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Les auberges de Kyg

Quand on cherche du boulot...

on pose des affiches à l'auberge, bordel.
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Sujet lancé par Pentar
Le 12-01-1510 à 10h21
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Posté par Inanna Ereshkigal,
Le 15-01-1510 à 17h55
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Pentar

Le Matal 12 Jangur 1510 à 10h21

 
L'auberge des Cîmes. Le lieu de détente le plus fréquenté de la cité.
Il fut un temps où elle y trainait jour et nuit.
Puis le seuil de tolérance de Cybélia et de sa chienne de garde avait un beau jour explosé.
Pentar n'était pas le genre de clientèle qu'un tenancier aime voir traînasser sur son bar. Plusieurs semaines de suite. Traînasser...Vautrer, plutôt. Et nul doute que de retour en ville, la Déclinante allait reprendre les bonnes habitudes.
Mais avant de se faire de nouveau griller ici, elle avait une petite faveur à demander.

Nemès tardait à lui répondre. Elle avait besoin de fric, vite. Elle n'avait aucune envie de se pointer à la caserne.
Pas pour l'instant, en tout cas. Et pour les petites annonces, rien de mieux qu'un hôtel-taverne-restaurant.
Rien de mieux que l'auberge des Cîmes, dont la réputation n'était plus à faire ou à refaire. A travers toute la ville.
Elle irait aussi poser des affiches dans la ville et dans d'autres lieux de débauche, mais les Cîmes étaient la priorité.

Ca commençait mal. Le Libertaire argumenta quelques minutes avec la garde à l'entrée.
Rapport au fait qu'elle était prétendument pas présentable. Le style, l'odeur, le sang séché (ou non), une moitié de sein qui pointe entre les mailles d'une armure qui en a trop vu, l'épée ruinée qu'elle tient sur l'épaule, le collier d'oreilles de kropocles.
Finalement, c'est le compromis. L'arme laissée à l'entrée et la dame emmitouflée dans un manteau.
Elle passe, se dirige vers le bar à pas traînants.


Une bière. Puis j'aimerai passé une annonce. Tu pourrais placarder une affichette pour moi ?
Sur ton grand panneau de bois à l'entrée là. Ouais.
Quelque chose du genre :


Citation :
Guerrière compétente cherche boulot rémunéré, type mercenariat.
Convoyage, mission, escorte, gardiennage, etc...
Contactez Pentar, ici même (auberge des Cîmes).
A voir pour les détails.


Et je vais te prendre une chambre modeste pour quelques nuits.
Promis, j'me tiendrais à carreaux. Oui, oui. Pas de bagarre. Je sais bien.
T'inquiètes pas, j'en prendrais un, de bain.
Si tu me l'fais gratis.


Ferme ton clapet, béjaune, de toute façon tu vas bientôt pourrir. Et en silence.

 
Inanna Ereshkigal

Le Matal 12 Jangur 1510 à 15h49

 
***
L'auberge . . . drôle d'endroit pour un entretient, enfin du moment qu'un accord, ou désaccord final, est vite trouvé ça ira.
Un peu de concentration pour oublier l'ambiance, de la discrétion pour cacher le pas récalcitrant et puis un joli sourire pas trop naïf. Faudra pas tendre la perche pour se faire entuber.

Tiens ! un oubli : la monture.

On entre, on salut l'humble foule en délire et pas intéressée. On se repose sur les bénéfices de la symbiose : trouver l'anneau parmi les boulons.
***

barbr dit :
Elle est là bas !
C'est la grande, dont on pourrait douter qu'elle fut une jours présentable.


- Dhyana. Cherche plutôt un compliment.

barbr dit :
Dur . . .


***
En vue d'un proche voyage, espérons d'autre, il était évident qu'une symbiosée serait vraiment la crème.
En trouver avec un profil idéal et pas barge était perdu d'avance.
Quelques enjambées, ça peut commencer.
Elle n'est effectivement pas petite, ni très avenante.
***


- Aka's Hajar. Liadha Pentar, je présume ?



Rayon de bonheur.

 
Pentar

Le Merakih 13 Jangur 1510 à 13h01

 
La dame, toujours au comptoir, se tourne vers le nouveau venu. Un spécimen intéressant.
Un grand roux avec un regard intrigant, félin. Des amples vêtements sur un corps mince. Un homme des villes, un citadin. De ce qu'elle en sait et devine : un érudit. Ca fait longtemps qu'elle n'en a pas croisé.
Manüsh ou Mish ? Il a l'air jeune. Mais en même temps, il lui paraît plus vieux, mûr.

Elle grogne plus qu'elle ne répond, un peu malgré elle.
Oui, faire des efforts. Faire des efforts.


Aka's Hajar, Murmure. Vous présumez correctement.
Vous voulez manger quelque chose ? J'ai faim.


Fausse question, la guerrière embarque sa chope et se dirige vers une table.
Sans se soucier d'être suivi ou non. Puis s'installe. L'auberge est bien pleine et animée.
Elle attend que le mâle se soit attablé avec elle pour parler de nouveau.


Je ne sais pas combien de temps je vais pouvoir travailler pour vous.
La Faucheuse Nemès vient de me répondre, je dois la rejoindre à Ulmendya.
Le fait est que je ne peux pas partir tout de suite, faute de morions. Je suis fauchée.
Donc le temps d'amasser suffisamment de pierres, je reste à Kryg. Pas le choix.

Je peux bosser dans votre maison durant cette période.
Mais après....sachant que j'irai à droite à gauche en mission, longues périodes...
Et bien, je doute que mon cas vous intéresse.


Une lampée bien fraîche et longue.

Qu'est-ce que vous voulez grailler ? Ils ont de superbes patates-jambon.

Ferme ton clapet, béjaune, de toute façon tu vas bientôt pourrir. Et en silence.

 
Inanna Ereshkigal

Le Merakih 13 Jangur 1510 à 17h03

 
***
Faim ? à vrai dire oui, mais selon l'emploi du temps fixer c'est pas l'heure.
Espérons que la discussion sera longue alors.

Installation, position au confort plus acceptable, contrairement aux autres sens.
Écoute, concise, bien.

Fauchée la futur faucheuse.

***


Patates-jambon ? convenable et rarement dans mon menu.
Choix que je peux donc qu'apprécier.

*** Par où commencer ? ***


Félicitation donc pour votre nomination, même si c'est le premier échelon.
La Faucheuse Némés en plus, elle est superbe, la Grâce en actions et en paroles. Elle doit définitivement se plaire à Ulmendya, depuis le temps qu'elle y est.
Si jamais vous y pensez saluez là de ma part.


*** Long sourire, plus agréable qu'une boisson. ***


La coïncidence est frappante, je dois moi aussi partir de Kryg, d'ici deux semaine. Pour Arameth. Il faut bien que je calcule mon itinéraire, ça ce fait pas trop d' être en avance.

Votre disponibilité est aussi courte que dommage, mais c'est largement mieux que rien.

Je suis curieux qu'en au temps que vous pensez y consacrer par jours. En gros.





Rayon de bonheur.

 
Pentar

Le Julung 14 Jangur 1510 à 09h12

 
On passe la commande, la commande arrive.
La guerrière sourit tout en s'enfonçant dans son siège. L'assiette fumante lui plaît.
Les Déclinantes ont beau considérer une bonne bouffe comme un tas de cendres, ce n'est pas son cas présentement.
Peut-être parce qu'elle a vraiment bouffé de la cendre pendent ces derniers mois, charbon en prime.
Carcasses carbonisées sur des feux de camp un peu chaotiques.

Alors du patates-jambon, ça lui plaît.
Elle enfourne une bouchée. Mâche dru.
Sirote sa bière en même temps.


Arameth ? Hum.

La fourchette de Pentar s'agite devant Inanna, comme une arme de duel.
Elle fronce les sourcils, cherchant ses mots alors qu'elle mange.


Tout dépend de la taille de votre maison et de l'ampleur des travaux à y faire.
Mais à vue de nez, je dirais 4. 4 heures, l'après-midi. 2 pour les travaux, 2 pour le ménage.
Variable, selon les jours. Peut-être 3 pour les travaux et 1 pour le ménage.

Le matin, c'est entraînement intensif pour moi. Rien d'autre.
Ou chasse en dehors des murs d'enceinte, si y a des proies disponibles.


Ferme ton clapet, béjaune, de toute façon tu vas bientôt pourrir. Et en silence.

 
Inanna Ereshkigal

Le Julung 14 Jangur 1510 à 13h24

 
***
Début du repas. Découpage méticuleux et petits souffles sur les bouts.
Le goût est divertissant et l'entrain d'en face ravissant. Inanna apprécie donc pleinement.

Des travaux ? une piscine serait bien.
***
- Quatre heures donc. Évidement vous ne pouvez délaisser l'entrainement, ne serait-ce pour que pour éviter de rouiller.

*** Petite pensée nostalgique. ***

- Ma maison est . . . relativement spacieuse je dirais, son prix me le laisse à croire aussi.
Par contre n'ayant pas fait de repérage je n'ai pas d'ordre d'idée de sa surface, ni des travaux nécessaire.

*** Moue un peu embêtée. ***

- Enfin n'y connaissant rien je pense pas que j'aurais pu vous éclairer.

Vous saurez vous débrouiller seule ? sans risque de bêtises, sauf mon respect.




Rayon de bonheur.

 
Pentar

Le Julung 14 Jangur 1510 à 13h47

 
L'assiette ne manque pas d'être ravagée sous les assauts de son agresseur.
Pentar mange comme on mange rarement. A part quand on a très faim.
Un coup de bière, encore, la chope est bientôt vide.


Vous parlez comme si vous n'y aviez jamais mis les pieds.
C'est intéressant. Vous devez être riche.


Elle hausse les épaules, fait disparaître la dernière patate.

Je détruits, plus que je ne restaure. Mais je saurai y faire.
Je suis une grande fille. Construire contribue aussi au processus final.
Je n'aime pas ça, mais je m'y contrains. C'est un bon exercice mental. Un défi.


Sourire malsain, les lèvres grasses. Elle s'essuie.
Ce qu'elle doit faire rarement. Pas avec le sang, en tout cas.


En voyant les lieux, j'aviserai.
Il faut toujours abattre quelques murs. Laisser respirer l'espace.


Ferme ton clapet, béjaune, de toute façon tu vas bientôt pourrir. Et en silence.

 
Inanna Ereshkigal

Le Julung 14 Jangur 1510 à 16h15

 
***
Inlassablement sa faim se fais timide.
Elle est forte, elle capte son attention. Il n'a que quelques coup d'œil pour le décors.
***

- J'y suis entré deux ou trois fois, sans jamais prendre la peine de visiter.
Malgré moi j'avais plus d'affaire que de raison, ma chambre dans les Miettes en souffrais. Il y avait des signe avant coureur d'un futur dépotoir, pour un lieu ou j'étudie cela n'allait pas.
J'ai donc acquis un lieu proche où je pourrais entreposer à souhait.


*** Bouchée, bonne proportion des divers composant. ***

- Sur le coup il m'est pas venu à l'esprit que je prenais en même quelques responsabilité en tant que propriétaire.

*** Repas aux apport non satisfaisant, il faudra équilibrer. ***

- Je suis effectivement riche, modérément. Cela vient de mes dépense vraiment faible, j'accumule donc depuis quelques temps.

Si vous le prenez comme un défi ça ne peut être qu'intéressant, avec l'impression que vous êtes sérieuse quand vous en relevez un.


*** Grand sourire. ***

- Du moment que l'édifice est encore debout et propre je serai comblé. Et d'autant plus enchanté si vous me surprenez.

*** Assiette toujours pas fini, miam miam. ***

- Concernant la rémunération, vous avez une idée, un exigence ? ou vous préférez découvrir ma générosité juste avant mon départ ?



Rayon de bonheur.

 
Pentar

Le Julung 14 Jangur 1510 à 17h09

 
Elle n'apprécie pas grand monde, ni grand chose. Mais le bonhomme lui plaît.
Cet air nonchalant, détaché des choses, et un esprit fin, visiblement. C'est rare.
Elle, elle n'est pas très spirituelle, mais elle sait reconnaître un bel esprit.
Ca la change de ses compatriotes.


Ne vous inquiétez pas, ce sera encore debout. Si tout se déroule dans les règles.
Je ne détruis pas par plaisir, ou gratuitement. Je le fais parce que c'est dans l'ordre des choses.
Le temps de votre maison viendra à son heure et je doute que ce soit avec moi, ou grâce à moi.


La chope se vide complètement, en définitive. Pas de sursis.
Elle collecte les derniers morceaux de nourriture dans son assiette vide.
Fait grincer la fourchette entre ses dents. Ca, c'est par plaisir.


Je n'ai pas d'exigence pour la rémunération.
J'ai besoin de fric, voilà tout. Mais si vous avez des idées originales pour me contenter...
Cela me convient aussi. Les cristaux sont comme le reste. Périssables.


Ferme ton clapet, béjaune, de toute façon tu vas bientôt pourrir. Et en silence.

 
Inanna Ereshkigal

Le Julung 14 Jangur 1510 à 17h43

 
***
Qu'il est plaisant de voir une Fataliste sous une facette douce, constructive, à peu de chose prêt.
Occasion aussi précieuse que contrastée avec l'impression première, souvent figée.
Pour une fois sa tentative porte son fruit, à point.
***

- Vos paroles sont sages, plus que me rassurer elles me ravissent.


***
Les yeux clos pour mémoriser l'impression.

Quel dommage cependant que ce soit au milieu d'un tel environnement.

Que veux-tu ? Quoi de mieux qu'une touche de grotesque pour mieux apprécier ton Tableau.

Ho ho. J'apprécie toujours l'humour, mais le grotesque est loin d'être mon préféré.
***

- Hum, ne fréquentant pas trop les créatures j'ai très rarement des cristaux en poches.
Par contre j'ai un couteau lointain, ce cadeau ne m'a pas encore été renvoyé à la figure, donc non pour le moment. J'ai aussi de fort jolies fleurs, mais il serait dommage de vous en débarrasser pour un voyage.
Les morions me paraisse plus adaptés.

Je vais vous confier une clef, vous fermerez derrière vous. Ça me semble plus sûr que de laisser ouvert . . .
Et je vous payerais quand vous me rendrez la clef.
Cela vous convient-il ?




Rayon de bonheur.

 
Pentar

Le Julung 14 Jangur 1510 à 18h05

 
Simple, direct, efficace. Vivre en société n'est peut-être plus si horrible qu'avant.
Ceux qui trouvent les relations entre les gens compliquées ont dû tomber sur les mauvaises personnes.


Cela me convient. Vous partez dans deux semaines ? Je mettrais donc à profit le temps qui m'est imparti.
Donnez moi la clef et l'adresse, je vais y aller de ce pas. J'imagine qu'on s'y croisera.


Elle se lève, sculpturale et dangereuse comme un fauve.
Et tout pareil, attend, scrute et jauge. Elle n'est pas patiente, pourtant.


Ferme ton clapet, béjaune, de toute façon tu vas bientôt pourrir. Et en silence.

 
Inanna Ereshkigal

Le Julung 14 Jangur 1510 à 18h14

 
***
Pas de perte de temps, pourtant quatre heures c'est si vite passée.
Inanna passe la main dans sa tunique, il y a pensé.
Une chute de parchemin, pas moche pour autant, la clef en question sur sa grand paume, ouvert.
Servez-vous.
***

- Voilà.
C'est pas loin de la bibliothèque, vous ne devriez pas avoir trop de mal à trouver.
Bon courage. Je passerez sûrement si cela vous dérange pas.


***
La bouche qui s'étend une dernière fois. Si elle ne met pas du coeur à l'ouvrage elle simule très bien.
Ou alors elle ne supporte plus cette compagnie et sa maitrise de soi est impressionnante.

C'est pas tout, mais y a un plat à finir.
***

- Je règlerais pour vous.



Rayon de bonheur.

 
Pentar

Le Vayang 15 Jangur 1510 à 00h00

 
La dame prend la clef, en regardant attentivement la paume ouverte de l'érudit.
Un rictus vaguement amusé : "si cela ne vous dérange pas". C'est mignon. Drôle et mignon.
Puis un merci en forme de hochement de tête. Elle s'éloigne, traverse la salle et quitte les lieux.
Quelques mots à la tenancière au passage, histoire de dire que finalement, elle peut oublier la chambre.
Plus d'inquiétudes pour celle-ci. Plus tard, peut-être.


Ferme ton clapet, béjaune, de toute façon tu vas bientôt pourrir. Et en silence.

 
Inanna Ereshkigal

Le Vayang 15 Jangur 1510 à 17h55

 
***
Une chose de faite. Plutôt agréable d'embaucher quelqu'une.
La surprise n'est pas minime venant d'une coupeuse. les gallons sont peut-être pour quelque chose après tout.

Une chose à terminer : le repas. Quelques notes sur un carnet: il n'y a pas d'exception au suivit de sa ligne.
C'est une habitude qui ne se perd pas.

Une fois dégrossi il y aurait peut-être l'occasion de poser quelques touches à la bâtisse. Ou peut-être un petit rôle à jouer.

Hum.
Décidément rien de mieux qu'une Liadha.
***




Rayon de bonheur.

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