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Le Luang 3 Manhur 1510 à 22h58
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Après une longue journée, un banale journée.
Ortelli, d'un pas enjouée, rentre enfin chez elle.
Et sur le chemin qu'est qu'elle croise ? Un ... !
Plus tard.
Bref, c'est pas très glorieux, retour au la maison familiale.
Toutefois radieuse d'un repos mérité elle chantonne.
À coeur vaillant rien d'impossible, il lui en faut donc.
Un bon entretient régulier, car il n'est pas encore au point.
Il était un petit navire
Il était un petit navire
Qui n'allait ja, ja, jamais naviguer
Qui n'allait ja, ja, jamais naviguer
Ohé, ohé...
Oh et, voilà une tête connue.
***
Héjia ! . . . tête connue ?
*** Petit rond du bout d'un griffe, petits sauts de l'épaule à la joue aussi. ***
Arc-Rhon Shuuno'Lomaï.
***
Rigueur dit :
Tss, t'es trop fière. Je suis là.
Ou gamine.
Fière, évidement. Deux fois.
Le petit surveillant à fait du chemin.
Il a dépassé, transcender son état de pion.
Dommage, petit retour arrière, il était plaisant,
Ce réveil de la profonde transe, au petit soin.
Enfin, un fois est assez ses rêves le valent.
Ho, ho, l'escorte oublié. Jamais entendu.
***
Je ne vous savais pas déjà arrivé, votre voyage a-t-il été agréable ?
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Le Matal 4 Manhur 1510 à 10h06
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| Héjia, arc'rhona Ortelli.
*** Dit-il sans l'ombre d'une hésitation. ***
*** Le nelda sombre se tenait là, une cinquantaine de centimètres plus haut que celle qui venait de croiser son chemin. Son regard vert-mousse mit un temps avant de rencontrer véritablement celui de la jeune neldame, le temps nécessaire pour s'arracher à des souvenirs. Il finit par acquiescer et dit de sa voix si particulière et si grave. ***
Je n'ai eu aucun ennuis sur les routes.
*** Puis il se mit à secouer doucement et négativement la tête. ***
Mais j'apprécie peu de voyager dans Syfaria. J'ai mieux appris à arpenter une autre route.
*** Expliqua-t-il de son ton calme et lent. ***
Je suis heureux de voir que vous êtes remise de votre errance dans le Rêve et que vous survivez toujours aux forces dont vous nous protégez durant nos Songes. Les quelques pensées que j'ai saisis de vous me laisse croire que vous marchez belle et bien à la lumière des enseignements des Quatre, c'est un précieux réconfort de savoir cela.
*** Reprit-il d'un ton chaleureux mais ferme. *** | |
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