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La Grande Etoile

Douce muette et gentil bavard.

AKA "gentil crétin".
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Sujet lancé par Cal Keran
Le 18-01-1512 à 20h32
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Posté par Cal Keran,
Le 16-02-1512 à 13h40
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Cal Keran

Le Merakih 18 Jangur 1512 à 20h32

 
*** Une journée tout à fait normale. Ma foi, on était en hiver, mais l'air marin empêchait de se cailler 24 heures sur 24, la ville était calme… Que pouvons-nous dire ? A vrai dire pas grand-chose. Parler ici serait une perte de temps assez inutile.

Et le nelda se promenait, assez simplement, le nez plongé dans un parchemin, pour le plus grand bonheur de son mou. Car quand Cal lisait, il ne parlait pas. Et Toh savait que le mou aimait ces instants de silence, où l’on entendait le vent, les bruits de la ville, voir même les bébés pleurer… aucune importance, tout son qui disait que le jeune nelda ne parlait pas, et c’était déjà bien suffisant. Il se demandait pourquoi, non mais vraiment, il se le demandait, il avait choisi ce poilu comme symbiosé. C’était ridicule, il n’aurait pas pu avoir un moine zen ayant fait vœu de silence ? Ou au moins vœu de silence de conneries philoso-scientifico-bizarres ? C’aurait déjà été bien ! Mais non, manifestement non…

Un bruit sourd, et le nelda tombe au sol. Il se relève doucement secouant la tête –et chassant la poussière prise dans sa fourrure. Une petite seconde, le temps de se remettre les idées en place. Et le temps pour le mou de penser : « Et c’est reparti… ». Un grand sourire du Noir, et sur un ton plus qu’amical. ***


« Excusez-moi… »

*** Visualisation physique. Attributs évidents, c’est pas un mâle. ***


« Arch’Rhona ! Je lisais quelque chose de très intéressant sur les règles grammaticales du langage tchaë, et je ne vous ai pas entendu arriver. Conséquemment, je suis en faute, puisqu’on ne peut pas lire dans la rue. Enfin je veux dire, à moins d’y mettre un pupitre. Et de vouloir s’y installer, mais avec ce temps… Je n’avais pas envie de perdre mon temps et… »

Linus dit :
« Et elle n’en a rien à carrer de ta vie, on redémarre. »


« Et je ne vais pas vous embêter plus longtemps. Laissez moi vous aider. »

*** Il se remet sur ses pattes, tendant une main devant la jeune neldame. Un sifflement du mou, il regarde son visage. Expression étrange. Et le voila qui passe une main devant les yeux de la neldame, sans aucune gêne. Classe. ***



 
Akhavë

Le Merakih 18 Jangur 1512 à 20h35

 
*** Jypska.
Le retour était toujours aussi agréable, une sensation de chez-soi confortable et douillet, même si personne ne l'attendait. Plus personne...
Elle marchait, la blanche, de son allure nouvellement tranquille et sereine, observant de ses yeux vides le silence ambiant à cette heure de sieste carninée.
Elle l'entend arriver, ne s'inquiète pas ; généralement, les gens l'évitent et...
BOUM.
Ah, non, en fait. Un autre aveugle ? La neldame se sent pleine de compréhension – et de poussière, semble-t-il. Elle toussote un peu.
Et il parle. Topia n'est pas là (partie à la recherche de son ancien amoureux), pas de symbiose pour informer du nom de l'importun bavard. Ah, lui a un mou, assez acerbe d'ailleurs.
Akhavë sourit et tend la patte ; ce faisant, elle se cogne sur celle qui se promenait dans son champ de cécité. Inclinaison de tête amusée, elle déclare : ***


Oui, je suis aveugle. Et vous, bavard. Mais c'est agréable, dans ce silence... 

*** Elle ajoute, la main toujours tendue : ***


Vous m'aidez ? 

 
Cal Keran

Le Merakih 18 Jangur 1512 à 20h51

 
*** De sa patte, le nelda attrape vigoureusement celle de la femelle, la tirant vers le haut, et en profitant même pour épousseter le bras de la Blanche au passage, avec un : ***


« Désolé. Les bonnes manières m’ont complètement abandonné. Je m’appelle Cal. Vous êtes symbiosée pas vrai ? Je ne vois pas votre mou, mais sinon, je ne connaîtrais pas votre nom. C’est d’ailleurs assez malpoli de ma part de savoir votre nom sans même vous le demander… Vous venez du coin ? Voyageur ? Habitante du crû ? Vous avez de la famille ici ? Vous voulez peut-être un guide. Pour visiter notre cité ! Je ne sous-entends pas que vous ne pouvez pas vous débrouiller seule, ne le prenez pas ainsi, surtout ! »

*** Pas de gêne, aucune gêne dans sa voix, toujours ce ton horriblement enthousiaste, et, peut-être agaçant pour les plus misanthropes d’entre vous.
***


 
Akhavë

Le Merakih 18 Jangur 1512 à 21h16

 
Oula ! 

*** La vigueur du jeune nelda surprend un peu Akhavë, mais elle ne s'en formalise pas. Son bavardage l'amuse doucement, quoiqu'il soit un peu agaçant à la longue, mais elle a perdu toute émotion trop vive en même temps que la vue....
Donc, la blanche laisse l'autre parler, et répond une fois qu'il s'essouffle : ***


Sashi. Je suis en effet symbiosée. Voyageuse.... par moment, je reviens de Lerth. Mais je vis ici, ma famille aussi, depuis que Korsyne... a du être évacuée. Vous devez être au courant de cela, non ? 

*** Souvenirs épars et choisis qui s'autorisent une place dans son esprit. La blanche neldame mince, à l'apparence fragile, avec ses cheveux pâles et ses yeux vides, sourit néanmoins gentiment, l'air un peu absent. Un peu comme un fumeur de carnine.... ***



 
Cal Keran

Le Merakih 18 Jangur 1512 à 21h17

 
*** Il écarquille les yeux, et son sourire s’élargit à la simple évocation du mot « voyageur ». ***


« Fantastique ! Vous devez avoir des histoires à raconter, non ? Plein d’histoires, oui ! Vous accepteriez de le faire ? ça me ferait vraiment plaisir. »

***
Il ramasse le parchemin lâché précédemment. ***


« Bien sûr, vous êtes peut-être occupée ? Je ne voudrai pas vous déranger Arch’Rhona, mais j’adore les histoires des voyageurs, alors… »

***
Il hoche la tête à l’évocation de Korsyne, mais sans cesser de sourire. Heureusement qu’elle est aveugle. Et répond sur un ton toujours enjoué. Malheureusement, elle n’est pas sourde ***
.

« J’en ai entendu parler, naturellement, comme tous les neldas, voir tous les poussiéreux. Événement terrible… »

***
Tu parles, vu ta voix, on dirait que tu parles d’une mauvaise saison pour les récoltes très passagère… Imbécile. Il est parfaitement incapable de ressentir toute émotion extérieure, et ça ne va pas commencer, même pour une jolie neldame. ***


« Comment était Lerth ? Et les témoins ? »


 
Akhavë

Le Merakih 18 Jangur 1512 à 21h18

 
*** Des histoires....pour avoir des histoires, il faut avoir une mémoire.
Akhavë fixe un instant ses paumes sans les voir (évidemment). C'est à peine si elle entend le ton joyeux sur lequel Cal lui répond, perdue qu'elle est dans ses pensées. Toujours cette brume qui l'empêche d'être certaine, de situer nettement... comme si elle était aussi aveugle en-dedans.
Le nom de la ville blanche la fait redresser la tête. ***


Lerth est une très belle ville, de ce dont je me souviens. Très agréable atmosphère, les témoins sont des gens chaleureux et prévenants. Si calmes, si avenants... l'air pur à la fois de l'océan et de la montagne, c'est idéal. Oui, très agréable. 

*** Elle fait un pas. ***


Allons au Shamesha, voulez-vous ? Nous serons mieux installés pour discuter. Et je vais y rechercher un ami, qui m'aidera peut-être à vous trouver des histoires à raconter... 

*** Une brise douce fait voleter quelques mèches blondes évadées de la tresse lâche qui discipline la chevelure. ***


 
Cal Keran

Le Merakih 18 Jangur 1512 à 21h19

 
*** Le nelda n’en avait aucune, de mémoire. Il n’était pas amnésique, non, ni un idiot. Mais la mémoire rendait certaines choses banales. Et Cal aimait ce qui ne faisait pas parti du quotidien. Avoir une bonne mémoire l’aurait handicapé. Précisons néanmoins. Il a une bonne mémoire, mais sélective, du genre à ne retenir que les points qui l’intéressent réellement, nonobstant la plupart des informations.
Et lorsque la jeune neldame lui parle de Lerth, il sourit de plus belle. ***


« Il faudra que je m’y rende. Dire que les gens mettent sans cesse sur les témoins de mauvaises et fausses intentions… J’ai toujours pensé qu’ils n’étaient pas mauvais. Les poussiéreux sont plein de préjugés, hein ? On nous considère comme de doux rêveurs, tout ça à cause de nos croyances, quelles pertes que de penser ainsi… La Shamesha, oui. Nous y serons bien, mais nous ne devrons pas faire trop de bruit, nous pourrions déranger les rêvants, ce serait bête, n’est ce pas ? Moi ça me gênerait, en tout cas. Venez, prenez mon bras. »

*** Bras que, par ailleurs, il a tendu devant elle. Et toujours souriant : ***


« Je vous y conduis. »


 
Akhavë

Le Merakih 18 Jangur 1512 à 21h21

 
*** La belle hoche la tête, tend les mains devant elle pour trouver le dudit bras, s'y accroche. Le pelage est doux, soigné sans affectation ; son handicap ayant développé ses autres sens, elle enregistre l'odeur de Cal, le timbre invariant de sa voix enjouée, la soie de son poil ; sa taille, il est très grand, mais très mince en proportion – elle sent les muscles fins, sous ses doigts.
Tout ceci se fait en un battement de cœur, sans même qu'elle y songe réellement ; en fait, à ce jour, Akhavë ne réfléchit plus guère, elle préfère rêver à ses futurs songes. Le Haut-Dôme paraît plus proche quand on s'absout du Mensonge, disait-elle à Dangraal... Pourvu que le Rédempteur soit là où elle va le chercher. ***


Allons. Ne vous en faites pas, là où ils sont les rêvants ne peuvent pas être dérangés par nos murmures... 

*** Sa voix en est un, de fait, un murmure à peine plus audible que le vent dans leurs oreilles, le bruissement des vagues léchant le sable. À la fois claire et sourde, sa voix grave a des tonalités musicales, toujours, mais plutôt de l'ordre de la complainte que de la ritournelle joyeuse. Tristesse ? Quelque chose émane de cette neldame, elle fait peut-être un peu peine à voir, mais... derrière, on sent un mystère. Une erreur, entre l'apparence et le fond.
Cal y trouvera peut-être un intérêt ? ***


 
Cal Keran

Le Sukra 21 Jangur 1512 à 18h16

 
*** Effectivement, c'est une analyse rapide et parcellaire, mais assez juste. Et même, à l'exception de quelques manques bien évidemment dûs à la cécité de la neldame, carrément juste. Ne chipotons pas. Les aveugles développent parfois une faculté de perception bien supérieure à celle de certains "valides", ou, tout du moins, des facultés... Qui manquent complètement à Cal, à qui on ne doit définitivement pas demander, actuellement, de deviner ce qu'on ne peut voir de visu. Autrement dit, plus simplement : ne lui demandez pas de se rendre compte d'un quelconque état d'esprit chez son interlocutrice. Ce serait peine perdue.

Et, toujours aussi enjoué : ***


Certes, mais ce serait idiot qu'on les en tire, pas vrai ? Parce que s'il est impossible d'atteindre le lieu qu'ils arpentent, nous risquerions de simplement leur faire perdre pied dans un environnement encore presque inconnu. Ce serait vraiment très bête de faire ça, pas vrai ? Nous n'en avons pas l'intention.

*** Une pause. Puis. ***


Vous avez déjà arpenté le Second Monde ?

 
Akhavë

Le Sukra 21 Jangur 1512 à 18h33

 
*** Le Shamesha profile sa nouvelle allure rénovée de frais devant eux tandis que l'aveugle répond à son exubérant compagnon. ***


En effet, il serait extrêmement dangereux de réveiller un rêvant qui dort... si l'on peut dire. Vous ne connaissez pas les histoires de Rédmepteurs perdus dans le Second Monde ? Arc'rhon Dunthil...

*** Rédempteur, es-tu toi aussi parti vers le Haut-Dôme ?

La question de Cal remue quelque chose dans l'onde de sa sérénité. Akhavë ferme ses yeux vides, et lâche sans réfléchir: ***


Je crois que le Second Monde s'est montré à moi par certains rêves. C'était il y a longtemps...

*** Elle relève la tête, rouvre ses paupières. ***


Mais il n'est rien actuellement que je souhaite plus. C'est pourquoi je voulais venir ici.

*** Le lieu est saturé de vapeurs de carnine. Ici et là, des Griffes et des veilleuses déambulent, portant qui une arme, qui un panier de fruits. L'atmosphère ouatée, cotonneuse, alanguit le corps des neldas; d'un geste instinctif, Akhavë repousse la lourde toile masquant l'entrée proprement dite de la tente, et entre. ***


 
Cal Keran

Le Julung 26 Jangur 1512 à 13h42

 
*** Il hoche la tête, et rit doucement. ***


Qui ne connait pas Arch'Rhon Dunthil, hein ? Perdu pour toujours dans le Second Monde, mais n'ayant pas pu trouver le Haut-Dôme.

*** Mais c'est pas drôle espèce de taré ! ***


Linus dit :
Mais c'est pas drôle, espèce de taré !


*** Je viens de le dire, oui... ***


Dans le Rêve, ce serait normal, mais si vous parlez de vos rêves, c'est assez étrange, pas vrai ? Parce que les rêves, rêves, petit r, sont des reflets déformés du Mensonge, non ? Enfin en théorie, je les vois comme ça.

*** Et le noir de se décrocher de la neldame pour se positionner devant elle, deux paumes écartées et les bras tendus. Elle est aveugle, crétin... ***


Stop !


*** Regard malsain des veilleuses, sourire gêné. ***


Stop... Vous allez rentrer dans quelqu'un à ce rythme là...
***
Il regarde autour de lui, et chuchote à l'oreille de la Blanche. ***


C'était pas une bonne idée de venir ici sans but, je pense... Vous cherchez quoi ici ?

 
Akhavë

Le Julung 26 Jangur 1512 à 20h32

 
*** Le bavardage du nelda effleure à peine les oreilles d'Akhavë, submergée par la carnine.
Par contre, le contact brutal de deux pattes sur sa poitrine ne la laisse pas totalement indifférente. Une surprise amusée se peint sur son visage: ***


Je crois que c'est fait... Vous n'avez par remarqué que j'étais aveugle ?

*** Elle rit, doucement. Repousse les mains importunes, de la même manière. ***


Je suis venue chercher le Rédempteur Dangraal. Il m'a énormément aidée, quand je suis sortie du pilier à Korsyne... Et... je ne sais plus trop pourquoi, je suis partie à Lerth... et je ne sais pas où il est.

*** Explication quelque peu trouble, certes. Mais elle ne peut guère faire mieux, cette égarée sans mémoire ni vision. Elle reste donc plantée là, désorientée, devant le nelda au poil soyeux qui lui est rentré dedans - enfin, l'inverse. Quoique. ***


Une idée ? Je crois que vous avez raison, on ne devrait pas rester là.

*** Elle sent confusément que sa tentative est vouée à l'échec; et puis, trop de fumée, elle perd pied ( patte ?). ***


 
Cal Keran

Le Julung 26 Jangur 1512 à 23h46

 
*** Seconde de battement. Il regarde ses mains. La poitrine d'Akh. Et aurait sans doute rougit si :

1) Il n'était pas parfaitement insensible à la gêne.
2) Ca suffit comme raison non ?
3) N'insistez pas !

Il les retire néanmoins, s'inclinant légèrement nonobstant la "situation" de la neldame.
***

Excusez moi Arch'Rhona. Je l'ai remarqué, bien sûr, mais cela n'a guère d'importance, la gestuelle symbolique restant... Euh... Importante ? Enfin bref, je vous en prie, allons nous en, nous allons déranger les rêvants...

*** Et, lorsqu'elle approuve, le voila qui reprend son bras et l'amène dehors. ***


Je comprends que vous vouliez retrouver votre ami, mais je suis sur que vous le trouverez ailleurs... Un rédempteur, il pourrait être au tribunal de Toh, ou en voyage... C'est un symbiosé ? Si oui, contactez le, la télépathie est formidable, autant qu'elle serve...

*** Toujours la voix basse, même s'ils s'éloignent de la Shamesha, il débite à toute vitesse. ***


 
Akhavë

Le Dhiwara 29 Jangur 1512 à 21h39

 
*** La brume dans sa tête atteint ses oreilles, elle n'entend que partiellement les paroles du nelda; elle se laisse tracter gentiment, trébuchant un peu par instants. On la croirait presque ivre, à la voir ainsi accrochée au bras de Cal Keran, incapable de marcher seule. Sa moue rapplique à ce moment, affolée, et interpelle brutalement le nelda: ***


Topia dit :
Hé, vous là! Vous allez où comme ça avec ma poilue!! Non mais ho!!!


Du calme, c'est.... ami.

*** Akhavë n'a pas la force d'en dire plus, mais cela suffit à plus ou moins calmer la moue. La neldame presse le biceps qui lui sert d'appui pour qu'il ralentisse, ils sont déjà dans une ruelle plus dégagée. ***


Pause.

*** Puis, elle capte enfin ce dont il parlait. La symbiose.... télépathie. Oui, bonne idée.
Plus tard.... ***


 
Cal Keran

Le Sukra 4 Fambir 1512 à 16h57

 
*** Le noir regarde la petite moue lui crier dessus, et lui balance un grand sourire dans sa face. Ouais, c'est sa seule manière pour se défendre d'une agression, aussi petite et ridicule soit elle. ***


Je ne vais nulle part, petite chose, enfin plutôt, je vais là où Arch'Rhona me demande d'aller. Même si j'avoue ne pas vraiment comprendre pourquoi elle veut y aller. Mais enfin j'y vais, parce qu'une personne proposant son aide agit pour l'autre et pas pour lui pas vrai ?

Linus dit :
T'énerves pas, grande, il est toujours comme ça... Linus, enchanté, comment ça va, tout le bordel social qui va bien, et tout et tout...


Un ami... Oui, c'est gentil de dire ça Arch'Rhona, malgré le fait que vous ne me connaissiez pas. Mais, remarquez, si l'amitié n'est pas une valeur physique, elle ne peut être comptabilisée temporairement parlant, conséquemment, chaque poussiéreux aurait une relation "inscrite" en lui... Vu comme ça c'est un peu dommage, je ne crois pas vraiment que nous soyons prédestiné... Enfin oui, je ne crois pas... Euh...

*** Il regarde son mou , là, stoppé dans la petite rue. ***


T'en penses quoi ?

*** Soupir du mou, qui disparait dans un petit "plop". Et le nelda regarde la neldame. ***


Pause ? Euh... Bien, pourquoi ici ? Enfin si le lieu était voulu...

 
Akhavë

Le Dhiwara 5 Fambir 1512 à 20h16

 
*** La moue salue à son tour son collègue d'un air suspicieux. Ils n'ont pas l'air net, ces deux-là... Pourquoi Akhavë s'acharne-t-elle à tomber sur des gens bizarres ?!
La neldame quant à elle vacille sur ses pattes. L'air est plus frais, par ici, mais pas encore assez pour éloigner l'étourdissement qui engourdit son corps... Elle s'effondre légèrement sur Cal. ***


Pardon... je ne... me sens pas... très bien...

*** Son souffle se ralentit, pesant. Topia s'affole et piaille: ***


Topia dit :
Mais faites quelque chose! Allez!!!


*** Oui, mais quoi ? ***


 
Cal Keran

Le Dhiwara 5 Fambir 1512 à 22h19

 
*** Et le noir de regarder la neldame vaciller, doucement mais sûrement. Regard vers son mou... Il hausse les épaules. Et balance une tarte à la neldame. Oui, une tarte, pas un truc violent, non, juste une claque, en beuglant. ***


On se réveille Arch"Rhona, pas l'endroit pour dormir !

Linus dit :
Merci mon gars, tu vas aider...


*** Il la secoue, doucement. ***


S'il vous plait, je vais avoir du mal à vous porter jusqu'à... Jusqu'à... Je ne sais pas où vous amener, mais si vous tombez dans les vapes, ça ne va pas m'aider.

*** En revanche, il ne semble pas paniqué. Voir semble toujours aussi enthousiaste qu'à l'accoutumée... ***


 
Akhavë

Le Julung 9 Fambir 1512 à 19h31

 
*** La claque a pour effet de faire hurler la moue, mais aucune réaction de la neldame. Elle pâlit, chose assez spectaculaire étant donné la blancheur de son pelage; ses yeux aveugles se ferment, elle s'effondre.
Une neldame d'1m88, même amaigrie et diminuée, même sur un autre nelda bien portant, c'est lourd. Donc, blanche et noir finissent avachis sur le sol sableux de Jypska, sous les regards dégoûtés et surpris des passants.

Dans la tête d'Akhavë, c'est le néant; des images tourbillonnent, dans le chaos le plus total, empêchant à son esprit de reprendre conscience. ***


Topia dit :
Bon, si vous êtes assez costaud, amenez-la chez elle.... c'est juste là, la rue d'à côté. S'il vous plaît....


*** La moue est suppliante, elle semble sur le point de craquer. Elle ne la laissera jamais être tranquille!! Fichue symbiosée!! ***


 
Cal Keran

Le Julung 16 Fambir 1512 à 13h40

 
*** Un soupir devant l'inefficacité technique de l'intervention médicale. Ouais, bon, en même temps, il ne rêve pas de devenir esculape, on va l'excuser. Et le nelda de la retenir quand elle tombe au sol, sans retenir un "ourf" lorsque le poids s'abat sur ses épaules. Elle pèse vraiment son poids... Il la remonte tant bien que mal, l'appuyant sur... Son épaule, on vient de le dire... Et regarde la moue. Il hoche la tête. ***


C'est fréquent, ce genre de malaise chez elle ? Elle a pensé à consulter un esculape ? Je me demande ce qu'on lui prescrirai... J'en suis même curieux, il faudra me tenir au courant sur...

Linus dit :
C'est pas la question ! Tu la portes, et tu te tais !


Oh, oui, bien sûr !

*** Et le voila, portant, trainant même... la neldame vers chez elle. Non sans mal, et guidé par la moue. Heureusement, il aurait été capable de se perdre en traversant la rue... Mais ce n'est pas le cas, puisqu'il a un GP... Une moue. Enfin un mou, mais une moue de secours. Bwuahahaha !

Du bout des crocs, il soulève la tenture, tout en tirant la neldame avec lui, les mains un chouilla prise. ***


J'la poge où ?

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