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Sujet lancé par Tudclyd
Le 01-09-1508 à 10h15
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Posté par Shyama,
Le 03-10-1508 à 23h28
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Tudclyd

Le Luang 1 Saptawarar 1508 à 10h15

 
***
Gudule regardait son compagnon, nier de la tête en faisant de grand moulinets. A ce train là, il allait finir par s'envoler... Il ne manquait plus qu'il se mette à faire pioupiou. Cela dit, elle devait avouer qu'il faisait la dinde avec une virtuosité consumée.
Le déhanché parfait, un poing sur la hanche, les reins cambrés, une moue pincée aux lèvres, il secouait négativement de la tête.
***

« Je ne paierait pas ces coupons une pierre de plus, regardez avec ces accrocs je vais être obligé de couper ma pièce en biais, et puis vous savez bien que le bleu c'était la tendance de l'été dernier, il faut ce qu'il faut pour surfer sur la vague rétro mais de là à en mettre une fortune, c'est du vol! »

***
Il se redressa avec un soupire contrit, calant sa pièce de tissus sous son bras, payant son du, puis regarda son mou en s'éloignant à l'échoppe suivante.
***

« Ne se rendent ils pas compte? Un artiste ne saurait travailler avec de mauvais pinceau pourquoi devrais-je me contenter de mauvais outils? Ma chère, ma chère, nous sommes spoliés par ces mâles avides et sans scrupules! »

dit :
Au moins...


 
Samael

Le Luang 1 Saptawarar 1508 à 23h43

 
A peine visible dans un contrejour, les contours indistincts de sa cape le dissimulant à l'oeil trop superficiel. Samael arpentait le quartier marchand de son pas débonnaire.
Il assista amusé à la scène d'un jeune tydale négociant âprement un carré de tissu. Les couleurs chamarrés et les vêtements à la dernière mode lui faisait penser à un autre Tydale pédant et maniéré. Aussi le Nelda sourit en dévoilant son impressionnante dentition. Il fit un pas vers le Tydale intrigué, ce dernier se trouvait maintenant dans l'environnement proche du Nelda, nul doute qu'il allait froncer le nez, voir même rendre son dernier repas. Prudent, Samael se tenait prêt à esquiver des projections stomacales mais parlant de sa voix grave et rauque :


La valeur d'une création dépend elle de la qualité de ses ingrédients plus que des talents de l'artiste ? Alors n'importe quel profane saurait créer les plus belles choses rien qu'en achetant des ressources de première qualité ? Intéressante théorie, mais surprenante venant d'un artisan , n'est ce pas?

Les plus grands artistes n'ont pas fait leur réputation avec des mains plaqués d'or ? Qu'en pensez vous?



Le Nelda laissa le temps à son interlocuteur de lui répondre tout en le regardant d'un air ...hum...un petit rictus de la lèvre supérieur, ceux connaissant bien le Propage l'aurait dit goguenard, les autres se demandait s'il n'envisageait pas de les compter à son prochain menu.... Toutefois, l'imposant Nelda était maintenant sur le passage du tydale.




Appelez moi Charogne, et je vous appellerai Cadavre.

 
Tudclyd

Le Matal 2 Saptawarar 1508 à 00h15

 
***
Avant la vision il y eut l'odeur... Elle lui avait soulevé le cœur, c'était vraiment imbuvable. Il le regarda avec un sourire tout ce qu'il y avait de plus courtois sur son nez froncé, comme il s'y était attendu. Il détailla l'être qui se dressait face à lui entre le dégout et la fascination, mais clairement plus de dégout.
***

« Que vous ne devriez pas sourire ça ne vous va pas au teint et encore moins à ceux qui vous écoutent de trop près, mon cher. »

*** Il plaqua un mouchoir sur son nez cachant son sourire. ***

« Vous savez que le look crasseux est complètement dépassé aujourd'hui on sait même prendre soin des fourrures. »


 
Samael

Le Matal 2 Saptawarar 1508 à 00h49

 
Samael, étonné, regarda sa cape, sa tunique de cuir et ses bottes, il avait astiqué l'ensemble le matin même après avoir pris un bain chaud à l'auberge. Il reporta son regard vers le tydale et lui demanda l'air interrogateur :

Crasseux? Une charogne infâme sur un lit semé de cailloux vous vîtes au détour d'un sentier. La puanteur est elle si forte que vous crûtes vous évanouir ?

Le Nelda s'esclaffa d'un feulement caractéristique du rire des membres de son espèce, et il déclara de sa grosse voix :

Je me nomme Samael, Propage des Témoins du S'sarkh. Excusez mon intervention mais votre altercation avec ce marchand a attiré mon attention.





Appelez moi Charogne, et je vous appellerai Cadavre.

 
Tudclyd

Le Matal 2 Saptawarar 1508 à 09h35

 
***
En plus il avait un accent déplorable, une diction à couper au couteau si bien qu'il fallait garder les yeux fixés sur sa vilaine bouche pleine de dent pour parvenir à comprendre quoi que ce soit de ce que pouvait baragouiner ce sauvage. Il dut faire appel à tout son savoir vivre pour ne pas faire un bond en entendant son feulement.
***

« On se serait évanoui pour moins, mon cher, se pinça-t-il avec distinction. Mon nom est Tudclyd, digne serviteur de ses gracieuses révérées, de leur beauté et de leur charmes. »

*** Il regarda Samael intrigué, se demandant bien comment on pouvait vivre ainsi. ***

« Vous n'avez jamais pensé qu'il serait peut-être bon de tailler un peu cette touffe qui vous étouffe, demanda-t-il avec le soucis des causes perdues en désignant sa fourrure. »


 
Aremys

Le Matal 2 Saptawarar 1508 à 13h20

 
Le visage sombre , Aremys avançait d'un pas rapide et ferme, presque brusque. Seuls signe extérieur de la colère et de la frustration qui l'habitaient en cet instant.
Tout à ces pensés il ne remarqua pas l'etrange couple qui dicertait quelques metre plus loin... Il ne remarqua pas non plus l'imposant Nelda qui lui barrait la route... et, aussi surprenant que ce soit, il ne preta pas attention à l'odeur nauséabonde qui empestait l lieu...

dit :
Aremys fait gaffe ya une grand poilu devant toi!!


Malheuresement pour le Tydale il en remarqua pas non plus son mou et continua sa course, venant s'ecraser douloureusement sur le Nelda.


 
Samael

Le Merakih 3 Saptawarar 1508 à 06h44

 
Le Nelda regarda étrangement le tydale et réprima un geste de recul à la mention de l'acte ignoble que celui ci envisageait pour sa fourrure.

Ma fourrure est très bien comme elle est. Elle ne m'étouffe pas... dit il sur un ton assez froid qui ne donnait pas l'envie d'insister.

Samael reprit ensuite le ton de la conversation comme si de rien n'était.


Vous êtes donc Artisan-tailleur ?

Juste comme il finissait sa phrase, un petit coup dans le dos le fit se retourner et d'un geste réflexe, il rattrapa le tydale distrait qui venait de lui rentrer dedans. Celui ci partait en arrière sous le choc et se dirigeait droit vers une chute à plat cul dans la poussière. Maintenu par le col, le Tydale échappa donc à ce triste sort de justesse. Le Nelda redressa le freluquet le soulevant légèrement du sol pour le remettre sur ses pieds.


Il est parfois bon de regarder ou l'on va, jeune homme !

Appelez moi Charogne, et je vous appellerai Cadavre.

 
Tudclyd

Le Merakih 3 Saptawarar 1508 à 09h38

 
***
Par dessus l'épaule de l'imposant Nelda, on vit le tydale chapoté tendre le cou pour ne pas perdre une miette de ce qui allait se passer. Courageux mais pas téméraire, il fit néanmoins un pas en arrière, sait on jamais s'ils n'allaient pas se battre comme des chiens au détour d'une ruelle, après tout ce n'était que des mâles.
Il détailla Aremys des pieds à la tête et ne pu que remarquer sa mise pour le moins aussi étrange que son regard. Il faillit s'étouffer sous le sacrilège. Une chemise SUR une armure?! C'était comme mettre un string sur un pantalon!
***

« Ah non ça ce n'est pas possible, s'écria-t-il avec horreur en bravant le danger imminent. Non, non, non! Vous ne pouvez pas faire une chose pareille, la chemise c'est dessous qu'on la porte, mon cher. Vous allez pourrir votre armure de sueur sans ça vous sentirez le vieux chien mouillé. »

*** Il huma le nez en l'air... ***

dit :
Si ce n'est déjà fait...


 
Aremys

Le Merakih 3 Saptawarar 1508 à 12h00

 
Surpris par le choc, le premier reflex d'Aremys fut de lever un regard haineux sur ce qui osait barrer son chemin. Puis se sentant basculer il se prépara à une chute sur l'arrière-train...
La seconde d'aprés et contre toute attente il se retrouvait sur ses pieds, retenu au col par la main griffue du Nelda. Leurs regards se croisèrent. La haine brilla encore quelques instants dans celui du jeune Tydale puis s'eteignit subitement.
"Ziray..." Dit-il un peu plus durement qu'il ne le voulait... Un leger sourire apparut sur ses lèvres adoucissant les traits de son visages ".. je tacherais de suivre votre conseil à l'avenir... "
Alors qu'il parlait, ses sens lui revinrent peu à peu. Il prit conscience de la présence d'une autre personne. Un Tydale à la tenu crillarde... Il le vit humer l'air mais le sens de ses paroles lui avait échappé, happé par le bruit de la foule et la confusion du choc.

dit :
Il dit qu'avec ton armure SOUS ta chemise tu dois sentir le chien mouillé... Alors il hume l'air pour vérifier...
Futile si tu veux mon avis...avec la puanteur qui regne ici ...


L'odora lui revint en dernier... Pour son plus grand déplaisir. L'odeur nauséabonde qui assaillait ses narines lui souleva le coeur. Le premier choc passé il prit sur lui pour s'habituer à ce parfum particulier. Même si l'odeur n'avait rien d'agréable elle était supportable.
Enfin accoutumé à l'odeur il se tourna vers l'autre Tydale... La tenue haute en couleur qu'il portait agressait l'oeil d'Aremys, mais il n'en montra rien.
Il déboutonna sa chemise, faisant apparaitre son armure. On pouvait y voir de nombreuses marques, signe de combats plus ou moin récents. Une estafilade sur le flan droit de la protection laissait entrevoir une autre piece de tissu sous l'armure... la désignant il dit d'un ton sec:
"Personne ne porterais une armure à même la peau... il faudrait etre stupide... " puis sur un ton plus doux "ce tissu protège ma peau des frottements et du désagrément auquel vous faites allusion. Et puis voyez...mon armure est bien aérée..."

 
Aremys

Le Vayang 5 Saptawarar 1508 à 20h37

 
Aremys baissa les yeux pour observer son armure... Une légère frustration passa sur son visage quand il vit les zébrures qui la recouvraient... " ... elle me protège beaucoup moin bien cependant. "
Il relava la tête, faisant face à ses deux interlocuteurs...
" Peut etre que vous pouvez m'indiquer un artisan qui racommodera ce lambeau de cuir? "

 
Tudclyd

Le Merakih 10 Saptawarar 1508 à 11h00

 
***
Le tisserand leva les yeux au ciel avec un soupire dépité d'un tel manque de compréhension. Il nia de la tête en le parcourant du regard des pieds à la tête.
***

« Non non vous ne comprenez pas, il faut des manches plus longues sous une armure et on ne met pas une chemise par dessus une armure. C'est affreux, c'est laid! »

***
Comment expliquer a quel point c'était une faute de gout, un affront au peu de talent que pouvait avoir l'artisan qui avait travaillé sur ces vêtements. En plus a regarder dans quel état il l'avait mise, il avait au moins du se trainer sur toute la muraille d'Utrinya pour la mettre dans cet état. (La possibilité que la raison soit un potentiel combat lui était partculierement inconcevable).
***


 
Shyama

Le Merakih 10 Saptawarar 1508 à 12h46

 
*** Après un trop long repos à son gout dans les alcôves de la Ruche, Shyama profitait de sa liberté nouvellement acquise pour reprendre contact avec les rues de cette ville qu'elle connaissait par cœur.
Les petites ruelles... le lac... le marché... ses badauds si pittoresques et hauts en couleur...


S'asseyant sur quelques marches, elle profita de la pièce de théâtre que le Tableau lui offrait.
Les protagonistes : Le guerrier poussiéreux, fatigué, malmené et mal fagoté, l'indispensable gros bras nelda, et une créatrice de vêtements à la dernière pointe de la mode.
A y bien regarder, la créatrice semblait plutôt être un créateur; et, à y bien sentir, le gros bras n'était autre que "Le Poilu" Samael.


Honorée de pouvoir assister à cette pantalonnade des plus divertissantes, la Sang-Âme tendait l'oreille, ravie de cet art consommé que déployaient les acteurs pour peindre une pièce plus vraie que nature.

Devant les mimiques impossibles de l'homme au chapeau, Shyama finit par applaudir avec sincérité. ***


Shyama,
Sombre comme un Nuage

 
Samael

Le Merakih 10 Saptawarar 1508 à 20h10

 
Samael regarda les deux tydales mener leur cinéma d'un air résigné. Le Nelda fit mine de s'intéresser à la conversation, mais sa main droite avait dégainé un coutelas de belle taille et il commençait de se curer les griffes avec. Il écouta néanmoins le tydale androgyne et les déductions qu'il en tirait confirmaient son idée première. C'est pourquoi il se permit de prendre la parole :

Vous êtes tailleur alors? Peut être que cela pourrez vous être utile ?

Il accompagna sa parole d'un geste lui permettant de montrer deux belles pièces de cuir de Solérenne à l'artisan.

Appelez moi Charogne, et je vous appellerai Cadavre.

 
Tudclyd

Le Julung 11 Saptawarar 1508 à 15h53

 
***
L'artisan eut à peine eut le temps de s'étonner de ce don qu'il entendait les mains délicates s'entrechoquer. Il n'eut pas besoin de se retourner pour savoir a qui il avait affaire. Opérant un demi-tour pirouetesque, retirant chapeau et s'abaissant du même geste, il se fendit d'une révérence aussi distinguée que complexe.
***

« Révérée! Ravi de voir que vous approuvez, il est si difficile de trouver soutient de gout en cette citée! »

***
Un sourire aux lèvres chapeau sur le cœur, il ne pouvait qu'apprécier enfin la beauté dans ce monde de brutes. Il en aurait soupiré si son corset ne lui avait pas coupé le souffle. Il attendit qu'elle lui fasse signe de se relever avant d'ajouter.
***

« Seriez vous, Sublissime, Shyama, l'artisane dont on m'a tant vanté les mérites à mon arrivée? »

*** Avec un sourire d'excuse pour les deux autres priorité au beau sexe. ***


 
Aremys

Le Julung 11 Saptawarar 1508 à 21h51

 
Aremys soupira... ce jeune blanc bec haut en couleur commencait à lui taper sur les nerfs!... Il n'était pas venu à Utrynia pour prendre des cours de mode!
Alors qu'il se demandait comment faire taire cet importun, le Poilu mis de coté son imposant couteau pour présenter deux pièces de cuir au tailleur. Aremys se rejouit de cette diversion involontaire.
Un clappement de mains se fit entendre, retenant son attention. Il se tourna vers la source du bruit. Il se tenait maintenant face à une inconnue aux longs cheveux noirs dont le visage exprimait clairement de l'amusement... Etrange pensa t'il, se contentant de la dévisager quand son compère faisait la révérence.

Elle s'appelle donc Shyama... une artisanne à en croire le jeune paon... Elle pourra peut etre m'aider... songea t'il, incapable de quitter des yeux ses mystérieux tatouages....

 
Shyama

Le Vayang 19 Saptawarar 1508 à 15h54

 
*** Voyant que l'homme au chapeau ne se redressait pas, l'artisane mit la main à sa bourse et lui lança généreusement quelques morions, sur les conseils avisés de sa moue, toujours au fait des convenances en matière d'argent.
Après tout, s'ils se produisaient de la sorte en public, c'était certainement dans l'espoir de récolter quelques monnaies !
***


Shyama ? Oui, Shyama est le Sombre Nuage !
Quel est l'Acteur des Rues ?


*** Les yeux fixés sur Tudclyd, elle ne semblait pas s'intéresser outre mesure à l'homme qui la dévisageait. Elle en avait l'habitude et ne s'en formalisait plus depuis longtemps. ***



Shyama,
Sombre comme un Nuage

 
Aremys

Le Matal 23 Saptawarar 1508 à 01h09

 
Le tintement des pièces sur le pavé tira Aremys de son hébétude. Un pale sourire vint orner le coin de ses lèvres.
Par reflexe il tourna la tête vers la source du bruit. Son regard tomba sur Tudclyd toujours incliné.; et il pris soudain conscience de son manque de courtoisie... détournant les yeux des pierres sur la voie il fit un pas vers Shyama. Inclina légèrement le buste dans une courte révérence. Et se redressa.
Je me nomme Aremys.
Il laissa passer quelques secondes et reprit.
J'ai entendu dire beaucoup de bien du Nuage et de son travail.
Je serais honoré de pouvoir contempler une de ses oeuvres...


 
Shyama

Le Dhiwara 28 Saptawarar 1508 à 00h37

 
*** Shyama, en constatant qu'un deuxième acteur venait à son tour saluer le public, redoubla d'efforts, battant des mains frénétiquement.

Elle contempla le barbu qui venait de prendre la parole, l'œil un peu vitreux.
***


A ce moment, un ami perdra le marteau de son ami, et les jeunes ne sauront pas où reposent les choses possédées par leurs mères, et que leurs mères ont posées là, la nuit vers huit heures.

C'est écrit.

Et derrière la porte au Nuage gravé seront les enfants de la Sombre.
Il suffit de la pousser. La porte. Pas le Nuage. Faut pas pousser. Ni mémé dans les orties, ni la Sombre de son parapet.


Voilà.


Shyama,
Sombre comme un Nuage

 
Aremys

Le Dhiwara 28 Saptawarar 1508 à 11h43

 
Aremys resta quelques instants interdit, essayant veinement de donner un sens aux paroles Shyama. Il était pour le moin perplexe...

dit :
Muahahahaha! Mais elle est complètement félée! hahaha ... On comprend rien à ce qu'elle dit!! hahaha...


La ferme! pensa Aremys qui remercia mentalement le S'sarkh que son mou n'ai pas de bouche....
Rire ouvertement d'une tydales symbiosée dans la capitale du Matriarcat n'etant pas recommandé. Surtout pour un mâle qui tient à garder son intégrité phisyque...

Passant outre le comportement étrange de la Sombre, le voyageur se concentra sur ce qui l'interessait... La porte au Nuage gravé répéta t-il lentement. Voila qui ne devrait pas etre dur à trouver pensa t'il...
Il décortica encore un peu les phrases de la Tydale, mais son discours restait effrontement nébuleux....

Gente Dame, messieurs; au plaisr de vous revoir dit-il en s'inclianant légèrement avant de prendre congé.



 
Tudclyd

Le Luang 29 Saptawarar 1508 à 21h31

 
***
De la monnaie?! Le tydale resta un instant stupéfié. Il regarda la femelle et se fendit d'une révérence encore plus alambiquée que la premiere.
***

« Révérée, pour vous je serais ce qu'il vous plaira, dit-il avec un sourire mode sans prêter attention à l'étrangeté de ses paroles. Que peuvent de simple mâle pour votre service? »

***
Les filles pouvaient bien se permettre toutes les lubies et tout les vice, pour sa part le mâle trouvait cela charmant. Il était curieux de cette artisane de talent et de ce que l'on disait d'elle.
***


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