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Les Terriers

Quand on s'approprie les biens d'autrui

Un déséquilibré fervent Equilibrien ...
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Sujet lancé par Erdnec El'Bbarcs
Le 11-02-1508 à 12h13
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Posté par Vadrüm Guldur,
Le 09-03-1508 à 13h07
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Erdnec El'Bbarcs

Le Luang 11 Fambir 1508 à 12h13

 


Alors que la nuit se couchait sur Zarlif la Glorieuse , les honnêtes fils de l'équilibre dormaient . Dans une nation vénérant la déesse , il n'existe en théorie nul criminel . Seulement il existe des individus ayant leur propre conception du culte de la Déesse voire pas de conception du tout .

Ces gens là travaillent la nuit et essentiellement dans le quartier mal famé des Terriers . Erdnec El'Bbarcs faisait parti de ce genre de personnages . Pour lui , le vrai équilibre ne pouvait vennir qu'après une intense période de chaos et de déséquilibre , car seul l'anarchie pouvait provoquer l'arrivée en force d'un Ordre dur et implaccable .

C'est en partie pour cela qu'il s'autorisait à faire son "métier" la nuit . Si le jour ,il fouillait dans les poches des autres pour financer ses projets , la nuit il allait chez son prochain pour se "financer" et apprendre des informations pour lire le courrier .

La brise était douce ce soir et notre tydale vennait de fouiller une maison abandonnée depuis peu et de trouver quelques trésors de famille qu'il conserva dans sa poche . En sortant , il examinait les autres maisons . La tournée du Père Erdnec n'était pas terminée !


 
Vadrüm Guldur

Le Dhiwara 9 Marigar 1508 à 13h07

 
*** Soudain un léger bruit provenant d'une des portes qu'il passait en revue, ce qu'il avait pris pour un tas d'ordure commança a se mouvoir. En examinant mieux il s'apperçut que c'était le vieux Vadrüm qui essayait de crocheter la porte sans interrompre son baraguinement incessant. Un trousseau dans une main, une gourde d'hydromel dans l'autre. Sa barbe tressée bougeait en même temps que sa machoire.
Il se trourna vers Erdnec et s'adressa à lui avec sa voix aussi basse que les terriers. ***


Eh! mais c'est t'y pas le chti El'Bbarcs qui fait sa tournée...hips!
Comment qu'sa spasse chez toi?


*** En parlant il continuait à trafiquer la porte qui s'ouvrit dans un léger grincement.
Il détacha son arbalète de sa ceinture et commença à jouer avec le bout du carreau. ***


Alors tu te magne! vien, j'aurais assez de flouze pour la mort du gars j'te laisse la moitié de s'qui reste dans la baraque

*** Un étrange lumière apparut au fond de ses yeux ***


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