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Le Merakih 17 Fambir 1510 à 21h49
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| Une autre Tchaë, grande pour sa race et fine, arriva en vue du temple de Lerth. Elle avait vu le Tydale se diriger dans cette direction, se doutait de la nature du batiment, mais malgré les récriminations de sa moue, elle se dirigea vers son entrée. Elle hésitait à y entrer, car elle ne voyait pas trop ce qu'elle pouvait y faire, et sa cape partant dans le sens contraire, tractée par sa moue, n'était pas des plus pratiques.
Alors qu'elle s'interrogeait devant l'entrée, elle aperçut une jeune Tchaë, assise sur un banc de pierre face à l'entrée, apparemment perdue dans ses pensées. Elle se décida finalement pour s'assoir sur ce banc, jetant un coup d'oeil du coté de l'adolescente, le temps que sa moue se calme et qu'elle reparte vers une autre destination. Peut-être que si la jeune Tchaë remarquait sa présence, elle pourrait entamer une conversation, sa première discussion avec une Témoin, mais pour l'instant elle se contente de pétrir doucement sa symbiote pour la calme tout en observant l'endroit, plutôt impressionant, d'autant plus avec ses braseros, la ceingnant tels une couronne de feu.
Par la Magie, pour la Dame
Laelieth, archimage, artisane de l'Équilibre, grande voyageuse. | |
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Le Julung 18 Fambir 1510 à 17h55
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| La mage se tourna vers la jeune Tchaë qui semblait être sortie de sa transe. Après être passée par toute sorte d’émotions, la jeune fille finit par lui parler des difficultés de la symbiose, et finit par se présenter.
Je me nomme Laelieth, enchantée de vous connaître. En fait…
Moute dit :C’est à se moment là que sa cape se relâcha, ce qui interrompit la phrase de la Tchaë, s’aplatissant – autant que le peut une cape recouverte de poches contenant toute sorte d’objets – et qu’une petite forme se matérialisa sous le nez retroussé de la jeune Contemplatrice.
Je suis une moue ! Il y a plein de gens qui tergiversent sur le sexe des mous, mais je vous le dit, je suis une moue.
Sa symbiote poussiéreuse la regarda, d’un air intrigué.
Moute dit :Heum…Je m’appelle Moute.
Mais en fait, ce n’était pas sa façon d’arriver – à vrai dire plutôt semblable à celle de la Contemplatrice – qui faisait regarder la poussiéreuse de cette manière, mais plutôt la façon bizarre qu’avait son corps de trembloter.
En fait, donc, je disais qu’elle ne se comporte pas comme ça d’habitude, mais elle semble aussi agitée depuis son arrivée à la Scintillante.
Moute dit :Captant une pensée venant de l’esprit de Laelieth, la moue se mit à sautiller sur place.
Je le savais ! Oui, je le savais ! Il se passe des choses bizarres ! Ils font des choses étranges aux mous dans cette ville, même que les mous ne le sentent même pas !
La poussiéreuse était franchement étonnée. Sa moue n’avait pas vraiment changé depuis sa symbiose, mais là elle se comportait de façon vraiment bizarre et se pliait d’une drôle de façon au niveau du milieu de son corps.
Moute dit :Pendant ce temps, la symbiote continuait de sautiller sur place, avec le même air que sa symbiote poussiéreuse ne lui connaissait pas.
Désolée, je ne sais pas ce qu’il se passe, elle n’est pas comme ça d’habitude, nous nous entendons bien…même si j’ai déjà vu des mous ayant parfois de mauvaises relations avec leurs symbiotes, ce n’est pas son cas.
Par la Magie, pour la Dame
Laelieth, archimage, artisane de l'Équilibre, grande voyageuse. | |
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Le Julung 18 Fambir 1510 à 22h32
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| Plutôt facile d'interpréter le sens de ce regard. La mage avait conscience de son s'sarckness approximatif.
Oui, je sais qu'il faudrait que je reprennes quelques cours de votre langue, mais mon premier professeur s'est enfui, et j'attends que le second commence son cours...
Moute dit :Et l'orpelinat? Et le centre? Y a des gens bizarres, et ils poussent des cris horribles...peut-être même qu'ils font des expériences sur les mous!
Elle se mit à trembler, mais au vue de son agitation précédente, ça ne se remarquait pas tellement.
Des monstres, j'en ai vue dehors, comme dans les environs des autres villes.
Moute dit :Moi je préfère Syrinth, c'est une ville qui fait partie de la Forêt, c'est formidable, il y a pleins d'arbres, c'est vivant, c'est magnifique!
Oui, c'est très agréable d'y vivre. Mais je suppose que le fait de vivre dans une ville doit nous la faire préférer...Ce qui ne m'empêche pas de la trouver plus vivante...Lerth a un quelque chose d'étrange, d'indéfinissable dans son atmosphère.
Par la Magie, pour la Dame
Laelieth, archimage, artisane de l'Équilibre, grande voyageuse. | |
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Le Vayang 19 Fambir 1510 à 22h21
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| Laelieth lui répondit en penchant brièvement la tête sur le coté.
Vous semblez ne pas avoir quitté Lerth. Si on ne connait qu'une seule ville, il est plutôt logique qu'on n'ai pas de point de comparaison. Après, je ne connais presque pas Lerth, mais peut-être pourriez-vous me la faire découvrir?
En attendant...je vais essayer de vous montrer une image mentale de Syrinth.
La Mage se concentra pour envoyer une image mentale à la Contemplatrice.
Voilà, mais il ne s'agit que d'une simple image, il faut la voir en vrai pour ressentir son atmosphère.
Après, pour votre question, oui, je fais partie de la Caravane Equilibrienne. Elle permet de visiter les villes, qui sont toujours enrichissantes.
Comme une nouvelle invite à une demande pour visiter la ville, la Tchaë attendit la réponse en regardant les décorations du temple. Sa moue, elle, ne parlait plus et continuait à sautiller dans son coin.
Par la Magie, pour la Dame
Laelieth, archimage, artisane de l'Équilibre, grande voyageuse. | |
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Le Dhiwara 21 Fambir 1510 à 21h34
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| *** La silhouette du confrère se découpa dans l’ombre à sa sortie du temple. Des deux grandes portes ouvertes, Soma marchait calmement semblant savoir ou il se dirigeait. Sa tête libre de toute capuche, signe simplement respectueux du lieu qu’il venait de visiter. Un parchemin roulé sur lui-même était figé dans sa main droite, tandis que la deuxième était occupée à atténuer un bâillement des plus significatifs.
Rydia lui indiqua l’Equilibrienne présente dans son esprit et le Valen continua calmement dans sa direction. Apparemment elle n’était pas seule : une Tchaë ou une gamine tydale semblait lui tenir compagnie. ***
Rydia dit :
Finissons-en avec ca qu’on aille dormir enfin…
***
Il arriva à quelques mètres des deux personnes et posa son regard glacial sur Laelieth en négligeant l’autre protagoniste qui avait d’ailleurs l’air assez irritée. Plus vite tout serait finit plus vite il filerait à l’auberge. ***
Om’shir Laelieth, J’ai terminé votre parchemin.
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Ses yeux s’attardèrent enfin sur la petite fille. C'était encore une enfant, plus tchaë que tydale finalement. ***
"Quand on cède à la peur du mal, on ressent déjà le mal de la peur."
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Le Luang 22 Fambir 1510 à 20h59
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| *** Le Karnem S'sarkh méditait au temple lorsque les voix de plusieurs personnes s'élevèrent dans le silence du lieu. Les conversations n'étaient pas pour le déranger mais l'éclat de voix outré d'une enfant de la Scintillante attira le vieux tydale. Le vieux marmotta dans sa barbe, tout en se déplaçant d'une démarche trainante, tenant un petit chaton miteux dans les bras. Il posa une main paternelle sur l'épaule de Calixtën et s'adressa à Laelieth : ***
La persuasion des âmes n'est pas la fille de la contrainte, Laelieth. La Sainte a assurément ses atouts et charmes. Mais la Scintillante brille de mille feux dans le cœur de ses enfants. Identiquement, la Sainte a les faveurs des fils de la Dame.
*** Le vieux tydale caressa le chaton au poil gris et lui marmonna quelques paroles incompréhensibles lesquelles firent miauler doucement le minet. Batyias regarda Laelieth en souriant et lui dit : ***
Pluie vous salue et se propose de vous montrer notre jardin. Bien entendu, il espère que vous lui trouviez un petit quelque chose à manger en contrepartie. Quel gourmand celui la !
*** Le chaton s'ébroua le poil en chouinant puis miaula d'une façon presque inaudible. Batyias lui répondit en le caressant doucement : ***
Oui, oui, je ne vais pas oublier de lui dire que tu raffoles de terrine de poissons. | |
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Le Luang 22 Fambir 1510 à 22h21
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| Laelieth fut interrompue alors qu'elle allait répondre à la jeune Tchaë, par le Tydale copiste. Elle se leva, le remercia et lui donna l'argent en échange, puis retourna auprès de Calixtën. Maintenant, il ne restait plus qu'à lui expliquer diplomatiquement que sa symbiose était trop récente pour qu'elle perçoive la différence entre "envahir" et "laisser voir".
Vous n'avez pas dû y faire attention, mais je ne suis pas entrée dans votre esprit. J'ai simplement laissé l'image "flotter" dans l'espace mental, et laissé voir à ceux qui le veulent.
Sur ces entrefaits, le Karnem S'sarchk arriva. Elle le salua avec toute la déférence requise à un dirigean de faction.
Puis elle reprit un cours instant à Calixtën.
Le vénéré Karnem S'sarchk a vu mon image, vous voyez que je n'ai pas investi votre esprit.
Elle se tourna vers celui-ci, gardant sa déférence envers l'étrange dirigeant de faction.
Je ne me serais pas permise d'investir son esprit. J'ai juste laissé l'image libre à voir, comme vous avez pu la voir. Je voulais simplement continuer notre conversation. Calixtën ne connait pas Syrinth et je ne connais que très peu Lerth. Il est bien difficile de pouvoir échanger.
Puis elle reprit sa langue pour répondre à la suite.
Je le salue aussi, et je serais ravie qu'il me montre votre jardin, mais je n'ai pas de poisson. Si aime les friandises sucrées, je pourrais peut-être lui trouver quelque chose, ma moue en raffole.
Sa moue, d'ailleurs, elle ne la voyait plus. Elle se retourna pour la chercher mais elle n'était pas là. Elle sentait sa présence mentale, étrangement brouillée, mais elle n'arrivait pas à la localiser. Elle s'interrogeait sur la raison de son absence, d'autant plus après ses histoires de mous qu'elle avait répétées. Et puis il y avait Batyas, étrange, comme le peu qu'elle avait pu voir des témoins. Son aspect physique et ses paroles lui étaient énigmatiques, mais comme elle ne connaissait pas d'autres dirigeants de faction, elle ne savait que penser.
Par la Magie, pour la Dame
Laelieth, archimage, artisane de l'Équilibre, grande voyageuse. | |
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Le Luang 22 Fambir 1510 à 22h59
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| Calixtën ignora avec superbe l'étrange camelot qui venait de s'immiscer dans la discussion. Elle finit par croiser les bras, prenant appui sur l'une de ses jambes tout en continuant de fixer Laelieth. De toute manière, l'étrange individu, au vue de la langue qu'il parlait, ne devait être qu'un étranger de plus, tout aussi mal appri que l'Equilibrienne.
Pour ma part, je restais en fond de scène, me déléctant de la mine brulante de colère de ma jeune compagne d'aventure. Tout son caractère s'exprimait alors dans son attitude, dans la manière qu'elle avait de froncer ses sourcils et de tapoter de ses doigts nerveusement, dans la façon qu'elle avait de fixer son interlocutrice comme pour lui lancer des éclairs, dans la forme que prenaient ses lèvres figés dans une expression boudeuse.
Inutile de dire que j'attendais avec une certaine impatience de la voir exploser mais cela n'eut pas lieu car une main vint se poser sur la petite épaule de la jeune fille. Cette dernière fut parcouru par un frisson et levait un visage étonné puis éberlué.
C'était donc lui, le Kar'nem S'sarkh. Et bien, on pouvait dire qu'il savait réussir ses entrées et qu'il était fort pour calmer les adolescentes, le bougre. En effet, l'étonnement avait pris la place de la colère dans l'attitude de Calixtën. Ses bras tombèrent le long de ses flancs et elle fixait Batyias d'un regard au combien désarmé et admiratif. Ses lèvres restaient légèrements entrouvertes, figées dans un soupir de stupéfaction.
Les propos de Laelieth ne semblait plus vraiment compter, elle l'ignora totalement. Ses yeux ambres, un peu perdu tombèrent sur le petit chaton que le tydale tenait dans ses bras. La jeune fille les ouvrit alors en grand et l'enfant qui vibrait encore en elle ne put s'empêcher de tendre la main pour le caresser doucement en prenant un air totalement attendri.
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Le Matal 23 Fambir 1510 à 20h55
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| *** Le Kar'nem S'sarkh fronça les sourcils en écoutant Laelieth et lui dit gentiment : ***
La langue propre à chaque peuple est un grand pont dans sa compréhension. Avec beaucoup de regrets, je pense qu'il vous faudrait étudier sérieusement la langue élue pour bâtir ce pont sur de solides fondations. Pour le moment, il ne s'agit que d'un grand ouvrage branlant de bric et de broc. Un vieil homme comme moi ne comprend pas un mot de votre propos dans la langue élue, j'ai l'espoir que vous l'entendez mieux que vous ne le parlez ?
*** Puis le vieux tydale mit le minet dans les bras de Calixtën et lui demanda de son ton fébrile : ***
Petite Calixtën, pour jardiner correctement, il faut tout d'abord des graines, de la bonne terre et beaucoup d'attentions, dans cet ordre d'importance. Mais certaines œuvres sont voués d'avance à l'échec malgré des trésors de patience et d'acharnement, un vieux fou de Payeo voua toute une vie à ce que tous les brins d'herbes des pâturages de la Communauté soient de la même hauteur. C'était sans compter sur les moutons et les chèvres...
*** Après une quinte de toux que l'on pourrait croire causé par un rire, Batyias reprit son souffle et s'appuyant sur sa canne, il marcha à petits pas lents et mesurés vers la sortie du temple. *** | |
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Le Merakih 24 Fambir 1510 à 02h15
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| *** Soma resta silencieux tout au long des échanges pour plusieurs raisons. Sa connaissance du S’sarknesh lui demandait quelques minutes pour bien comprendre ce qu’il se disait et au bout du compte cela ne l’intéressait pas vraiment. La bourse de Laelieth remplaçant le parchemin au creux de sa main, il prit le temps de la ranger sans compter ce qu’il y avait à l’intérieur. Simple question de principe et de confiance mutuel même si en réalité il n’en avait guère en la personne de l’Equilibrienne.
Le confrère examina scrupuleusement le Kar'nem S'sarkh ainsi que ses toussotements Un cas similaire au sien aurait pu l’aider, si seulement il y en avait.
Il jeta un regard oblique à Laelieth qui était désormais seule avec lui, puis prit la même direction que les témoins dans l’optique d’atteindre l’auberge dans un futur proche ***
« Je vous contacterais pour la suite »
*** Finit-il par envoyer mentalement à l’équilibrienne tout en croisant le chemin de la mystérieuse tydale qu’il examina longuement avant de dépasser.
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"Quand on cède à la peur du mal, on ressent déjà le mal de la peur."
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Le Merakih 24 Fambir 1510 à 22h19
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| Finalement, sur quelques paroles étranges, ils étaient partis. Chacun à ses affaires, les témoins smeblaient se comprendre entre eux, et le Valen n'avait plus rien à faire pour le moment.
Elle vit la Tydale, nouvelle arrivée, qui attendait. Elle la salua d'un signe de tête. Si elle engageait la conversation, pas de problèmes. Mais pour l'instant elle cherchait sa moue, toujours disparue.
Un étrange mouvement attira son regard dans un coin obscur. Une brique bleue se tortillait. Une brique bleue? Sa moue! Finalement, elle était revenue. Elle s'enfonça donc dans le temple, hors de vue de Lasha et des autres poussiéreux, pour aller à coté de sa petite symbiote.
Moute dit :Moueuhoueuh! oueheuheuhmeumeoeuh!
Hein?
Moute dit :Mmmmmin! meah, mhbahahmah!
Qu'est-ce qui se passe?
Moute dit :La moue continuait de sautiller comme la dernière fois que sa symbiote l'avait vu. Mais une sorte de pli lui barrait le milieu de corps et elle poussait d'étrange cris mi-thélépathiques, mi-sortant de son corps.
Et ces histoires de ce que les Lerthiens faisaient au mous qui ressortaient, la Tchaë se demandait bien ce qui se passait.
Moute dit :mhuhouehoueuheu ahhhhh mouheuheu !
Un petit clapement sec se fit retentir au moment du "ahhh" et s'arrêta en même temps que celui-ci.
Soudain, Laelieth comprit. L'irritation de sa moue, ses sautillements, son départ et maintenant ses bruits bizarres. Pa de problèmes de symbiose, au contraire celle-ci se renforçait. Elle s'approcha doucement et la prit dans ses bras, puis attendit l'évènement.
Moute dit :La moue s'était tue et se concentrait. Ca demandait de l'énergie, d'évoluer.
Puis après quelques temps, la bouche se rouvrit avec le même petit clapement, se referma, puis rouvrit...définitivement.
La moue avait une bouche toute nouvelle.
Ca va?
Moute dit :Ahhh! Oui, maintenant que c'est passé, je me sens plus calme. Vidée, aussi, mais ça c'est autre chose.
Fit-elle en usant de sa bouche toute nouvelle.
Elle essaya de sautiller faiblement, mais elle n'y réussit pas, et fut bercée par sa symbiote le temps de s'endormir d'un sommeil de ... mou, avant de se remettre à dépenser son énergie habituelle, et à tester sa nouvelle qu'elle continuait d'ouvrir et de fermer juste pour le faire.
Quand la mage revint à la lumière et à la vue des autres, qui s'étaient réduits à la personne de Lasha, sa moue dormait paisiblement dans ses bras, sa nouvelle bouche adoptant une petite...moue.
Par la Magie, pour la Dame
Laelieth, archimage, artisane de l'Équilibre, grande voyageuse. | |
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Le Julung 25 Fambir 1510 à 22h54
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| Apaisée du retour de sa moue, la mage réfléchit. Une nouvelle Témoin, Comtemplatrice, qui semblait attendre quelque chose. Quoi, elle ne le savait. Mais elle voulait apparemment discuter, et l'équilibrienne cherchait aussi la discussion. L'occasion était donc parfaite.
J'avoue être venue ici un peu par hasard...Il est vrai que la plupart des autres membres de ma faction sont plus refermé sur les relations avec les Témoins, d'étranges histoires circulent même. Mais je souhaitais me rendre compte par moi-même, votre fonctionnement est complexe. Mais la compréhension est le plus important, et l'ouverture nécessaire selon moi. Regardons plutôt du coté de nos ressemblances, si on veut que la discussion soit possible. Protéger Syfaria et ses habitants, est le plus important...Alors lorsque je peux rencontrer des Témoins, j'en profite.
J'avoue être venue ici un peu par hasard...Il est vrai que la plupart des autres membres de ma faction sont plus refermé sur les relations avec les Témoins, d'étranges histoires circulent même. Mais je souhaitais me rendre compte par moi-même, votre fonctionnement est complexe. Mais la compréhension est le plus important, et l'ouverture nécessaire selon moi. Regardons plutôt du coté de nos ressemblances, si on veut que la discussion soit possible. Protéger Syfaria et ses habitants, est le plus important...Alors lorsque je peux rencontrer des Témoins, j'en profite.
La Tchaë se tût, elle avait tendance à s'emporter lorsqu'elle parlait des sujets qui lui importaient. Elle reprit, plus calmement.
Mais vous, dites-moi, je vous ai parlé franchement, que pensez-vous, vous?
Mais vous, dites-moi, je vous ai parlé franchement, que pensez-vous, vous?
HRP: Lae parle en deux langues, mais elle rp elle dit tout d'une traite, sans interruption et reprise...En quelque sorte les deux langues en même temps.
Par la Magie, pour la Dame
Laelieth, archimage, artisane de l'Équilibre, grande voyageuse. | |
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