a des poissons ?
Bruyamment il pose son sac sur le sol. Enfin il le pose, disons qu’il tombe en arrière sous le poids de l’objet et il se libère tant bien que mal des bretelles pour pouvoir se redresser.
Il projette de fouiller tout ce qu’il à amené à la recherche de la petite canne mais tombe en premier sur sa boite de biscuit et quelque chose fait « tilt » dans sa tête.
Pas besoin d’y penser deux fois. Il récupère la grande boîte, la secoue pour s’assurer qu’elle est pleine puis lance à ceux qui peuvent l’entendre. Enfin pas trop fort aussi, il parait qu’il y en a qui dorment.
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Oyé Oyé, brave poil… euh Nelda ! J’aimerais partager avec vous une spécialité de chez moi.
Approchez, approchez, venez goutter les célèbres S’sarkhuit.
C’est gratuit, c’est un biscuit, c’est un peu rikiki mais c’est un S’sarkhuit !
Ahaha imparable.
*** Enfin, un doute subsiste. ***
Il y en a qui comprenne quand je parle?