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Le Sukra 9 Otalir 1510 à 22h19
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Inanna, toujours lui, était rentré depuis peu.
Enfin dans le froid protecteur, dans le cadre.
Il devait donc paraitre, pointer et bien sûr être.
Il était arrivé avec les yeux habituellement clos.
Enfin presque, le vent et les flocons avait effets.
Dans les rides il y avait dissimulée deux larmes.
Trois au plus. Bagages inutiles mais incrustées.
Comme un peu de bleu dans ses Cieux. À lui.
Cachotier, un peu de pudeur, bien étrangère.
On lui a dit pour se cacher, il faut montrer.
Donner quelques cours, longtemps repoussés.
Était une occasion de se remettre dans la bain.
Utile, bien évidemment, comme chaque geste.
Venant de sa part. Ancien et continuité, Défi.
Ôter, facile. Conserver auprès, durant, ardu.
Dans les Miettes, maintenant lieu de son passé,
Il se retrouve, question d'organisation, d'avis.
Heureusement le confort est toujours présent.
Et fidèle, Inanna s'enfonce dans un banc.
Rien ne presse à l'exercice difficile qui vient.
Imposé et disposé. Servir est si agréable.
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Rayon de bonheur. | |
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Le Dhiwara 10 Otalir 1510 à 00h25
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| Passer en quelques secondes de l'abstraction dépourvue de sensation de la mort aux souffrances et stimuli du monde physique est une expérience dont elle aurait aimé noter et étudier les détails. Malheureusement, bien que sortie du pilier en vie et en possession de son matériel d'écriture, son corps était lacéré de profondes blessures qui l'ont presque forcée à ramper jusqu'aux portes de la ville. Les gardes ont agi vite et bien, Lyzan a été appelée à ses côtés et a soigné par la magie les plaies les plus inquiétantes.
En conséquence, moins de vingt-quatre heures après sa résurrection, la voilà assise à une table dans la grande salle des Miettes du Tableau. Seules quelques contusions la font encore souffrir et l'empêchent de se déplacer avec autant de souplesse qu'avant sa mort. Devant elle s'étale une cape taillée dans une étoffe de qualité, dont les reflets indépendants de la lumière des lampes à huile trahissent la nature enchantée. Elle l'examine d'un œil distrait, impatiente que le commanditaire de son travail d'enchantement et supérieur hiérarchique commence son cours de Rabäan.
L'apprentissage des langues est l'une des seules pratiques qui font naître en elle ce qui peut ressembler à de l'excitation. La somme d'information accessible lorsque l'on comprend tout ce qu'il se dit autour de soi... Sans qu'elle s'en rende compte, sa jambe se met à battre au rythme d'une musique qu'elle est la seule à entendre.
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Le Dhiwara 10 Otalir 1510 à 13h02
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Tristement, pas tant de nostalgie.
Pas de râles pour un assoupissement.
Pas de défense dévouée et maladroite.
Mais un désir timide, au moins valorisant.
La Distilleuse est là, la très avide Zynia.
Pour une jolie tunique, pour la délivrer,
Il était bien sûr préparer à échanger.
Payer rubis sur l'ongle à la limite.
Mais accorder autant de son temps.
Très louche ou plutôt mal compris.
Enfin radin il ne voulait pas l'être.
Arnaquer non plus, dommage.
Petite réflexions infructueuse,
Ni saine, clôturée. Le dos levé.
Quelques révisions, organisations.
Mentales, et il pourra enfin commencer.
Droit, presque tendu, il condense toute,
Son attention. Le visage fixe et neutre.
Transmettre, voilà donc un autre legs.
Il doit encore tenir jusqu'au prochain.
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Rayon de bonheur. | |
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Le Dhiwara 10 Otalir 1510 à 16h10
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| *** L'anja karna avait trouvé du temps. Les guérisseuses qu'elle aidée l'avait autorisée à commencer presque aussi tôt qu'elle - la lame était habituée à se lever tôt, et après quelques temps les soigneuses de la ruche avait pu s'assurer qu'il était dans sa nature de peu dormir et que cela serait sans danger pour l'enfant à venir, tant que l'on rester dans certaines limites.
Et comme toujours, elles veillaient à ce que son labeur ne soit pas trop long, aussi, ayant commencée à aider plus tôt, partie-t-elle plus tôt, promettant de rester assise aux miettes pendant les cours. Le karna pouvait décidemment être bien contraignant. Certes il s'agissait la plutôt de précautions probablement inutile, mais une fille était trop précise pour prendre le moindre risque. Aussi, la Gardienne se plia aux consignes.
Elle se rendit sous escorte aux miettes. Il n'y avait plus de Noosphage en ville, les miettes était proche et le quartier de la ruche et des miettes plein de garde. Deux d'entre eux l'accompagnèrent sur les quelques mètres séparant les deux bâtiments avant de reprendre leur faction.
Une fois dans les miettes, Yiu trouva rapidement l'érudit ainsi que ceux qui comme elle assisterait au cours. Ils se tenaient à proximité d'une table, près de l'entrée, loin de recoins où le calme était de mise. Non pas qu'ils soit bruyant, loin de loin, mais un cours de langue demandait de pouvoir parler.
En prenant garde de ne pas gêner le cours, la Gardienne s'approcha, pris une chaise et s'assit près d'Inana qui venait tout juste de commencer. Aussi ne fut-elle pas perdue et pu-t-elle de suite se mettre à appréhender les bases de cette langue. Elle y travailla ainsi pendant plusieurs heures d'affilée, quand vint l'heure pour elle de rejoindre la ruche.
Les soigneuse insister pour ne pas la voir rentrer trop tard, afin qu'elle diant tôt et qu'elle puissent avoir le temps de l'osculter si le besoin s'en senter. Aussi silencieusement et discrétement qu'elle était arrivée, elle se leva, salua de le tête ses soeurs du déclin et s'en retourna à la ruche.
Elle espérait bien pouvoir revenir le lendemain ... ***
Jucticière du Matriarcat
« La justice sans la force est impuissante, la force sans la justice est tyrannique. » (Pascal)
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Le Dhiwara 10 Otalir 1510 à 22h15
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| La salle est calme et bien chauffée, les élèves motivées, le professeur dévoué. Le meilleur environnement possible pour l'apprentissage.
La Voix maîtrise l'art subtil de la pédagogie. Sans faire visiblement d'effort, il dose avec justesse les leçons forcément rébarbatives de grammaire et les exercices plus ludiques de conversation et de mise en contexte culturel. Si l'une d'entre elles semble avoir trop de facilité lors d'une leçon, il ajuste l'effort demandé afin de presser tout ce que son élève peut lui offrir. Elle ressortent de chaque heure de cours épuisées mais rarement frustrées ou découragées.
Carrha se rend compte avec surprise de certaines similarités entre les métiers d'enseignant et de diplomate. Dans chaque cas, la pleine attention de l'interlocuteur est requise. L'hésitation est fatale car elle étouffe votre crédibilité. Le message doit être compris rapidement, complétement et ne doit ni ennuyer ni laisser indifférent. La seule grosse différence étant bien sur qu' a priori, les professeurs comptent sur une moindre réticence de la part de leur auditoire.
Elle secoue légèrement la tête et se concentre de nouveau sur le fil de la leçon.
Hë f'wttrçêmmê Üdtty
...Bien, elle a encore du travail.
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Le Luang 11 Otalir 1510 à 15h24
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| *** Lyhndael venait d'arriver aux Miettes du Tableau à la recherche d'un astrologue lorsqu'elle aperçut le mâle Inanna assis sur un banc, entouré par des soeurs. Lyhndael s'approchait pour le saluer lorsqu'elle se rendit compte qu'il devait s'agir d'un enseignement : Inanna s'adressait lentement aux Liadhas dans une langue étrangère. ***
Sa mère lui avait enseignée qu'il fallait, pour mieux combattre une contrée, connaître sa langue car c'était la porte ouverte vers son esprit : une langue carrée, sans fioriture, aux accents rudes était à redouter car elle augurait de guerriers endurants, à l'âme acérée et trempée comme le fer.
*** Lyhndael s'avançait alors vers l'assemblée pour profiter de l'enseignement lorsqu'elle aperçut Carrha... sa douce et cruelle soeur... celle qu'il fallait pardonner... Lyhndael s'arrêta aussitôt et s'assit dans un recoin de la pièce, l'oreille à l'affut et répétant à voix basse les quelques mots qu'elle entendait. ***
Lyhndael, Maîtresse d'armes du Matriarcat, Louve Rouge
Je leur apporte la mort, et ils m'aimeront pour cela !
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Le Matal 12 Otalir 1510 à 01h54
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| ...Le Terreau, le Luth, le Poinçon, le Limonaire, le Vitrail, le Suaire.
Elle énumère la liste des Horloges de la confrérie dans un Rabaän qu'elle estime au mieux approximatif, impression confirmée par le léger tressaillement de paupière de la Voix.
Alors qu'elle se rassied, elle capte du coin de l’œil l'entrée discrète de Lyhndael. La grand tydale semble se figer un instant puis part à grandes enjambées s'installer si loin que Carrha est persuadée que la moitié du cours doit lui être inaudible à cause de l'écho de la salle.
Lyhndael. La preuve vivante de son incompétence actuelle en matière de diplomatie. À peine arrivée sur le Consensus qu'elle à déjà réussi à s'en faire, sinon une ennemie, du moins une antagoniste. Elle se rend compte qu'elle doit calmer l'hostilité de la Coupeuse de Vie à son égard. Non seulement pour l'intégrité de leur faction, suffisamment minée de l'intérieur par l'instabilité mentale inhérente aux Filles du Déclin et par de nombreuses vendetta personnelles. Mais également comme entraînement. Si elle échoue à obtenir la confiance et le respect de l'une de ses Sœurs, une Poussiéreuse qui partage sa culture, sa langue et son mode de pensée, alors elle ne pourra jamais négocier avec un étranger, encore moins avec un Nemen ou un natif.
La leçon se poursuit. Un texte issu d'un manuel de commerce confraternel.
... la bière de Mjert est le nectar qui permet d'adoucir la brûlure que notre mainmise sur le sel fait ressentir aux non-confrères...
La traduction est laborieuse.
... la bière ... de Mjert est le nectar qui permet... d'adoucir la brûlure que notre mainmise sur le sel fait ressentir aux non-confrères...
Verbeux et prétentieux mais riche en enseignement.
Carrha se prépare. Elle tente d'oublier ce qu'elle à cru comprendre de la situation de la Liadha. Qu'elle ait tué ou non son enfant par négligence n'a pas d'importance. Elle a été pardonnée et blanchie. La répulsion face à l’infanticide doit être tenue en laisse et ne pas transparaître. Elle aura peut-être à discuter un jour avec des monstres qui auront tué nombre de ses Sœurs. Ses sentiments personnels n'ont pas voix au chapitre.
Elle profite d'une pause pour s'approcher et poser un genou à terre face à la Coupeuse de Vie.
Salutations avihia ... Pardonnez-moi. Hajar Sœur. Je tenais à vous présenter mes excuses. Je ne connais rien de votre situation et, dans le cas contraire, n'aurais eu en aucun cas le droit de me substituer à notre justice pour vous condamner à revivre un épisode traumatisant. J'espère que vous saurez pardonner mon faux pas. En guise de bonne foi et si vous le désirez, laissez moi vous aider à progresser en Rabaän. Je ne doute pas que vous soyez capable de vous débrouiller seule mais j'ai quelques facilités et j'aimerais vous en faire profiter.
Puis, sans attendre sa réponse, Carrha retourne auprès de la Voix.
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Le Matal 12 Otalir 1510 à 16h35
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| Lyhndael s'était raidie lorsqu'elle avait vu Carrha se rapprocher d'elle. Ses paroles l'avaient complètement laissée pantoise… figée par la surprise… Sa sœur s'était allée sans attendre… Heureusement car elle était toujours sans voix…
Mais que faire maintenant ?? il lui était impossible de faire comme si de rien était… Le geste de Carrha était trop fort pour être ignoré…
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Lyhndael se lève dans un lent mouvement, étirant ses muscles endormis. Elle fixe Carrha d'un regard d'acier, froid et dur comme la lame. Ses pas sont lents et volontairement sonores. Ils la rapprochent de Carrha sans détour et elle ne s'arrête qu'à un cheveu d'elle, si proche que les corps se sentent, que les parfums se mèlent. Le long corps de Lyhndael la recouvre d'ombre. Elle se penche alors vers elle, comme pour l'enlacer et lui murmure à l'oreille
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Carrha, ma très chère sœur, je te pardonne… mais n'oublie jamais… je ne pardonne qu'une fois...
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Lyhndael s'agenouille alors aux côtés de Carrha, sans la quitter du regard… et enfin lui sourit.
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Lyhndael, Maîtresse d'armes du Matriarcat, Louve Rouge
Je leur apporte la mort, et ils m'aimeront pour cela !
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Le Merakih 13 Otalir 1510 à 11h36
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| La leçon se terminait et il était indéniable que le mïsh Innana Ereshkigal était un pédagogue remarquable. La foule qui s'était rassemblée pour profiter de son enseignement en était la preuve... et plus que tout, même une élève aussi bornée et incapable que Lyhndael avait réellement progressé au point d'être capable de reconnaître et commencer à baragouiner quelques mots.
Bonjour, où sont les toilettes s'il vous plait ? Mouais...La route était ouverte, il restait maintenant à avancer...
*** Lyhndael se releve, fait un profond salut à Innana et déclare à voix haute. ***
Aka's Dhanya Innana Ereshkigal, grâce à ton enseignement, le Matriarcat est devenu un peu plus fort. C'est un pas de plus pour assurer que l'acheminement du Tableau ne se fasse pas les soeurs du Déclin.
*** Lyhndael se retourne ensuite vers Carrha, renouvelle son un profond salut, et lui murmure ***
Aka's Dhanya Liadha Carrha, ton aide fut grande pour profiter pleinement des enseignements de la journée... Je te suis sincèrement redevable et j'espère pouvoir toujours t'appeler ma sœur.
Carrha est la preuve que les choses peuvent changer... envoie-t-elle en pensées à son mou
Belkor dit :Dans ton cas, les choses doivent changer demi-âme. Tu n'as plus le luxe du choix !
Lyhndael, Maîtresse d'armes du Matriarcat, Louve Rouge
Je leur apporte la mort, et ils m'aimeront pour cela !
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Le Merakih 13 Otalir 1510 à 18h00
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| Les mots de Lyhndael la comblent, ce sont ceux qu'elle désirait entendre. Pour la première fois depuis plusieurs mois, elle a enfin l'impression de progresser. Elle incline légèrement le buste devant la Coupeuse de Vie.
Apprendre en votre compagnie a été un plaisir Liadha. Je pense être capable de vous enseigner encore un ou deux concepts en attendant que la Voix revienne. Si elle revient. Mais profitons de notre pause pour l'instant. Si vous avez besoin de moi, je serai... Quelque part dans cette région.
Elle désigne d'un revers de la main l'alcôve de l’Éducation.
Ses pas résonnent sous la haute voûte du bâtiment. L'air sec est parfumé d'un mélange de poussière, de parchemin et de bois verni. Elle pénètre dans l'alcôve puis reste un moment immobile, admirant les éclaboussures orangées peintes sur le sol, les murs et les étagères par les rayons du couchant qui filtrent au travers des hautes fenêtres.
Le volume qu'elle cherche est facile à trouver, c'est le plus épais de la section consacrée à la médecine. Les planches anatomiques décrivent nombre de systèmes internes de diverses espèces animale, chimériques et corrompues de Syfaria.
La reliure de cuir claque sur le pupitre lorsqu'elle ouvre le livre au chapitre qui l’intéresse. Elle ajuste la lumière de la lampe à huile puis, à l'instar de ses Soeurs, elle plonge profondément dans les entrailles des monstres.
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Le Vayang 15 Otalir 1510 à 03h01
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| Elle vient à peine de pénétrer dans le grand hall des Miettes lorsque la Voix bat le rappel de ses troupes. Comme une flopée d'Anja's, les élèves font le cercle autour du tuteur. Certaines d'entre elles sont des tueuses sanguinaires, capables s'ils elle le veulent d'arracher une oreille à un gambol avec les dents. Les voir manier la plume avec application ne cesse de fasciner Carrha.
Elle déroule un parchemin déjà à moitié couvert de son écriture serrée et se remémore brusquement une question qui lui trottait en tête le jour précédent.
Elle lève la main.
Mïsh, le Rabaän que vous nous enseignez est-il le Rabaän réellement parlé par les membres de la Confrérie ou est-ce une langue... "académique"? Plus précisément, ma question est la suivante: en admettant que nous assimilions parfaitement votre enseignement, serions-nous capable de nous fondre dans la masse à Arameth? Nous faire passer pour des confrères? Ou nous faudrait-il acquérir un vocabulaire et des inflexions particulières et spécifiques?
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Le Vayang 15 Otalir 1510 à 16h59
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Une question quand même, bien.
Une occasion de varier le rythme.
Ou de faire pencher les pensées.
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Humm, je pense qu'il faut plus qu'une langue pour se fondre dans la masse d'une faction. Même si elle est indication de la manière de penser, de l'état d'esprit, ça reste des indications. Nécessaires mais pas suffisant.
Ce que j'enseigne est un rabaän évidemment académique. Et je reste simple, entrant juste dans les détails et subtilités inévitables, en laissant plus d'une coté.
Il faut savoir aussi qu'Arameth n'a pas autant de préoccupation pour l'éducation que nous, il n'est donc à pas prévoir qu'il sera très similaire aux habitants des faubourgs. Seul quartier ouvert, au dernières nouvelles. Mais bon j'ai pour ma part toujours été compris.
Pour passer pour une véritable confrère m'est avis qu'il faut toujours de la mauvaise intention en tête, un couteau à porté de main et . . .
D'ailleurs j'ai un couteau d'Arameth, dois pas être loin.
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La Voix se lance dans un profonde recherche.
Qui se couronne finalement par une petite maladresse.
Le fameux couteau se plante devant la plus proche.
À peine gêné, Inanna le range rapidement.
C'est bon ? le personnel n'a rien vu ?
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Pour le vocabulaire, c'est à apprendre, à assimiler. Quoi de plus ?
Rayon de bonheur. | |
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Le Vayang 15 Otalir 1510 à 22h45
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| *** Une élève de plus fait son apparition auprès des quelques symbiosés présents.
Moitié tristesse, moitié colère.
En voyant ce cher professeur, large sourire.
Rien de factice. ***
Inanna ! C'est un plaisir de te revoir.
Ça... ça faisait longtemps.
*** Je n'ajoute rien, lui laissant le temps de s'habituer à mes cheveux - nettement plus courts qu'à notre dernière rencontre ! - savamment décorés par différents bijoux mettant en valeur leur charme.
Je détaille chaque personne d'un regard, saluant d'un sourire triste, et demande d'une voix hésitante : ***
Je... ne dérange pas, j'espère ?
*** Je ferme les yeux, respire profondément, et reprends contenance.
Je me concentre sur le cours.
J'ai beaucoup à apprendre, c'est sûr.
Rester focalisée là dessus.
Merci Inanna... ***
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Celle-qui-enseigna-l'art-du-cache-cache-à-des-Neldas
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