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Le Shamesha

Les liaisons dangereuses

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Sujet lancé par Tomasin
Le 17-02-1511 à 15h16
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Posté par Neira,
Le 06-03-1511 à 21h09
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Tomasin

Le Julung 17 Fambir 1511 à 15h16

 
*** Jypska. Un blanc nelda était en ville. Enfin blanc... Il avait quand même fait le trajet Lerth - Jypska à la course.... Et puis le blanc, le noir... Des notions toutes relatives, vous savez. Si le blanc était noir, dirait-on toujours qu'il est blanc ? Enfin bref. Il était blanc, mais sale. Sa cape de voyage lui collait à la peau, il était haletant... Pas en bon état, le Blanc. Mais il n'avait pas l'air particulièrement mécontent, et aucune fatigue ne se lisait sur son visage. Une étrange lumière brillait sur son visage, recouvert d'une capuche. Discret nelda.

Il avançait dans les rues de la ville. Heureusement pour lui que les témoins sont toujours accueillis avec plaisir dans la ville. Dans le doute, il avait prévenu la Lumière du Rêve, mais il ne pouvait plus attendre. Il avait à faire. La Shamesha était sa destination.

Curieux intrus que ce témoin, fut-il nelda, au milieu du désormais seul centre spirituel de l'Ordre. Oui, curieux intrus marchant au hasard. Il cherchait. En tout cas, on aurait dit qu'il cherchait, se retournant de temps à autre. Suivi ? Il avait l'air de l'éviter, sans se cacher. Qui aurait arrêté un humble pèlerin.

Soudain, il stoppa. D'une tente montait un léger son. Un fredonnement, qui ne bousculait en rien le silence pesant de la Shamesha. Il se dirigea vers l'habitation. Chaque pas qui l'en rapprochait élargissait son sourire. Arrivé en face, il leva la main, semblant hésiter une seconde... Mais juste une. Puis il gratta doucement la toile. ***





 
Neira

Le Julung 17 Fambir 1511 à 15h30

 
***
La tente était faiblement éclairée. A l'intérieur, une Neldame fébrile. Cela faisait des heures qu'elle attendait que ce bruit se fasse entendre.

Dans un coin de la tente, une baignoire était remplie d'eau fumante. Il régnait dans l'air une odeur de miel, comme toujours. Pourtant quelque chose n'était pas comme d'habitude. Il flottait dans l'air une ambiance intime et douce que personne n'avait encore senti dans cet endroit.

La Neldame avait le coeur qui battait à tout rompre, la respiration rapide et l'oeil brillant. Ceux qui la connaissaient auraient eu bien du mal à la reconnaître. Elle s'approche lentement de l'entrée de la tente de sa démarche de danseuse. Elle aussi hésite avant d'écarter la toile. Mais un instant seulement, dans le Shamesha tout est calme. Elle sait qu'il lui faudra rester silencieuse et discrète.

Lentement la tente s'ouvre ... Elle le voit. Son regard se met à briller plus ardemment encore, un sourire éblouissant se dessine sur ses babines.
Oui, il est là. Le Nelda Blanc qui occupe tout son être depuis des jours. Les heurts du voyages sont visibles mais elle n'en a cure.

Sans un mot elle lui tend sa patte. Ses yeux sont pleins de promesse.
***



 
Tomasin

Le Julung 17 Fambir 1511 à 15h40

 
*** Celle qui lui avait retiré le sommeil et qui avait guidé ses pas. Celle devant qui il avait du se taire pendant ces deux longues années. Celle qu'il avait tenté d'oublier. Celle qui l'avait poussé malgré elle -et pas qu'un peu- à faire de belles conneries par le passé... Sans qu'il n'en regrette aucune. Enfin, elle lui ouvrait sa tente. Et il n'avait plus à l'appeler Arch'Rhona.

Sans prendre la peine d'entrer, il attrape la patte de la neldame, et la tire doucement, mais fermement, vers lui. D'une patte, il repousse la capuche cachant son visage, dévoilant sourire, dents d'un blanc pur, si ce n'est cet espace noir qui occupe sa mâchoire depuis un an et demi. La prenant dans ses bras, il la serre doucement contre lui, intimidé encore par celle qui n'était, il y a quelques jours encore, qu'un rêve. Il tourne la tête... Personne. Parfait. Il retourne la tête vers elle. Et l'embrasse. Mais ce baiser n'est pas retenu, poli. Tant d'années à attendre... L'étreinte est fougueuse sans être violente, passionnée sans être vulgaire. Sans cesser ces premières attention, il rentre, la neldame dans ses bras, avant de refermer la toile de tente. ***


Je ne t'avais pas dit que j'arriverai un jour, mon Amour ?

*** Dit-il à voix basse, conscient que la situation exigeait un peu de... retenue sonore. Mais il ne la lâcha pas. Il était décidé à la tenir contre lui, encore et encore. ***





 
Neira

Le Julung 17 Fambir 1511 à 15h56

 
***
Ce baiser, cela fait des jours qu'elle en rêve. Dans un premier temps, elle montre une certaine retenue, une certaine timidité. Mais elle ne résiste pas longtemps au désir qui la tenaille.

Elle se colle plus encore contre le Nelda blanc pour lui rendre son baiser. Son coeur bondit dans sa poitrine. Jamais elle n'aurait pensé qui ce puisse être aussi bon. Et pourtant elle a eu le temps d'y penser en l'attendant. Elle sent la passion de son compagnon identique à la sienne. Le baiser se prolonge encore et encore.

Elle se laisse entraîner à l'intérieur, le souffle court. Puis elle prend le temps de le regarder. Il est toujours le même mais différent aussi. De sa patte, elle caresse son visage avant de lui répondre d'une voix basse et rauque.
***


Oh mon Amour, tu es enfin arrivé ...

***
Elle reste contre lui un long moment. Elle sent la chaleur de son corps, les battements de son coeur qui répondent aux siens.
Puis elle se recule un instant tout en gardant ses pattes dans les siennes. Il n'est pas question qu'elle le laisse. L'émeraude de ses yeux continue de flamboyer. Elle reprend la parole, taquine.
***


Tu as raison, tu as vraiment besoin d'un bain. Mais je ne suis pas encore prête de te lâcher.

*** Elle se rapproche une nouvelle fois et cette fois-ci c'est elle qui prend possession de ses lèvres. ***



 
Tomasin

Le Julung 17 Fambir 1511 à 16h08

 
*** Et la jeune neldame qui ne veut pas le lâcher. Et le Second qui, lui, se tait, au moins pour l'instant. C'est parfait. Il ne veut pas composer avec lui, il veut juste ressentir pleinement les étreintes de la jeune Gardienne. Il ne veut pas la partager. Elle est à lui. Et lui à elle. ***


Je le savais... J'aurai du me méfier, quand tu m'as dit que ce n'était pas un piège... J'ai été un imbécile, un vrai imbécile ! Et me voila piéger quelque part d'où je ne peux pas fuir. Je peux espérer au moins ta grâce quelques temps ? M'autoriseras tu à sortir un jour ? Ou bien comptes-tu me garder ainsi le temps d'une vie de nelda ?


*** La dernière réponse, par S'sarkh. La dernière réponse... Presque surpris par le second assaut de la neldame, Tom recule d'un pas, sans réellement avoir le temps de réagir. Oh, un coussin sous le pied. Oh, le plafond de la tente. Oh, le sol. Ah, c'est un verre, que la queue a bousculé ? Bon. Elle voulait revoir le Tom maladroit. Elle l'a cherché. Légèrement sonné, il redresse le buste, sa "compagne" couchée sur lui. ***


Tu sais... C'était juste une question, jeune fille... Mais puisque tu le prends comme ça...

*** Et il attaque, à nouveau. Une nouvelle fois, son coeur s'emballe. Oui, c'est ce dont il avait toujours rêvé. ***





 
Neira

Le Julung 17 Fambir 1511 à 17h10

 
***
Ah ben les voila par terre maintenant ! Elle n'a pas eu le temps de rétablir la situation..... un verre en moins un. Il s'est brisé avec un petit "bling" discret.

Mais elle retrouve bien là "son" Tomasin. Si adorablement maladroit. Et tout compte fait la position n'est pas désagréable du tout. Et elle n'a pas même pas le temps de répondre à ses questions. Ils sont de nouveaux soudés. Un long baiser encore ...

Puis le rire musical de Neira se fait entendre. Elle a posé ses pattes sur le torse de Tomasin pour y poser sa tête. Elle le regarde amoureusement.
***


Mmmmm, tu es toujours aussi maladroit à ce que je vois. Mais ce n'est pas grave, je n'aime pas ces verres de toutes manières.
Et pour répondre à ta question, je veux te garder avec moi le temps d'une vie de Nelda. Tu m'as tellement manqué ... si tu savais.


***
Elle serait bien restée là mais voilà le blanc Nelda avait besoin de se remettre de son voyage. Surtout si elle voulait pouvoir profiter de lui comme elle en avait envie.
***


Mais peut-être préfères-tu prendre ce bain ?

*** Tout en parlant, le bout de son museau vient taquiner le cou de son compagnon. ***



 
Tomasin

Le Julung 17 Fambir 1511 à 17h24

 
*** Oui, une position qui n'avait rien d'inconfortable, pensait-il lui aussi en posant une patte sur ses cheveux. Il sourit à nouveau. ***


Je vais quand même essayer de ne pas te détruire ta collection. Ca va faire un raffut digne de l'Usurpateur ! Et mieux vaut rester discret. Nous sommes quand même dans la zone de la Shamesha !

*** Un baiser dans sa chevelure, il se relève, aidant la neldame dans la foulée. Les petits coups que celle-ci lui donne de la truffe ne le laisse définitivement pas de glace, aussi bien physiquement que... Faute d'un meilleur mot, spirituellement. Ce qui rejoint la physiologie pure, son coeur explosant littéralement. Un rêve. Il doit rêver. ***


Si la sage gardienne Neira m'y autorise, je dois avouer que je n'ai rien contre ce bon bain. Et si elle consent à me libérer aussi gentiment... Je saurai lui en être reconnaissant, pour son hospitalité comme pour sa bonté, comme je lui ai dit, et le lui rendre au centuple.

*** La présence de cette jeune nelda au soyeux pelage lui donnait envie de flirter ainsi. Même si le Second, en un sens, s'ennuyait, et sévèrement... Tom, lui, s'amusait et savourait. Il tourne la tête. ***


Où est la salle d'eau ?

*** Ah, oui, c'est brute, logique et froid... Mais bon, que dire d'autre ? ***





 
Neira

Le Julung 17 Fambir 1511 à 17h40

 
***
Tout comme Tomasin, Neira avait l'impression de nager en plein rêve. Son coeur battait la chamade et elle avait l'impression que tout son corps brûlait. Des sentiments qu'elle ne connaissait absolument pas et qui la ravissaient.
***


Arrête de m'appeler "sage Gardienne Neira".

*** Ses yeux riaient néanmoins. Ce petit flirt l'amusait autant qu'elle la séduisait. ***


Je suis juste ta Neira. La salle d'eau est par là, suis moi.

***
Elle l'emmena dans une pièce jouxtant les chambres. Une fine vapeur s'échappait de la baignoire, une agréable senteur de plante s'en dégageait.
***


Le bain de Rhon Tomasin est avancé.

*** Puis elle s'approche de son oreille pour lui murmurer sensuellement. ***


J'ai de quoi en préparer un second, comme promis. Si tu veux encore en partager un avec moi.

*** Nouveau coup de truffe sur le cou. ***



 
Tomasin

Le Julung 17 Fambir 1511 à 17h49

 
*** Il n'y avait RIEN à redire sur la situation. Vraiment rien. Si ce n'est... Quelque chose qu'il effaçait de son esprit. Gommer, barrer, oblitérer. Et profiter.

Il défait l'accroche de sa cape, qu'il laisse sobrement tomber au sol, près de ses autres affaires, dans un coin de la chambre... Et voila NEira qui réveille une partie de sa personnalité... Que ni lui, ni sans doute qui que ce soit, ne connaissait. S'il n'était pas couvert de fourrure, sans doute aurait-on vu le rouge commencer à lui monter aux joues. D'une voix rauque, seul signe de sa "gêne" -gêne qui ne peut rester permanente, il faut bien l'avouer-, il répond en souriant toujours. Un sourire qu'il n'a plus envie de quitter. ***


Je compte bien partager ces lieux, Neira. Ce serait particulièrement...

*** Il retire sa tunique. ***


Impoli... De te renvoyer de chez toi.

*** Un nouveau baiser suit ses paroles. ***


Mais... Et si je commençais par me décrasser un peu tout seul ? Une aussi respectable neldame... Non, ce ne serait pas correct...

*** Le genre de paroles qui n'ont, dans ces situations, aucun sens, et qui sont prononcées avec autant de franchise que le serment d'honnêteté prononcé par un confrère... ***





 
Neira

Le Julung 17 Fambir 1511 à 18h03

 
***
Neira baisse subitement les yeux alors que Tomasin se déshabille. Non pas que cela la gêne -enfin si un peu quand même- mais elle n'aimerait pas se transformer en une espèce de folle incapable de se contrôler.
Elle se concentre donc sur la voix de son Amour. Une voix rauque qu'elle ne lui connait pas mais qui la fait frissonner toute entière. Elle devine que Tomasin doit être désormais à ... poils. Normal pour un Nelda.
***


*** Elle ose relever les yeux vers lui. Son trouble doit s'y lire facilement. ***


Je t'ai dis que je ne voulais pas te laisser ....

*** Sourire charmeur. ***


En fait j'avais penser que peut-être je pourrais ....

*** Elle hésite timide et hardie à la fois. Elle avait peur qu'il ne la trouve trop entreprenante. ***


En fait je voulais ....

.....

m'occuper de te laver.


*** Une bouffé de chaleur incendie les yeux émeraude. ***




 
Tomasin

Le Julung 17 Fambir 1511 à 18h16

 
*** Et son sourire qui ne diminue pas. Il passe délicatement une main sous le museau de la gardienne, qu'elle l'ait relevé ou pas n'a aucune importance. Il ne veut pas que ces yeux là le quittent.

Si c'est ce que tu veux... Je suis un Serviteur, tu es une Gardienne. Des termes qui s'appliquent très bien pour l'instant.

Un baiser, plus court, un simple contact de la truffe presque, puis il enlève ses bottes. Et le bas, puisqu'il faut en passer par là, le pantalon rejoint le reste des vêtements. Les gestes du Blanc sont calculés... Ne pas lui en montrer tôt, ni elle ni lui ne sont des bêtes de foire. Et l'éducation rêvante, malgré la passion qui les anime et les propositions très entreprenantes de la neldame, reste l'éducation rêvante.

Aussi, c'est en jouant du panache et de l'agilité de ses jambes que le nelda... se retient de plonger dans l'eau, et y rentre plus doucement, même si une impatience visible se fait sentir. Impatience confirmée par le soupir de satisfaction qu'il pousse. ***


S'sarkh soulage nos peines, ton bain me les enlève... Puisse-t-il pardonner ce constat...

*** Un regard à la neldame. Puis, taquin : ***


Toujours pas effrayée ?




 
Neira

Le Julung 17 Fambir 1511 à 18h27

 
***
La pauvre Neira ne sait plus vraiment où elle en est. Partagée entre sa réserve naturelle et son désir ... Une chose est certaine, elle frissonne au moindre contact du Blanc.

Par pudeur elle finir par se retourner pour le laisser se déshabiller en entrer dans son bain. Elle ne se retourne qu'une fois le soupir de satisfaction entendu.

Elle laisse même échapper un petit rire en le voyant si heureux de patauger. Elle s'approche de la baignoire pour se placer derrière Tomasin. Au passage son panache vient le frôler, geste de tendresse habituelle de la Gardienne.
***


Je suis heureuse que cela te plaise, mon Amour. Et non, je n'ai pas peur. Le temps de te lever je serai déjà loin, surtout maladroit comme tu l'es.

*** La voix est taquine. ***


Maintenant attention à toi ....

*** Tomasin n'a pas le temps de dire quoi que ce soit. Neira vient de lui verser un seau d'eau sur la tête. Elle rit. ***



 
Tomasin

Le Julung 17 Fambir 1511 à 18h46

 
*** Attention ? Pourquoi att... Pas le temps de répondre, le voilà agressé par un chaud d'eau chaude, lui-même forcé par une vile neldame à commettre ce crime, qui restera sans nul doute impuni.

Il secoue vivement la tête. Que faire ? L'attraper et la plonger dans le bain ? Malvenu... Non, non, non... Se lever et l'embrasser ? Il veut passer du temps avec elle, pas jouer à l'exhibitionniste... Hum.

Vivement, sa main passait derrière lui, attrapant la nuque de la neldame. Il penche la tête en arrière, attirant légèrement le cou de la jeune femme vers lui. Et il pose ses babines sur la fourrure claire et nue de la jeune gardienne, savourant le contact de sa peau. Dans un souffle, toujours collé à Neira, il murmure : ***


Une bonne action ne reste jamais impunie...


*** Etrange aussi comme les citations bateaux sonnent bien dans ces circonstances... Et lui qui continue de dévorer cette endroit -au sens figuré, la scène n'est vraiment pas digne d'un bon film d'horreur...-. ***





 
Neira

Le Julung 17 Fambir 1511 à 19h03

 
*** Le rire de la Neldame se transforme en soupir quand Tomasin vient taquiner son cou. Décidément il lui fait un effet pour le moins rapide.

L'eau chaude vient dégouliner sur elle, mouillant son pelage et sa tunique au passage. Nouveau frisson. Elle a eu peur un moment qu'il ne la fasse basculer dans l'eau. Non pas que cela la dérange de se retrouver dans l'eau avec lui mais la poussière de la route ne la rend pas forcément très attirante.

Reprenant un peu ses esprits, elle parvient à parler d'une voix taquine. ***


Fais attention tu me chatouilles et puis .... j'ai un peur de me retrouver la tête la première dans l'eau. Avec ta maladresse légendaire on ne sait jamais.

*** Combien de temps arrivera t-elle à plaisanter ainsi ? Elle l'ignore. ***



 
Tomasin

Le Julung 17 Fambir 1511 à 19h44

 
*** Qu'on ne lui demande pas d'arrêter. Sa tête reste enfouie dans le doux pelage, sa truffe savourant les odeurs mêlés, la plus "lourde", voyante, le miel, en disputant à d'autres jusqu'à arriver à la plus fine mais la plus délectable, celle de la gardienne elle-même. Le soupir lui montre que chacune de ces petites attentions touchent au but. Et c'est ça qu'il veut. Toujours fourré au même endroit, donc, il parle doucement. ***


Je te chatouilles ? Mmmh... Ne t'inquiètes pas, je renverse des verres, mais de là à noyer une neldame... Il y a une sacrée marge.

*** Il remonte les lèvres et l'embrasse. ***


A moins que la neldame ne veuille être noyée...

*** Une seconde passe... Puis il se détache de la jeune femme, plongeant la tête sous l'eau, avant de frotter vigoureusement son crâne. Il sort trempé, mais moins gris/marron. ***





 
Neira

Le Julung 17 Fambir 1511 à 20h51

 
***
Le self-control de la Gardienne est mis à rude épreuve. Jamais elle n'aurait crue être aussi sensible aux baisers. Tomasin attise son désir, elle le sent bien, en connaisseur.
Une fois encore elle répond fougueusement au baiser qui ne dure pas assez longtemps à son goût. Mais le Nelda a plongé sous l'eau. Le temps pour Neira de reprendre un tout petit peu ses esprits.

Quand Tomasin ressort la tête de l'eau, il a un peu repris sa couleur habituelle. L'eau quant à elle devient de moins en moins accueillante. Elle continue donc de le taquiner
***


Tu ne me noieras pas dans cette eau là ... Je n'ai pas envie de changer de couleur.

*** Elle ne résiste cependant pas à l'embrasser de nouveau. ***


C'est encore meilleur que je ne l'avais imaginé.






 
Tomasin

Le Julung 17 Fambir 1511 à 21h03

 
*** Et le voila, encore une fois, attaqué, piqué au vif, maltraité dans son amour propre... Non, je plaisante. Tom n'était pas un "connaisseur". Il avait passé plus de temps à marcher qu'à flirter, dans sa vie. Mais il fallait dire que la situation l'inspirait particulièrement, et une foule d'images se bousculaient dans sa tête. Images qu'il mise de coté. Pour plus tard, qui sait. Un sourire, à nouveau. ***


Alors c'est la preuve que nous avons cessé de le rêver, mon Amour. Nous le vivons enfin.

*** Nouveau baiser. Puis il regarde l'eau... ***


Effectivement, rien de très agréable... Tu veux que je t'aide à changer l'eau ?

*** Question innocente ! Promis ! ***





 
Neira

Le Julung 17 Fambir 1511 à 21h16

 
***
Un nouveau rire échappe à la Gardienne. Il faut dire qu'il y a une chose qu'elle avait toujours aimé avec Tomasin, c'était le taquiner. Elle ne pouvait pas s'en empêcher.
***


J'ai peur que tu n'en mettes de partout mon Amour. A moins que tu ne me proposes tout ça pour me faire admirer ton magnifique pelage.

*** Puis plus bas. ***


Mais d'un autre côté je t'avoue que je brûle d'envie de te rejoindre dans de l'eau propre alors ... Je veux bien.

***
Elle se relève de la baignoire et va chercher un serviette moelleuse. Réaction typiquement Rêvante elle doit bien se l'avouer.
***


Tiens prends ça, je ne voudrais pas que tu prennes froid ....

***
Quelle mauvaise excuse vraiment .... Elle sourit en y réfléchissant puis décide d'être franche. Neira plante donc ses émeraudes dans les yeux de Tomasin.
***


Mais surtout, j'ai peur de ne pas arriver à maitriser mon envie de te sauter dessus.




 
Tomasin

Le Julung 17 Fambir 1511 à 21h32

 
*** Une petite moue faussement boudeuse apparait sur son visage. Mais le sourire reste. ***


Je ne suis personne pour aller contre tes demandes, ma belle. Mais moi aussi, j'aimerai bien te voir là, avec moi...

*** La voix est basse, chaude. Il se surprend lui-même... Il attrape la serviette et se lève, enroulant rapidement celle-ci autour de la taille. Ca ne cache ni le torse, ni les muscles, mais les circonstances sont sauves, au moins. ***


Mon magnifique pelage s'en va dignement, lui. Il n'a pas peur de se montrer et...
***
Et de s'ébouriffer. Saloperie de S'sarkh d'eau.... ***


Et de prendre du volume. Parfaitement. Tu es sure que je ne peux pas t'aider ?

*** Il enserre sa taille de ses bras. ***


Vraiment sûre ?




 
Neira

Le Julung 17 Fambir 1511 à 21h46

 
***
Comment pourra t-elle lui refuser quelque chose ? Surtout dans une telle situation. La chaleur de l'eau ajoutée à celle du corps de Tomasin l'invite à l'abandon.
Neira se sent faiblir, incapable de réfréner le désir qui monte en elle. Ce qui n'empêche pas un nouveau sourire rieur d'étirer ses babines à la vue du poil ébouriffé. Il a retrouvé sa couleur blanche, tâche clair sur le pelage fauve de la Gardienne.

Par réflexe elle noue ses pattes autour du cou de Tomasin et se colle contre son torse.
***


J'avoue que je suis jalouse d'une si belle parure.

*** Tendre frôlement de truffe le long du cou, du haut du torse. ***


Comme il est vrai que la situation est inégale. Soit je suis trop habillée, soit c'est toi qui ne l'est pas assez.

***
Ses pattes lâchent donc prise, la poitrine de Neira s'écarte aussi un peu. D'un mouvement gracieux, elle défait la tunique bleue qu'elle porte. Le tissu glisse le long de la poitrine pour s'arrêter sur les pattes enserrant sa taille.
Puis elle murmure à l'oreille de son Amour.
***


Voilà nous sommes désormais à égalité.


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