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Au Rêve Marin

Cachette des troubles fêtes.

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Sujet lancé par Mraw'La
Le 06-04-1509 à 14h35
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Posté par Mraw'La,
Le 23-04-1509 à 09h42
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Mraw'La

Le Luang 6 Astawir 1509 à 14h35

 
***
Mra'wLa entraine Saltis et Istreen vers la ville.
Shaël avait été clair.

Au Rêve Marin.
Si son souvenir est bon, c'est là où les coussins sont les plus moelleux, et, à ce moment là, pour elle, c'était loin d'être un argument à négliger.
***


Istreen, que souhaites-tu faire, toi ?
Veux-tu que je demande s'il y a une chambre de libre ? Tu as tellement marché... Ou préfères-tu faire un tour dans la ville ?


***
Elle la regarde au fond des yeux, pas trop longtemps, parce que ça pique, ça fait pleurer. Elle cherche, pas très au courant des moeurs tchaës, la trace d'une éventuelle déception.
Mais comme c'est dur de lire dans les yeux, quand même ( essayez, vous verrez ! ), elle explique.
***


Je vais rester un peu avec Saltis.

***
Quel accueil.
Décidément, ne feront-elles que se croiser ?
***


***
Le ridicule ne tue pas
- dit-on -
Et heureusement parce que sinon
On ne compterait plus ses trépas.
***

 
Saltis' Dymer

Le Luang 6 Astawir 1509 à 19h01

 
Au final, le vieux propage avait suivi la jeunesse en vadrouille.
Sagement.
Il observait les lieux, se remémorant les bons souvenirs de ses premières rencontres avec le poète, lors de l'affaire Karash...

Il attendit en silence, bien plus détendu maintenant, la suite des évènements.


Libre est la voie du S'sarkh !

 
Istreen

Le Luang 6 Astawir 1509 à 19h32

 
La tchaë avait suivi les Neldas ... enfin la nelda avant que le propage ne les rejoigne.

Mraw'la ... elle ... elle avait de ces yeux! un vert pâle resplendissant et fichtrement magnifique ! Istreen les contemplas, comme endormie avant de se ressaisir.



Je ... oui! J'avais envi de faire un petit tour a votre bibliothèque, cette balade m'a plus revigorée que fatiguée. J'imagine qu'elle se trouve enfuie dans l'académie; mais je ne veux pas vous imposer ça a toi et à monsieur Dymeur.

Vous avez peut-être a vous parler, ou l'envie de vous amuser en buvant un verre en l'honneur du rêvant Thécléote : je ne veux pas vous imposer ce fardeau assez pénible, je l'avoue.



Quand son amie déclara vouloir rester avec Saltis', elle ne s'en étonna pas. D'un haussement d'épaule, elle leur souhaita une bonne fin de journée, les invitant à la rappeler si jamais ils avaient envi de sa présence.

Turlututu chapeau pointu

 
Mraw'La

Le Matal 7 Astawir 1509 à 12h32

 
***
Mraw'La se tourna vers Saltis.
Bizarrement, elle était mal à l'aise face à son aspect sage et rangé, pour une simple et bonne raison : il fallait donc que ça soit elle qui décide de la suite des événements.

Qu'il puisse avoir envie de rester quelques secondes perdu dans ses pensées ne lui effleura pas l'esprit.

Alors, elle enchaine.

Voyons, en énumérant sur ses griffes les options qu'il avait lui même fourni auparavant

- Un bain.
- Qu'il se soigne.
- Qu'il mange.

S'il le voulait, là tout de suite, il ne resterait pas silencieux.

- Qu'ils discutent.

Ah.
Sourire tordu et babines mollasses.
***


On peut voir la mer de cette ouverture.
Si, en se mettant sur la pointe des pieds, et en tournant la tête comme ça.


***
Chorégraphie démonstratrice.

...
***


C'était peut-être une autre ouverture.

***
Roh, que c'est pénible, elle est sûre que les deux autres Neldas écoutent, en plus.
Plus bas, alors, sur un ton de confidence.
***


Une fois j'ai mangé un cuissot de Gambol à la broche. Sans sauce.

***
Ha ha ha, ah là, alors là, si ce n'était pas une super entrée en la matière, elle ne s'apellait plus Mraw'La !
***


***
Le ridicule ne tue pas
- dit-on -
Et heureusement parce que sinon
On ne compterait plus ses trépas.
***

 
Saltis' Dymer

Le Merakih 8 Astawir 1509 à 11h50

 
Saltis sourit à la Nelda.
Il l'aimait bien.
Par certains côtés, elle lui rappelait aussi le poète.
Pas la même poésie, mais une vraie affinité à la vie, tout simplement...

Il commanda deux repas, et à boire, en interpellant la serveuse.
Puis regarda Mraw'La, et lui répondit...

Je ne crois pas qu'ils servent du Gambol ici, mais j'ai faim.
Pas véritablement mangé correctement depuis longtemps...

La mer, c'est toujours beau, même sans fenêtre.
Une présence et une absence à la fois...

Qu'as tu fait de tous ces mois, Mraw'La ?
As tu trouvé Nelda à accompagner vers le Haut Rêve ?


(un silence)

Et sinon...
Je suis désolé si je t'ai mise dans une situation délicate avec mon bagou de cette cérémonie.
Je me devais de le faire, voilà tout...


Saltis se tut, et attendit.
Ses dernières paroles étaient clairement là pour clore l'éventuel débat sur le pourquoi du comment.
Le "après" l'intéressait plus...


Libre est la voie du S'sarkh !

 
Mraw'La

Le Merakih 8 Astawir 1509 à 17h59

 
***
Bien qu'elle n'eut pas eu de problème de nourriture ces derniers temps, elle était plus habituée à la dureté des mets du désert qu'à la préparation qui leur fut servie.
La viande semblait tendre, et les aromates subtils parsemés ça et là en une décoration raffinée aurait fait baver n'importe qui.

Elle avait du mal à se concentrer sur les réponses demandées, mais elle prit sur elle pour poser les coudes sur la table, et pour attendre un peu.

Elle ne rebondit pas sur les dernières phrases de Saltis.
La possibilité d'être mise à mal par les paroles dites à la cérémonie ne l'avait pas troublée de toute façon.
Il n'y avait pas eu trop de sang perdu, c'était ce qui comptait pour elle. C'était du gachis, de temps, d'energie, et c'était meilleur à saucer dans une assiette qu'à racler sur du terre plein herbacé.
Les blessures personnelles étaient un peu trop subtiles, et puis, elle n'avait pas tout entendu des échanges, alors...
***


Ces derniers mois ?
Dernièrement, nous sommes allés nettoyer les environs de la grotte de Karash. Enfin... J'ai passé plus de temps cachée dans l'entrée de la grotte qu'à combattre. J'y ai passé une nuit, sans m'enfoncer davantage, et j'ai préféré rentrer.
C'est bien de se dégourdir un peu les jambes, mais je crois que je préfère rester en ville. J'y surveille quelques Rêvants, oui, mais personne en particulier. Ceux qui n'ont pas de guerrières attitrées...


***
Ah ce fumet !
Il chatouille les narines, d'une manière si agaçante qu'on l'écraserait bien d'un grand coup de bardiche.
Et tant pis,
Elle pique un petit morceau grillé et le porte à sa bouche.

En mâchouillant :
***


En fait, j'ai fait mon travail.
Et toi ?





***
Le ridicule ne tue pas
- dit-on -
Et heureusement parce que sinon
On ne compterait plus ses trépas.
***

 
Saltis' Dymer

Le Vayang 10 Astawir 1509 à 13h14

 
Saltis écouta tout en mangeant avec dignité un repas qu'il aurait dévoré sans plus de précaution s'il avait été seul.
Cette Nelda avait un don pour l'apaiser, pour le recentrer.

Il rebondit sur ce qu'avait dit Mraw'La.

La grotte de Karash ?
Bizarre comme mission.
C'est dans un lieu isolé, sans rien d'intéressant autour.
Je suis surpris que vous ayez pris le temps de "nettoyer" ses environs.
Il devait y avoir une autre raison, non ?
Ils cherchaient quelque chose dans cette grotte qu'aurait laissé Karash ?
Un lien quelconque vers Artinoë ?
Un sens à sa présence dans le Rêve ?

Enfin bon, ce sont les affaires des Hauts Rêvants, et je ne m'en mêlerai plus. La mort du poète a scellé ce que j'ai pu apporter à votre faction ces mois passés.
Tu verras qu'ils auront vite fait de ternir ma mémoire autant qu'ils ont inventé la légende du poète...

(un silence, puis il reprit)

Moi, je n'ai pas fait mon travail.
Depuis des mois...
Je ne sers plus ma faction comme je le devrai.
Je ne propage plus les idées des Témoins.
Je m'étais oublié dans le factuel, dans un présent qui me semble aujourd'hui avoir moins de saveur...

Après la disparition des symbiosés, ma fille comprise, je suis parti d'Oriandre sous les attaques et les stupidités de certains tchaës obtus.
J'étais las.
Un peu dégouté de moi même, aussi, de n'avoir pas suivi Nelle.
Je me suis éloigné de ma fille.
Enfin...
Disons que nous nous sommes éloignés mutuellement.

J'ai senti la disparition du poète autant que je l'ai apprise.
Cela m'a mis un coup.
J'ai longtemps erré sans but, à me laisser aller au désespoir plutôt qu'à la compassion.
Je me suis noyé dans le flot, en somme..

Puis j'ai tenté de retrouver le poète, par divers moyens tous plus aberrants les uns que les autres.
J'ai échoué.
Mais au fond, je me rends compte que je n'avais pas vraiment envie de le sauver.
C'était moi que je cherchais à retrouver...


Le Nelda s'est perdu dans ses pensées.
Il observe un point fort éloigné, mais c'est bel et bien à Mraw'La qu'il se confie.
Il semble soudain bien plus vieux...
Mais il se reprend.

Ce qui compte, en fait, c'est plus ce que j'ai envie de faire à l'avenir.
J'aimerai aller à Arameth.
Puis au Matriarcat.
Je ne sais pas vraiment pourquoi.
On verra bien...

Il y aura bien quelques idioties à faire, et quelques idiots après qui m'en prendre,
ajouta-t-il enfin avec un large sourire.

Libre est la voie du S'sarkh !

 
Mraw'La

Le Sukra 11 Astawir 1509 à 12h10

 
***
Elle était en train de se gratter la patte arrière.
Fine astuce, élaborée depuis de longues années, qui consiste à se pencher en avant, pour pouvoir alors lécher tranquillement le fond de son assiette.

Malheureusement, ce fut ce moment là que Saltis choisit pour s'arrêter de parler.

Elle se redresse et, discrètement, rebondit comme si, effectivement, elle ne faisait que se gratter le talon.

Ces moustaches pleines de sauces prouvent le contraire.
***


Arameth ?
J'y suis allée.

Je dis, autant aller à Korsyne, il y a aussi un désert, et c'est moins loin.


***
Heureusement qu'elle est là pour lui fournir une de ces explications éclairantes.
***


Pour la grotte de Karash... Pas de raisons particulières, non. Il y avait juste eu un soucis avec un symbiosé et son apprenti. Ca a été l'occasion d'un entrainement qui n'a pas entrainé grand monde en vérité. Et puis, le passage dans les montagnes, ça abîme les coussinets.

***
Rebondissant sur Thécléote, si tant est que l'on puisse rebondir sur quelque chose d'aussi osseux.
Parce que ça la travaille un peu,
Ou pour donner quelque chose que Saltis puisse se mettre sous la dent, étant donné que les assiettes sont vides, et que ça a l'air de le travailler, aussi.
***


Je ne sais pas rêver.
J'ai fait trois vrais rêves, avec ou de Thécléote.
Le dernier, alors qu'il était parti.


***
Il ne veut plus avoir affaire aux Hauts Rêvants.
Mais au Rêve ?
***


***
Le ridicule ne tue pas
- dit-on -
Et heureusement parce que sinon
On ne compterait plus ses trépas.
***

 
Saltis' Dymer

Le Luang 13 Astawir 1509 à 23h42

 
Le rêve, songea Saltis...
Il soupira.

Je ne sais plus rêver, pour ma part.
Je l'ai su.
Voilà longtemps...
Mais mon coeur et mon âme se sont tournés vers d'autres cieux que ceux du Rêve.

Rêver est à la fois une bénédiction et une malédiction.
Une brindille dans le flot...


Saltis continua de manger quelques instants en silence.

Je crois que le Rêve, Mraw'La, est un aspect de la souffrance du S'sarkh.
Le deuxième monde son esprit.
Le troisième son âme.

Ma foi m'interdit aujourd'hui de le rejoindre.
Il est mon Dieu autant que mon compagnon de souffrance.
J'ai trop de compassion pour Lui et envisager de pénétrer de nouveau ses peines m'est intolérable.


Il réfléchit un instant.
C'est d'ailleurs pour cela que j'ai si peu de compassion pour les idiots : elle est entièrement tournée vers Lui...


Libre est la voie du S'sarkh !

 
Mraw'La

Le Merakih 15 Astawir 1509 à 08h36

 
***
Mraw'La ne s'en remet pas.
Elle regarde Saltis les yeux ronds, grands ouverts sur ce qui sonne comme une révélation.

Elle a toujours été complètement dévouée aux Rêvants, mais elle n'y a jamais pipé grand chose.
A vrai dire, le Rêve, la chose la plus importante de sa vie, est justement si importante qu'elle ne peut la comprendre, la servir, autrement qu'en aidant les Eveillés, les vrais.

Mais même sans saisir toutes les subtilités de sa culture, elle en a mangé à tous les repas, et ce qui vient de sortir de la bouche de Saltis, ça, elle l'a jamais entendu.
Et vu que ça ne lui viendrait pas à l'esprit que sa vérité pourrait être une théorie différente de celle de Saltis, ses paroles l'illuminent, la laissant encore quelques minutes bouche bée.
***


Saltis !

As tu prévenu Maliss ?!


***
Comme pour calmer son pauvre coeur, qui fait de ridicules petits sauts, pauvre sardine, un message télépathique semble lui arriver aux oreilles.

Elle continue de fixer intensément Saltis et lui sourit.
***


Tiens, c'était Penthésilée. Sais-tu te cacher, te camoufler, être invisible ?

***
Elle lui a demandé d'être discrète, et ça tombe comme un poil dans le potage.
Mission secrète, à ne pas dire, et sans le dire, tous les voyants d'alarme qui pourraient exister sur le visage de la Nelda s'allument instantanément.
Grillée, à trois kilomètres, et c'est le cas de le dire.
***




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Le ridicule ne tue pas
- dit-on -
Et heureusement parce que sinon
On ne compterait plus ses trépas.
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Saltis' Dymer

Le Sukra 18 Astawir 1509 à 00h03

 
Saltis se retint de partir en fou rire, s'étouffant à moitié sur la bouchée qu'il dégustait.
Elle était incroyable !
Il réussit à garder son sérieux, et lui répondit posément.
Je ne suis pas certain que Maliss goute à sa juste valeur ma théorie et mes croyances, Mraw'La.
Je vais garder ça pour tes chastes oreilles...

Penthésilée ?
Je me souviens d'elle, vaguement.
Une amie à toi. Moins jolie...

Et pourquoi devrai-je me cacher ?
Elle me veut du mal ?
Ou tu veux lui faire une bonne blague ?...


Libre est la voie du S'sarkh !

 
Mraw'La

Le Luang 20 Astawir 1509 à 11h47

 
Naaan, c'est pour... Enfin si tu t'ennuies... Oh, tu peux la contacter, elle te dira mieux que moi. C'est un truc en rapport avec Kaliss, et tout ça.
Un truc secret.

Moi elle me dit que c'est mieux si je viens pas.

Pourtant je sais me cacher !
Si tu veux je pourrais te montrer, dehors.
Dommage qu'il n'y a plus de neige par contre, ça aide vachement : on peut faire des semblant de murs et ramper derrière.
Faudra que je m'entraine à de nouvelles techniques avec le beau temps. Un mur de branches peut-être...


***
Les yeux plissés sur un sourire niais, elle laisse un petit moment à Saltis pour digérer la super astuce qu'elle vient de découvrir à haute voix.
***


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Le ridicule ne tue pas
- dit-on -
Et heureusement parce que sinon
On ne compterait plus ses trépas.
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Saltis' Dymer

Le Merakih 22 Astawir 1509 à 00h06

 
Saltis prit l'air songeur de convenance.
Il fit un clin d'oeil à Mraw'la, du genre "ça restera entre nous".
Avec Kaliss ?
Je préfère ne pas m'en mêler alors, celle là est plus ou moins responsable de ce qui est arrivé au poète...
Et je ne sais pas vraiment être discret, tu l'auras remarqué.

Je vais aller prendre un bain, belle enfant, si ça ne te gêne pas.
Nous pourrons nous revoir plus tard, avant que je reparte de Jypska, si tu le désires.


Libre est la voie du S'sarkh !

 
Mraw'La

Le Julung 23 Astawir 1509 à 09h42

 
Oui !

Je vais faire trois pas dehors. Voir Istreen, et ce qu'elle fait. Ben... T'auras qu'à me dire, toi, si après ton bain tu as encore faim à un moment, ou juste si tu veux te promener, ou discuter.
Hein ?


***
Elle se lève déjà, et paie leur repas.
Elle en profite d'être proche de la serveuse pour lui demander si elle est habile de ses griffes.
Les épines de cactus se sont un peu tues, mais elle sait que le moindre mouvement les réveillera.

Un peu gênant, mais enfin...
La voilà sortie dehors, le derrière charcuté, mais ne piquant plus.
La bonne adresse que voilà,
Il faudra le dire à Penthésilée.

Elle contacte Istreen pour voir où elle en est de sa visite.
***


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Le ridicule ne tue pas
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Et heureusement parce que sinon
On ne compterait plus ses trépas.
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