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Le Merakih 25 Jangur 1512 à 19h10
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| *** Le vent hivernal faisait voleter les mèches pâles de la blanche neldame échappées de l'écharpe qu'elle avait nouée sur ses cheveux, et le bas de sa robe bleue.
A petits pas, ni lents ni rapides, elle traversait la cité en direction du port. Là où le pilier de Grior lui avait donné rendez-vous.
Elle ne se souvenait pas de lui, ni de leur dernière entrevue; de fait, elle ne ressentait aucune appréhension particulière, seulement une joie sourde de pouvoir échanger avec un être sage (au moins en théorie) de ce qui lui était arrivé. ***
*** Le chant des vagues lui apprit qu'elle était arrivée, de même que le crissement du sable sous les pattes des pêcheurs. Elle huma l'air chargé d'embruns, sourit doucement. La mer lui avait toujours apporté un certain apaisement... c'était heureux comme choix de lieu.
Topia l'informa de la présence de deux neldas, elle se dirigea vers eux et les salua d'une voix basse, dénuée d'émotion. ***
Héjia rhon Krong, héjia arc'rhon Maliss.
*** Elle ajouta, tournant ses yeux vides vers l'océan. ***
Ce matin est chargé de promesses. | |
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Le Merakih 25 Jangur 1512 à 22h14
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La brise hivernal ne faisait pas que refroidir les corps, mais embuait aussi les esprits.
Et c'est bien dans cette torpeur que les deux disciples du pilier de Grior devaient se trouver lorsqu'il arrivèrent devant la bâtisse. Car il y avait bien un nelda devant la porte mais il ne s'agissait nullement de Maliss.
Un nelda assez filiforme toisa les deux visiteurs avec un haussement de sourcils
*** .
Héjia......
*** Sa voix claqua tel un fouet méprisant. ***
Je ne sais pas si je dois être flatté d'être confondu avec le façonnier du rêve ou choquer au vue de la singularité avec laquelle vous vous adressez à lui...enfin à moi.
*** Un lourd silence passa. Le nelda posa son regard sur Krong *** .
Cela doit vraiment faire très longtemps que vous n'avez pas vue Arcrhon.....il prit bien le temps d'appuyer sur le Arcrhon comme pour bien en rappeler l'importance.....Maliss pour le confondre avec le premier venue.
*** Il s'approcha avec un sourire presque machiavélique ***
En affichant une telle insouciance à l'idée de le rencontre sous entendrait même que vous n'avez encore jamais réellement converser avec lui........ou alors que vous avez perdu l'esprit.
*** Laissant un nouveau silence il ouvrit doucement la porte en fixant les deux esculapes. ***
Quoique dans ce derniers cas vous pouvez représentez un intérêt certain.
Je vous laisse suivre le guide.
***
D'un geste de la main il désigna un chat qui se trouvait dans le vestibule d'entrée.
Le félin observa avec une étrange lueur dans les yeux Krong et Akhavé, puis se redressant il traversa le vestibule pour se diriger vers le fond de la demeure.
Sans se soucier si les deux nelda arrivaient à le suivre, il traversa une petit cour intérieur, pour pénétrer dans une grande chambre lumineuse.
La sensation d'espace était renforcé par le mobilier réduit à son strict minimum. Un lit à baldaquin dans lequel se trouvait un nelda au trait particulièrement usée et une armoire de bois précieux.
La lumière pénétrait dans la pièce par une large porte ouvert donnant sur terrasse, où se trouvait le pilier de Grior le regard plongée vers l'océan.
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Le Julung 26 Jangur 1512 à 12h43
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| *** Akhavë haussa les sourcils en entendant les paroles du nelda, en effet sa voix n'était pas celle du Pilier. Elle répondit simplement: ***
Mille excuses, arc'rhon. Je ne connais pas encore notre Pilier de Grior, effectivement, d'où ma méprise.
*** Ensuite, elle tendit l'oreille pour deviner vers où se diriger; l'odeur du bois lui indiqua des meubles, un couloir, elle l'emprunta donc. La moue jaune lui chuchota qu'il fallait suivre un chat; la nelda blanche inclina la tête, et suivit les indications de Topia.
Le parfum de l'iode s'engouffra dans ses narines tandis qu'elle atteignait la terrasse. La présence troublée, troublante de Maliss s'imposa alors à son esprit, et elle fut rassurée: cette fois, c'était bien celui qui l'avait appelée.
Elle réitéra donc son salut, exactement de la même façon. ***
Héjia, arc'rhon. Honorée de vous rencontrer. | |
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Le Vayang 27 Jangur 1512 à 21h25
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| *** Maliss se retourna pour faire face à l'esculape providentiel ***
Héjià rhon Krong.
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Puis tournant son attention vers Akhavë, il lui adressa un sourire carnassier et une flamme s'agita dans son regard.
***
Héjià Rhona Akhavë.
C'est donc vous que rhon Krong estime apte à devenir esculape providentiel......
Ne sommes nous pas déjà rencontré ?
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Le pilier de Grior fixa la jeune nelda comme un prédateur guettant le moindre faux pas de sa proie.
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Le Vayang 27 Jangur 1512 à 22h42
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| *** Deux iris blancs dévisagèrent à leur tour Maliss, et une voix sourde répondit: ***
J'espère que vous serez de son avis, arc'rhon.
Déjà rencontrés....non, je ne crois pas avoir eu cet honneur. Mais je ne peux pas l'affirmer, ma mémoire a quelques défaillances ces derniers temps.
*** Demi-sourire de la nelda. ***
C'est d'ailleurs un sujet que j'aurais souhaité aborder avec vous, si vous êtes d'accord.
*** Elle n'est pas le moins du monde perturbée, stoïque silhouette frêle dans le vent marin. *** | |
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Le Sukra 28 Jangur 1512 à 21h32
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Le pilier de Grior continuait d'observer l'apprentie, un sourire d’appétit aux lèvres.
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Vous avez des problèmes de mémoire...tiens donc ?
*** Le ton est légèrement amuse ***
Je connaissais un nelda qui n'avait aucune mémoire. Quand on le lui faisait remarquer il répondait :
Non, je suis distrait. Je n'ai de mémoire que dans le cœur.
Est ce votre cas rhona Akhavë ?
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Petit silence, puis il se tourna à nouveau vers Krong.
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Alors Rhon Krong avez vous fait bon voyage ?
Vous étiez bien partit, non ?
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A peine Maliss avait il finit sa phrase, que le nelda allongé dans le grand lit se mit à remuer et bougonner.
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Vous avez l'intention de prendre le thé avec eux ou de me soigner......
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Le ton du nelda allongé était dure et amère, mais on pouvait aussi sentir une grande fatigue dans sa voix.
Un bref coup d’œil des deux esculapes vers lui aurait confirmé cette impression de fatigue. Il ne faisait aucun doute cet être était gravement malade. Un mal qui devait le ronger de l'intérieur. Tirant sur les trait de son visage. Plongeant son corps dans une fatigue abyssal, mais que son esprit refusait.Une lueur de rage et de cruauté animait ses yeux.
***
…...ou peut être préférez vous continuer à jouer avec moi. La cruauté vous va si bien Arc'rhon Grior....
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Il n'y avait que mépris pour le pilier de Grior dans sa voix. Mais cela ne sembla nullement choquer, ni perturber Maliss qui continuait d'observer les esculape.
Le malade se mit à parler de plus en plus fort, pour finir par hurler autant que son pauvre corps épuiser, rincer et maigre lui permettait.
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Car après tout ce n'est qu'un jeu pour vous.....vous vous jouez de moi. La preuve ..... vous amenez ces deux imbéciles amoureux pour qu'il se moque de moi......regardez les que peuvent ils bien faire de bon à part jouer vos faire valoir...
***
Le nelda qui avait ouvert la porte aux deux esculapes, entra alerter par les hurlement, une bouteille à la main remplit d'un liquide épais et vert. Sans un regard vers le pilier ou les deux apprenties il força le malade à boire une gorgée du breuvage.
Immédiatement le malade cessa de s’énerve. Il bascula instantanément dans son lit la tête sur le côté, le regard vide. Comme si son esprit venait d'être chassé de son corps mais pas la vie.
Le serviteur se retira de la pièce emmenant le breuvage avec lui.
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Intéressant n'est ce pas ?
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Maliss n'avait pas quitter les deux esculape du regard durant toute la scène, un air enjouer était même apparue sur son visage.
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Le Dhiwara 29 Jangur 1512 à 21h46
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| *** Mémoire du coeur.... Oui, peut-être. Elle répond: ***
C'est possible, je crois que c'est arc'rhon Dangraal qui a fait renaître ma mémoire émotionnelle. En partie, du moins.
*** Le temps que le pilier parle à Krong, elle laisse ses sens la renseigner sur le lieu; ça sent la maladie, l'iode, le vent, et... quelque chose comme.... un chat. L'adresse, la souplesse, un peu de mesquinerie. Hum.
Lorsque le malade se met à vociférer, elle ne sursaute pas, mais est tout de même surprise par ce qu'il débite. Se tournant vers Maliss, elle demande: ***
Pourquoi dit-il cela ? Amoureux, faire-valoir, moquerie... Est-ce un jeu ?
*** Le calme revenu brutalement sans qu'elle sache pourquoi - vive la cécité - , elle questionne encore, les deux neldas cette fois: ***
De quelle décoction parlez-vous ? Est-ce cela qui a calmé le malade ?
*** Sans attendre, elle se dirige vers le lit, tâtonne un peu, trouve la tête. Les paupières ouvertes, la langue légèrement pendante; un souffle parfumé à ... quelque chose de fort, s'échappe à peine des babines entr'ouvertes. ***
Inertie.
*** Elle connaît ça. Caillou....
Elle se retourne vers le pilier, attend ses explications. *** | |
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Le Luang 30 Jangur 1512 à 21h33
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| *** Maliss sembla intéressé ou amusé par la réflexion de Krong. ***
Tiens donc ce qui vous intéresse c'est le breuvage......et non le malade ou ses symptômes ?
*** Puis il fit un pas pour suivre Akhavë et observe le jeune esculape en devenir. ***
Inertie..oui on peut dire cela. Son corps et son esprits son éveillés mais ne peuvent...s'activer.
Mais plutôt que de chercher qu'elle breuvage conduit à ça ne croyez vous pas qu'il ne serait pas préférable de chercher à connaître de quoi il souffre ?
Enfin il me semble qu'une telle démarche correspondrait mieux à des esculapes......
***
Maintenant il était clair, le pilier ne les avait pas convier juste pour écouté les arguments de Krong, mais pour les tester.
Tester leur capacités d'esculape.
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Ce que l'on sait le mieux, c'est ce que l'on a deviné, puis ce que l'on a appris par l'expérience. | |
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Le Matal 31 Jangur 1512 à 21h20
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| « Krong m'avait demandé de le rejoindre au port dès que j'arriverais de mon voyage,
Donc après quelques ablutions et avoir mangé,
je descendit au port,
les embruns fouettait le quai,
le froid omniprésent ! »
«
Je chercha du regard Krong
quand je tomba sur un chat qui miaulait avec insistance !
Que me voulais t-il ?
Que je le suive ?
Après tout pourquoi pas ? »
« Je le suivis et me retrouva sous un porche,
une porte ouverte, le chat s'enfuit au travers,
j'entra et entendis des vociférations,
j'approcha du lieu de ces cris,
Quand je vis Krong...Akhvaë et...Maliss ! »
Heija, je ne vous dérange pas ?
Je devais passer voir Krong,
je peux attendre dehors si vous voulez.
A votre service pour vous concocter potions et vous attribuer tous soins nécessaires,
Oriance | |
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Le Dhiwara 5 Fambir 1512 à 20h01
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| *** Akhavë écoute parler les divers protagonistes, et hausse les épaules. ***
Si ce nelda est présent ici, et qu'on lui a donné à boire sans autre précaution... c'est qu'il ne présente aucun danger de contamination directe. D'ailleurs, il est là depuis longtemps, assez pour que le personnel sache quoi lui donner, à quelle fréquence... et qu'il vous connaisse, arc'rhon. Par contre, il me semble perturbé: pourquoi vous nomme-t-il Grior ?
*** Un pause, elle s'assoit à côté du corps inerte, passant distraitement sa patte blanche sur le front du malade. ***
Ca ressemble à un Vargulfr, une perte de la Conscience de ce qui est, peut-être de qui il est lui-même. Sa colère indique un phénomène chronique, installé depuis plusieurs jours, mais il sait de quoi il s'agit, on le lui a dit. Il n'est certainement pas d'accord, mais pense qu'on peut malgré tout le soigner.
*** Elle débite tout cela d'un ton monocorde, sans marquer d'intérêt particulier pour la situation. ***
On ne soigne pas avec de l'inertie, on s'en sert comme palliatif, le temps de trouver quoi faire. C'est dangereux quand on ne maîtrise pas la dose...
*** Elle pose ses doigts sur le cou du nelda. ***
Son coeur ne bat pas correctement... il est vieux.
*** Les pattes blanches saisissent celle qui gisent sur le drap. ***
Travail manuel... Pêcheur ?
*** Finalement, elle se lève, fait quelques pas sur la terrasse. ***
Suis-je censée le soigner ? C'est impossible sans avoir des informations élémentaires que je ne peux pas obtenir sans aide. Certains éléments... visuels me sont interdits, hélas.
*** Léger sourire. Un soupçon d'ironie s'est insinué sur son visage, vite remplacé par une joie toute simple d'être au soleil. *** | |
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Le Matal 7 Fambir 1512 à 23h12
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| *** Maliss ne tourna même pas la tête vers Krong et sa voix claqua. ***
C'est le propre du rêveur de se tromper; seul l'insensé persiste dans son erreur.
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Le pilier de Grior sembla concentrer toute son attention sur la jeune esculape. Et une fois qu'Akhavë finit son diagnostic son regard changea. Il avait toujours un sourire carnassié, mais une lueur d'intérêt était apparues.
Était ce la lueur que porte un carnivore son repas ou celle d'un professeur pour son élève.
Seul Maliss le savait pour l'instant.
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Ce n'est pas un Vargulfr......il serait revenue un état plus bestial si c'était le cas. Mais votre raisonnement est correctement pour le reste.
Votre sens de l'observation à vue juste, il n'est pas contagieux.....Tout comme vous avez raison il est dans cette état depuis ...plusieurs jours.
Oui il me connait, et il est perturbé, cela ne fais aucun doute.
L'inertie, grâce à ce breuvage, est un palliatif et ne peut être une solution durable. Encore une fois vous avez vue juste.
*** Maliss marqua une pause comme pour bien chercher ses mots. ***
Maintenant éclairons un peu plus votre lanterne.
Il se nomme Lunvan. Et n'est en rien pêcheur. C'est un commerçant. Un des plus riches de Jyspka comme il aime souvent le rappeler.
Sa colère et ce que vous avez pris pour des mains de travailleur ne sont que des conséquences du mal qui le ronge.
Il sait parfaitement ce que c'est........et espère de toute son être en guérir. Car tout ceux qui on contracter ce mal en son mort. Une mort des plus atroces et honteuse pour un haut rêvants.
C'est pour ça qu'il a fait appel à moi. Ce qui le ronge n'a pas de nom ou du moins tout le monde préfèrent l'oublier. Ce mal l’empêche de dormir. Son corps et son esprit sont incapables de s'arrêter, de se reposer. Même pas une petite minute.
Ce mal va le maintenir éveiller, obligeant son esprit à fonctionner. Pompant toute l’énergie de son corps. ceci jusqu'à son dernier souffle de vie.
*** Cette fois il s'approcha du malade, pour l'observer. ***
Et maintenant que vous en savez d'avantage, pouvez vous le soignez Esculape Akavhë ?
Ou plutôt....comment feriez vous pour le soigner ?
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Le Vayang 1 Jayar 1512 à 15h12
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| *** La nelda a écouté avec attention les paroles de Maliss, hochant légèrement la tête à certains mots. Un mal incurable, et honteux ? Cela lui disait quelque chose... Mais quoi ? Elle retient un mouvement d'humeur, maudissant son passage dans le pilier qui l'a privée de facultés et de mémoire.
Elle marche au soleil, l'air pensif, puis répond lentement. ***
Pour soigner un mal qui consomme l'énergie... il faut soit ralentir son évolution, soit économiser les forces du malade le temps de lui administrer le remède. Mais vous dites que tous ceux qui ont contracté cette maladie en sont morts... Ce qui amène une question essentielle: peut-il réellement être sauvé ?
*** Une pause, le temps pour un papillon joliment coloré de se promener autour des cheveux blonds d'Akhavë. ***
Ceci dit, il y aurait peut-être une autre approche, celle de l'esprit.
*** Pensée fugitive de Dangraal. ***
Ce n'est pas un symbiosé, mais.... Il peut être possible d'aider son esprit à guérir son corps. Dans certains cas.
*** Pensée vers Caillou.
Akhavë retourne auprès du malade, s'assoit et tourne ses yeux vides vers le pilier de Grior. ***
Arc'rhon... je sais quels soins palliatifs on pourrait donner à Rhon Lunvan, pour soulager sa souffrance, mais le nom de ce dont il souffre m'est pour l'instant inconnu. Je souffre pour ma part d'amnésie, ce qui expliquerait cette faille...
*** Pendant qu'elle parle, elle réfléchit: un mal honteux autre que le Vargulfr ? Lequel, par Ahsha ?
Une idée. ***
S'agit-il de cupidité maladive ? Quelque chose d'approchant ?
*** Un défaut de l'esprit qui ronge, une obsession maladive. Pourquoi pas ... *** | |
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Le Dhiwara 17 Jayar 1512 à 22h04
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| Cupidité maladive ?
*** Grand éclat de rire de la part du pilier. ***
Non, non bien qu'il le soit.....cupide.... mais ce n'est pas se mal la qui est dangereux pour sa santé. Enfin pas dans l'immédiat. Le nom de cette maladie n'a que peut d'importance, sachez qu'elle empêche le patient de dormir. Ce qui est des plus honteux vous en conviendrez pour un poussiéreux de notre faction.
*** Maliss, croisa une nouvelle fois les mains dans son dos. ***
Votre approche est correct quand à la méthode de soin. C'est ainsi que j'ai procéder, en lui administrant un remède qui le repose...enfin qui le devait. Mais comme tu peux le constater son corps est inerte mais son esprit continue de fonctionner et donc le mal le ronge toujours.
Il faut donc trouver un autre remède.
Connaissez vous la plante que l'on nomme:Valerate ?
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Petit regard amuser....
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Non je pense pas. Peu de poussiéreux la connaissent. Elle pousse uniquement sur les sommets qui surplombent E'myon et à une période bien particulière. Pendant très longtemps personne ne s'intéressa à cette plante. Elle ne semblait présenter aucune propriété de plus sa grand fragilité rendait tout recherche très compliqué.
Pourtant un nelda passionné de botanique persévéra et consacra la plus grande partit de sa vie à l'étudier. Et cela ne fut pas en vint. Il découvrit une particularité des plus intéressantes.
Préparer d'une certaine façon elle permet aux cerveau de se.......Maliss parut hésiter......se reposer.
Elle coupe pendant un certain temps les liaison entre le cerveau et le corps. Je pense qu'elle serait parfaite pour Rhon Lunvan, non ?
Accepteriez vous d'aller en chercher ?
Oh n'ayez crainte je ne vous demande pas d'aller à la cueillette. Le nelda qui à consacrer une grande partie de sa vie à étudier la Valerate est toujours vivant. Il habite E'myon et se nomme Dare. Ce que j'aimerais c'est que vous alliez lui acheter de quoi soigner Rhon Lunvan.
*** Maliss plongea son regard dans celui de la future esculape attendant sa réponse. *** | |
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