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Le Dhiwara 13 Nohanur 1511 à 22h39
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| Blême.
Problèmes.
Affaiblissement du corps.
Le drôle de monsieur se ballade,
ne baisse jamais les yeux vers l'étal,
n'achète rien,
ne veut rien.
Peur blanche.
Peur noire.
Elle pose sa grosse patte sur l'épaule du vagabond,
comme un gros toutou plein d'amour,
qui a vendu la maison de ses maîtres - et ses maîtres avec.
"Eh oui,
t'es l'dernier,
mon vieux."
ça n'a pas de sens.
Hirvane Tuek se sent mal.
Ses derniers choix n'ont pas été les bons.
Le Srii Samech lui a ordonné,
à lui et à d'autres,
d'attendre à Lerth.
Dame sait pourquoi.
Hirvane fait sa promenade.
Impossible de le manquer lorsqu'il marchande ses légumes.
Quitte à se faire bouffer tout cru,
autant acheter de quoi préparer les derniers bouillons...
Klathu dit :Eh oh, tu bouffes c'que tu veux mais m'embarque pas dans tes plans foireux, oh ! Tu m'écoutes ! Oh ! Oooooh !
Autant que faire se peut,
il faut garder courage et paraître le plus naturel possible,
le plus naturel...
possible...
Du linge Gris va être lavé hors des frontières d'équilibrium.
il pue,
il empeste,
il a déjà perdu ses couleurs avant même d'être battu.
Les tâches vont partir au savon,
sur la pierre d'un vieux lavoir à l'abandon.
Klathu dit :Woo. Euh... ouais ? J'suis moyen chaud pour ça là...
Mais en attendant...
...le plus naturel possible.
*** Sourire à la première personne qui passe. ***
Bonjour ! | |
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Le Luang 14 Nohanur 1511 à 15h45
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| Bonjour !, Répond le nelda tout blanc qui arpente lui aussi le marché, mine de rien.
Aujourd'hui le directeur de comptoir est vêtu tout ce qu'il y a de plus simplement.
Emmitouflé dans une grande cape épaisse et usée, il espionne nonchalamment,
épie distraitement,
observe d'un oeil,
guette mollement.
Le directeur de comptoir ne piste nullement le symbiosé.
En fait, si le spécimen ne lui avait pas adressé la parole, il l'aurait laissé tranquile.
Non, aujourd'hui, Antiorn s'assure que les marchands avec lesquels il fait affaires mettent bien ses produits en évidence,
ne lui filent pas leur camelotte,
ne le font pas payer trop cher,
ne le roulent pas dans leur farine.
Sans être déguisé, il est incognito.
Il déambule et file une pièce à ce bambin ici, à ce vieillard là-bas, pour visiter les boutiques et étalages avec ses instructions.
Un travail qui ne lui plaît pas trop en somme... mais il faut bien le faire.
La distraction du symbiosé de l'Équillibre est donc bienvenue.
Loin de chez vous ?
La question est posée avec un sourire joueur.
N'est impossible que ce à quoi on se défend de rêver...
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Le Luang 14 Nohanur 1511 à 19h25
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| Il réalise amèrement qu'Antiorn lui parle en Shaï.
Il lui répond un laconique : un peu...
Hirvane est bête.
Son plus proche parent, c'est la loupiotte,
craintive !
Bien plus voyante que dix-mille cierges flamboyants du Temple de Syrinth,
le genre d'animal qu'on évite d'avoir au sein d'une organisation secrète - comme le Srii Samech !
Surpris d'être partiellement démasqué,
il tente de se draper dans une soie précieuse,
portant les délices et les mystères de l'Orient.
Klathu dit :Gnééé ?
Géographiquement parlant,
Syrinth est à l'Est de Lerth.
c'est l'Orient mes bons amis.
Klathu dit :Mais quel gland !
Antiorn, à n'en point douter,
est un marchand du coin.
Klathu dit :Il le fait exprès... EEEEH HIRVANE ! C'est n'importe quoi !
D'une voix suave empreinte de mystère, il dit : Oui mmm je viens... de l'Est... je m'ennuyais... là-bas... beaucoup... trop... je veux... rire... un peu... m'amuser...
Oui,
bien sûr,
il est venu à Lerth pour faire la fête,
une petit sauterie juste à côté du centre,
cristal de S'sarkh au menu.
Klathu dit :Pauv'con. | |
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Le Luang 14 Nohanur 1511 à 20h12
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| Oh ooooh !
Il a mordu à l'hameçon !
Laissons-nous guider par la providence,
se dit l'étranger que la proposition intéresse !
Eh bien... oui... enfin non, je n'ai pas vu le Temple... pas encore... quelle curiosité ça doit être... des célébrations impies... noyées dans du vin de messe... pfeuh... répond-il en feignant un désintérêt hautain, digne d'une Grise du Temple de Syrinth.
Il salue le marchand avant de tourner les talons,
prêt à partir on ne sait où.
Il jette toutefois un dernier regard en peine par dessus l'épaule,
puis retourne les talons,
pour refaire face à Antiorn,
avant d'attraper un douloureux torticolis.
... Aurevoir, monsieur ? euh... monsieur ?
Je vous remercie... de vos conseils,
J'irai quand même voir ce fameux Temple bizarre... mmm oui... bredouilla-t-il, qui est... qui est... quelque part... au centre de la ville je suppose... ouiii... comme dans mon lointain pays... je suppose... peut-être... enfin... je ne sais pas... vraiment... mmm...
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Le Matal 15 Nohanur 1511 à 23h01
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| Si on oublie que le Temple est visible à deux lieues à la ronde,
que c'est le bâtiment le plus visible de Lerth,
qu'il est impossible de le perdre de vue,
que Hirvane est déjà passé devant en arrivant,
qu'il est peut-être déjà repassé devant en allant au marché,
Si on oublie tout ça,
quelle chance qu'on lui montre le chemin.
Klathu dit :Wééééééé...
Il ne leur faut pas longtemps pour y arriver,
à peine quelques minutes.
A vrai dire,
c'est un bâtiment que bon nombre d'aveugles ont déjà trouvé par leurs propres moyens.
Oh, c'est beau, lâche subtilement Hirvane.
On est loin de la majesté du Temple de Syrinth,
qui est un imposant et massif octogone gris.
Au contraire,
C'est la précision de l'architecture alambiquée qui émerveille ici,
car ce n'est pas un délire d'artiste fumeux pauvrement exécuté,
non,
c'est juste le génie,
allié à la technique lente et rigoureuse d'ouvriers eux-mêmes inspirés,
investis d'une mission divine,
qui fait du Temple de Lerth un édifice magnifique.
C'est vraiment sympa, poursuit avec justesse l'étranger. C'est de qui ? | |
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Le Merakih 16 Nohanur 1511 à 22h09
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| *** Note :
Il est permis d'estimer que la description proposée ci-dessous, qui s'appuie sur des éléments objectifs du BG des témoins, est cependant... sévère ! ***
Précisément, Penthésilée en sort, du temple... enfin, de ce qu'elle pense être un temple...
Et plus vite qu'elle n'y est entrée.
Ce n'est pas l'architecture qui la chagrine, c'est l'ambiance, à mi-chemin entre l' inquisition espagnole et l'île du docteur Moreau :
Est-ce un effet de son imagination ? De sa sensibilité exacerbée ? De la mauvaise bière ?
Au rez-de-chaussée, les "prêtres" et les "ouailles" qu'elle a croisés sont comme... possédés ! Par grappes de trois, quatre individus, errant sans but apparent, ils dévisagent les rares visiteurs avec une insistance suspecte, une mauvaiseté fiévreuse et glauque, des plus dérangeante pour une pauvre Haut-Rêvante. Le pire, c'est que plusieurs témoins arborent, voire exhibent des tares marquées, alternant mutilations physiques et psychoses des plus spectaculaires, quand ils ne présentent pas d'épouvantables scarifications et autres plaies, sciemment entretenues et cruellement saupoudrées de mauvais cristaux.... une horreur !
Troublée et nauséeuse, la Vigie du Rêve s'est rapidement engouffrée dans le premier escalier venu qui, en l'occurrence, descendait.
Mauvaise pioche...
Au sous-sol, c'est encore pire : dans des cellules évoquant tout autant le bricolage amateur que l’obstétrique d'épouvante, de pauvres hères aux corps martyrisés semblent jouir des tortures qui leur sont méthodiquement infligées ! Brisures, entailles, broyages, torsions... rien ne leur est épargné. Une odeur globale d'urine, de sang et de graisse brûlée sature l'odorat délicat de la Vigie du Rêve, qui manque s'en retourner l'estomac. Dans une pièce à la herse baissée, elle voit même un vieil homme au dos ravagé de brûlures... manuscrites : un écrivain venu des enfers aura rédigé des soutras sur sa peau en usant d'un poinçon chauffé au rouge ?!
Il y en a un, au moins, qui semble apprécier le spectacle :
Achille dit :Mouhihihi !
C'est ici que les gens du cru sont cuits !
Le plus abominable est que tout ce beau monde - chirurgiens tortionnaires et victimes charcutées - s'active dans le plus grand silence : seuls quelques gémissements, vite étouffés sous le poids des regard désapprobateurs, brisent l'atonie publique.
La souffrance, en ces lieux, est un raffinement élevé au rang d'art.
Alors oui, la nelda ne s'éternise point.
Quelque chose lui dit que "vomir sur place" serait ton sur ton, certes... mais aussi, mal perçu.
Elle sort donc et, prostrée sur le parvis de l'antichambre des enfers, voit baguenauder dans la rue...
Antiorn !
... flanqué d'un autochtone plus que suspect.
Penthésilée
Vigie du Rêve
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Le Julung 17 Nohanur 1511 à 20h39
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| Antiorn !
Oui, c'est bien lui... mais comment dire...
D'abord, il est maigre.
Non, famélique.
Non : squelettique !!
Bon sang, qu'est-ce qui lui est arrivé ?
Qu'est devenu le blanc nelda bien charpenté et bon vivant que la Vigie rencontra, il y a trois ans déjà ?
Achille dit :Il s'est dissous dans la carnine de contrebande, sans parler des saucisses de Morteau qui ne passent pas et t'affligent de migraines ophtalmiques à tendances macrosomatognosiques marquées.
Tu souffrirais d'un méchant syndrome d'Alice que je n'en serais pas davantage surpris...
Blême, proche du malaise, Penthésilée fixe le confrère brièvement avant de se tourner pesamment vers son mou :
Pl... plait-il ?
Achille dit :Qu'est-c'que tu crois, maman ?
Que j'suis juste bon à te t'nir la chandelle ? Que j'suis ton faire-valoir ?
Et surtout, tu penses que t'es la première à qui j'vends mes services de compétiteur-né ?
J'ai toute une carrière de symbiote derrière moi et qui plus est, je sais lire ! Avant de trainer tes valoches dans les trous les plus paumés, j'ai donné la réplique à des poussiéreux célèbres ! T'es pas la seule à pouvoir penser, oh ! Je ne suis pas un perdreau de l'année ! Moi aussi j'ai un passé et qui plus est, un cerveau !
Enfin bref, j'te fais la version grand public, j'vois bien que t'es (encore) à la rue : t'es malade !
T'as à la fois le mal des transports, une intoxication alimentaire - 1 cristal les douze saucisses, t'espérais quoi ? - et de surcroît, tu paies l'addition de la mauvaise carnine respirée à Syrinth !
C'est ça les plantes de serre, élevées à la drogue "premier choix" : dès qu'elle avalent le tout venant, elles gerbent tripes et boyaux !
Malade..?
Alors, tout ce qu'elle voit en ce moment... est déformé ?
Antiorn n'est pas à l'article de la mort ?
Et son voisin au regard fuyant de criminel en fuite, il n'a pas le regard fuyant d'un criminel en fuite ?
Haut-le-coeur.
Dans un spasme aussi soudain qu'inattendu, la Vigie du Rêve répand les fameuses saucisses sur le parvis de l'Orphelinat.
Car c'est de là qu'elle sort !
Penthésilée
Vigie du Rêve
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Le Julung 17 Nohanur 1511 à 23h16
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| Le flot mal digéré des saucisses éclabousse le pavé avec fracas,
par petites giclées brunes...
De la bouse tartinée sur une biscotte en pierre.
Le suc noirâtre serpente dans le caniveau,
suivi de près par quelques morceaux décharnés,
assez maigres pour flotter sur un renvoi gastrique.
Les relents acides de la bouillie remontent insidieusement au nez des trois symbiosés,
accentuant la nausée ambiante.
Et ce sont les chiens de la ville qui maintenant se ruent sur le "manger",
de la bonne pâtée bien fraîche.
Les morceaux de saucisse glissent sur leurs babines,
et leur truffe trempe dans la sauce.
L'un d'entre eux tente de faire un câlin à Hirvane,
qui est victime à son tour d'un infâme renvoi,
plus liquide.
Klathu dit :à manger pour l'Orphelinat,
vous êtes bien trop nourris,
c'est S'sarkh lui-même qui vous punit !
Les présentations ont été faites.
L'étranger aurait dû rester tranquillement au lit aujourd'hui,
au lieu de tenter sa chance dehors !
Eurg... pft... pft... eurf eurf... pft.... Bon je propose qu'on prenne l'air là, si on bougeait du côté du port, du vent frais là ?
Supra-zut !
Il avait dit ça en nelda !
Bien sûr qu'il parlait nelda,
il parlait même le nemen !
Mais il aurait bien voulu faire semblant de ne pas comprendre,
pour tromper son monde.
Tant pis...
... Rhona, venez, ça va vous faire du bien... | |
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Le Vayang 18 Nohanur 1511 à 21h05
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| Penthésilée se laisse mener sans regrets, si ce n'est de s'être montrée sous un jour peu flatteur !
Elle se sent encore barbouillée, bien qu'allégée. D'une patte peu sûre, elle pioche une gourde dans sa besace en bandoullière et s'arrose copieusement la tête avant d'en gargariser - puis d'en cracher - une longue gorgée fraiche au sol. Un mâle en soutien de chaque coté, elle avance cahin-caha d'une bonne centaine de mètres en direction du Port, non sans remercier ses chevaliers d'une voix éraillée :
S-sashi, rhoni... euuhh... je ne me sens pas t-très bien... mais ça v-va mieux...
Se tournant vers Antiorn, d'un ton mondain particulièrement décalé en la circonstance :
Ainsi donc, vous...
Vous ici ?
Décidement, Syfaria est petit... Vous travaillez au comptoir de Lerth, ou c'est l'ap-p l'appel du grand large et des embruns qui exerce sur vous sa f... sa fascination ?
Puis, pour l'inconnu :
A q... à qui...
Ai-je l'honneur ?
Achille dit :Psst ! Maman !
Il s'appelle « Hirvane Tuek »
...
Comment je le sais ?
...
Tu vois le porte-diadème à embase carrée qui dépasse de sa cape ?
Gris, consterné, à peu près ma taille ?
C'est un indice.
Maintenant, je serais toi, je me méfierais.
Ca sent le piège.
Tu ne connais pas le lascar, mais son nom le trahit !
Changes-en seulement huit lettres, et ça donne : u n - a s s a s s i n.
Coïncidence ?
Mhh...
Je ne crois pas...
Penthésilée
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Le Sukra 19 Nohanur 1511 à 19h38
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| Les symbiosés n'en finissent plus d'arriver au port.
On se demande qui va apparaître à la suite,
Sardoryanne qui passe ses vacances dans le coin ?
Rhon Sirilius, ah ah, quelle bonne surprise, dit le tydale en s'efforçant d'être convivial.
Tant va la cruche à l'eau qu'elle finit par se briser.
On lui avait donné des consignes claires,
du genre : "va à Lerth et attends".
Hirvane avait voulu se fondre dans la populace,
en discutant avec le premier venu,
c'était plutôt une bonne idée.
Mais se retrouver à quatre symbiosés,
dont au moins un le connaissait,
ça méritait un zéro pointé.
Cela s'apprendra rapidement,
car il y a probablement un de ces "innocents" dans le décor,
qui espionnent pour une poignée de hyalins.
Dame sait qu'il y en a beaucoup...
Toutefois, pas le temps d'en dire plus,
Des cris s'échappent soudain de derrière un entrepôt,
à plus de cent mètres.
Quelque chose vient d'arriver !
Il est difficile de dire quoi,
les gens s'agitent déjà n'importe comment autour de cet entrepôt !
Klathu dit :On fonce !
Suivez-moi ! dit Hirvane en courant là-bas.
Il se fraie un chemin à travers la foule,
puis finit par arriver à la porte de l'entrepôt où,
le visage violacé,
deux marins reprennent leur souffle.
Ils ont visiblement échappé à un étouffement.
S'sarkh protège-nous ! hurlent des pleureuses en choeur,
agitant leurs bras vers le ciel en implorant leur Dieu.
Klathu se met à hurler aussi...
Klathu dit :UUUUiiii protège nous Ss'arkh ! Protège-nouuuuuuuuuuus !
Quatre témoins sont présents directement aux côtés des deux marins :
un vieux tchaë moustachu cynique,
un au visage atrocement gonflé,
une portant le voile d'une femme de pêcheur,
et enfin un tydale à l'air dépité.
L'entrepôt se trouve le long des quais,
aux côtés d'autres bâtiments savamment ornementés par les adorateurs du S'sarkh.
La première rue transverse se trouve là où les symbiosés sont descendus tout à l'heure,
et la prochaine est très loin.
Ce n'est qu'une longue bande de pierre où les bateaux viennent s'amarrer...
Là, Hirvane est vraiment, vraiment pas rassuré...
Il cache quelque chose. | |
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Le Dhiwara 20 Nohanur 1511 à 21h15
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| Houlààààà non, courir est le contraire d'une bonne idée !!
Douuuucement...
C'est qu'elle n'est pas encore vraiment remise, la nelda. On ne passe pas de la nausée vomitive à la forme olympique sur commande, dans la seconde ! Et qui crie, en plus, d'une stridence à vriller ses délicats tympans ?
A lui ?
On l'assassine ?
Achille dit :Au moins,
Dans le coin,
Pour des enquêtes au point,
...
On ne manque pas de témoins !!
Avançant aussi vite - aussi peu lentement - que possible, la Vigie du Rêve note l'arrivée de Sirilius. Encore un évènement à la limite du surréaliste, Penthésilée le croyait toujours à Jypska...
Héjia, cher Transcripteur... je suis un peu b-barbouillée, mais ça va mieux... Encore que, bon, ça s'agite un peu trop à mon g-goût ! Je ne sais pas ce qui... se trame, mais...
Mais quoi ? Antiorn l'entraine à la suite du drôle de type que Sirilius semble connaître.
Tiens, oui, en effet, il le connait ! C'est le moment de se renseigner, l'olibrius ayant pris quelques mètres d'avance :
...mais dites-moi : c'est qui, ce rhon Tuek ?
Penthésilée
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Le Dhiwara 20 Nohanur 1511 à 21h37
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| Et parce que on dit souvent jamais quatres sans cinq, le cinquieme symbiosé du lot est là aussi.
Certes, il arrive d'un autre coté.
Certes, il ne fait pas parti de cette fraternité de remontées gastriques qui a si poetiquement melangé ses vomissement.
Et certes, il ne risque pas de comprendre le moindre mot de ce que racontent les autres.
Mais il a entendu le cri alors qu'il était sur le port à observer dubitativement la mer. C'est qu'elle ne lui parait pas convaincante. Une etendue d'eau bien trop grande pour que ses intentions soient tout à fait claires et, s'il a l'habitude de naviguer en eau troubles, ce n'est qu'au sens figuré du termes.
Et encore... Ses eaux troubles sont des troubles d'artistes, des troubles qui concernent les détails, des histoires annexes, les enjolivures, pas la trame principale.
Un cri a retentit. Il est logique que le tydale suive le cri. A la limite il ne serait pas contre deux autres, pour que les choses soient bien en place mais... tout reflechit, autant ne pas précipiter. Pour les prologues, nul besoin de trois coups, un suffit.
Silinde donc, en spectateur direct, au premier rang de la foule essaye de comprendre ce qui se passe. Son absence totale de comprehension du s'sarkhness rends juste les choses un peu plus complexes.
Jusqu'au bout... | |
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