SYFARIA, La rédemption : Jeu de rôle en ligne multijoueurs gratuit

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Le Quartier de l'or

Déambulation d'un confrères

Ou les derniers espoirs de connaître une cité Equilibrienne.

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Sujet lancé par Linoë
Le 25-06-1510 à 21h40
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Posté par Linoë,
Le 28-06-1510 à 21h36
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Linoë

Le Vayang 25 Jayar 1510 à 21h40


	* Linoë pénétra dans la cité aussitôt que les autorités compétentes l'y ait autorisés. La curiosité et l'impatience de voire à quoi pouvait bien ressembler une cité Equilibrienne, conduisaient ses pas. Il était envoyé ici pas sa faction pour aider les équilibriens dans la future épreuve qu'ils allaient traversés, mais le plus grand calme régnait dans Zarlif. Comme si ils n'avaient pas conscience du danger qui planait sur eux. Ou peut être est ce leur foi inébranlable en la dame qui leurs permettaient de ne pas sombrer dans la panique. Quoiqu'il en soit cette étrange tranquillité eu l'effet sur le chercheur de tourner son esprit sur la culture équilibrienne plus que sur un moyen de se mettre au service de cette faction. D'un autre côté il aurait bien du mal à proposer son aide...il ne savait toujours pas parler Shaï. Et c'était par ça qu'il devait commencer. Trouver un professeur. Le maire lui avait proposé d'être un professeur pour lui. Il ne restait plus qu'à le trouver. *

Ulfwych

Le Sukra 26 Jayar 1510 à 11h23


	*Ulfwych, toujours avec ces parchemins en tout genre, Savoir de Syfaria, continuai de classer et préparer des males prêtes à partir si il le fallait avec cette mine de connaissances. Au loin, lors d'une pose pour voir si il n'y avais pas trop de cochu dans la ville suite aux très grands nombres de laissé passé aux non équilibriens dans la ville de Zarlif, il reconnu Linoë qui lui avait demandé par Mou, un droit de passage dans la ville qu'il administrait. Ulfwych se trouvait non loin de la Joaillerie de Zarlif, bien loin de l'entrée où il souhaiterai aller accompagner les nouveaux venus pour la défense de la ville mais il avait encore beaucoup à faire à la Bibliothèque de Zarlif... Il fit de grand signe pour signaler sa présence à Linoë, pour tenter de faire comprendre sa langue, celle des équilibriens.* Ulfwych, Pédagogue. Créateur de Parchemins et Copies Ex-Maire de Zarlif

Linoë

Le Dhiwara 27 Jayar 1510 à 22h05


	* Le confrères aperçut enfin le maire au milieu de la foule. Il se rapprocha du puissant Nelda, pour le saluer en s'inclinant. * Enchanté Ulfwych, Je suis Linoë, confrères d'Arameth. Merci de m'ouvrir les portes de votre cité. Je suis conscient de l'immense privilège que vous m'accordez. Votre faction est comme la mienne, elle n'offre pas sa confiance facilement. Mais les temps son difficile et il nous faut parfois faire des exceptions. * Le Tydale parlait lentement, pas certain que son interlocuteur le comprenne. * Désolé de parler en Nelda, mais comme je vous l'ai dit, je ne maitrise pas encore votre langue, pourriez vous me l'apprendre ?

Ulfwych

Le Luang 28 Jayar 1510 à 10h42


	*Ulfwych ne compris pas tout au début, sa maîtrise du Nelda n'était pas encore parfaite, pas autant que celle de sa langue natale évidemment. Mais il arrivait bien à comprendre son interlocuteur.* Pas de soucis, je sais que bien souvent on n'aime pas trop apprendre aux étrangers nos langues natales mais vu ce qui arrive dernièrement avec notre ennemi commun, je pense plus à parler de Syfarien que nos petites factions divisées donc on doit pouvoir se parler au mieux. Je suis dans la bibliothèque pour donner des cours de Shaï si sa vous tente et si vous avez d'autres amis à vous il ne faut pas hésiter, plus on sera mieu se sera. Ulfwych, Pédagogue. Créateur de Parchemins et Copies Ex-Maire de Zarlif

Linoë

Le Luang 28 Jayar 1510 à 21h36


	* D'un signe de tête Linoë remercia le maire de son invitations et le suivie à l'intérieur de la bibliothéque. Ses yeux pétillaient légèrement en voyant ce lieux remplit de savoir, véritable chef d'œuvre pour un poussièreux de science comme lui. Il prit aussi conscience de ce que risquaient de perde les poussièreux en abandonnant leur cité. Après tout il n'y avait eu aucun mort dans les deux autres cités, mais qu'elle bond en arrière ils risquaient de faire si ils devaient abandonner chacun leur tour toute leur histoire et leur découverte respective. Qu'ils étaient fragile finalement. * Puis je vous posez une question ? Puis je vous posez une question ? Puis je vous posez une question ? Cette fois le confrères répéta dans les trois langue qu'il maitrisait lme mieux. Cherchant la langue ou son interlocuteur serait le plus a l'aise. Qu'allez vous faire de tout ces ouvrages, si votre cité tombe comme Korsyne et Oriandre ? N'y voyez aucune convoitise de ma part, mais plus une profonde inquiétude de voir tout se savoir peut être perdu à jamais. Qu'allez vous faire de tout ces ouvrages, si votre cité tombe comme Korsyne et Oriandre ? N'y voyez aucune convoitise de ma part, mais plus une profonde inquiétude de voir tout se savoir peut être perdu à jamais. Qu'allez vous faire de tout ces ouvrages, si votre cité tombe comme Korsyne et Oriandre ? N'y voyez aucune convoitise de ma part, mais plus une profonde inquiétude de voir tout se savoir peut être perdu à jamais.

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