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La Ruche

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organisons donc ces cours.
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Sujet lancé par Bakean
Le 24-03-1509 à 15h36
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Posté par Bakean,
Le 24-04-1509 à 00h48
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Bakean

Le Matal 24 Marigar 1509 à 15h36

 
***Bakean pédagogue-luthier profitait de son petit voyage.
Ses compagnons de route avaient déjà disparus vaquant à leurs responsabilités diplomatiques, ou renouant avec leurs anciennes connaissances.
Rien de tout cela encombrait l'esprit de l'Equilibrien puisque le but de ce voyage n'est qu'une ouverture spirituel sur la richesse de la Dame et les factions ne comprenant pas les signes.


Et il en avait appris des choses, les descriptions du matriarcat, de ses us et de ses coutumes qu'il avait pu lire dans les bibliothèques Equilibriennes, n'étaient plus en accord avec la réalité.
Certaines choses avaient changés d'autre moins, mais il ne sentait pas d'hostiles intentions envers l'Equilibrium comme cela l'avait été mentionné dans les livres. il avait évidemment pris soin de noter toutes ses annotations dans son carnet de voyage dénommé Cahier du Dormant. Il pourrait alors travailler avec les chroniqueurs et les archivistes Equilibriens pour mettre à jour les informations du matriarcat.

Son Tydale aux fort accents Shaiques faisait toujours rires les filles et fils du déclin, mais il n'avait pas trop de mal à ce faire comprendre, et il avait cru entendre qu'un pédagogue du matriarcat viendrait lui enseigner ce qui lui manquait.
En attendant cette possible venue, il étudiait ce qu'il pouvait parlait avec les gens, avide de savoir ce qui se passait en Equilibrium et les us de notre langue et faction.


En se promenant près de la ruche, bâtiment qu'il aimait dessiner de par son imposante stature et son mystère intriguant, un non-symbiosé lui posa des questions sur la langue shaï, puis une autre, et sans s'en rendre compte, la seconde nature pédagogique avait pris le dessus.
Il avait remis ses fines binocles bien qu'aucun support papier n'était à dénoter puisque trop mal rangé au fond du sac, mais cela ne lui empêchait nullement de faire un cours de shai, indiquant, éduquant, rabâchant les rudiments de la langues et les sons qui la rendent si particulière.


il fut le plus surpris de voir des symbiosés de toute la hierarchie prêter l'oreille à ses cours, certains se sont assis, d'autre n'en suivent qu'une partie, et apprennent le reste quand il fait son récapitulatif des connaissances au début de chaque cours.
Au bout de quelques jours, il avait nombreux élèves, une véritable classe qui suivaient des cours de Shaï en tydale.
Et certaines restaient après que Le pédagogue aie rangé ses lunettes et ses bouquins et redevenait Bakean et tentait d'apprendre à connaitre ses nouveaux élèves.

Bakean : Spécialiste de la découpe de chevaux en quatre... De cheveux aussi.

 
Orphèle

Le Matal 24 Marigar 1509 à 15h58

 
Orphèle, retrouvant sa cité après des semaines d'absence, avait entendu, au gré de ses retrouvailles avec la ville et ses richesses, ce Shaï avec qui elle avait en grande partie voyagé ces derniers temps. Il ne lui avait fallu guère plus de quelques secondes pour reconnaître la voix et le ton pédagogue de Bakean, avec qui elle avait achevé son périple jusqu'aux terres matriarcales. Déjà, nombre de ses soeurs s'étaient approchées du Nelda, dont la présence en ville était en soi quelque peu incongrue.

Au milieu des Tydales, peu habituées à voir un tel individu dans les environs, l'équilibrien offrait un contraste intéressant. Et surtout, dispensait des leçons à qui voulait bien prêter l'oreille. L'homme, comme elle avait cru le percevoir aux détours de leurs trop rares échanges sur la route, avait un amour véritable pour l'enseignement et le partage. Il en faisait là une incroyable démonstration. L'anja avait beaucoup à faire entre la Ruche et sa réglementation, ses nouveaux cours d'alchimie, revoir ses amies et ses connaissances, ses exercices d'entropie, mais en quelques instants Bakean avait conquis toute son attention.

Posé, charismatique, clair et éloquent, le Pédagogue donnait sans compter des cours limpides. Il s'était installé dans un coin dégagé du quartier et ne voulait visiblement plus quitter l'endroit. Alors chaque jour un peu plus attirée par la scène et la présence du maître, Orphèle revenait et constatait avec amusement la foule grandissante. Et surtout, elle apprenait à une vitesse folle. Le Shaï avait révélé des pans entiers de ses mystères en quelques heures seulement, prodiguées avec soin au quotidien. Bien qu'encore chaotiques, sa compréhension et sa pratique de la langue avaient néanmoins effectués de fabuleux pas en avant.

Normalement l'esprit brouillon et ailleurs, enfant dissipé et impatient, Orphèle s'était découvert avec Bakean des talents d'auditeur et d'élève insoupçonnés et insoupçonnables. La fluidité et la beauté de la connaissance se révélaient enfin à elle. Une première pour la jeune fille, enfin heureuse d'aller à l'école...


 
Zynia

Le Matal 24 Marigar 1509 à 17h51

 
Zynia était déjà sur la place située près de la corporation des artisans, occupée à répéter ses exercices d’évolution, lorsqu’elle vit le pédagogue arriver, entouré de la foule. Il s’installa à proximité d’elle, si bien qu’elle entendit immédiatement le son de la voix de Bakean. Il s’exprimait dans un tydale encore imparfait, certes, mais Zynia se refusait à juger de ses connaissances, surtout qu’elle-même était tout simplement incapable de n’articuler qu’un simple mot dans la langue de l’Equilibrien. Et puis, elle parvenait à le comprendre, le but n’était-il pas atteint ?

Les premiers éléments du cours indiquèrent clairement qu’il s’agissait précisément d’un cours destiné à appréhender la langue équilibrienne. L’occasion d’être en mesure de comprendre les membres d’une faction entière en étant capable de parler leur langue devait être saisie, se dit-elle. En effet, nul doute que ces connaissances seraient utiles si elle devait un jour rencontrer un Equilibrien qui ne parlait pas le tydale comme Bakean.

Elle suspendit donc ses exercices de magie pour se consacrer au cours qui commençait sous ses yeux. Bakean fit preuve de talents pédagogiques avérés, tant il parvenait à insuffler ses connaissances à ses élèves.

Bientôt, d’autres élèves affluèrent et le pédagogue dût se déplacer pour permettre à toutes de pouvoir l’écouter. Les rues étaient noires de monde. Les gens pouvaient à peine se croiser et cela allaient en empirant chaque jour. Certaines fois, Zynia se demandait comment le pédagogue arrivait encore à respirer, entouré de tant de monde, même s’il était vrai également qu’elle était pour sa part davantage habituée à la solitude de son laboratoire d’alchimie qu’à la fréquentation de la foule.

Au travers d’une question qu’elle prit la liberté de poser à l’Equilibrien, elle apprit qu’il existait également quelques termes spécifiques dans la langue Shaï pour la formule de politesse, ainsi que pour remercier.
Derynn. C’est ce dernier terme qu’elle eut tout de suite envie d’adresser à son professeur pour lui avoir fait découvrir cette langue nouvelle pour elle. Mais, un peu gênée, elle se retint.


Zynia Mestre érudite, Maître Alchimiste

 
Drardon

Le Merakih 25 Marigar 1509 à 08h45

 
Drardon avait entendu depuis son arrivée à Utrynia qu'un Pédagogue Equilibrien allait donner des cours, elle n'allait pas louper l'occasion de venir découvrir cette langue qu'elle ne comprenait pas quand elle allait à Syrinth ou plus rarement à Zarlif.

Om'shir comme on dit chez vous il me semble cher Bakean, je vous remerci de me laisser apprendre votre langue natale, le Shaï. Je suis ravi que la Dame nous laisse le droit de l'apprendre, depuis le temps que je recherche une personne pouvant me l'apprendre vous comprendrez que je saute sur l'occasion.

Grâce à vous cela me permet de mieu comprendre les discution déjà avec mes correspondant Equilibrien comme le Pendragon d'escorte et un de vos Surveilleur Ulfwych.


Drardon était ravi, elle se sentirai moin bête quand elle retournera chez les Equilibrien la prochaines fois. Mais la langue est difficile et demande beaucoup d'investissement pour arriver à comprendre les rudiments et mots cles.

Etant l'ébèniste du Matriarcat, je vais confectionner pour l'occasion un petit bureau, sa pourra vous permettre de mettre vos papiers convenablement non ?


Mes chroniques à jour

 
Sharoke Ash'Chenyr

Le Merakih 25 Marigar 1509 à 20h16

 
Sharoke avait été présente dès le premier cours. Ou plutôt elle s'était trouvé là lorsqu'il avait débuté. Elle était en train de dessiner paisiblement les passants, lorsque l'Equilibrien avait débarqué avec ses amis. Sharoke avait alors décidé de dessiner les étrangers, surtout celui qui ressemblait à une sorte de loup bipède. Elle en déduisit, d'après ce qu'on lui avait appris à la Ruche, qu'il s'agissait d'un Nelda.
Et tandis qu'elle dessinait, le Nelda commençait à répondre à de plus en plus de questions de tydales curieuses. Sharoke, confortablement assise sur le banc, écouta donc et profita ainsi des enseignements du Nelda.


Depuis lors, chaque jour, elle revenait au même endroit et s'asseyait toujours sur le même banc, dans l'attente du prochain cours, sans montrer son intérêt. Elle avait pris avec elle un cahier et faisait semblant de dessiner, alors qu'en réalité elle écoutait attentivement le cours qui avait lieu juste à côté d'elle.
De temps à autre elle répétait des mots ou des phrases, tentant de reproduire les mêmes intonations que celles du maître.


Au bout de plusieurs jours, elle ne se dissimula plus, et se montra totalement intéressée par le cours, toujours assise sur le banc afin d'éviter tout effort à cause de son état. Dès que le professeur arrivait sur la place, elle lui adressait un sourire, et lorsque le cours était fini, elle inclinait brièvement la tête en direction du Nelda, avant de s'en aller pour retourner à la Ruche.


 
Inanna Ereshkigal

Le Julung 26 Marigar 1509 à 00h14

 
***

Après avoir entendu parler de cour de Shaï Inanna c'était aussitôt mit en route pour la capitale. Bien qu'il n'avait aucune envie d'y passer il ne voulait pas rater cette occasion qui lui semblait plutôt rare.
Sa précipitation avait était accueilli par une grosse bête, c'est donc salement amoché qu'il passa les porte d'Utrynia et commença sa brève visite. Comme il s'y attendais la pâle ressemblance avec sa ville natale faisait qu'il n'avait de nouveau exclusivement le plan de la ville, ce qui avait un attrait certes, mais faible pour l'Orateur.

Une impression à la fois surprenante et familière guida le mâle vers le centre de la ville. Coincidence surement, il tomba sur une petite foule autour d'un gros, un nelda. Pas discret, parlant bizarre, pas besoin d'une réflexion plus poussé pour conclure que ce doit être le proffesseur. Sans se poser de question sur la raison de sa présence il imita toutes ces belles personnes pour suivre les paroles de l'étranger.

Malgré un effort de concentration afin de rattraper son retard, et ne pas ralentir le cours bien orchestré du nelda, Inanna fut distrait par quelques personnes. Peu, mais qui lui semblait beaucoup en fait il y avait bien deux ou trois personnes avec une petite afinité à l'Entropie dans l'assemblée. Sentiment enfouit qui le réjouissait, même si comme d'habitue ses avis sur le sujet étaient écouté quelques minutes.

Le Tydale écorché par la longue langue du gros fit tiquer le mïsh, qui se retint de le corriger, gardant pour plus tard ses corrections, comme remerciments futurs.

***




Rayon de bonheur.

 
Bakean

Le Julung 26 Marigar 1509 à 02h23

 

Pour finir, en Shaï les termes mal et bien son péjoratifs car ils ne correspondent pas à l'Equilibre de la Déesse, ils sont donc peu employé. C'est tout pour aujourd'hui, à demain sans doute, même endroit, même heure


***Ah et un bon cours de terminé, comme à son habitude la plupart de ceux qui n'avait pas été touchée par la grâce de la Dame, s'en allaient en un mouvement quasi-uniforme. Tout en enlevant ses lunettes et en rangeant son fourbi, de plus en plus fouilli, il ne pouvait s'empecher de compatir à leur peine. Sans la grâce divine, ils avancaient beaucoup moins vite que les symbiosés présent et il était souvent obligé de leur re-expliquer assez souvent.

Là encore une habitude, la plupart des symbiosés présent prenait leur temps pour s'en aller sauf Sharoke Ash'Chenyr qui bien que toujours très agréable partait à la ruche dès la fin du cours sans manquer de faire un signe de remerciement.

Il allait saluer Orphèle, compagnone de voyage et maintenant élève intéressé dont il appréciait grandement sa venue quotidienne pleine de bonne humeur quand Drardon s'adressa à lui.



Je vois que les nombreux voyages vers notre faction vous ont bien profité. Votre Shaï est très joli et reussi. Un bureau ? oui pourquoi pas, ma foi ça me serait utile.


**** Il jeta un coup d'oeil rapide à l'endroit où il faisait ses cours, debout sur un rebus de caisse en bois avec les livres dans les mains, ce n'était pas le plus reluisant des plans de travail, pour sûr.
Ce léger coup d'oeil, lui permit de remarquer que certains tydale n'étaient pas parti dont Orphèle, un certain Inanna Ereshkigal qui semblait légèrement blessé et Zynia qui semblait plus réservée. Et ils semblaient écouter attentivement sa conversation avec Drardon et se rapprochaient du pédagogue.
Il était ravi et mourrait d'envie de discuter avec ses élèves. D'autant plus que part instinct, et aussi parce qu'il n'est pas aveugle il avait remarqué que certains avait des dispositions pour l'Anarkan****



Le cours vous a-t-il plu ?

**** Annonca-t-il en s'adressant au groupe.****


Comme vous devez le savoir, je m'apelle Bakean je suis pédagogue de métier, Luthier de passe-temps, et je m'essaye un peu à la magie.

Cela peut paraitre cavalier, mais pourquoi n'irions nous pas à l'Auberge du Lac, boire quelque chose. Je pourrais vous parler de l'Equilibrium, et vous du Matriarcat.

*** Comme un parfait Equilibrium, la reserve du pédagogue avait disparu et le côté luthier avait repris le dessus, ce soir serait un soir de fête, et il ne comptait pas fêter seul.****

Bakean : Spécialiste de la découpe de chevaux en quatre... De cheveux aussi.

 
Drardon

Le Julung 26 Marigar 1509 à 04h53

 
Drardon suivit l'invitation du Pédagogue Bakean afin de se retrouver dans l'auberge du lac afin de mieu se connaitre et s'apprecier.

Om'shir Bakean, je suis Drardon, fille du Matriarcat, Négociatrice, Ebeniste de ma faction et jeune Luthière et Orfevres des Masses mais surtout ébèniste.
Je voyage à mon possible entre nos deux factions pour acheter et vendre des ressources et articles.


Drardon fit signe à l'aubergiste si elle pouvait venir passer commande pour la petite assemblée qui s'était formée dans un coin, le Pédagogue devait avoir bien soif à force de parler.

Je possède une flûte en Os, si vous avez un instrument nous pourrions faire un petit duo et qui sais d'autre viendrons se joindre à nous aussi.


Mes chroniques à jour

 
Zynia

Le Julung 26 Marigar 1509 à 11h06

 
Aller à l’Auberge du Lac? Zynia n’y était jamais allée jusqu’ici. Une salle unique, pleine de gens chuchotant, discutant, braillant. Etait-ce bien nécessaire de s’y rendre? Ne pouvait-on pas plutôt aller près de la fontaine pour être bercées par le tintement de l’eau? En plus, la boisson se trouverait à profusion… Mais, étant donné l’enthousiasme qui semblait animer les autres personnes, et ne voulant pas être mise à l’écart, elle se résigna à affronter la foule et le bruit qui iraient nécessairement de pair avec leur entrée dans l’auberge.

Pour toute réponse à l’aimable invitation du pédagogue, elle dit :
om'shir Bakean. Derynn pour le cours. J’ai l’impression d’avoir acquis de bonnes bases de Shaï. Je suis Zynia, distilleuse du Matriarcat, et je commence la maîtrise des sphères de magie également.

Par ailleurs, Zynia avisa discrètement la blessure d’Inanna et regretta de ne pas avoir de potion de soin sur elle pour y remédier.

Leur arrivée dans l’auberge eut lieu comme elle se l’était imaginée. Elle prit garde autant que possible de suivre prestement les autres membres du groupe. Lorsque Drardon proposa de jouer de la musique en orchestre, elle se demanda dans quel état seraient ses tympans lorsqu’elle quitterait l’auberge. Mais il fallait qu’elle surmonte cette peur.

De plus, l’Equilibrien avait annoncé une discussion et un partage d’expérience sur l’Equilibrium et sur le Matriarcat. Zynia y était intéressée. Elle était curieuse du monde extérieur, elle qui était à peine sortie d’Utrynia. Il lui fallait savoir, apprendre. Comment était-il ce monde extérieur ?

Elle but le verre devant elle par petites gorgées, écoutant la musique et attentive à ce qui se passait autour d’elle.



Zynia Mestre érudite, Maître Alchimiste

 
Inanna Ereshkigal

Le Julung 26 Marigar 1509 à 16h55

 
***
Il ne compris absolument rien aux paroles du Nelda, pas plus qu'à celles qui s'essayaient au Shaï. Mais vu qu'apparemment l'étranger l'avait inclut, dans son flot de mots incompréhensibles, qu'en emboîtant le pas à sa voisine personne n'avait bronché, il suivit Drardon.

Par politesse il se présenta rapidement au gros.
***

Hajar Sir Nelda, je suis l'Orateur Ereshkigal, je viens de Kryg.
J'ai suivi et apprécié votre cours, j'ai eu pire comme professeur.
Je ne sais comment vous rendre la pareil, en vous apprenant ma langue si vous le souhaitez.


*** Le mïsh se tourna ensuite vers l'Artisane ***

Aka's Hajar Liadha Drardon, je vois que vous apprenez vite, mon sérieux est tout ridiculisé par vos progrès. À telle point que je comprends rien à ce que vous dites.
Vous allez bien sinon ?

***
Il se retrouva donc, après une petite trotte, dans une salle pleine et bruyante. L'ambiance parfaite pour lui taper sur les nerfs. Au moins elles étaient assises. Inanna en profitât pour sortir une de ses fioles et appliquer un peu de son contenu - une crème luisante- sur ses mains.
***




Rayon de bonheur.

 
Bakean

Le Julung 26 Marigar 1509 à 20h55

 
****

C'est un plaisir, propager le savoir est une passion, et je suis devenu Gardien du savoir Equilibrien. Et puis comme vous le dites, vos progrès sont impressionnant. Je suis ravi de voir que quand vous êtes venue pour la première fois vous ne compreniez pas la langue, et que maintenant vous êtes presque fluente en la matière. Zynia du matriarcat.


Par habitude, il s'exprimait en Tydale, pour ne vexer personne, et parce qu'après des jours et des jours de cours en Tydale, l'habitude lui avait pris.

Il s'aprêtait à disserter sur les talents de Zynia dans la grammaire et l'accent Shaïque quand le seul Tydale présent s'adressa alors à lui.

****


Aka's Hajar et... heu... Dhanya Orateur.

Tentative désespéré de déceler un rictus ou un semblant d'expression permettant d'interpréter les mots du tydale. Échec complet, le visage d'Inanna restait froid. Reprise du dialogue-ou du monologue- en une inspiration

Eh bien écoutez ça me fait plaisir de découvrir un autre poussiéreux ayant choisit une voix similaire à la mienne en terme de pédagogie. Je serais ravi de suivre vos cours afin de parfaire mon Tydale. Je suis donc votre obligé. Quand vous voulez, je dors peu donc je peux suivre les cours à votre convenance.


****
Après ce bref échange, puis le salut entre Inanna et Drardon, tout laissait croire qu'il était temps de partir. Amusant pour deux pratiquants de l'entropie, Inanna et Zynia ne semblaient pas se connaitre. Curieux.

****

Un Instrument, Négociatrice Drardon ? je n'en ai pas qu'un, j'en ai cinq ou six de par ma profession de luthier. D'ailleurs, en tant que négociatrice, il faudrait peut être que je fasse appel à vous pour les vendre ces instruments.


Bruit assourdissant, le sac de voyage rempli d'instrument sonna comme un orchestre de sangliers manchots. Il commençait à montrer l'intérieur de son sac à Drardon, assez fier de sa collection.


Vous avez des musiciens professionnels au Matriarcat, je n'en ai jamais croisé. Les temps sont dur pour les luthiers, difficile de vendre des instruments avec ce froid qui déprime.


****
Il croisa le regard les autres convives à tables. Ils avaient l'air de s'ennuyer ferme. Une auberge n'était certainement pas le bon endroit pour eux.

En se rendant compte de ce fait, un dilemme se créa en lui, nature Equilibrienne quand tu nous tiens ! Concert ou discussion. Discussion avec l'amatrice de lutherie ou les pratiquant entropistes. L'Anarkan coulait en Zynia et Inanna, il en été persuadé.

Cette magie formidable qui l'animait lui aussi posait sa marque sur son porteur comme le sceau d'un maitre sur son vassal.****


Bakean : Spécialiste de la découpe de chevaux en quatre... De cheveux aussi.

 
Zynia

Le Vayang 27 Marigar 1509 à 10h06

 
Zynia écouta longtemps une partie du groupe parler de musique, d’instruments, de bois et de méthodes et autres techniques à employer pour les confectionner. Répétant mentalement ses exercices d’évolution, ce n’était pas ce qu’elle attendait et elle espérait que la discussion fut réorientée tout soudain sur un sujet plus intéressant à ses yeux, comme la découverte du monde et de l’Equilibrium par exemple.

Elle se hasarda alors à articuler timidement une question :
Avez-vous fait bon voyage pour venir au Matriarcat ?

Mais cette première interrogation fut vite suivie d’autres : Quelle route avez-vous emprunté ? Quels dangers avez-vous courus ? Où avez-vous déjà séjourné ? Comment trouvez-vous Utrynia ? Quelles sont selon vous les différences avec l’Equilibrium du point de vue visuel ?

Elle se faisait une joie de tenter de converser avec le pédagogue dans sa langue à lui.


Zynia Mestre érudite, Maître Alchimiste

 
Drardon

Le Vayang 27 Marigar 1509 à 10h23

 
Drardon se rappela soudain l'accueil des Equilibriens lors de son premier passage puis de son second...
Le premier contact d'une artisane étrangère fut difficiles mais finalement les premiers osèrent lui parler puis d'autres, certains avaient même passé des commandes.
Avec le temps elle avait même prêté mains fortes au possible pour tuer quelques abérations au niveau d'une des portes de leur Sainte ville de Syrinth, la où vie le Shaïm. Avec le temps en leur compagnie elle avait passé de longues heures à discuter, enchanter, négocier avec les Equilibriens se faisant des amis et leur faisant le tour de leur ville.
Une bibliothèque à l'architecture surprenante, rien à voir avec celle du Matriarcat, ni leurs routes pavés, leurs maisons, tout était différent labàs, un dépaysement total de ce qu'elle connaissait.
Que de souvenir passé avec Otome un artisane, l'Archonte de Syrinth Amalthur, qui correspond à Mestre de ville, les Surveilleurs Ulfwych, Helthaïr et veiglaigh entre autre...

Elle rêve maintenant de voir leur seconde ville, Zarlif qui, d'après les dires, aurait la plus grande Bibliothèque de tout Syfaria. Bon nombre de ces habitants ne connaissent même pas l'extérieur de leur citée, voilà qui pourrait être sympa de les rencontrer voir ce qu'ils pensent des filles du Matriarcat...



Mes chroniques à jour

 
Bakean

Le Vayang 27 Marigar 1509 à 14h01

 
****
Le Shaï aux accents Tydale de Zynia était tellement mignon que le pédagogue ne pouvait s'empecher de sourire. Il repensa de ce fait au Nelda Penthesilée qui parlait un Shaï presque parfait mais avec un accent Nelda qui le rendait si mignon. Décidemment entendre des étrangers parler Shaï était un ravissement pour ces oreilles. Elle voulait donc savoir comment était il arrivé ici, et ce qu'il en pensait.

Il hésita à prendre son Bandolim pour agrémenter le discours de ses péripétie, mais il se ravisa, il n'avait pas préparé de texte pour ses aventures. alors il raconta simplement, comme si il narrait de folles aventures.***


Comment je suis arrivé ici ? très longues histoire, tout à commençé par une pensée de l'archonte Almathur.

Baak dit :
Vraiment obligé de remonter aussi loin ?


Oui. Donc l'archonte avait reçu des invations de Syl Jassan pour la fête de nouveau cycle d'arameth. Et comme il ne pouvait pas y aller il a chercher des volontaires.

Rêvant de la proposition, j'ai décidé de jouer le diplomate. Je suis donc partit avec quelques Equilibriens : Kvethan, Nola et Alciria.
Baak dit :

Et on a fait la fête à Arameth pendant un certain temps, et c'est là bas qu'il a appris qu'une autre délégation Equilibrienne passait pas loin.

Bon c'est vite raconté mais en gros c'est ça, J'ai su par des rumeurs qu'Aldarin Mor'nathil, Celegorn, Silindë et Orphèle rejoignait le matriarcat en passant passant pas loin d'Arameth.
Baak dit :

Et comme il a eu quelques problèmes à Arameth justement, ben il s'est dit, autant attendre un peu avant de revenir en Equilibrium, et voilà comment il est arrivé ici..... Par la route Sud.


Décidemment son mou n'avait pas la fibre du conteur, il avait enlevé le recit de tout son suspense, il n'avait plus aucun intérêt, Bakean se rattacha donc aux autres questions puisqu'il ne pouvait pas passer des heures à raconter son périple puisque tout à été dit.

Bon alors sur la question des dangers. Je vous raconte
Baak dit :

Non, mais ça va pas la tête, pour une fois que tu es pas mort en voyage, tu vas pas te plaindre de t'être fait attaqué par un terrible Chiroptère. Je t'expliques douce Tydale. Zarlif- Arameth aucun problème car on était en transport nemen. et Arameth Utrynia, ça c'est bien passé, nos escorteurs ont fait peur à toutes les bestioles.

Et toi tu vas répondre à toutes les questions comme ça ? on fait la fête ou pas ?

De plus en plus énervant Baak, l'air Utrynien ne le réussit pas, il a toujours été sarcastique et impatient, mais de là a gâcher ces récit. Bref, à force d'habitude le Nelda ignora complètement les propos de la boule de mousse.


Bon j'ai pas compris votre troisième question, mais je peux répondre à la 4ème et la 5ème, sans aucun souci. C'est très différent visuellement de l'Equilibrium. déjà pas d'Hatoshal, et vous semblez moins près de la nature que nous autres. Et puis on a pas la même façon de construire du tout. Mais Drardon peut me comprendre sur ce fait, car elle vient souvent à Syrinth.

Sinon c'est joli Utrynia, plein de vie, et j'aime bien l'austérité de l'architecture, et puis les Matriarcales sont nettement plus agréables que j'aurais pu penser. Par exemple, personne n'a lapidé mon tydale encore.



*** Pas d'interruption du mou, mais Bakean avait raccourci pour éviter justement qu'il intervienne, crainte que sa boule finisse par déclencher quelconque problème. Epuisé par la joute verbale entre son envie de raconter et l'impatience de son mou, il bu une rassade de sa boisson, c'était bon, il fit un signe montrant son plaisir et remerciant Drardon, puis passa du coq à l'âne sans distinction***


Vous me disiez que vous pratiquez la magie, Zynia. Vous êtes adepte de quelle sphère ? Je suis moi-même apprenti entropiste



Bakean : Spécialiste de la découpe de chevaux en quatre... De cheveux aussi.

 
Zynia

Le Vayang 27 Marigar 1509 à 15h05

 
Zynia écouta tant Drardon que Bakean avec attention. Leurs histoires la fascinèrent. Elle espéra qu'elle puisse un jour elle aussi découvrir quelque peu Syfaria, même si elle restait attachée à Utrynia et au Matriarcat. Le fait que l'Equilibrien ait pu la comprendre alors qu'elle s'exprimait en Shaï lui parut fantastique. Ainsi, elle pouvait vraiment unitliser une langue nouvelle à présent.

Oh l'entropie, fit-elle lorsque le pédagogue lui apprit qu'il pratiquait cette sphère. Elle signala modestement qu'elle tentait de progresser dans les sphères d'essentialis et d'évolution.

Pour l'instant, je ne peux pas mettre en oeuvre de grandes quantités de mana, ajouta-t-elle. J'espère y parvenir un jour.

Mais, pour l'instant, je focalise passablement sur l'apprentissage de l'alchimie qui représente mon rôle au sein du Matriarcat.



Zynia Mestre érudite, Maître Alchimiste

 
Inanna Ereshkigal

Le Dhiwara 29 Marigar 1509 à 23h55

 
***
Ayant fini d'étaler sa crème, et portant son attention sur les paroles écorchées qui s'échangeait, Inanna ne passa pas une soirée affreuse.

Le nelda connaissais un beignet de l'entropie, c'était mignon et affligeant à la fois. En même temps ses connaissances en la matière n'était pas non plus phénoménale, une assiette peut être, et si jamais il continuer l'étude de cette sphère il arriverait tout au plus à un plat de beignet.
Un plat c'était quand même plus alléchant.

Il était temps de partir, il avait appris une nouvelle langue, sans la maîtriser il pourrait au moins la reconnaître. Aucune raison ne retenait à Utrynia. Kryg, Kryg lui manquait presque.

Il se leva donc, souriant, pour prendre congé.

***


Vous rencontrer fut très intéressant Sir Bakean, mais je ne vais pas rester plus longtemps ici, je m'en retourne à Kryg.
Cependant ce serait avec joie que vous pouvez m'accompagne, ou m'y retrouver plus tard. Je suis sur que nous avons quelques intérêts communs qui nous occuperons un peu.


*** Il s'inclina devant ses voisines de tables. ***

Aka's Kenara Liadha's.


*** Sur ce il se mit en route, se réjouissant à l'avance de l'air frais qu'il allait profiter. ***




Rayon de bonheur.

 
Dwen Meakith

Le Matal 31 Marigar 1509 à 18h52

 
*** Dwen avait assisté à la plupart des cours de ShaÏ que le pédagogue nelda avait la gentillesse d'enseigner à qui le voulait. Naturellement doué et intéréssé pour les langues, ses sens étaient entierement dévoués aux enseignements de Bakean, du moins autant que ces clientes le le lui permettait.
Silencieux et discret, il avait vite appris auprès du talentueux maître, et même s'il était encore loin de maîtriser cette nouvelle langue assez bien pour effacer son accent tydale, il se décida à remercier le professeur comme il se devait....en Shaï ! ***


Cher professeur Bakean, je me dois de vous remercier chaleureusement des leçons que vous nous prodiguez. je peux vous assurer qu'en ce qui me concerne, elles sont extremement bénéfiques.
Mais dites moi, y' a t'il des formules de politesses typiquement shaï ?
Comme par exemple notre "hajar" pour dire bonjour ou bien encore notre dhania pour remercier ?


Dwen Meakith, Mestre des Arts.

 
Bakean

Le Merakih 1 Astawir 1509 à 21h36

 
*** Bakean observait le tydale, l'étrange tydale pour être précis, qui s'en allait sur sa monture emmenant avec lui de nouvelle possibilités.
Il y avait bien longtemps maintenant que le pédagogue n'avait pas foulée sa terre natale, n'avait pas respirer l'air vivifiant de la magnifique, mystérieuse et dangereuse Hatoshal.

Bakean sentait moins la présence de la Dame hors des terres Equilibriennes mais se fiant aux signes qu'elle lui envoyait il continuait son voyage, son voyage sans fin. De la fête du nouveau cycle à Utrynia, et maintenant d'Utrynia à Kryg. Car L'entropiste qui sommeille en lui a trouvé quelqu'un avec qui parler de cette mystérieuse magie qui l'habite, qu'il ne peut contrôler et qui pourtant le fascine.

Fasciné, c'était le terme qui définissait le mieux l'étrange pédagogue Nelda, Calme par sa race, tourmenté par son Equilibre, téméraire par sa curiosité, il allait au gré du vent dans le but de pousser toujours plus loin son savoir, savoir qu'il partage avec ceux qui le désirent.

Ces pensées tournaient encore entre son mou et lui quand bien longtemps après qu'il aie saluer le départ d'Inanna en l'assurant de sa venue prochaine à Kryg, mais avec l'aisance d'un Equilibrien, il se concentra de nouveau sur les personnes à tables qui partageait avec lui le savoir.



Artisan Dwen, je suis ravi que ces leçons vous plaisent, votre shaï s'améliore et j'en tire grande joie. Mais vous avez raison, je n'aborde pas assez les termes spécifiques Equilibriens utilisés en Shaï.

La formule de politesse pour le salut, equivalent du Aka's Hajar est Om'shir, et pour remercier nous disons Derynn au lieu de Dhanya. Nos consoeurs et confrères sont nos kielnas et kielnos.Ensuite quelques formules existent, mais elle ne sont pas officielles et souvent utilisés que par une partie de la hierarchie Equilibrienne uniquement.


Le mou du pédagogue, souvent recalcitrant, ne lui transmettait pas toujours les informations, mais cette-fois ci il accepta de lui réveler que Dwen était un artisan, et il s'amusa de voir qu'à sa table se mêlait artisanes, négociatrices et magiciens, ou tout du moins apprenti magicien.


je trouve amusant les quelques différences culturelles entre le matriarcat et l'equilibrium. En tant que fervant croyant des principes de la Dame, sans même y penser, j'ai choisit d'appartenir à la hierarchie de la connaissance culturel, mais pour contrebalancer je me suis aussi engagé dans le travail manuel et nocture de luthier-musicien.

Et je remarque que j'ai vous chacun à sa tâche et les filles et fils du déclin s'engage à l'appliquer au mieux. Nous cherchons l'Equilibre jusqu'à paraitre quelque peu désorientés, et vous attendez le déclin en étant le plus utile à la ruche. Je trouve ça fascinant, pouvez vous me parler quelques peu du Tableau et de vos vue sur cette attente ?




Bakean : Spécialiste de la découpe de chevaux en quatre... De cheveux aussi.

 
Dwen Meakith

Le Julung 2 Astawir 1509 à 18h30

 
*** Dwen nota avec grande attention les formules de politesse que Bakean enseignait. ***


Hum interessant que tout cela alors je devrai vous dire : Derynn kielnos Bakean, grace à votre enseignement je serais peut-etre moins perçu comme un rustre lorsque je parlerais en Shaï !

Le Déclin ? Le Tableau ? Vous savez il n'y a pas grand chose à en dire. Quoi que l'on fasse cela adviendra inexorablement. Il n'y a pas de choix, cela est écrit dans les astres. Il est inutile de lutter contre ce qui est immuable, cela serait dépenser en vain notre temps et notre savoir-faire. Il vaux mieux, selon moi, ou plutôt selon les Apôtres de la Chute, utiliser nos ressources à faire ce qui est attendu de nous en toute simplicité.
Vous savez, courir sur la route de notre vie ou bien trainer la patte ne changera pas le jour ou les Cieux nous attendent.....Alors à quoi bon ?


Dwen Meakith, Mestre des Arts.

 
Bakean

Le Julung 2 Astawir 1509 à 21h43

 
Exactement Dwen, sauf que tu peu m'appeler kielnos uniquement si tu es toi-même Equilibrien

**** voilà un pédagogue tout content du travail fourni par ses élèves. L'explication du tableau était tout à fait ce qu'il attendait, mystérieuse comme la plupart des rites, des principes et des lois matriarcales.


Fascinant, fascinant tout cela. D'une certaine façon, certains principes s'allient avec les notres. Sauf que nous cherchons à protéger la Dame en évitant de détruire le monde, et vous attendez simplement cette destruction sans y participer.


***Un enfant passioné, combien de fois il avait ouvert des débats de cette façon avec ses professeurs, et avait pu discuter pendant de longues heures là-dessus, et au fur à mesure du débat, son débit de penser s'était accru jusqu'à devenir à la limité du compréhensible, c'était peut être déjà le cas. Ne cherchant pas ce genre de discussion ici, il préféra embrayer sur un autre sujet.****


en parlant de courrir, j'ai rarement vu de matriarcales en Equilibrium, votre peuple est-il un peuple voyageur ? D'ailleurs c'est curieux, vous semblez avoir de nombreux maitres d'armes, êtes vous béliquieuse avec les autres factions ? Je suppose que conquerir ne convient pas avec le Tableau, mais là encore comment savoir ce qu'il désire, vos astrologues sont elles les apotres du déclin ? Déclinant les orientations de votre peuple, pour arriver au déclin ?


***Il avait essayé de changer de sujet, mais une fois les questions abordés dans sa tête, il ne pouvait pas les écarter.***

Bakean : Spécialiste de la découpe de chevaux en quatre... De cheveux aussi.

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