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La voie Kastem, dite la ronde

Un luthier s'exerce et négocie

Quand un pédagogue se retrousse les manches
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Sujet lancé par Bakean
Le 08-01-1509 à 21h38
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Posté par Bakean,
Le 09-01-1509 à 19h49
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Bakean

Le Julung 8 Jangur 1509 à 21h38

 
**** Zarlif avait toujours été une ville bruyante, les allées et venues de voyageurs négociant aux marchés, ou buvant à la taverne rajoutaient toujours au charme qui avait frappé Bakean à sa première entrée dans la ville.

Il avait grandi à Syrinth mais était devenu ce qu'il était à Zarlif, c'est à dire pédagogue. Il avait pris des cours de pédagogie, et des cours de langues dernièrement dans cette ville. Il était maintenant prêt, il le sentait à devenir un maitre des arcane de renommée mondiale.

C'est dans cette voie qu'après avoir appris les langues les plus parlés sur Syfaria, il avait étudier sérieusement, la magie d'entropie, magie mystérieuse, et envoutante tout autant que dangereuse et effrayante.

Mais il ne se sentait pas encore prêt à se destiner à la magie pour le moment, c'est pour cela que le pédagogue un peu maladroit et surtout très tête en l'air avait rangé ses livres de cours, rangé ses livre de sort et sorti ses outils.

Eh oui, fini le mal de tête après une journée à essayer de maitriser un sort sans succès visible. Fini l'effet d'être vidé de toute energie magique et de sacrifier de sa santé pour en retrouver. Fini les maux de gorge à force de crier pour se faire entendre de ses élèves, à côté du brouhaha ambiant. Fini la vue qui baisse à force de dechiffrer des textes écrit dans une autre langue, ou simplement de tenter de relire les notes pris durant les cours qu'on lui donnait.

Bakean avait décidé de se liberer l'esprit dans un travail ne requerant pas de reflexion poussée. Son passe-temps préféré, la lutherie.

Il a donc enfiler de nouveau son habit de luthier, négocier d'arrache-pied avec les marchands, discuter longement avec le luthier de la corporation des artisan, et dépenser ce qui lui restait de Hyalin afin de créer de nouveau instrument.

S'il n'avait eu vent de la Bande à barril depuis un certain temps, il se sentait toujours le devoir de leur présenter de nouvels instruments, plus performants, plus sympathique... et surtout qui permettrait dans tirer le meilleur son.

Fort de ses nouvelles recettes toujours plus poussées, il travaillait à la sueur de son front depuis deux jours pour créer des objets toujours plus manufacturés.

Du brouhaha de Zarlif on pouvait entendre clairement son rabot et son ciseaux à bois qui travaillait le bois de l'instrument à venir, en plus de son sifflement tout simplement agaçant....


Baak dit :

Qu'est ce qu'on s'ennuie, tu as l'intention de faire ça pendant combien de temps ? parce que j'en peux plus de rester dans cette ville, elle est ou l'aventure dans tout ça ?



Talala Lala lalala lala Talala lala lalalalala.
Je dois faire quoi déjà, à oui, faire un embranchement de la face B avec la face A, que je dois avoir en triple exemplaire. Ou sont les chevilles B38.
Talala talala talala lala talala lala


Baak dit :

arrête de m'ignorer, et surtout ARRETE DE SIFFLER.


Bakean avait tellement l'habitude des remarques déplaisante de son mou, que concentrer comme il l'était il n'y prêta qu'un oreille distraite et peu locace. Celui-ci fini d'ailleurs par s'en aller. si un mou pouvait devenir rouge de colère, le sien le devint.

Bakean : Spécialiste de la découpe de chevaux en quatre... De cheveux aussi.

 
Bakean

Le Vayang 9 Jangur 1509 à 19h49

 
**** Baak, le mou de Bakean était revenu, et semblait très heureux il sautillait en l'air comme une balle rebondissante s'exclamant en conseils et moquerie à l'attention de son compagnon.

Bakean de son côté reflechissait, il n'avait pas abandonné son atelier, mais sa décision de partir pour Arameth occupait maintenant ses pensées et il faisait moins attention à son travail. Un doigt ayant failli passer sous le rabot de part son inatention.

Une fête se déroulerait bientôt à Arameth, et au vu du tarif d'un transport nemen, Bakean avait choisit de partir à pied. Il avait forcement des doutes sur le bien-fondé de sa décision, notamment à cause du résultat de ses deux dernières ballades.

Aussi, demandait-il son Lannaë, des potions de soins, prenait des nouvelles de ses probables compagnons de voyages afin de définir un jour de départ et la longueur de la traversée. ****


Baak dit :

Arrête de t'enerver, Nelda, on va faire une longue marches sympathique pour prendre l'air, et puis on va faire la fête et avec un peu de chance, tu arriveras à vendre l'un de tes objets ennuyeux et tu sera content parce que tu gagneras des pierres. chacun y trouve son compte.



Si j'obtiens assez de pierres, crois moi que le retour on le fera en transport nemen j'ai pas envie de tout perdre parce qu'une mandragora m'a encore prise au piège.



Bakean : Spécialiste de la découpe de chevaux en quatre... De cheveux aussi.

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