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Le Julung 30 Julantir 1509 à 19h52
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 | *** Rialda continua sur les déclarations de Zynia ***
Tout à fait Arc Rhona Penthésilée est une grande guerrière et lors de sa venue avec l'accord de vos autorités un accord d'échange a été passé. Il consiste à accueillir à Korsyne vos guerrières et à Utrynia les notre dans un échange de connaissance sur l'art du combat. Bien sûre cet échange n'est en aucun cas une obligation et se fera au grès de chaque guerrière de l'une ou de l'autre partie.
Vous pouvez-vous adresser apparemment pour ce sujet à votre Mestre Kaliss qui est au courant apparemment de cet accord.
*** Puis Rialda revint sur la demande d'Aliana ***
Nous n'avons pas d'escorte pour nous accompagner. Nous fessons le voyage seul mais empruntons les transports Nemens pour diminuer les risques.
Pensez-vous qu'en ce moment les routes pour la station de kryg soient dangereuses?
Dhanya
*** Rialda réfléchie un instant puis répondit à Zynia ***
Nous sommes principalement venue à Utrynia pour visiter votre belle ville. Pour moi ça a été l'occasion de parfaire mes connaissances en votre langue et de vous rencontrer. Grâce à vous je me suis enfin décidée à apprendre dès mon retour l'Alchimie, car j'avais remis son apprentissage à plus tard pour apprendre des langues.
Mais dites moi, avez-vous fini toutes vos commandes?
Chaque voyage est un pas vers la connaissance... Et la connaissance est un pas vers la conscience. | |
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Le Julung 30 Julantir 1509 à 20h23
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| Zynia se sentit tout d'abord honorée: Rialda aurait décidé de suivre sa voie dans l'étude de l'alchimie suite aux discussions qu'elle aurait eues avec elle, dans son modeste laboratoire. La distilleuse aurait ainsi en quelque sorte une disciple, même si celle-ci partirait bientôt. Cela lui parût magnifique.
Puis, elle se dit: choisit-elle l'alchimie grâce à moi ou à cause de moi? Car la distillesue du Matriarcat savait que ce n'était pas un chemin aisé, qu'il était difficile au début de réunir les morions nécessaires pour les ustenciles, les ingrédients et les recettes. Maintenant, elle se débrouillait mieux, avait appris à aller chercher une partie des ingrédients, avait tissé certains contacts utiles pour les fournitures. Tout ceci lui permettait de réduire les coûts et ainsi les prix des potions à la vente.
Mais cette pensée fut chassée vite de son esprit. Elle était fière d'avoir suscité une vocation.
Félicitations d'avoir choisi cette voie. Je vous souhaite plein succès dans votre apprentissage.
Félicitations? C'est ainsi que l'on dit chez vous?
Oui, j'ai terminé et je n'ai actuellement plus de commande en attente. C'est pour cela que j'en profite pour remettre un peu d'ordre dans la maison. Cela me permettra de faire une petite pause et de perfectionner mes connaissances des sphères de magie. Ainsi, cela m'aidera également dans le domaine de l'alchimie et cela me permettra de me défendre le plus efficacement lorsque je sors d'Utrynia pour aller chercher des ingrédients.
Zynia Mestre érudite, Maître Alchimiste | |
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Le Vayang 31 Julantir 1509 à 19h38
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| *** Rialda avait écouté attentivement la question d'Aliana. Elle décida de lui donner la réponse la plus précise qu'elle le pouvait pour le moment. ***
Nous repartons, je pense, la semaine prochaine. Je n'ai pas pour le moment le jour exacte. Nous passerons tout d'abord à Jypska une de nos cité, puis nous irons par la suite à Korsyne.
Si vous souhaitez faire le voyage avec nous j'en informerai notre Onyr afin qu'elle prépare votre accueil soit à jyspka soit à Korsyne en fonction du temps que vous aurez.
*** Elle avait écouté intéressé la conversation concernant la cervelle d'araingnée. ***
Zynia, quelle est l'utilité de cet ingrédient?
*** Puis elle ajouta ***
Je vous remercie de vos félicitations de mon choix de l'achimie. Je suis sûre que nous aurons de grand échanges lors de nos prochaines rencontressur ces sujets...
***
Rialda sourie ***
Chaque voyage est un pas vers la connaissance... Et la connaissance est un pas vers la conscience. | |
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Le Vayang 31 Julantir 1509 à 20h50
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| Zynia reprit à la suite d'Aliana:
Oui, si une soeur me dit qu'elle recherche une cervelle de chiroptère, je penserai à celle que tu détiens.
La distilleuse était aussi contente d'avoir favorisé les échanges entre Aliana et Rialda. Elle-même ne pouvait pas encore se rende à Korsyne, mais elle planifiait toujours davantage ce voyage. La cité, entourée de sable, l'interpelait plus que toute autre cité des autres factions. Il lui semblait qu'il s'en dégageait un parfum de mystère qui l'intriguait.
Je me réjouis déjà de nos futurs échanges sur l'alchimie, Rialda. Et, pour commencer de suite, l'utilité des cervelles d'araignée est multiple. Elles entrent dans la composition de nombreuses recettes d'alchimie. D'ailleurs, vous en aurez besoin dès le début de votre apprentissage puisque les cervelles d'araignées sont nécessaires pour réaliser des potions de soin qui sont les premières potions que vous apprendrez à concocter.
La distilleuse du Matriarcat poursuivit:
Mais vous pourrez découvrir tout cela par vous-même aisément. Et je ne vous suis pas d'une grande utilité en l'occurence. Je crois que nous serons plus utiles l'une à l'autre pour nous procurer mutuellement des ingrédients que l'on ne trouve qu'à certains endroits de Syfaria. De même, je peux vous donner des conseils pratiques dans le choix des recettes à apprendre, à moins que vous ayez le temps et les pierres nécessaires à l'apprentissage de toutes les recettes sans distinction. Nous pouvons également comparer les recettes connues de nos artisans de la corporation pour savoir si une recette n'était disponible que chez l'une de nous. J'imagine que ceci serait plus intéressant et plus profitable. Qu'en pensez-vous?
Zynia Mestre érudite, Maître Alchimiste | |
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Le Sukra 1 Agur 1509 à 11h47
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| *** La présence d'Aliana n'était pas du tout une gène. Cela était une bonne chose, même si ces mimics pouvait paraître inquiétantes. C'était une guerrière alors cela était sûrement normale. ***
Aliana, je suis très contente que vous nous accompagnez à la station de Kryg pour aller à Korsyne puisque Rhona Kaliss vous y autorise. Pour faciliter votre arrivé là-bas je vais contacter moi-même Penthésillée, puis-je vous préviendrai ensuite pour que vous entriez en contacte directement avec elle.
Je pense que notre départ sera pour demain. J'attends une confirmation et je vous en informerai.
*** Puis elle se tourna vers Zynia et ajouta ***
Je pense Zynia que vos propositions sont très intéressantes. Nous aurons donc quand je maîtriserai un peu mieux l'alchimie beaucoup de choses à échanger et je n'en serai que plus heureuse.
***
Elle s'arrêta puis repris. ***
Je vais devoir vous laisser Zynia, je dois m'en aller préparer mon voyage de retour puisque comme vous l'avez compris je pense que nous partirons demain. Je suis très contente de vous avoir revu avant mon départ.
Aka's Kenara Zynia.
*** Puis se tournant vers Aliana de-nouveau. ***
Je vous informe du lieu de notre départ rapidement, dhanya.
Chaque voyage est un pas vers la connaissance... Et la connaissance est un pas vers la conscience. | |
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Le Merakih 19 Agur 1509 à 15h37
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| Utrynia était quelque peu déserte depuis le départ de la délégation des Hauts-Rêvants. Il importe de souligner ici que des sœurs étaient également en voyage dans la faction nelda à ce moment-là, ayant profité d’accompagner le retour de la délégation pour effectuer le trajet, ou ayant même précédé ce groupe pour diverses raisons justifiées par différentes intentions et buts poursuivis.
Les rues, ruelles et venelles de la cité commerçante paraissaient vides. Un visiteur méconnaissant aurait pu penser naïvement qu’elles l’avaient toujours été, que c’était un trait caractéristique ajouté à l’austérité matriarcale. Pourtant, les mois précédents avaient vu toute l’activité qui pouvait régner dans l’enceinte délimitée par les hautes murailles de la ville. Ils avaient connu une cité bruyante aux artères encombrées, emplies de monde, de délégations variées, de voyageurs étranges à la vie incertaine. Fruit de tous les superlatifs, cette vie là devait leur sembler si haletante, si intéressante, si pleine. Où étaient-ils, tous, maintenant ?
Les étrangers avaient déserté la ville. Cette ville qui les avait accueillis, dont les portes leur avaient été ouvertes, auxquels les habitants avaient peut-être parlé. Devait-on y voir un sentiment ostensible d’éloignement ? A l’inverse, les étrangers n’avaient-ils plus le laissez-passer nécessaire, seuls certains parvenant encore à montrer patte blanche ? S’agissait-il d’une mesure d’ostracisme à l’égard d’un ailleurs ambivalent ? D’un extérieur hostile ?
Des effets d’annonce et des rumeurs avaient été véhiculés. Les nouvelles avaient été maussades. Il semblait que Kysall avait trouvé un allié inopiné, insoupçonnable, inqualifiable. Les sœurs s’étaient émues, plus, moins. Puis, les courants de pensées avaient faiblis, comme si la chaleur retrouvée avait entamé les capacités télépathiques des filles du déclin. Les soleils dardaient effectivement leurs rayons sur Syfaria. Mais était-ce là une explication valable, la région d’Utrynia jouissant d’un climat connaissant peu de variations ?
Cependant, la vie s’était ralentie, peut-être sous l’effet de la douce lumière.
Zynia avait rangé son laboratoire, placé un drap sur ses instruments pour les protéger de la poussière, les quelques rares ouvrages trônant alors sur une étagère. En effet, l’alchimiste ne savait pas quand elle reprendrait la confection de potions. Elle n’abandonnait pas l’alchimie, loin de là. Cette pause lui donnait toutefois le temps de s’essayer à d’autres arts, lesquels allaient lui permettre d’ajouter un nouveau filet d’eau à ses potions, d’amener davantage d’eau à son alambic, de chauffer davantage son creuset…
Bientôt, il lui faudrait ôter les cache-poussière qu’elle avait étendus. Bientôt, la distilleuse créerait à nouveau des potions, et ces potions sauveraient à nouveau des vies. Elle le savait. Le temps présent était simplement dévolu à autre chose, cet instant. Mais tout avait la même fin.
Elle avait jusqu’ici établi certains contacts, noué certains liens qui déboucheraient peut-être sur des amitiés véritables par la suite. Pour cela, il fallait cultiver les relations et les nourrir. Tout ce qui n’était pas facile de réaliser sur Syfaria, les distances, la politique et les dangers tapis aux détours des chemins, participant à rendre tout ceci volatile. Mais pas chimérique…
On avait annoncé la tenue d’un symposium à Arameth. La communication avait été relayée, du moins au sein de la faction du Matriarcat du déclin. Que penser de cette initiative, absconse au demeurant ? D’ailleurs s’agit-il d’une initiative personnelle comme spécifié ? Est-il loisible de s’y fier ? Le Matriarcat du déclin y enverra-t-il une délégation suite aux déconvenues récentes ?
Toutes ces questions hantaient l’esprit de Zynia par périodes. Mais la jeune tydale n’y accordait qu’une importance relative. Sa modeste personne n’y changerait rien, quoiqu’il arrive.
Zynia contempla encore une fois son laboratoire propre et soigné. Faisant volte-face, elle décida en une seconde de sortir au soleil, pour prendre l’air, pour sentir les rayons d’un soleil sur sa peau, pour se promener, pour effectuer un tour à pieds dans Utrynia. Peut-être irait-elle au-delà des remparts. Peut-être… Mais sûrement regagnerait-elle son laboratoire ensuite. Pour poursuivre son art. Car Zynia n’était pas dupe. Ainsi, elle n’ignorait pas qu’en alchimie, comme en bien d’autres domaines, il y avait davantage d’appelés que d’élus. Tel se croyait alchimiste, en toute bonne foi, qui risquait à terminer sa vie dans la peau d’un simple assistant.
Le Tableau avançait. Le Matriarcat existait toujours. Et Zynia était là pour en témoigner.
Zynia Mestre érudite, Maître Alchimiste | |
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Le Sukra 22 Agur 1509 à 14h01
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| Zynia occupait alors un laboratoire situé à côté du Bazar d’Olophée. Depuis le retrait (momentané?) de Khamaat, l’ancienne Mestre de ville, c'était devenu le rendez-vous des amateurs de potions à Utrynia. Quand les lames ou les étrangers avaient dans l’idée de combattre de puissantes créatures, on voyait entrer un à un les modernes adeptes. Rien de plus singulier que l'aspect, les habitudes et parfois jusqu'au costume de ces visiteurs.
Mais qu’en est-il également de Zynia ? Certains la rencontraient quelquefois, dans le jour, à l’annexe de la bibliothèque du Matriarcat, courbée sur de vastes in-folio ; le soir, dans les lieux écartés, près des ponts solitaires, les yeux fixés, dans une vague contemplation, sur la voûte resplendissante d'un ciel étoilé. Elle ne ressemblait cependant pas à l’archétype de l’alchimiste.
D’ordinaire vieux ou flétris avant l'âge, un méchant habit noir, ou une longue houppelande d'une nuance indéfinissable, couvrait leurs membres maigres. Une barbe inculte cachait à demi leurs traits creusés de rides profondes, dans lesquelles se lisaient les traces des longs travaux, des veilles, des inquiétudes dévorantes.
La distilleuse était différente. Dans ses paroles lentes, mesurées, solennelles, il y avait comme un accent prêté parfois au langage des illuminés. Sa contenance, à la fois abattue et fière, révélait sa manière d’appréhender la vie en attendant la fin du Tableau.
Lorsqu’elle aperçut une visiteuse devant son échoppe, elle pressa le pas. Parvenue près d’elle, une tchaë, l’alchimiste lui adressa la parole.
Hajar voyageuse, je me nomme Zynia et cette modeste échoppe est la mienne. Puis-je vous aider ?
Ou devrais-je dire: bonjour. Je ne sais pas si vous parlez le tydale.
Zynia Mestre érudite, Maître Alchimiste | |
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Le Sukra 22 Agur 1509 à 15h59
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| Nelle détache ses yeux du vélin en entendant quelqu'un s'approcher, et se retourne pour détailler la jeune tydale à la vêture légère et suggestive.
Et elle ne cache pas sa surprise en l'entendant se présenter comme la "Maître alchimiste" -selon le parchemin qu'elle parcourait à l'instant- propriétaire de l'échoppe.
Hajar, Zynia, je parle tydale en effet. Je m'appelle Nelle' Dymer, propage des témoins du S'sarkh, arrivée récemment en votre cité.
Répond-elle tout d'abord, avant d'ajouter en souriant :
Je ne m'attendais pas ce que cette echoppe soit celle de quelqu'un comme vous, pour être franche... les alchimistes accomplis que j'ai pu rencontrer son généralement... bien plus âgés...
Knüt dit :
Et barbus.
En fait, je jetais un oeil surtout par curiosité : je pratique moi-même un peu l'alchimie, pour un usage personnel essentiellement, et c'est d'ailleurs, entre autre, ce qui m'amène dans votre cité : certains ingrédients nécessaires à des potions que je voudrais confectionner ne se trouvent que chez vous.
Peut-être aurez-vous quelques conseils à me donner... ? | |
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Le Sukra 22 Agur 1509 à 17h02
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| Conscience dit : Perdu, Knüt, comme tu peux le constater ma symbiosée a même le crâne rasé.
*** Conscience fait un saut périlleux***
Il faut dire que Zynia avait pris l’habitude d’entamer des discussions fréquentes qu'elle soutenait avec les visiteurs du laboratoire aussi bien sur les ingrédients nécessaires aux potions que sur le parcours du maître alchimiste ou sur la certitude des dogmes hermétiques. Elle puisait ses arguments autant dans les découvertes des savantes qu’elle avait côtoyées que dans son expérience personnelle. Un jour, elle eut à soutenir avec une adepte une discussion étendue sur les principes de l’arkan dans l’alchimie. Elle fit à cette occasion une exposition générale des doctrines de l'alchimie, et passa en revue toutes les preuves que l'on invoque pour les justifier.
Je vois, dit-elle.
Vous maîtrisez donc les potions les plus complexes. J'y ai moi-même accès et j'en ai déjà parlé avec l'alchimiste de la corporation des artisans de notre cité. Mais je n'en n'ai pas encore appris le secret. Mais j'ai encore le temps, ajouta-t-elle avec un sourire.
Vous cherchez vraisemblablement des perles d'Okabries? A moins que ce ne soit des doses d'eau des Mères? Savez-vous que l'on trouve de l'Amborcie des marais tout près d'ici?
Naturellement, tout ceci s'achète auprès du camelot de la corporation des artisans.
Zynia Mestre érudite, Maître Alchimiste | |
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