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Le Rêve du marchand

L'amazone qui zone

Une sauvage dans le nouveau monde (rp ouvert)
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Sujet lancé par Pentar
Le 15-06-1510 à 23h42
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Posté par Sindar,
Le 24-06-1510 à 22h40
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Pentar

Le Matal 15 Jayar 1510 à 23h42

 
Presque nue, couverte de sang et de tripes.
La guerrière navigue en terre inconnue.

Elle n'est jamais venue ici, ne connaît pas l'Equilibrium.
Elle considère que tout ce qu'elle en sait est suffisant.
Là maintenant, ce qu'elle sait, c'est que ça sera bientôt un sacré bordel.
Future zone morte en sursis. Champ de bataille potentiel.
Mort, désolation, corruption. Ca sonne bien...

Ressusciter ici est une bonne affaire. Pour une Déclinante.
L'amazone erre, sans curiosité, dans la grande cité.
Les regards qui se portent sur elle, par contre, sont curieux.
Méfiants, dégoutés aussi. Elle ne manque pas d'allure.
Elle, il n'y a qu'une chose qu'elle cherche.
Ce n'est ni se laver, ni dormir.

Mais boire.

L'épée à la main, peinte de rouge et de noir.
Elle sent la sueur, la poussière, le sang. Parfum...naturel.
Long combat, longue marche, mort courte.
Courte, oui, et brutale, très.

Quand elle tombe sur un panneau explicite, elle entre.
C'est bien une taverne. Dans une taverne, on boit.
Interloqué, suspicieux, méprisant, on la regarde.
Intéressé, peut-être aussi. Toujours ?

Elle se dirige vers le bar.

Elle s'assoit. Elle ne parle pas Shaï.
Qu'importe. Ce n'est pas trop compliqué.
Elle fait le signe universel de la boisson dans le gosier.
On la sert, avec un peu de réticence, de doute.
On voudrait bien lui faire comprendre autre chose.
Mais l'heure n'est pas à comprendre.

L'heure est à se souler la gueule.
Ca, elle sait faire. Oh oui.



Ferme ton clapet, béjaune, de toute façon tu vas bientôt pourrir. Et en silence.

 
Ariadne

Le Sukra 19 Jayar 1510 à 13h51

 
*** C'est sûr, l'entrée de la tydale avait été remarquée. L'ambiance était retombée, les conversations jusque là animées, s'étaient réduites à un chuchotement. Cette accalmie soudaine sortie la Soupir de ses rêveries. Accompagnée d'amis pour le moins douteux, elle ne participait pas à l'éternel débat sur qui de truc ou de machin avait le plus de chance avec Nela la serveuse. Si seulement ils savaient ce qui les attendait... Elle avait envie de s'amuser, de décompresser, de fomenter un mauvais coup...
***


*** Sans un mot pour ses amis ,Ariadne se leva de sa table et se dirigea vers le bar. Elle s'installa à coté de la nouvelle arrivée. Elle lui adressa un de ces regards compatissant. ***


Mauvaise journée hein ?

Je t'ai jamais vu dans le coin, c'est quoi ton nom ?


*** Elle fit signe au tavernier de leur apporter deux autres verres mais pas de cette pisse de chat qu'il avait l'habitude de servir aux clients de passage. Ce qui d'ailleurs avait probablement été le cas pour la guerrière. ***




 
Pentar

Le Sukra 19 Jayar 1510 à 15h07

 
La première bière engloutie a un goût de pisse.
C'est probablement ce qu'ils servent aux étrangers.
Ou pire, c'est tout ce qu'ils savent ou peuvent servir ici.
Elles n'espère pas. Elle a besoin d'autre chose.

De l'alcool qui rend aux tripes leurs lettres de noblesse.

Alors qu'elle s'apprête à (re)commander, Ariadne s'installe.
Pentar tourne la tête vers l'équilibrienne. Symbiosée.
Un joli minois. Un costume coloré. Une originale.
Elle pourrait le parier : une artiste.

Le regard compatissant l'irrite un peu.
Elle s'entendrait dire "Qu'est-ce qu'elle a ma gueule ?"
Mais la jeune fille parle avant. Un babil imbitable. Du shaï, surement.

La guerrière hausse les épaules sans conviction.

Je piges pas un oualpèque à ton tortillage, mignonne.
Faudrait que tu jactes en tydale, sinon on ira nulle part.
Tu m'diras, de toute façon, c'est là qu'on va quoiqu'il arrive.

Mais pas avant que je m'en sois jeté un ou deux.
Putain, j'te jure. Ils savent plus quoi inventer.


Une vague moue se dessine sur le visage marmoréen de l'amazone.
Son interlocutrice prend les choses en main. Boire, ouais.
Et surement autre chose que cette infâme bibine.

In vino veritas. Peut-être.


Ferme ton clapet, béjaune, de toute façon tu vas bientôt pourrir. Et en silence.

 
Ariadne

Le Matal 22 Jayar 1510 à 14h05

 
*** Ah! une étrangère, un pigeon en puissance ! Enfin un peu de changement, du sang neuf ! Symbiosée? Pourquoi n'y avait elle pas pensé plus tôt? Le temps d'un bidouillage télépathique et la jeune Soupir en savait déjà un peu plus sur son interlocutrice. ***


Pentar...

Pentar... Ça sonne un peu comme pétard... ou têtard.

*** Les lèvres de la Soupir s'étirèrent en un large sourire enfantin. ***


Ça devait pas être facile à porter. Pentar le têtard en pétard !! Ça sonne bien.

Ah ! Mais c'est pour ça la grosse épée et les muscles ! Plus personne t'embêtes maintenant pas vrai ?

Par contre, vu ta tête... et le reste, quelque chose me dit que t'as de quoi être en pétard Pentar...

Tu viens d'où comme ça?


*** Sans quitter des yeux l'amazone, Ariadne poussa vers celle-ci l'un des deux verres que venait de déposer le tavernier. ***


 
Sindar

Le Julung 24 Jayar 1510 à 22h40

 
*** Sindar s'approche intrigué par ces dames... Drôles de dames OUI !***

***Enfin, il n'en est pas moins homme, et laisse toujours son regard s'attarder sur leurs charmes***

***Là, c'est plus leur originalité que leurs charmes qui l'attire***

Pour ce qui des boissons, je suis un connaisseur, et je peux vous fabriquer le breuvage que vous désirez !

Ce sera bien meilleur que ce vieux briscard de tavernier trafficoque dans sa cave !

Mes boissons peuvent vous sauver la vie, celles de cette taverne, c'est déjà moins sur !


Plutôt la mort que la souillure !

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