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La porte cirée

Capharnaüm

Pour la fête des fous, RP ouvert
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Sujet lancé par Antiorn
Le 26-10-1509 à 16h57
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Posté par Luisandre Kharylïern,
Le 22-11-1509 à 10h58
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Antiorn

Le Luang 9 Nohanur 1509 à 15h46

 
*** Antiorn, lui même la tête dans les brumes du vin parsemées d'étoiles, se remémore les nombreuses fois où il a emprunté les cieux au savoir Nemen. S'adressant à Rialda à son tour, il étalla son émerveillement au grand jour. ***


Ah ! Les nefs volantes de ces satanés tatoués célestes ! Fendre un nuage en deux, s'approcher des étoiles jusqu'a les apercevoir en dessous du navire ! Flotter en silence dans la nuit jusqu'à ne plus sentir le pont sous ses pieds. Ouvrir les bras et se laisser basculer vers l'avant et sentir le vent nous soutenir ! Appercevoir dans la nuit les lueurs d'un village...

Merveille ! Ne dîtes pass que le voyage fut sans événement très chère. Chaque pas que l'on porte devant soi sans contrainte est pure magie lorsqu'on prend le temps de le ressentir !


*** Le nelda masqué laissa planer un silence puis passa du coq à l'âne. ***


J'aime bien votre Ordre. Je m'y sens bien accueilli. Jypska est dailleurs la seule ville hormis Arameth où je me sens chez moi. Je devrai d'ailleurs bientôt m'y rendre pour visiter ma nièce Uranie...



N'est impossible que ce à quoi on se défend de rêver...

 
Liam

Le Luang 9 Nohanur 1509 à 18h51

 

Liam hoche la tête en connaisseur lorsque les convives font part de leurs expériences aériennes, c'est quelque chose qu'il affectionne particulièrement, mais pas forcément pour les mêmes raisons. Le moush'tin n'en oublie pas pour autant de saluer les nouveaux venus.

Il répond ensuite à Antiorn :


- Uranie ? La fille de Thécléote ? Vous êtes son frère ?
Moi, je viens de Korsyne, si vous passez par là, un jour...


De son côté, Miu cligne ses grands yeux bleus, l'air compréhensif.

Miu dit :
- Si seulement ça fonctionnait vraiment...






Le moush'tin est le favori d'Asha car le moush'tin sait qu'il ne sait rien. proverbe Haut-Rêvant

Liam, Démystifieur de l'Ordre des Hauts Rêvants
Linguiste et Professeur au service d'Asha

 
Antiorn

Le Luang 9 Nohanur 1509 à 19h28

 
*** L'attention happée par les paroles du petit Liam, le masque se tourna vers le moush'tin. ***


Thécléote était... est... mon cousin. Nous avons veillé notre grand-mère Laine ensemble à Jypska. Uranie m'appelle tonton. Désolé de vous avoir induit en erreur. Elle n'est pas réellement ma nièce. Mais tout comme. Je n'ai pas encore eu l'occasion de la voir depuis que son père a disparu au-delà de notre réalité avec Flymer...
***
Soupir. ***


Pour ce qui est de Korsyne, je compte bien m'y rendre suite à cette fête. On m'y attend.

Molor dit :
PSSSST ! Miu ! C'est pas déffendu de rêver hein ? À ce qu'il paraît, on vit dans une époque de grands changements. Peut-être que nos bestiaux pourraient se changer en minéraux ou autre trucs moins... encombrants pour l'esprit...


N'est impossible que ce à quoi on se défend de rêver...

 
Rialda

Le Matal 10 Nohanur 1509 à 13h30

 
*** Rialda écouta très attentivement les paroles d’Antiorn. Elle était très sensible à ses dires sur les voles dans les nuages… Elle les ressentait au plus profond d’elle-même et semblait s’evoler à chacune d’eux. Elle sourit et on pouvait voir luire dans ces yeux de l’envie et de la liberté lors de cette description…
Elle s’adressa à lui ne pouvant que boire ses paroles : ***


Vous avez raison, profiter de se voyage et prendre à plein poumon l’air si pure de l’altitude transcende l’âme. Chaque bouffée est comme une douce plume venant se poser sur vous, comme une poésie que l’on susurre à votre oreille. Vous êtes comme épanouie, livré à vous-même. Chaque minute qui passe vous transporte dans un au-delà, une existence de rêves et de joies…


D’ailleurs, les nuages eux-mêmes participent de bon cœur à cette merveilleuse aventure. Ils ne cessent de s’agiter, de palpiter à vos moindres désirs. Ils cherchent à combler les vides du ciel et vous offres une vue sur vous.

Mais le plus merveilleux est bien la sensation de liberté et d’envol. Votre âme fait corps avec votre cœur, laissant défaillir l’un dans les bras de l’autre. Tous les sens sont en éveilles, bercés par le ballottement des cieux, par l’apparence féérique de la volupté. Chaque odeur, chaque crissement vous pénètre et vous donne des ailes…


*** Puis se retournant vers lui, les yeux pleins de douceur et de mystères, elle lui sourit et ajouta. ***



Je suis heureuse que l’Ordre vous plaise.

Jypska est une très belle ville, on y sent de multiples odeurs et on y vit des moments merveilleux, mais Korsyne est bien plus troublantes…


*** Son regard doux laissait paraître comme un feu qui brulait, tant tôt ardent, tant tôt solitaire. Chaque mot pesait et choisit reflétait sa pensée. Mais ses paroles étaient limpides et sa voix douce enrobait le tout, laissant planer sur la description une sensation d’être au cœur du récit. ***


Son âme est un feu ardent qui vous transperce de part en part, vous manipule, vous transporte bien au-delà de votre propre âme.

Chaque pas est un pas vers vous, une conscience de votre existence. Nul mensonge ne semble possible, car tous vous rappelle, vous oblige à peser vos dires, vos paroles.

Dans un nuage, elle peut changer de visage, changer votre vie. Chaque grain de sable est un songe, une idée, emportée, balayée par une autre vous conduisant irrémédiablement à vous… Ainsi est Korsyne, notre belle Korsyne.

Dure et solitaire, vrai et brûlante, elle transperce tous les cuirs et dénude les âmes…


*** Puis comme dans un retour à l'instant présent elle souria ***



Je viens moi-même de Korsyne, nous serions heureux de vous y voir.
Mais dites-moi, qui donc vous attend là-bas ?



Chaque voyage est un pas vers la connaissance... Et la connaissance est un pas vers la conscience.

 
Antiorn

Le Matal 10 Nohanur 1509 à 17h26

 
*** L'artiste sourit derrière le masque de mort. Ses pensées mélancoliques quittèrent Thécléote puis son regard se posa sur celui de Rialda. ***


Korsyne vit plus dans le Rêve que Jypska... elle possède donc un caractère insaisissable pour l'étranger que je suis. Fuyante, elle me rappelle Arameth... d'une certaine manière. Mais son rêve est celui de l'Ordre et, donc, impénétrable pour les non-Rêvants. Mais je compte bien tenter de percer son mystère...

*** Antiorn marqua une pause, hésitant un bref instant. ***


Qui m'y attend ? Eh bien... ce brave Ligerio affirme m'avoir trouvé un nelda disposé à suivre mes premiers pas dans le second monde. Oh, certes, j'ai déjà goûté aux plaisirs de la carnine en compagnie de Rêveurs, Varkos pour n'en citer qu'un. Mais jamais mon esprit ne s'est rendu au-delà des limites de notre monde. Je compte cependant rendre grâce aux traditions de mes aïeux.

Le Rêve... comme cela doit être gratifiant d'avoir accès aux coulisse de l'illusion !


N'est impossible que ce à quoi on se défend de rêver...

 
Liam

Le Matal 10 Nohanur 1509 à 18h03

 

Liam écoute avec attention l'échange entre Rialda et Antiorn. Il est intéressé. A vrai dire, il n'avait jamais appréhendé Korsyne de cette façon, jamais il ne s'était demandé comment un étranger pouvait percevoir sa cité. En fait, il ne l'avait jamais appréhendée du tout. Elle était là depuis sa naissance, imperturbable, et jamais il ne s'était posé de questions à son sujet.
Il s'agit d'une part de Mensonge pourtant...
Malgré les propos plutôt flatteurs que les deux autres neldas tiennent au sujet de l'Etoile, sa constatation le fait frissonner.

Perturbé par l'évidence qui s'est imposée à lui comme quoi s'attacher à Korsyne, c'est s'attacher au Mensonge, Liam préfère saisir l'occasion de changer de sujet grâce aux dernières paroles d'Antiorn :


- Ca ne serait pas Sirilius dont Ligerio vous a parlé ?

Miu fait quelques bonds sur place avant de répondre à Molor :

Miu dit :
- Moins encombrants, certes. Mais moins amusants aussi... Je crois que ma préférence va à la distraction, même si parfois je ne les comprends pas...


Le moush'tin est le favori d'Asha car le moush'tin sait qu'il ne sait rien. proverbe Haut-Rêvant

Liam, Démystifieur de l'Ordre des Hauts Rêvants
Linguiste et Professeur au service d'Asha

 
Antiorn

Le Matal 10 Nohanur 1509 à 18h15

 
*** Le nelda masqué dodelinait de la tête entre Rialda et Liam, heureux d'avoir délaissé le sujet pénible de son cousin disparu dans le néant. Aujourd'hui était jour de Folie et d'exhutoir. Alors, exhulter, c'est ce qu'il ferait. Se positionnant confortablement les pieds sur la table et balançant sur son siège, il fit signe au tenancier d'apporter un cruchon (signe caractérisé par un point fermé devant le torse et un bras plié où le coude monde et descend dans l'effort vain de verser de la bibine d'un cruchon de terre cuite purement feint). ***


Ligerio ne m'a pas mentionné de nom encore, mais le simple fait qu'il ait trouvé me réjouit. Sirilius dîtes-vous ? Je tâcherai de retenir ce nom.

Molor dit :
Moué.. bon je te l'accorde... mais n'empêche que des fois, je prendrais bien des vacances sans mon poilu !


*** Sur ce haut fait d'esprit de Molor, le cruchon arriva à table. ***


N'est impossible que ce à quoi on se défend de rêver...

 
Rialda

Le Merakih 11 Nohanur 1509 à 09h41

 
*** Rialda prit le temps de finir son verre et se re-servit de nouveau. Elle commençait à subir grandement les effets de cette boisson. Heureusement pour le moment elle arrivait encore à se tenir, mais cela ne durerait pas si elle continuait à boire ainsi et elle le savait, elle le sentait.
Elle regarda alors Antiorn ***


Oui, Ligerio a bien fait de vous aider dans cette quête, et le rêve est un aboutissement pour nous les rêvants. Et aussi pour les autres Neldas qui ne font pas partie de l'Ordre car la découverte du second monde est une ouverture à jamais de votre esprit!

*** Puis souriant avec un sourire charmeur à son intention ***
.

Je pense moi-même, quand mon retour à Korsyne sera possible, essayer d'arriver au second monde....

*** Puis le regardant en rigolant ***


Mais dites-moi qu'avez vous commandé par ces gestes?

Chaque voyage est un pas vers la connaissance... Et la connaissance est un pas vers la conscience.

 
Antiorn

Le Merakih 11 Nohanur 1509 à 17h50

 
*** Théatralement et toujours en les pieds sur la table et l'appui de son arrière train sur deux pattes, celui qu'on qualifiait d'oiseau mort répondit. ***


Ceci , chère dame, (Antiorn répète le geste) est le signal que l'on envoie à tout tenancier de débit d'alcool se respectant pour commander un cruchon de bière de mjert. N'allez pas imaginer autre chose et ainsi ternir ma réputation de gallant homme ! La preuve:

L'artiste présente le cruchon solonellement d'une main tendue.

Le dit cruchon m'est venu ! Je vous offre un verre ?

N'est impossible que ce à quoi on se défend de rêver...

 
Inanna Ereshkigal

Le Merakih 11 Nohanur 1509 à 19h45

 
***
Après une habituelle longue préparation, Inanna se mêla à la foule.
À défaut de bal masqué, il y aurait une fête.

Sous de nombreuses couches de vêtements il avançait sans crainte.
Sa peau était à l'abri.

On ne lui avait pas indiqué, lui n'avait pas chercher, de programme.
Donc sans savoir où aller il suivait. Un groupe, une personne, d'autre.
Au hasard ou à la tête, à la couleur, la forme ou au port.
Se prêtant au jeu pour mieux saisir.
Détailler, mesurer, noter.
Il y avait de la matière.

Et l'endroit ou l'événement lui plairait peut-être -un temps. Qui sait ?

***




Rayon de bonheur.

 
Rialda

Le Merakih 11 Nohanur 1509 à 20h14

 
*** Les musiciens qui s'étaient arrêtés de jouer depuis un moment probablement pour se joindre à la fête, commençaient à s'agiter. Ils reprenaient leurs instruments, cherchaient des chaises qui avaient étaient déplacées... On pouvait les voir se mettre en place, rigolant, mimant des bêtises.. D'ailleurs certains d'entre eux n'étaient pas très frais surement un bon taux d'alcool dans leur organisme.
L'un d'entre eux manqua même de tomber et d'enfoncer ces dents dans le sol, ce qui aurait anéantie les joies d'avoir de la musique.

Rialda tendit alors son verre à Antiorn pour être resservie, mais avant qu'il n'ait eu le temps de le faire, les musiciens qui avaient fini de se mettre en place commencèrent à jouer un air très entrainant. Cela raisonnait dans sa tête et elle se mit a vouloir danser. Les gens autours aussi dansaient pas tous mais beaucoup, faisant des farandoles qui tournaient et ne s'arrêtaient pas.

Entrainer par le rythme, Rialda déposa son verre avant qu'Antiorn n'est le temps de servir. Elle se leva, tout en regardant Antiorn dans les yeux. D'un pas décidé et avec un sourire très avenant, elle s'approcha de lui lui attrapa le patte et l'entraina avec elle en direction d'une farandole.

Son visage était illuminé, comme une étoile. Elle brillait de milles feux et ses yeux rieurs montraient la joie et l'amusement.
Puis s'adressant avec enthousiasme à Antiron, mais toujours avec une voie très douce. ***


Jamais je n'aurais pensé d'autre chose de votre personne. Mais un galant nelda ne peut alors refuser de danser avec moi! D'ailleurs si cela vous convient et si notre souffle reste vaillant, accepteriez vous ensuite de me parler de vous et de la confrérie tout en me faisant visiter la ville?


*** Souriante, sa patte toujours dans celle d'Antiorn son sourire illuminait son visage... ***


Chaque voyage est un pas vers la connaissance... Et la connaissance est un pas vers la conscience.

 
Antiorn

Le Merakih 11 Nohanur 1509 à 22h49

 
*** Antiorn posa le bec de la cruche qui lui était restée entre les mains à la bouche de son masque et s'offrit une bonne rasade de courrage avant de le balancer sans regarder où. La musique le galvanisait. La Folie le gagnait à nouveau. Mélodies des sens. Rythmes à fleur de peau. Aujourd'hui il n'était plus Antiorn. Il était son alter-ego. Caché derrière le masque de mort, il était ici pour revivre. Renaître de ses cendres après sa disparition. S'offrir un retour à la vie.

S'inclinant devant l'assemblée d'une génuflexion exagérée, il se retourne et la poigne de sa patte se rafermint sur celle de Rialda. ***


Chère Rêvante, je ne saurais vous dire grand chose de Zarlif. Mais je suis un nelda gallant et mon souffle est vaillant tant que la Folie me porte !

*** Sur ce, 1,2,3 en cadence... ***


N'est impossible que ce à quoi on se défend de rêver...

 
Achara Edaregord

Le Julung 12 Nohanur 1509 à 01h03

 
Un spectateur distrait pourrait croire qu’elle n’a pas écouté la conversation qui s'est tenue jusque là, toute occupée qu’elle est à détailler la folle foule en chantonnant doucement d’inintelligibles paroles en charabiole…
En réalité, elle ne manque pas une miette du spectacle, allant jusqu’à ramasser celles égarées sous la table.

Ceci pour deux raisons.

La première est professionnelle.
En quelques échanges la discussion s’est faite beaucoup plus sérieuse, évoquant tour à tour la situation familiale de son Artiste, la ville de Korsyne et les personnes à contacter sur place. La Chambellan de l’Horloge du Luth trie donc les informations qui lui parviennent peu à peu, délaissant quelques instants la folie du moment pour mettre à jour ces nouveaux renseignements.

La seconde est personnelle.
Et ne vous regarde donc pas. Non, non, non.
La seule chose que l’on peut en dire c’est que ce sentiment est nouveau pour elle. Elle s’interroge donc : mais qu’exprime ce léger tiraillement qui la titille ainsi ? Et l’observe avec curiosité : l’Agacement tient ses positions, bien en place, apparemment insensible à la Raison (jusque là rien d’anormal dans ce contexte de folie). Il a même tendance à s’accroître au fur et à mesure que le temps passe… C’est finalement quand les deux neldas quittent la table pour aller danser qu’elle met le doigt dessus. Et fronce les sourcils. Ce qui en réalité s’effectue à l’inverse : le froncement de sourcils, puis le doigt de dessus.

Elle se détourne brusquement.
Il est rare qu’elle se trouve à ce point troublée. Rare, et donc dérangeant. Dérangeant parce que la Consœur qu’elle est ne supporte pas perdre le contrôle d’elle-même en quelque situation que ce soit. Un reste évident de son éducation nelda et des avertissements répétés d’Urek qui l’a toujours mise en garde contre son potentiel bestial… Dans le cas présent on en est encore très loin, mais le fait est là : elle s’est laissée surprendre.

L’agacement est maintenant confortablement installé, maintenant dirigé essentiellement contre elle-même. Le temps se suspend tandis qu’elle prend la mesure des différents sentiments qui cohabitent en elle… pour arriver à la seule conclusion possible : c’est le moment d’embrasser la Folie, la fête est loin d’être finie.

Apparaissent alors trois boules de verres colorés entre ses mains. Elle ne semble pas même se rendre compte du mouvement qu’elle insuffle peu à peu aux balles, leur danse se complexifiant à mesure que leur nombre augmente. C’est finalement presque distraitement qu’elle les jette en l’air avant qu’elles ne retombent doucement, bulles brillantes et scintillantes…

C’est le regard pétillant, auquel il ne subsiste aucune trace de son précédent trouble, qu’elle s’adresse à Liam.

Dites-moi donc, fol esprit, ce que vous avez pensé de votre visite au cœur d’Amody ?



Voudriez-vous me dire quel chemin je dois prendre pour m’en aller d’ici ?
- Cela dépend de l’endroit où tu veux aller, répondit le chat.
- Peu importe l’endroit… dit Alice.
- Dans ce cas peu importe la route que tu prendras.

 
Bakean

Le Julung 12 Nohanur 1509 à 05h38

 
***
Dans son absolu alcoolisation, Bakean avait oublié à prêter attention.
n'avais pas entendu du coup, les réponses des Neldames,
ne les avait pas vu reprendre leurs conversations. Il avait au contraire détaillé le fond d'un verre de vin, se demandant certainement pourquoi le liquide renaissait dans la surface transparente.

L'on dit que l'alcool réduit la vision périphérique, mais pourtant c'est dans le coin de son oeil gauche que Bakean observa une figure familière, lui qui était entouré de Nelda qui discutait de on ne sait quoi, le tout en tydale ou Nelda, ou Rabaän il ne se souvenait plus, il se déplaça rapidement et attrapa, un tydale qui passait par la par les épaules en criant.
***



Hajar, Professeur Inanna
Alors, comment ça va ?
La fête est-elle à votre gout
venez avec nous amusez vous.

***
Il voulu présenter ceux qu'il avait autour de lui, mais se rendant compte de l'ironie de la situation puisque lui-même ne s'était présenté et qu'il ne se souvenait pas qui s'était présenté, il dis simplement.
***


Om'shir à tous étrangers,
Bakean archiviste pour vous servir,
Je vous présente Innana...erkgleojzzrzri quelque chose.
c'est un professeur comme moi, on est de la même trempe
sauf qu'il a la réputation d'être rabat-joie.

***
Bakean avait eu nettement plus de succès avec la diplomatie lors du Banquet du nouveau cycle d'Arameth, autant dire que légèrement éméché à une fête où il sait que tout est permis, il se permet tout. Il avait donc momentanement coupé les discussions, en sachant parfaitement qu'elle reprendrait d'ici un moment, quand le poivrot du coup fait un commentaire, on l'écoute et on l'ignore.
***


Bakean : Spécialiste de la découpe de chevaux en quatre... De cheveux aussi.

 
Cydiss Ke Okabries

Le Julung 12 Nohanur 1509 à 09h43

 
Cydiss voit le facteur nelda s'approcher de l'orateuse tidale.
Non décidément rien de celà ne l'interesse.

Ou sont les males tidales ? Qui attirent tant de passions inavouées chez ses soeurs ....


 
Inanna Ereshkigal

Le Julung 12 Nohanur 1509 à 23h16

 
***
Voilà que sorti une connaissance. Le nelda invitant.
L'OrateuRe devait lui rendre son salut.
S'abaisser à sa mesquinerie ? quand même pas.

***

Hajar Professeur Bakean.
Quel bel automne que voilà.
Votre pelage se fane.
La fête ne me déplait pas.
Mes attentes était toutefois,
Bien plus spectaculaire.
Avec ces beaux minois,
Des manèges en fers,
Un plan, un composition
Me semblait de rigueur.
Sans compter fanions,
Et grandes fleurs.


***

***Il n'avait fait aucun progrès dans son tYdale, un sourire le traversa. ***





Rayon de bonheur.

 
Rialda

Le Julung 12 Nohanur 1509 à 23h43

 
*** Rialda lui sourit heureuse dès qu'elle sentie la patte d'Antiorn se refermer sur la sienne. La chaleur qui s'en dégagée était agréable, et sa force ne pouvait être ignorée. Puis lui souriant de manière très appétissante et avenante, elle l'entraina en cadence. Laissant leur corps tourner sur le rythme de la musique endiablée. La joie de vivre se dégagée de chaque ondulation du corps de Rialda. Son sourire était éclatant, et ses yeux pétillants.
Serrant toujours la main d'Antiorn, et la musique changeant elle l'entraina et se retrouva à l'opposé d'où ils était partie et en face l'un de l'autre...

Le souffle tambourinant dans sa poitrine, qui se soulever lentement, mettant en avant ces atouts, elle resta à le fixer dans les yeux, et à lui sourire.

L'alcool faisait encore effet et sa tête continuait de tourner mais rien de désagréable. Puis le regardant de nouveau droit dans les yeux, dans un élan, elle souleva son masque laissant toujours aux autre le visage de celui-ci caché mais pas elle, même si elle ne prit pas vraiment le temps de regarder et elle lui déposa un baiser sur les lèvres. ***


Chaque voyage est un pas vers la connaissance... Et la connaissance est un pas vers la conscience.

 
Antiorn

Le Vayang 13 Nohanur 1509 à 01h15

 
***
Non... elle n'osera tout de même pas !
Si ? Eh bien ! On aura tout vu ! Eh ben sapristi, jamais j'aurais cru...
Une Rêvante pourtant ! J'ai pas la berlue au moins ?

Pince-pince...

Ben non...
Rêve pas
***


*** Ne sachant que dire ou que faire de cette douceur, le confrère rabaisse son masque. La belle est belle, ça, il n'y a pas à dire. Belle et douce. Mais, même caché derrière un constume, même en ce jour de Folie, ce n'est pas aujourd'hui qu'il va céder au côté primal de sa race. Pas feutrés, patience, raffinement, patience, confiance, patience... Se faire embrasser après quelques mots échangés... mais cette Rialda ouvre grand la porte à la bête ! Il s'attendait à autre chose d'une membre de l'Ordre... Ce qui avait débuté comme une danse innocente devenait un terrain miné.

Immobile depuis un certain temps, Antiorn reprend conscience de son environnment.

Ne pas gâcher la fête. Ne pas gâcher le moment. Ne pas céder non plus. Un instant l'artiste tremble mais se ressaisit rapidement. La raison l'emporte. La Folie, un instant, se fait terrasser.

Antiorn salue sa partenaire après la danse. ***


Ce que vous me demandez par ce baiser,
Je ne peux vous l'accorder
Vous êtes nelda,
Tout comme moi

Et donc connaissez les dangers.


*** Il n'a pas tout dit. Il ne peut s'y résoudre. Ce qu'il réalise en ce moment, c'est que sa vie est devenue beaucoup plus compliquée qu'elle ne l'était avant.

Un coup d'oeil vers la table. Son regard revient vers Rialda. ***




N'est impossible que ce à quoi on se défend de rêver...

 
Bakean

Le Vayang 13 Nohanur 1509 à 19h32

 
***
A la fin du poème aux saveurs aigre-douces d'Inanna, le corps de Bakean eut un léger spasme concentré sur le bras qui lançait des sorts. Curieux.
Immole-le, Immole-le, lâche. Résonnait encore dans la tête du Troubadour. Celui-ci n'éprouvait que crainte et surprise, et pour toute réaction ne fit que retenir le bras et se plonger dans le subconscient. Point de vue extérieur le visage semblait de marbre. Pourtant une discussion était lancée au milieu de la Bibliothèque de l'esprit du Nelda.
La discussion était simple, l'Entropiste hurlait des menaces et insultait les parties, le troubadour insousciant par nature, ne comprenait pas pourquoi tout le monde s'enervait, et l'Archiviste parlait.
A priori, En cas de conflit, chaque partie avait son moyen de réagir, si c'était un malentendu, L'Archiviste usait de Diplomatie, le Troubadour lui ne prenait gare aux conflits et ne se rendait pas compte des possibles insultes déguisées. Maintenant, l'Entropiste avait une manière plus pragmatique de résoudre tout problème, tout brûler aux feux entropiques.

Les pensées vont nettement plus vite que les mots heureusement, alors il ne s'écoula que quelques secondes pour que le Troubadour reprenne sa place, mais en ces quelques secondes, un débat de plusieurs heures s'était déroulé, où il fallu calmer l'entropiste. Le troubadour repris donc à l'adresse du Tydale
***


Un plan ? une composition ?
de rigueur ? que nenni !
Le chaos est notre intention
Organisation est Ennui.

La Folie ne se contrôle pas
Cher ami, on est comme ça.
Fanions ou fleurs sont là
Or, Ambiance ce n'est pas.

Les Apôtres t'expliqueront
Les grises te montreront
Les tavernier te saouleront
nous sommes le clous de l'évènement

Riemto, je te dois bien ça
Regardes autour de toi
Non, pas le couple de Nelda
Laisse les à leurs ébats

Observe l'harmonie, apprécie notre tableau
Différencie-tu un surveilleur d'un hobereau
La Shaïm pourrait être là, tu ne la reconnaitrait pas
Car aujourd'hui, nous ne sommes qu'un, voilà

Aujourd'hui, Toute hiérarchie est détruite.
Aujourd'hui, le forgeron séduira l'Archonte
Aujourd'hui, le sot dormira dans une suite
Aujourd'hui, l'harmonie remplira la tente.

Comment résister à l'engouement,
D'une nation prête au délabrement
D'un peuple en proie à l'omission
accueillant étrangers d'une bénédiction.

Une fête où un peuple n'a besoin de rien
pour s'amuser, juste une harmonie, Tiens
Regarde, la Folie a déjà gagné les étrangers
Une Rêvante et un confrère sont en train de fêter


Bakean : Spécialiste de la découpe de chevaux en quatre... De cheveux aussi.

 
Rialda

Le Vayang 13 Nohanur 1509 à 21h38

 
*** Rialda lui sourit. Et oui elle est membre de l'Ordre, mais elle ne va pas attendre 100 ans pour être heureuse. La solitude elle ne supporte pas, et il lui plaît, elle le sens mais elle ne comptait pas se donner... Jamais de la vie, se serait une insulte.
Lui souriant de manière avenante, elle lui saisi la patte, et en riant doucement. ***



Ne vous méprenez pas sur moi... Je ne trahirai jamais l'Ordre et je respecte ses principes plus que ma propre vie... Je...


*** Puis le fixant dans les yeux, elle ne savait pas comment lui dire qu'elle était attirée par lui comme un aimant. N'était ce qu'une pulsion ou bien plus. Il était séduisant. Coeur battant son regard fourmillait de désir, elle ne cessait de le fixer intensément. Son visage changea, il devint rayonnant mais ces yeux trahissaient toujours cette envie.
Elle décida de l'entrainer, une nouvelle fois avec elle mais cette fois seulement pour dicuter. ***


Venez, je vous promets nos paroles ne seront que poésie...

*** Puis lui souriant ***


Parlez moi de vous?

Chaque voyage est un pas vers la connaissance... Et la connaissance est un pas vers la conscience.

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