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Entretien avec Edhelle

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Sujet lancé par Khamaat
Le 26-09-1508 à 23h19
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Posté par Khamaat,
Le 04-11-1508 à 21h54
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Khamaat

Le Vayang 26 Saptawarar 1508 à 23h19

 
*** Khamaat avait profité d'une pause pour aller se promener au Marché. La vie au sein de ce quartier, les nombreux commerces, aidait la Mestre Nourricière à se ressourcer au milieu de toute cette animation.
En chemin vers ce coin de la ville, elle en profita pour adresser une pensée à Edhelle, l'invitant à la rejoindre.
Cette balade au grand air rendrait cette dernière moins nerveuse que la Ruche qui était jugée parfois comme austère aux yeux des étrangers.

Arrivée à l'entrée du Marché, Khamaat s'installa au bord de la fontaine et attendit son invitée... ***



 
Edhelle

Le Sukra 27 Saptawarar 1508 à 13h13

 
*** Rêvant dans les parages, Edhelle ne fit pas attendre Khamaat et, quelques minutes seulement après avoir été contactée, elle se présentait à elle.

Dans une robe appartenant au Limonaire propre à la confrérire des Six, elle semblait un peu plus sure d'elle que la première fois.

Elle honora Kamhaat d'une légère révérence. ***


Me voici, bienveillante...

 
Khamaat

Le Matal 30 Saptawarar 1508 à 00h42

 
*** Khamaat aperçut Edhelle s'approcher d'elle, en tenue typique des Confrères. Elle inclina gracieusement la tête en guise de réponse à la révérence d'Edhelle avant de prendre la parole.
***

Hajar Edhelle... j'ai pensé qu'une petite promenade au Marché nous permettrait de faire plus ample connaissance. Un bâtiment tel que la Ruche peut sembler austère pour des étrangers... même si ceux-ci désirent intégrer le Matriarcat.

*** Khamaat avait rajouté ses derniers mots précipitamment, ne voulant pas laisser penser à Edhelle qu'elle allait être rejetée et considérée comme une intruse.
L'invitant à marcher avec elle, la Mestre Nourricière poursuivit, alors qu'elles entraient dans le quartier marchand de la ville. ***


Ici, toutes les couches sociales d'Utrynia se croisent : il n'y a rien de tel qu'un lieu populaire pour ressentir l'atmosphère d'une ville, ou, plus généralement, d'une société.
Sachez que je suis à votre entière disposition pour répondre à toutes vos questions : n'hésitez pas à me faire part de toutes celles qui vous viennent à l'esprit, même celles qui vous paraîtraient les plus ingénues.
Je préfère de loin entendre des questions farfelues plutôt qu'avoir un silence d'incompréhension.

***
Ayant acheté deux pommes à un marchand, la Mestre Nourricière en tendit une à Edhelle et ajouta ***


Avant tout, je voudrais savoir ce qui a motivé votre choix d'intégrer le Matriarcat.

*** Khamaat mordit dans la pomme en attendant la réponse d'Edhelle. ***



 
Edhelle

Le Merakih 1 Otalir 1508 à 19h45

 
*** Edhelle accepta poliment la pomme, regardant droit devant elle. Elle écoutait chacune des paroles de la Tydale avec attention et acquiesçait de temps à autres.

Puis vint la question qu'elle attendait.

Pourquoi le Matriarcat ?

Un léger sourire se dessina sur le visage timide de la jeune magicienne. ***


Je viens du Limonaire, branche d'étude de la magie de la confrérie des six, j'y étais bien intégrée et jouissait d'un poste convenable mais...

*** Elle fit une pause... ***


Mais je ne trouve aucun aboutissant à la recherche. Rien ne m'est utile, je n'y apprend rien puisque j'étudie sur des sujets qui ne me concernent pas.

Je ne suis probablement pas assez patiente pour cela...Ma magie est effective et efficace. Je ne peux la garder en moi, il me faut la chérir, l'adorer et l'aimer autant qu'elle m'aime. Il faut que je lui chante les airs qu'elle adore entendre.

Et pour cela, il me faut une cause à servir, quelqu'un à protéger ou un ennemi à...éteindre.

Regardez :


*** Un air juste et doux quoique rythmé vint se faire entendre seulement audible pour les deux tydales.

Edhelle se mit à avoir un léger rire.

Une volute bleutée, quasi invisible, vint lier quelques instant les deux protagonistes avant de disparaitre avec un zéphyr. Les yeux de la magicienne avaient virés aux bleu foncé avant de revenir normaux.

Le chant se tut.

Satisfaite, elle regarda Khamaat avant de continuer. ***


En ce moment, vous êtes déconcentrée par un être que vous trouvez ridicule, et votre réserve de potentiel de magie est légèrement plus élevé que ma moitié je dirais...mais il est difficile de quantifier ces choses là.

Voyez cette douce mana...comment la retenir prisonnière, n'est-il pas plus agréable de la voir libre et accomplir ce que je lui demande ?

Voici, c'est ce qu'il me manquait à la confrérie...



 
Khamaat

Le Vayang 3 Otalir 1508 à 00h55

 
*** Khamaat sourit lorsque Edhelle lui confia son besoin de servir une cause. Elle garda également son sourire durant le sort qu'elle lui lança.

Lorsque Edhelle se tut après sa démonstration brillante, Khamaat prit la parole à son tour ***


Bravo ! Vous êtes très talentueuse dans la maîtrise de cette sphère : je suis moi-même attirée par la magie et je vous rejoins sur vos propos.

En revanche, ce n'est pas tout d'avoir cette puissance, il faut savoir l'utiliser oui, mais l'utiliser à bon escient. Nombreux seraient tentés de s'en servir à des fins viles ou personnelles : c'est là aussi que réside toute la beauté de la magie mise au service de grandes causes.

Au Matriarcat, une magicienne peut intégrer de nombreux corps : les Némésis, des magiciennes d'exception qui combattent à côté de nos vaillantes Faucheuses et dansent de concert.
Pour celles qui aiment à soigner leurs semblables, le corps des Guérisseuses leur est ouvert : elles veillent sur nos combattantes lors d'expéditions et peuvent également travailler dans les Ruches en soignant l'avenir du Matriarcat... mais ces deux corps sont une infime partie de toutes les possibilités qui vous sont offertes.

Pour votre souhait de servir donc une cause, sachez que vous serez accueillie à bras ouverts et que vous aurez pleinement la possibilité de l'utiliser.

Néanmoins, avant de servir le Matriarcat, il y a lieu d'accomplir un "devoir" préalable... le connaissez-vous ?

*** Khamaat et Edhelle n'avaient cessé de déambuler dans le Marché durant cette conversation. Khamaat aperçut un banc sur lequel elle alla s'asseoir et d'un geste de la main, invita Edhelle à faire de même afin de poursuivre plus tranquillement la conversation. ***



 
Edhelle

Le Sukra 4 Otalir 1508 à 14h16

 
*** sans protester, elle s'assied à côté de Khamaat, mordant dans sa pomme, avant de répondre : ***


Hélas non bienveillante, je ne connait que peu les coutumes du Matriarcat, ayant subie une amnésie profonde, le monde que j'aide à forger m'est très peu connu.

Quel est donc ce...devoir ?

J'ai remarqué beaucoup de Tydales chauves...est-ce cela, bienveillante ?


 
Khamaat

Le Dhiwara 5 Otalir 1508 à 19h29

 
*** Khamaat adressa un sourire compatissant à Edhelle ***


Concernant nos coutumes, je me ferais une joie de vous y initier. Commençons donc par notre première coutume, la plus visible, nos crânes rasés.
Pour nous, femmes, nous n'avons pas obligation de nous raser la tête entièrement, certaines d'entre nous conservent quelques mèches qu'elles ornent.
En fait, tout vient de notre enfance à la Ruche : nous sommes habituées très tôt à nous raser les cheveux. C'est aussi une manière de montrer aux autres que nous nous entretenons, prenons soin de nous et de notre apparence.
Certaines, rares, vont laisser pousser leur chevelure mais en général, il s'agit de personnes un peu... comment dire... fragiles intérieurement.

L'avantage à avoir un crâne rasé aide nos combattantes également : pas de cheveux, pas de "risques" de voir l'ennemi nous les agripper.

En fait, chacune de nos soeurs a ses raisons propres de se raser le crâne : pour ma part, ma manière de marquer mon appartenance et mon engagement par rapport au Matriarcat se traduit par le rasage méthodique de mon crâne, à l'opposé de celles qui ont quitté le Matriarcat et se sont laissé pousser les cheveux.


*** Khamaat posa une main rassurante sur l'épaule d'Edhelle avant de s'adosser confortablement contre le dossier du banc. ***


Cela dit, si vous désirez garder vos cheveux, libre à vous ! Mais je sais par expérience qu'ils sont gênants lors des combats et pour avoir vu nos Faucheuses en action, je puis vous assurer que danser en ayant les cheveux dans les yeux ne peut qu'apporter des ennuis.

*** Continuant de croquer dans sa pomme, Khamaat reprit la parole ***


Il y a , comme je vous le disais, un devoir que toute tydale du Matriarcat se doit de faire, en rapport direct avec notre croyance. Une sorte de don... celui de donner la vie pour le Matriarcat...
***
Khamaat avait parlé d'une voix grave. Le regard perdu dans le vide, la Mestre Nourricière attendait la réponse d'Edhelle... ***



 
Edhelle

Le Dhiwara 5 Otalir 1508 à 20h09

 
*** Un léger sourire se dessina sur les lèvres de la Tydale alors qu'elle finissait son fruit. ***


Il faut une descendance n'est-ce pas ? Oh je comprend, la population se doit de perdurer...

Mais comment cela se passe-t-il ? Combien de temps devrais-je être inapte ? Serait-ce mon rôle que de dresser cet être ?
Toutes ici ont-elles données cette vie ?

Et...comment faut-il faire ?


*** Les reflets bleus de la silhouette de la jeune magicienne virèrent au rouge, sa voix tremblait légèrement...mais il ne s'agissait pas de peur...simplement d'inconnu. ***


 
Khamaat

Le Luang 6 Otalir 1508 à 00h33

 
*** Khamaat regarda Edhelle avec étonnement : là où certaines rechignaient, elle, a contrario, faisait face : totalement matriarcale pensa la Mestre Nourricière avant de lui répondre. ***


Tout à fait Edhelle, en fait, avant de risquer sa vie et s'affranchir, être une soeur, une liadha, il faut... comment dire... donner la vie, une vie, qui remplacera la nôtre lorsque notre heure sera venue de rejoindre le Tableau.

Si vous décidez d'intégrer notre faction, vous passerez alors un premier examen médical pour vérifier votre capacité à donner la vie : en effet, la douleur de chaque Union est telle qu'une anja, une de nos soeurs n'ayant pas enfanté, n'étant pas fertile, il ne servirait à rien de la soumettre à cette épreuve. Le mâle choisi le sera d'après vos choix, votre Thème astral, et le choix de la Mestre Nourricière... que je suis si vous décidez de donner la vie à Utrynia.


*** Khamaat avait sourit affectueusement à Edhelle : elle la considérait déjà comme une des anja's dont elle s'occupait. ***


Donc cette Union, si vous y êtes apte, est très encadrée. Ensuite, après l'accouchement, le Karna, vous deviendrez alors une liadha. Les mères n'ont pas la charge de l'éducation de leur progéniture qu'elles confient volontiers à la Ruche qui les adopte. Néanmoins, si les mères le désirent, elles peuvent venir rendre visite à leur enfant aussi souvent qu'elles le veulent.

*** Khamaat regarda Edhelle attentivement, avec douceur mais gravité. ***


Comme vous le voyez, et contrairement à ce que certains d'autres factions peuvent penser de nous, nous ne sommes pas des monstres. Nous faisons simplement en sorte d'assurer la pérennité de notre race pour que, à la fin du Tableau, notre faction, nos valeurs et nos descendantes, en fassent partie. Toute notre vie est tournée vers ce but.

*** Khamaat laissa quelques secondes à Edhelle, le temps pour elle d'assimiler tous ces concepts nouveaux pour elle, avant de reprendre :
***

Avez-vous d'autres questions à me poser ? Une réaction par rapport à cette pérennisation ?


 
Edhelle

Le Matal 7 Otalir 1508 à 21h07

 
*** Une flamme froide et bleur vint s'enrouler autour de la main de Edhelle.

Celle ci la contempla un instant, laissant tomber un silence lourd.

La flamme prit la forme d'un enfant en bas âge, puis d'une guerrière.

Les traits étaient abstrait mais néanmoins reconnaissables. Puis l'énergie disparue en une fumée blanche, rapidement dissipée par un souffle de vent passager.

elle finit par s'adresser à Khamaat ***


Cela suit une logique irréfutable. Lorsque l'on se bat il faut s'attendre à mourir, et mourir n'est valable que si l'on trépasse pour quelque chose...et si quelqu'un reste pour remporter la victoire...mais...

Me pensez-vous prête à cela ? Suis-je digne de donner ce que je n'ai pas encore eu...une vie ?


 
Khamaat

Le Julung 9 Otalir 1508 à 22h33

 
*** Khamaat, le visage grave, s'adressa d'une voix douce à Edhelle ***


De par votre raisonnement en tout cas, je vous trouve prête. Pour intégrer le Matriarcat, bien évidemment, mon avis ne suffit pas : le Conseil des Mères doit se prononcer.

Là où nos soeurs peuvent paniquer et redouter ce passage, vous faites front, déterminée.

On ne vous demande pas de donner une vie mais... LA vie. Et seul un examen médical pourra nous renseigner sur ce point. Votre vie est peut-être sur le point de commencer, lorsque vous serez confrontée à votre Union, vous aurez déjà entamé votre existence parmi nous : donner donc une vie vous sera aisé puisque, non contente d'en avoir une, vous saurez lui donner un sens.

Mais je m'interroge... pourquoi une personne ayant un haut poste tel que le votre n'a pas pu essayer de changer les choses ou se diriger vers ce qui lui plaisait ?



 
Edhelle

Le Julung 9 Otalir 1508 à 23h34

 
*** A peine eut-elle terminée sa phrase qu'Edhelle annonça sur un ton plutôt enjoué. ***


Pourquoi n'ai-je pas tenter de changer les choses ? Parce qu'il n'y a rien à changer. C'est moi qui n'était pas à ma place et non l'inverse. J'ai énormément de respect pour la Confrérie des Six, mais leurs domaines ne sont pas les miens et je m'y sentais inutile...

Dès que Dame Anandra m'a proposée de les suivre jusqu'ici, j'avais déjà fait mon choix...


*** Elle fit glisser un doigt sur sa baguette dont l'enchantement réluit un instant... ***


Ou et quand passerai-je cet examen ?

 
Khamaat

Le Julung 9 Otalir 1508 à 23h43

 
*** Khamaat sourit à Edhelle, son enthousiasme faisait plaisir à voir ***


L'examen médical sera possible lorsque vous aurez intégré le Matriarcat où, tant que vous n'aurez pas accompli votre devoir, vous serez "anja".

Vous pourrez demander à le passer quand vous le voudrez en vous rendant à la Ruche, celle de Kryg ou d'Utrynia, selon votre souhait. Sauf cas vraiment difficiles, les anja's viennent de leur plein gré, sinon, la Ruche leur rappelle leur devoir par une convocation.




 
Edhelle

Le Matal 14 Otalir 1508 à 23h09

 
*** La jeune Tydale paraissait determinée.
Sa vie n'avait pour l'instant été qu'une ébauche simpliste amenant vers un chef d'œuvre potentiel. Ce genre d'esquisse que le peintre trouve hideuse et que les amateurs adulent, celles qui coutent une fortune, et infiniment plus lorsqu'elle sont achevées... ***


Très bien...que dois-je faire désormais ?

 
Khamaat

Le Matal 21 Otalir 1508 à 18h16

 
*** Khamaat allait répondre lorsqu'elle ferma les yeux : apparemment, une pensée venait de lui être transmise. Rouvrant ses yeux, elle posa son regard sur Edhelle et lui sourit ***


Et bien... Je dois déjà te souhaiter la bienvenue à toi, Anja Edhelle ! Le Conseil des Mères vient de me communiquer une pensée, ta demande d'intégration est acceptée. Tu es également, de par ton statut d'anja, sous ma responsabilité.

Tu peux donc d'ores et déjà passer ton examen médical à la Ruche d'Utrynia où tu as libre accès désormais. Ou bien, si tu préfères, tu peux attendre un peu, le temps pour toi de te familiariser avec nos us et coutumes.


*** Khamaat se leva du banc et se tourna vers Edhelle ***


Je dois me rendre à la Ruche à présent : tu peux m'y accompagner pour visiter le bâtiment dans lequel une chambre pourra t'être assignée, ou bien pour passer l'examen. Tu es libre d'y entrer ou d'en sortir.
Tu peux également continuer à flâner en ville.
Si tu as la moindre question, la moindre interrogation, n'hésite pas à m'en faire part, je me ferais une joie de t'y répondre.

Que décides-tu ?



 
Edhelle

Le Matal 21 Otalir 1508 à 19h58

 
*** La Tydale eut un sourire franc. Non qu'elle ne soit vraiment surprise, mais plutôt rassurée.
On la sentait bouillir interieurement, cela faisait trop longtemps qu'elle contenait sa magie, il était désormais temps de l'offrir à des personnes méritantes et pour une cause certaine...

vite... ***


Je suis prête à passer cet examen au plus tôt...
Au plus tôt...


*** Une brise passa et fit vaciller une flammèche de mana bleutée que Edhelle venait de dompter au creux de sa main.

Elle chuchota une phrase pour elle-même que Khamaat n'eut aucune peine à discerner. ***


Je suis la sorcière bleue mh ? Némésis ? mh...

 
Khamaat

Le Merakih 22 Otalir 1508 à 09h54

 
*** Khamaat désigna la Ruche au loin ***


Fort bien ! Allons donc ensemble à la Ruche : je te propose que nous te fassions passer de suite cet examen.

*** Edhelle et Khamaat se mirent donc en route et quittèrent le Marché.
Tout en marchant, Khamaat ne put s'empêcher de relever la dernière phrase qu'Edhelle avait chuchoté au Marché. ***


Tu parlais de sorcière bleue, de Nemesis... est-ce cette voie à laquelle tu te destines ? D'ailleurs, j'y pense à présent, as-tu fait une demande d'intégration dans l'une des familles ?


 
Edhelle

Le Merakih 22 Otalir 1508 à 23h18

 
*** Edhelle ne parue pas surprise que Khamaat ait entendu. seule elle savait si c'eût été volontaire ou non.

Elle répondit calmement à ses questions. ***


Matroshka Voroshk m'a déjà contactée et je lui ai fait part de mon désire à servir au sein des Némésis.

Elle s'est trouvée très intéressée et m'a dit qu'elle viendrait m'évaluer lorsqu'Anja je ne serais plus...et que ca ne devrait pas poser de problème...

Je n'ai donc pas officiellement postulé dans une famille puisque je n'ai pas encore le droit de donner ma vie...


 
Khamaat

Le Sukra 25 Otalir 1508 à 11h12

 
*** Khamaat hocha la tête en signe d'assentiment : cette anja préparait déjà son avenir au sein des Nemesis. Vu son talent et le niveau des Voroshk, elle progresserait rapidement.
***

Bien, je vois que vous êtes déjà prête à intégrer un corps de métier une fois votre Karna effectué.
Pour les familles, il ne faut pas les confondre avec les métiers qui vous sont proposés au Matriarcat.
Durant une vie, nous pouvons passer d'une famille à l'autre : ces familles regroupent généralement un courant de pensée, une façon de se réagir face aux évènements et selon le poste que nous occupons au sein de notre société.
Pour ma part, j'appartiens à la famille des Filles du Ciel, je m'y suis tournée spontanément de par la voie que j'ai suivi.
Contrairement à l'intégration dans un corps de métier, l'intégration à une des familles ne dépend donc pas de l'accomplissement de votre devoir.
La demande d'intégration peut se faire très simplement, en contactant notre Mère des Cieux.
Mais vous aurez tout le temps pour choisir votre famille : certaines d'entre nous décident même de n'en intégrer aucune tout au long de leur vie.




 
Edhelle

Le Luang 27 Otalir 1508 à 12h04

 
*** Edhelle sursauta légèrement, gênée par son erreur. ***


Oh, je vous demande pardon, je ne savais pas...

Mh...pourriez-vous me présenter les différentes familles ou...y aurait-il un endroit ou je pourrait me renseigner ?




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